Santé et Bien-être
L'étude des échantillons de poussières dans les moquettes et tapis de 89 maisons en Californie a révélé la présence de résidus de pesticides agricoles utilisés dans un rayon allant jusqu'à 1.250 mètres autour de ces résidences durant les 730 jours précédents, selon une étude publiée jeudi par la revue Environmental Health Perspectives des Instituts nationaux de santé américains.
Jusqu'ici, les chercheurs n'avaient découvert ce genre de résidus que dans un rayon de 750 m autour des habitations. De plus, l'étude a montré que l'utilisation domestique ou professionnelle des pesticides par les habitants des maisons testées n'avait qu'un impact mineur sur la variabilité de la concentration des pesticides retrouvés.

L'huile d'olive, qui contient des oméga-3, ne possède définitivement que des avantages ! © aftouch-cuisine.com
La maladie d'Alzheimer n'a pas de cause unique mais serait issue d'un ensemble de facteurs génétiques et environnementaux, qui sont de mieux en mieux identifiés. Certaines formes précoces de la maladie sont notamment dues à des mutations au niveau du gène APP, le précurseur du peptide amyloïde qui forme les fameuses plaques amyloïdes (plaques séniles) dans le cerveau.
Une autre protéine a également pu être mise en relation avec la maladie d'Alzheimer. Il s'agit de l'apolipoprotéine E (APOE), dont la fonction normale est d'assurer la dégradation des lipoprotéines riches en triglycérides. Situé sur le chromosome 19, le gène APOE peut prendre trois formes alléliques différentes, caractérisées par des mutations ponctuelles qui ne modifient la séquence de la protéine qu'au niveau d'un ou deux acides aminés, sur un total de 317.
Alors qu'APOE3 est considérée comme la forme « normale » portée par la majorité de la population, les formes APOE2 et APOE4 ne peuvent plus jouer correctement leur rôle. Si APOE2 favorise alors principalement l'apparition de maladies cardiovasculaires (athérosclérose), c'est APOE4 qui est fortement impliquée dans la maladie d'Alzheimer. En effet, les individus porteurs des deux allèles APOE4 ont dix à trente fois plus de chances de déclarer la maladie après 75 ans, car l'apolipoprotéine ne parvient pas à éliminer efficacement les plaques amyloïdes qui s'accumulent dans le cerveau.
Coca-Cola contre Pepsi, il s'agit là d'un duel qui dure depuis des années et qui évolue au fur et à mesure des campagnes publicitaires. Mais aucun affrontement au sujet de la dernière étude qui concerne le marché du soda puisque cette fois-ci, les deux marques de boissons gazeuses sont mises sur le même plan, accusées d'utiliser des colorants cancérigènes. Cette accusation émane d'un important lobby américain, le CSPI (Center for Science in the Public Interest).

Les pesticides peuvent faire chuter la libido, en diminuant la production de testostérone chez l'homme.
© AFP / Sean Prior
Les scientifiques auteurs de l'étude ont sélectionnés trente-sept des 134 pesticides auxquels la population européenne semble le plus exposée. Les tests in vitro de 23 d'entre eux ont prouvé leurs caractères anti-androgènes, soit inhibiteur de libido par chute de la testostérone.
Les oméga-3 ralentiraient significativement la progression de la rétinopathie, une maladie des yeux qui affectent surtout les personnes diabétiques et quelques fois les bébés prématurés. Elle se caractérise par un développement anarchique de nouveaux vaisseaux sanguins et la personne atteinte perd progressivement la vue.

Une mauvaise alimentation paternelle pourrait modifier l’expression des gènes au cours du développement du fœtus et prédisposer le futur enfant à certaines maladies.
Génétique et épigénétique
Comme on le sait tous, nous sommes le résultat de l'interaction des gènes légués par chacun de nos parents à la suite de la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde. Ce que l'on sait moins, par contre, c'est que cet assemblage de gènes n'est pas le seul responsable de notre apparence et de notre personnalité, c'est-à-dire du caractère unique de notre existence. Dans la pratique, l'expression des gènes que nous avons hérités de nos parents est fortement influencée par une foule de facteurs provenant du milieu qui nous entoure, un phénomène appelé épigénétique, qui signifie « sur la génétique ». L'interaction avec le milieu social, les diverses expériences de vie, qu'elles soient bénéfiques ou traumatiques, et ce que nous mangeons exercent une énorme influence sur l'expression de nos gènes et sur notre comportement. Autrement dit, les profondes différences qui distinguent les êtres humains les uns des autres ne sont pas seulement dues à des différences génétiques, mais aussi à l'épigénétique, c'est-à-dire à la modulation de ces gènes par l'environnement de vie.
Polyphénols délicieux...
Le chocolat est fabriqué à partir de la pâte de cacao, un liquide épais qui est extrait par broyage des fèves de cacao. Ce contenu en pâte de cacao est important, car elle constitue une source tout à fait exceptionnelle de polyphénols, une classe de molécules qui possèdent plusieurs activités biologiques importantes. Les aliments riches en polyphénols comme le chocolat ou encore le thé ont cependant la particularité de provoquer une importante sensation d'astringence dans la bouche : ce phénomène est causé par l'interaction des polyphénols avec certaines protéines, ce qui provoque une réduction du pouvoir lubrifiant de la salive et une sensation de dessèchement.
Bien sur que le tabac n'est pas à conseiller comme le jus d'orange, mais rien n'est blanc, rien n'est gris.. comme le café, il a ses bons et mauvais côtés.
Personnellement, je vois dans l'interdit du tabac une gigantesque expérience orwellienne, genre grippe AH1N1.. un test planétaire pour évaluer l'adhésion au politiquement correct ; tester le moutonisme. On le voit bien aujourd'hui que le but est atteint : là, les non-fumeurs, c'est à dire les « normaux » et en face, cette poignée de malades, désaxés.. de là à nazi, ya pas loin. Ce n'était pas le but peut-être, mais le résultat est pourtant là.
« Fumer rend aimable » qu'il disait.. les anciens fumeurs, devenus « anti-fumeurs » sont eux - parmi les plus hargneux, jalousie mal évacuée ? Le communautarisme « anti-fumeur » fait son œuvre.
Les Instituts nationaux américains de la santé ont publié une nouvelle étude qui explique que les personnes exposées à la roténone et au paraquat auraient plus de risques de développer Parkinson, cette maladie incurable qui affecte le système nerveux central. Ainsi, les individus en contact avec ces deux pesticides auraient 2,5 fois plus de risques d'être un jour diagnostiqués comme atteints de cette maladie, que les personnes jamais exposées.