Santé et Bien-être
Les tests PCR du Covid qui sont en cours de déploiement dans le monde entier, conformément au plan 1-3-30 de la Fondation Rockefeller, sont le principal objectif de cette phase actuelle de l'opération Coronavirus. Plus le nombre de personnes testées est élevé, plus le nombre de cas positifs enregistrés est important, ce qui alimente le discours officiel de peur et la maintient en vie pour justifier une nouvelle tyrannie.
Cependant, il se peut qu'autre chose soit également à l'œuvre. Nous devons nous demander si ces tests PCR du Covid ne seraient pas en fait une ruse pour accéder secrètement à notre organisme interne, en particulier à notre cerveau. Les écouvillons nasaux utilisés — appelés naso-pharyngés ou oro-pharyngés — sont incroyablement longs puisqu'ils mesurent environ 15 cm, ce qui signifie qu'ils atteignent l'arrière de notre gorge.
Existe-t-il une raison médicale pour laquelle ces écouvillons doivent être de cette longueur ? J'ai couvert dans d'autres articles à quel point les tests PCR sont imparfaits et inadaptés. Ces tests pourraient-ils être utilisés pour infecter subrepticement des personnes avec un agent pathogène quelconque, administrer le vaccin qu'ils prétendent être encore en développement, ou même implanter des personnes avec des nanotechnologies telles que les puces électroniques ?
Un décès toutes les 6 secondes, tout de même [1] ! 14 400 par jour ! 5 millions de morts par an ! D'autres maladies feraient la une des journaux pour moins que ça !
Bien sûr, je ne pense à rien de précis en VID en disant cela.
Aujourd'hui, c'est plus de 460 millions de personnes atteintes dans le monde [2] par cette épidémie silencieuse, chaque année de plus en plus.
En France, plus de 400 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque jour [3]. Chez les personnes âgées de plus de 65 ans, 1 personne sur 4 est contaminée !
Au début, c'est une maladie invisible, pas de toux, pas de difficultés respiratoires, pas de fièvre, pas de fatigue ni même de perte du goût ou de l'odorat.
1 personne sur 2 ne sait même pas qu'elle en est atteinte !
Attention, cela peut vous concerner, même si vous pensez aller bien, mangez sainement et que votre poids semble « correct ».
On associe souvent cette maladie à l'obésité ou aux mauvaises habitudes alimentaires. Détrompez-vous. Evidemment, l'obésité et les mauvaises habitudes alimentaires vont ajouter d'autres maladies, d'autres complications, ce n'est pas bon.
Mais dans cette pandémie particulière, une étude états-unienne a montré que les personnes minces ou de poids « normal » avaient deux fois plus de risques de décéder [4].
Pourquoi ?
- 1'30 : l'être vivant le plus pollué de la planète.
- 4'16 : une problématique (presque) récente.
- 8'40 : Theo Colborn défriche la question.
- 15'06 : quel est donc le problème ?
- 22'09 : la dose ne fait plus le poison et la difficulté de légiférer.
- 29'55 : faire sa propre prévention.
- 35'22 : à chacun sa conclusion
Le plasma est un état de la matière hautement conducteur d'électricité comportant des particules en mouvement libre dont la charge électrique est constituée d'électrons, de protons et d'atomes dépourvus de leurs électrons. Ces atomes sont connus sous le nom d'ions. Contrairement aux idées reçues, les plasmas n'agissent pas comme un gaz neutre. Les plasmas sont généralement décrits par rapport à l'espace. Mais ils existent sur Terre. Les machines pour découper le plasma sont utilisées pour couper les métaux épais lors de leurs fabrications. Le comportement et l'apparence du plasma sont différents de ceux des autres formes de matière. Il a tendance à être cellulaire et à s'agglutiner pour créer dans l'espace des filaments appelés courants de Birkeland.
Un courant de Birkeland est un ensemble de courants de plasma qui circulent le long des lignes de champ géomagnétique, notamment celles reliant la magnétosphère de la Terre à sa ionosphère de haute latitude [pour plus d'informations sur les courants de Birkeland, voir aussi Le plasma, l'état fondamental de la matière - NdT]. Au sein de la magnétosphère terrestre, les courants sont entraînés par le vent solaire et le champ magnétique interplanétaire, ainsi que par les flux volumineux de plasma à travers la magnétosphère. Ces flux de plasma sont entraînés par la convection indirectement induite par l'environnement interplanétaire. L'intensité des courants de Birkeland varie au sein de la magnétosphère en fonction de l'activité solaire. Il s'ensuit que les courants présents dans les cellules changent avec l'activité solaire exercée à la surface de la planète. Il a également été démontré que les mitochondries présentes au sein de nos cellules sont sensibles à la présence ou à l'absence du Soleil [d'un point de vue météorologique - NdT]. Cette relation rend très probable le fait que les êtres vivants munis de mitochondries sont sensibles aux variations de plasma sur le Soleil mais aussi sur la Terre. Nos mitochondries semblent être en mesure de détecter ces variations en modifiant leurs protéines respiratoires en fonction de leur exposition à ces plasmas.
Les enfants et adolescents auraient été en grande majorité déjà immunisés par contact avec de précédents coronavirus. L'immunité cellulaire impliquant les Lymphocytes T seraient responsables de cette immunité à long terme qui n'impliquerait pas forcément l'immunité par anticorps :
Au début de la pandémie de Covid-19, on a supposé qu'aucune immunité contre le nouveau coronavirus n'existait dans la population. C'était l'une des principales raisons de la stratégie initiale consistant à "aplatir la courbe" en introduisant des ordonnances de maintien à domicile.
Mais à partir de mars et avril, les premières études ont montré qu'une partie considérable de la population avait déjà une certaine immunité contre le nouveau virus, acquise par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume).
Pour ceux qui ne le savent pas, et selon les directives fédérales récemment publiées [aux États-Unis - NdT], un vaccin Covid-19 peut être mis sur le marché s'il est « sûr et efficace » pour seulement 50 % des personnes qui le reçoivent. De plus, la définition du terme « efficace » [selon les mêmes directives - NdT] signifie qu'il doit simplement « minimiser les symptômes les plus graves ». [et « sûr », on s'en fout ? - NdT]
Le Dr Kathleen Neuzil, directrice du Centre pour le développement des vaccins à l'université du Maryland a déclaré :
Nous devrions nous attendre à ce que le vaccin contre le SRAS-CoV-2 soit similaire au vaccin contre la grippeC'est pourquoi les experts affirment que la première série de vaccins Covid-19 n'éliminera probablement pas la nécessité des masques, de la distanciation sociale et d'autres mesures. Ainsi, après toutes les promesses faites par les responsables gouvernementaux, un vaccin pourrait ne faire que réduire les symptômes et se transformer en une injection récurrente qui n'est efficace que sur la moitié de la population.Note du traducteur : et au passage, on s'appuie pour ce nouveau vaccin sur celui de la grippe, les fonds alloués pour la recherche qui devrait partir de zéro seront ainsi économisés...Ce vaccin peut ou non empêcher les gens d'être infectés par le virus, mais il permet d'éviter les hospitalisations et les soins intensifs.
Note du traducteur : On prend les mêmes et on recommence : il faut sauverle soldat Ryanl'hôpital. Soyez compréhensifs braves gens, on ne veut que votre bien. Pourtant, la science est concluante : les masques n'empêchent PAS la transmission des virus, et puis il n'existe aucune preuve que le confinement fonctionne, et il est même hautement critiquable. Alors, comment en sommes-nous arrivés là ?
Selon un sondage réalisé par l'institut YouGov pour le HuffPost, dans lequel plus de 1.000 personnes ont été "sondées" entre le 23 et le 24 juillet, 32% des Français affirment qu'ils n'accepteraient - probablement ou certainement - pas de se faire vacciner si un vaccin contre le Covid-19 était disponible.
12% environ indiquent par ailleurs ne pas savoir ce qu'ils feraient. Ce qui place seulement à près de 57%, pas beaucoup plus d'un sur deux donc, le nombre de Français qui se disent prêts à se faire vacciner en cas de mise au point d'un vaccin efficace. Un score qui vient rappeler que les Français font bel et bien des populations les plus méfiantes au monde à l'égard des vaccins.
Or, ce mode de transmission n'a jamais été prouvé.
Au contraire, si l'on considère la Covid-19 comme un virus respiratoire, on doit envisager qu'il se transmet exclusivement par aérosol comme toutes les autres maladies virales respiratoires. Dans un tel cas, il est absurde de nettoyer les poignées de porte, absolument inutile de porter des masques ou d'enfiler des combinaisons, ridicule de respecter des distances sociales. La seule et unique prévention est d'aérer le plus possible.
Ce mode de transmission n'a pas non plus été prouvé, mais il est beaucoup plus logique que l'hypothèse dominante.
Ce sont des soignants à bout, des jeunes parents débordés, des télétravailleurs ultra connectés ou des patients dont les troubles psychiques se sont amplifiés. L'épidémie de Covid-19 n'a pas été sans effet sur la santé mentale des Français, comme l'atteste une nouvelle étude, relayée le 28 juin par le Journal du Dimanche. Alors qu'elle est encore à l'état de relecture par les pairs, cette étude, dirigée par Pierluigi Graziani pour les universités de Nîmes et d'Aix-Marseille, a déjà récolté 3 763 témoignages, via un questionnaire en ligne.
Augmentation des troubles psychiques
Les premiers résultats de l'étude sont explicites : 15,1 % des participants ont déclaré avoir un niveau d'anxiété pathologique et 26,5 % un niveau de dépression pathologique. Ce seuil « pathologique » est atteint lorsque « les participants dépassent un score anormalement élevé (en répondant aux questions), même si ce score n'est pas directement lié à un tableau clinique officiel », explique Jonathan Del Monte, maître de conférence à l'université de Nîmes et auteur de l'étude.
Vous voulez la réponse vraie, ou bien la réponse donnée par la propagande, les versions officielles gouvernementales et les médias dominants ?
Je vais vous donner la réponse vraie, médicale : les tests ne répondent à aucune de ces questions, ils ne sont pas fiables, donnent des réponses exagérément simplistes qui pourront être utilisées par les gouvernements pour faire croire aux gens ce qu'ils veulent qu'ils croient.
Il y a deux grands types de tests :
- Les tests moléculaires : RT-PCR ;
- Les tests sérologiques : recherche d'anticorps dans le sang.
Commentaire:
Theo Colborn
- Aux perturbateurs endocriniens vient s'ajouter la pollution électromagnétique : Coupez le Wifi chez vous