Santé et Bien-êtreS


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Santé : sucres, une douceur amère

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Je vous parlais du faux sucre la semaine dernière, parlons aujourd'hui du vrai sucre , ou plutôt des sucres que nous apportent nos habitudes alimentaires, et qui sont trop souvent inadaptés à notre mode de vie.

Longtemps éclipsé par les fameuses graisses animales, le rôle du sucre dans l'apparition des maladies dites de civilisation est aujourd'hui mis en évidence par la recherche et les nutritionnistes. Même si le plaisir qu'il apporte est indéniable, sa consommation en excès à des effets encore peu connus sur la santé. Les risques que font courir le sucre sont liés, comme pour de bien d'autres produits, à son raffinage, qui l'isole, le rend plus assimilable, avec des conséquences multiples sur la santé à commencer par le surpoids. Et le sucre se cache dans la plupart des aliments, du pain en passant par les pâtes, les pommes de terre, ou encore les corn flakes ou le riz. Et ne parlons pas des confiseries et autre gâteau, glace, bonbons ou chocolat. Le sucre est donc partout, sous des formes très diverses.

Les plus simples, le glucose et le fructose, seront en grande quantité par exemple dans les confitures. Associez les 2 molécules, vous obtenez du saccharose, et à plus grande échelle encore, de l'amidon. Tous sont des sucres digestibles, et sont la base des sucres de canne ou de betterave, des céréales comme le blé et des pommes de terre. Plus ces produits sont raffinés, moins ils contiennent de fibres et plus ils seront absorbés par l'intestin grêle.

Gear

L'histoire dingue de la naissance de la « médecine » moderne

Traduction copyleft de Pétrus Lombard par Alter Info

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La médecine moderne est solidement établie sur la « théorie des germes » fait connaître par Louis Pasteur dans les années 1860. Au moment où nous abordons le 21ème siècle, cette théorie pasteurienne vieille de 140 ans est toujours le paradigme de la lutte contre la maladie de la médecine occidentale.

Seulement, de nos jours, devant l'énorme déferlement de maladies infectieuses et la rapide propagation épidémique du cancer, du diabète, des maladies cardiaques et des autres maladies chroniques, nous devons nous demander si la théorie de Pasteur est vraiment sérieuse.

Considérez ces statistiques alarmantes d'un rapport commandité par le Nutrition Institute of America en octobre 2003 : 2,2 millions de patients hospitalisés sont victimes d'effets indésirables de médicaments, les remèdes prescrits entraînant chaque année la mort de 106.000 personnes. En d'autres termes, plus de 2.000 clients meurent chaque semaine en Zunie de remèdes prescrits correctement à des doses convenablement indiquées.

Cheeseburger

Le soda light accroîtrait le risque d'accident vasculaire

Selon une récente étude américaine, une consommation régulière de soda light augmenterait de 61 % le risque d'accidents vasculaires.

Si le soda light apparait comme une bonne alternative diététique aux boissons sucrées, il semblerait que celui-ci ne soit pas sans danger. C'est ce que viennent de découvrir des chercheurs américains à l'issue d'une étude présentée en début de semaine à la conférence internationale de l'American Stroke Association à Los Angeles.

Selon leurs résultats, les personnes qui boivent du soda light quotidiennement augmentent leur risque d'accident vasculaire de 61% comparé à celles qui ne consomment aucun soda. Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques américains ont suivi pendant plus de 9 ans près de 2.560 individus dans le cadre du projet baptisé Northern Manhattan Study (NOMAS).

Magnify

Apprenez l'importance de gagner la bataille contre le candida

Quel type d'infection peut varier d'un problème féminin à une cause de cancer ? Le Candida albicans est responsable d'infections vaginales et, selon l'oncologue italien auteur de Cancer is a Fungus (Le cancer est un champignon), le Dr Tullio Simoncini, le candida est un terrain fertile pour et la source de tous les cancers.

Health

L'exposition au soleil et la vitamine D réduiraient les risques de sclérose en plaques

Une exposition régulière au soleil et un niveau de vitamine D élevé réduiraient les risques de contracter la sclérose en plaques, rapporte la revue américaine Neurology citant une étude de l'Université nationale australienne.

Les chercheurs ont étudié le cas de 216 adultes australiens porteurs des premiers symptômes de la maladie avec près de 400 individus sains. Leurs conclusions indiquent qu'en moyenne les personnes malades avaient été exposées à une dose d'ultra violet moins importante.

Or la vitamine D provient en partie de la synthèse des rayons du soleil sur la peau. L'autre partie est liée à une alimentation, notamment dans la chair de certains poissons.

Family

Les nuits courtes chroniques dangereuses pour le coeur

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Selon une étude anglaise de grande envergure, un manque de sommeil prolongé augmenterait le risque de développer des problèmes cardiaques, voire de mourir prématurément.

Dormir moins de six heures par nuit serait une "bombe à retardement" pour notre santé. C'est ce qu'ont découvert des chercheurs de l'Université de Warwick à l'issue d'une étude de grande envergure et publiée dans la revue European Heart Journal. Pendant plusieurs années, ceux-ci ont analysé des données recueillies sur plus de 470.000 individus de huit pays différents. Et si ce n'est pas la première fois que des scientifiques étudient les dangers du manque de sommeil sur notre organisme, les résultats sont ici assez probants.

Syringe

Dommages neurologiques causés à une adolescente par le vaccin contre la grippe A

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© Inconnu
Traduction : Alterinfo

Lorsque Frida Sivermark (photo ci-dessus), 17 ans, est rentrée de l'école, elle s'est assise sur le canapé et s'est endormie.
- « Comme c'est sympa qu'elle puisse enfin se détendre« , a dit sa mère à propos de sa fille autrement si active.

Cheeseburger

La « malbouffe » liée à un QI moins élevé chez les enfants

LONDRES - Les enfants nourris très jeunes avec une alimentation industrielle riche en graisses et en sucres sont susceptibles de développer un QI moins élevé à l'âge de huit ans, selon une étude auprès de plusieurs milliers d'enfants britanniques publiée mardi.

Les conclusions proviennent d'une très vaste enquête auprès de 14.000 enfants britanniques autour de Bristol (sud-ouest de l'Angleterre), nés en 1991 et 1992, dont la santé et les modes de vie ont été étudiées à l'âge de 3 ans, 4 ans, 7 ans et 8 ans et demi.

Les parents devaient détailler en suivant un questionnaire l'alimentation de leurs enfants. Ces derniers ont ensuite été soumis à un test de quotient intellectuel (QI) à 8 ans et demi.

Family

Le manque de sommeil peut mener à l'obésité chez les enfants

Dormir trop peu et à des heures irrégulières peut provoquer des problèmes de santé et d'obésité chez les enfants, selon une enquête menée par le professeur belge Karen Spruyt de l'Université de Chicago. Les résultats de l'étude ont été publiés dans la revue "Pediatrics"

Karen Spruyt, professeur de neuropsychologie à la Vrije Universiteit Brussel et active à l'Université de Chicago, a étudié les schémas de sommeil de 308 enfants américains âgés de 4 à 10 ans. Les enfants étaient munis d'un petit appareil qui a enregistré les périodes de sommeil pendant une semaine. Leur indice de masse corporelle (Body Mass Index) a également été mesuré.

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L'obésité a quasiment doublé en trente ans dans le monde

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© AFP/JUSTIN SULLIVAN
La prévalence de l'obésité a quasiment doublé en près de trente ans dans le monde et touche cinq cents millions d'adultes, davantage les femmes que les hommes, selon une étude publiée vendredi par la revue britannique The Lancet. Des chercheurs ont étudié la progression du surpoids entre 1980 et 2008 chez les personnes de plus de 20 ans. Le surpoids est atteint quand l'indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids au carré de la taille en mètre) dépasse 25, l'obésité quand il atteint 30. A 35, on parle d'obésité sévère.

En vingt-huit ans, l'IMC a augmenté aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Dans le monde, 1,46 milliard d'adultes sont en surpoids et la prévalence de l'obésité a quasi doublé, touchant 205 millions d'hommes et 297 millions de femmes - soit 9,8 % des hommes et 13,8 % des femmes. "Le surpoids et l'obésité, l'hypertension et le haut niveau de cholestérol ne sont plus désormais l'apanage des pays occidentaux ou des pays riches et ont glissé vers les pays à revenu bas ou moyen", a commenté le Pr Ezzati.