Santé et Bien-être
Ce qu'il ne reconnaît pas, c'est que le vaccin H1N1 2009 a causé des lésions cérébrales chez les enfants. Il a été développé par Glaxo Smith Kline qui est aujourd'hui à la pointe de l'initiative du vaccin COVID-19.
Il aborde la question de la sécurité du vaccin H1N1 dans cette vidéo (à partir de 6′.5o »). Faites défiler la page vers le bas pour voir les rapports sur l'escroquerie au vaccin H1N1.

Une sculpture représentant Louis Pasteur vue de l'extérieur du siège de l'Institut éponyme
L'étude de seize pages, réalisée par des chercheurs affiliés au prestigieux Institut Pasteur de Paris, a été publiée pour la première fois dans le South China Morning Post de Hong Kong. Elle indique que dès le 10 janvier, la France a mis en place une « surveillance renforcée des cas de Covid-19 », cinq jours après que l'Organisation mondiale de la santé ait publié le premier « Avis d'épidémie » sur une « pneumonie de cause inconnue » qui avait été signalée pour la première fois par la Chine le 31 décembre 2019.
Comment: YouTube a supprimé tous les partages vidéos de ce briefing de deux médecins californiens, et les médias mènent actuellement une campagne de diffamation contre eux, qualifiant de « douteuses » leurs critiques des mesures de confinement. Nous nous faisons donc une joie de diffuser leur vidéo (ci-dessous).
Le Covid-19 analysé avec logique par deux médecins urgentistes californiens possédant une grande expérience en immunologie et en microbiologie. Leur analyse se base sur les statistiques au niveau national.
« BAKERSFIELD, Calif., (KBAK/KBFX) — Les Drs Dan Erickson et Artin Massihi d'Accelerated Urgent Care appellent à la réouverture du comté»
À VOIR ABSOLUMENT. « Des millions de cas, un petit nombre de décès »
Briefing COVID-19 du Dr Erickson :
Le 22 mars, l'Inserm a lancé un vaste essai clinique européen destiné à évaluer quatre traitements expérimentaux contre le Covid-19. En France, il devait inclure au moins 800 patients atteints de formes sévères, parmi un total de 3.200 patients européens. Les résultats de cet essai sont très attendus, dans la mesure où certains traitements, comme celui à base d'hydroxychloroquine promu par Didier Raoult (Institut hospitalo-universitaire, IHU, de Marseille) doivent être testés. L'hydroxychloroquine sera évaluée, aux côtés du remdesivir, du lopinavir et du ritonavir, ces deux derniers associés ou non à l'interféron bêta. Il s'agit d'un essai randomisé ouvert : le choix du traitement pour chaque patient a lieu de façon aléatoire, mais patients et médecins savent quel traitement est utilisé.
La cohorte Discovery rencontre cependant des difficultés à monter en puissance, explique Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Bichat (Assistance publique-Hôpitaux de Paris, AP-HP), membre des deux instances nommées par le gouvernement pour éclairer ses décisions sur le Covid-19, et directeur du consortium Reacting qui chapeaute cet essai.
Le chef du service Maladies infectieuses à l'établissement hospitalier public (EHP) de Boufarik (Blida), Dr. Mohmaed Yousfi a indiqué que 150 des 300 patients atteints de Covid-19, hospitalisés depuis le 23 mars 2020 au niveau de cet établissement, avaient quitté l'hôpital, complètement guéris après avoir été traités soit à base de Chloroquine ou des antiviraux dans d'autres cas.
"90% des cas ont très bien réagi à ce protocole de traitement recommandé par le ministère de la santé, de la population et de la réforme hospitalière", a-t-il affirmé, précisant que les "récents résultats d'analyses pour ces patients ont démontré leur guérison totale".
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l'idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons et bien sûr des virus. Bien que l'idée ait circulé bien avant que Pasteur ne devienne éminent, ses travaux de laboratoire dans les années 1860 ont donné l'impression de fournir les preuves scientifiques qui manquaient auparavant.
Ce que l'on sait moins, c'est que d'autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ». Ils considéraient que le facteur le plus important qui détermine si une personne tombe malade ou non ne tient pas en la présence d'un germe, mais relevait plutôt de la disposition propre à l'environnement interne du corps (le « terroir » ou le terrain) à se préparer en vue de repousser ou de détruire le germe en question.
L'un des principaux scientifiques de la théorie du terrain était Antoine Béchamp (1816-1908). Pasteur et Béchamp étaient des rivaux acharnés autour de nombreuses questions scientifiques. Le livre de R. B. Pearson, publié en 1942 Pasteur: Plagiarist, Imposter [Pasteur, plagiaire et imposteur - NdT] suggère même que Pasteur a plagié une partie de ses travaux à partir de ceux de Béchamp — ce qui a dû constitué pour ce dernier un point de contestation compréhensible, lui qui finalement est mort dans l'oubli le plus total. En revanche, Pasteur est devenu habile à s'auto-promouvoir, au point que son nom est devenu un mot commun bien après sa mort.
Commentaire : Pasteur ne s'est par contre pas promu tout seul... Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l'on reprend le contexte de l'époque où fleurissait aussi la théorie de l'évolution de Darwin, l'on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.
À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s'exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d'entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.
Nous pouvons aussi nous interroger sur la fonction exact des microbes dans l'écologie planétaire, et déterminer s'ils ne seraient pas en fait nécessaires à l'évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd'hui religion.
Commentaire:
Voici quelques extraits de l'ouvrage du Dr Éric Ancelet, Pour en finir avec Pasteur (pages 83, 84, 85, 87, 90, 91).
Bien introduit dans les antichambres du pouvoir, Pasteur va imposer ses vues sur un autre sujet à la mode, celui de la génération spontanée, dont il va pourfendre les défenseurs avec sa vindicte coutumière. Les savants s'affrontent rarement dans la sérénité.Ce dernier passage est très intéressant si l'on considère le « Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ou la similitude frappante entre les possibles transformations réversibles de ces micro organismes et les astéroïdes qui peuvent devenir des comètes (et revenir à l'état d'astéroïde, ou pas), qui elles-mêmes peuvent devenir des planètes, le tout en fonction du champ électrique cosmique dans lequel ils et elles progressent.
L'orgueil et les préjugés s'en mêlent, comme la nécessité d'assurer sa carrière, ses titres et ses subventions.
[...]
La négation par Pasteur d'une « génération spontanée » à partir de matière inerte était donc justifiée en son temps, mais elle l'a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les « espèces microbiennes », sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter mais en aucun cas de se transformer en « autre chose ». Or Béchamp puis Tissot ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique.
[...]
Voir : Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon
Pour en revenir au livre du Dr Éric Ancelet, poursuivons.
De ces débats découlent deux conceptions radicalement opposées de l'écologie microbienne.Toutefois,
Pour Pasteur, le microbe génère la maladie. [...] « À chaque germe une maladie ». [...] « À chaque maladie un vaccin ».
[...]
Pour Béchamp, la maladie active le microbe.
[...]
Alors, Pasteur ou Béchamp ?
Nous avons vu pourquoi la France du siècle dernier avait besoin que Pasteur ait raison. Bien mieux que Béchamp, savant discret et peu « médiatisé », Pasteur était capable de jouer le rôle politique de fer de lance d'une France républicaine profondément éprouvée dans son orgueil national.
C'est seulement en 1877 que Pasteur, âgé de 55 ans [...] va entreprendre des recherches sur les micro-organismes « responsables » des maladies humaines et animales.Avant cela, Pasteur a plagié les travaux antérieurs de Béchamp, travaux dédiés à des recherches sur les maladies des vers à soie. Il présentera le résultat de ces travaux comme les siens propres sans jamais citer Béchamp, et en affirmant que ses travaux sont antérieurs à ceux de Béchamp. En outre, et pour bien appuyer le tout, en « fin diplomate et beau parleur » qu'il est, Pasteur « dédiera son traité sur les maladies des vers à soie à l'Impératrice ». Puis,
C'est alors que survient un événement considérable dans une vie humaine, surtout à la lumière d'une « médecine nouvelle » qui à chaque maladie associe, non pas un microbe pathogène ou un gène défectueux, mais un conflit de nature psycho-émotionnelle.On ne peut que se résoudre à croire que c'est le cas... Pasteur est hémiplégique depuis neuf ans quand il entreprend les recherches pour lesquels il est « connu ».
Le 19 octobre 1868, à l'âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une attaque d'hémiplégie qui paralyse son côté gauche.
Selon les lois biologiques du docteur R.G. Hammer, il pourrait s'agir d'une « crise épileptoïde » déclenchée en phase de guérison par un œdème cérébral situé dans l'hémisphère droit, au niveau des centres moteurs. Guérison de quoi ? Chez l'homme droitier, cette partie du cerveau est en étroite relation avec des conflits de territoire. Or Pasteur vient d'imposer in extremis son antériorité sur Béchamp ! Nous devons signaler aussi que l'hémisphère droit et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur, correspondent classiquement à la part féminine de l'être, à la passion, au sens artistique, à l'intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s'est construite sur des valeurs purement masculines, l'action, l'affrontement, l'analyse, la raison, que toute le biologie post-pasteurienne est infirme, hémiplégique de naissance ?
C'est loin d'être une théorie farfelue. Changeux a expliqué son hypothèse en détail ici. Pour faire simple, il affirme que les récepteurs nicotiniques cholinergiques jouent un rôle-clé dans le développement de la maladie, et que la nicotine peut y mettre un frein. S'il a raison - et le principe de l'ironie voudrait que ce soit le cas - cela sauverait non seulement des milliers de vies, mais ce serait un coup dur pour les groupes de « santé publique » qui n'ont de cesse de répéter que la clope et le vapotage sont des facteurs de risque pour le COVID-19.
Ces groupes sont tellement habitués à mentir en toute impunité qu'au début de la pandémie, ils se sont empressés d'affirmer que le tabagisme entraînait des complications en cas de coronavirus. Aux États-Unis, les journaux rapportent à l'envi que les fumeurs et les vapoteurs « pourraient » courir un plus grand risque s'ils sont infectés, assertion ambiguë qui se passe de toute démonstration. Un groupe de médecins new-yorkais a exhorté le gouverneur Andrew Cuomo à interdire la vente de tabac et de cigarettes électroniques, en se basant sur l'hypothèse fallacieuse selon laquelle « des preuves de plus en plus nombreuses démontrent un lien entre la consommation de tabac et un risque accru de progression du COVID-19 ». Quant à l'OMS, quand il n'est pas occupé à cirer les pompes du parti communiste chinois, il émet des allégations infondées selon lesquelles les fumeurs seraient plus « susceptibles » de morfler davantage en cas de coronavirus.
Commentaire: Maintenant, considérez la dimension sinistre de cette « découverte » : depuis le début de cette « pandémie », les gouvernements font des pieds et des mains pour interdire complètement la vente de tabac et de produits dérivés du tabac...
Voir aussi :
2020 : La fin des cigarettes mentholées
Dr William T. Whitby : vive le Tabac, où l'on découvre que l'usage du tabac n'est pas mauvais pour notre santé
Dans mon article précédent, nous apprenions qu'à la date du 15 avril, à 10h du matin (AEST, Australian Eastern Standard Time), n'étaient pas infectés :
99,994 % de la population en Chine (1,4 milliard d'habitants)
99,729% de la population en Italie (60 millions)
99,817 % de la population des États-Unis (330 millions)
99,633% de la population en Espagne (47 millions)
99,842% de la population en Allemagne (83 millions)
99,910% de la population en Iran (83 millions)
99,798% de la population en France (65 millions)
99,698% de la population en Suisse (8,6 millions)
99,858% de la population du Royaume-Uni (67 millions)
99,979% de la population en Corée du Sud (51 millions)
99,889% de la population en Suède (10,3 millions)
99,974% de la population en Australie (25 millions)
99,974% de la population mondiale (7,5 milliards)
Et si avant de souhaiter traiter des malades fragiles on prenait d'abord la précaution élémentaire de ne plus les placer en position de déclencher un COVID-19 sévère ?
Commentaire : Récemment, l'équipe du professeur Raoult a critiqué, sans mâcher ses mots, une étude réalisée sur des vétérans américains atteints du COVID-19. Cette étude publiée en preprint affirme que la prise d'hydroxychloroquine augmenterait le taux de mortalité chez les patients COVID. La réponse de l'équipe du professeur Raoult a été publiée en anglais sur le site Internet de l'IHU de Marseille. Fox News revient sur cette polémique.
Transcription / traduction :
Quelques réflexions en ce 37e jour de confinement. Quand on utilise l'expression « étude scientifique » dans un article ou à la télévision, c'est pour donner une impression de sérieux, de rigueur scientifique, et quand ces études sont menées sur des patients, les chercheurs doivent tenir compte des variables tels que l'âge du patient, les antécédents médicaux, la progression actuelle de la maladie, pour ne citer que quelques exemples. Ensuite, la façon dont les données sont organisées, examinées puis communiquées permet de déterminer si l'étude est crédible ou non.
Eh bien, une étude, ou une enquête, publiée hier sur l'utilisation de l'hydroxychloroquine sur des patients COVID est incroyablement irresponsable et, comme l'affirment certains virologistes de premier plan, peut-être intentionnellement biaisée. Cette prépublication, qui n'a pas encore été évaluée par les pairs, prétend montrer que l'hydroxychloroquine ne présente aucune efficacité contre le COVID et que son utilisation pourrait en fait, selon cette enquête, entraîner un taux de mortalité encore plus élevé. Ça a l'air terrible !
C'est là que les lecteurs qui détestent Trump et cette chaîne s'exclament : « Ah ah !! Trump et Fox rapportaient que les patients ont des résultats positifs avec l'hydroxychloroquine, et maintenant cette étude dit qu'elle tue des gens !! »
Commentaire: Voir aussi : Tucker Carlson : les mesures de confinement sont-elles efficaces ?