Santé et Bien-êtreS


Cheeseburger

Plantes mutées : ces OGM qui ne disent pas leur nom

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Les plantes mutées, d'un point de vue scientifique, sont bel et bien des organismes génétiquement modifiés. Pourtant les technologies utilisées pour manipuler leurs gènes ne sont pas soumises à la réglementation sur les OGM. Résultat : les plantes mutées échappent aux études, à l'étiquetage, et se retrouvent dans nos assiettes sans que nous puissions les repérer.

Depuis l'apparition des OGM (organismes génétiquement modifiés) dans l'agriculture, la situation était relativement simple. Il y avait d'un côté les plantes conventionnelles et de l'autre les plantes génétiquement modifiées. Depuis peu, on découvre qu'à l'intérieur de ces OGM, il existe un groupe de variétés végétales qui avancent masquées : les plantes mutées. En quelques années elles se sont retrouvées dans notre assiette sans que personne ne s'en rende compte. La raison à cela : elles échappent à la réglementation des OGM alors qu'elles font bien partie de ces organismes génétiquement modifiés.

Les plantes transgéniques

Pour bien comprendre il faut revenir à la définition des OGM. Un OGM est un organisme vivant dont on a modifié de façon non naturelle ses caractéristiques génétiques. C'est-à-dire que ses concepteurs ont ajouté, supprimé ou modifié un ou plusieurs gènes de son ADN. Les plantes génétiquement modifiées dont on parle couramment - comme le fameux Maïs MON 810 de Monsanto - sont des organismes qui ont reçu un gène extérieur, un transgène, d'où leur nom de plantes transgéniques. Ce sont les OGM «classiques» que l'on connaît.

Evil Rays

Le retour du Sras en Grande-Bretagne ?

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© Mick Schmid
Un homme d'origine qatarienne âgé de 49 ans serait mort en Grande-Bretagne des suites «d'un syndrome respiratoire aigu et d'une défaillance rénale», selon un communiqué de l'Organisation mondiale de la santé du 23 septembre.

Cette maladie pourrait être de la famille du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère), à l'origine de la mort de près de 800 personnes dans le monde en 2002. «L'agence britannique de protection de la santé a conduit des tests en laboratoire et a confirmé la présence d'un nouveau coronavirus», relate l'OMS. Le coronavirus est une famille de virus incluant notamment les virus à l'origine du Sras.

L'homme décédé avait été hospitalisé à Doha puis transféré à Londres. Il aurait séjourné en Arabie saoudite avant l'apparition des symptômes, ce qui pourrait lier son décès «à plusieurs décès plus tôt dans l'année en Arabie saoudite», envisage The Atlantic Wire. L'agence de santé britannique fait référence à des précédents de ce type en Arabie saoudite cette année. «Nous avons connaissance d'un petit nombre de cas de maladie respiratoire aigüe au Moyen-Orient ces trois derniers mois», précise l'agence dans un communiqué.

Cow Skull

OGM - les pouvoirs publics savaient depuis plus de dix ans !

En fait, un chercheur britannique nommé Arpad Pusztai avait déjà prouvé la nocivité des OGM il y a plus de dix ans ! Ce qui lui avait vallu d'énormes ennuis. Voici les preuves :

http://mai68.org/journal/N7/9juin1999.htm

http://mai68.org/journal/N7/n1092.asp.htm

Cela prouve aussi qu'en fait les pouvoirs publics savaient depuis longtemps. Mais ils ont été achetés par Monsanto qui a fait dénigrer Arpad Pusztai par des scientifiques achetés eux aussi et devenus par là même des spécialistes du mensonge d'État. Monsanto qui vient de réussir à faire interdire le chlorate de soude, qui est le meilleur et le moins cher des désherbants totaux, afin d'imposer ses produits sur le marché.

Note :

Le 20 septembre 2012 à 4h du matin, heure française, l'article sur Arpad Pusztai du Wikipedia français ne parle pas de ses travaux sur les OGM. Ils disent : « Pendant les années 1963-1999 il travaille au Rowett Research Institute à Aberdeen en Écosse ». Mais ils oublient de dire, dans leur article principal sur ce scientifique, la raison de l'arrêt de ses travaux en 1999 :

Health

Un virus proche du « Sras » détecté en Arabie saoudite

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© GOH CHAI HIN / AFPUn médecin spécialiste du Sras photographié en 2005 à l'hôpital de Guangzhou, en Chine, le pays où ce virus potentiellement mortel a été détecté pour la première fois en 2002.
SANTE - Les autorités saoudiennes se disent "vigilantes". Un nouveau virus appartenant à la même famille que celui du Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère), responsable de la mort de 800 personnes dans le monde en 2002 et 2003, a causé la décès de deux personnes en Arabie saoudite, et a été identifié sur un homme ayant récemment séjourné dans le pays, a annoncé l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dimanche 23 septembre. Le patient d'origine qatarie, victime d'une infection respiratoire aiguë, est hospitalisé dans un état critique, à Londres (Royaume-Uni).

L'OMS précise que les examens pratiqués sur le patient, âgé de 49 ans, confirment l'existence d'un nouveau coronavirus, un type de virus de la même famille que celui du Sras. "Nous sommes dans une période d'investigation, ce virus n'est pas le Sras, il est différent, car il provoque de graves lésions rénales", a déclaré un porte-parole de l'OMS.

Pour Peter Openshaw, directeur du centre des infections respiratoires à l'Imperial College de Londres, le nouveau virus ne semble pas, à ce stade, devoir être un sujet de préoccupation publique. "La preuve d'une transmission du virus entre deux humains serait inquiétante", a-t-il admis. Mais pour l'instant, aucune transmission de ce type n'a été constatée.

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La chimiothérapie se révèle à double-tranchant

Le Dr Peter S. Nelson, du Fred Hutchinson Cancer Research Center, et son équipe ont mis en évidence le rôle important des fibroblastes, des cellules non cancéreuses, dans la cicatrisation des plaies et la production de collagène. Mais situées à proximité d'un cancer et exposées à la chimiothérapie, ces cellules subissent des altérations de leur ADN et produisent une protéine dénommée WNT16B qui permet aux cellules cancéreuses de se développer et envahir les tissus environnants en résistant aux traitements. La production de WTN a augmenté jusqu'à 30 fois, un résultat « tout à fait inattendu ».

Mais, le plus important est que cette protéine coupable est produite par des cellules saines lorsqu'elles sont exposées à la chimiothérapie.

Dollar

Des géants du médicament condamnés à 11 Mds de dollars pour leurs méfaits

Traduit par [JFG-QuestionsCritiques]

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L'industrie pharmaceutique mondiale a accumulé des amendes pour plus de 11 Mds de dollars au cours des trois dernières années pour leurs fautes criminelles, dont la rétention de données relatives à la sécurité des médicaments et à leur promotion à des fins d'utilisation au-delà des conditions autorisées.
[1]

En tout, 26 sociétés, dont huit des dix plus gros acteurs de cette industrie mondiale, ont été reconnues coupables d'avoir agi malhonnêtement. Selon deux articles publiés aujourd'hui dans le New England Journal of Medicine, l'ampleur de ces méfaits, révélés pour la première fois, a sapé la confiance du public et des professionnels et entravé les progrès cliniques. Des juristes ont prévenu que ces amendes de plusieurs milliards de dollars ne suffiront pas à changer le comportement de cette industrie.

Les 26 sociétés incriminées sont placées sous « contrats d'intégrité » [corporate integrity agreements], lesquels sont imposés aux Etats-Unis lorsque sont détectés des méfaits en matière de santé et placent ces sociétés sous surveillance, pouvant durer jusqu'à cinq ans, pour retrouver un comportement correct. La plus grosse amende de 3 milliards de dollars a été imposée en juillet au laboratoire pharmaceutique GlaxoSmith-Kline (GSK), dont le siège se trouve au Royaume-Uni, après que celui-ci a admis trois chefs d'accusation de comportement criminel devant les tribunaux américains. Il s'agit de la plus grosse amende à ce jour. Mais GSK n'est pas seul - neuf autres sociétés se sont vues imposer des amendes, allant de 420 millions de dollars pour Novartis à 2,3 milliards de dollars pour Pfizer, depuis 2009, totalisant plus de 11 milliards de dollars.

Gear

L'offensive de Monsanto pour décrédibiliser l'étude sur les OGM

La contre-attaque de Monsanto à l'étude sur les OGM de Gilles-Eric Séralini et du Criigen ne s'est pas faite attendre. C'est un courriel envoyé par un dirigeant de Monsanto, Jaime Costa, ingénieur agronome et directeur technique de Monsanto en Espagne. Il conseille à ses interlocuteurs d'aller consulter plusieurs réactions de scientifiques critiquant l'étude. Des scientifiques loin d'être indépendants...
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Traduction de l’espagnol : « Objet : Au sujet des recherches indépendantes sur les OGM.

Sur cette page (lien), vous pouvez lire l’opinion de quelques scientifiques indépendants sur cette nouvelle publication qui n’a pas été revue par l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) » [1].

Pills

Les Français sont-ils plus fous que les autres ou obsédés par leur santé mentale ?

12 millions de Français souffrent d'une pathologie mentale, selon une étude du département de santé publique de Créteil. Le coût pour la collectivité dépasse les 110 milliards d'euros par an. Mais que recouvrent ces chiffres ?

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© Rickydavid / FlickrSelon une étude du département de santé publique de Créteil, 12 millions de Français souffrent d'une pathologie mentale.
Morgan Bourven : Selon une étude du département de santé publique de Créteil, les autorités française ont très largement sous-estimé le nombre de Français souffrant d'une pathologie mentale qui toucherait en fait 12 millions de personnes sur 69 millions. Le coût total des pathologies mentales en France s'élève à 110 milliards d'euros par an. Les Français sont-ils fous ou trop hygiénistes concernant leur santé mentale ?

Jean-Paul Mialet* : Si on avait fait cette étude dans les années 70, on n'aurait certainement pas trouvé les mêmes chiffres, avec 12 millions de Français qui se portent mal. Les critères de pathologie n'étaient pas les mêmes que ceux d'aujourd'hui.

Il y a une trentaine d'années, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a donné une définition de la santé : « un état de bien être physique, moral et social ». Si on désigne la santé comme état de bien-être, tout ce qui n'est pas un état de bien-être n'est pas la santé, et c'est donc la maladie. Peuvent donc se prétendre malade tous ceux qui ne sont pas dans cet état de bien-être. Cette évolution de la notion de maladie revient à englober beaucoup d'états qui correspondent à un mal être et dont la limite est discutable

Parallèlement, la psychiatrie a développé des concepts discutables. Elle a d'abord été organisée autour de maladies bien repérables, comme la schizophrénie ou la psychose, les dépressions sévères... Puis, en plus de ces maladies bien répertoriées, elle a repéré une autre dimension : les personnalités pathologiques. Ce sont des dimensions de tempéraments, de caractères, qui ne sont plus de l'ordre de la maladie, mais qui servent de supports pour mieux comprendre certaines pathologies. Un glissement se fait à ce niveau-là, et on a tôt fait de se dire que telle personne ne va pas bien car elle présente une personnalité défaillante.

- Peut-on prendre pour exemple de ce glissement la schizoïdie, dont le Dr Philip Manfield estime qu'elle pourrait représenter jusqu'à 40% des cas de troubles mentaux, mais qui n'est pas une pathologie portant à conséquence ?

Ambulance

OGM : l'étude qui relance la polémique

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Les réactions se multiplient après la publication de travaux français établissant un lien entre la consommation de maïs génétiquement modifié NK 603 tolérant à l'herbicide Roundup et l'apparition de tumeurs chez le rat.

L'étude conduite par le professeur Gilles-Eric Séralini (Université de Caen) publiée jeudi dans la revue américaine Food and Chemical Technology continue de déclencher une tempête médiatique.

Hier, Paris et Bruxelles ont saisi leurs autorités sanitaires respectives afin qu'elles donnent leur avis sur ces travaux. Plusieurs scientifiques ont émis des doutes quant à la fiabilité de cette étude,la première à établir le lien entre la consommation d'un maïs génétiquement modifié - le NK 603 de la société américaine Monsanto - associé ou non au Roundup (l'herbicide auquel il est devenu tolérant) et l'apparition de tumeurs mammaires et de troubles rénaux et hépatiques.

Syringe

Le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés

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Voilà à présent que le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés indiens au mépris des Principes du Bouddhisme

Le 6 septembre 2012, Sayer Ji, directeur de la Nutrition au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

Je suis entièrement d'accord avec ses propos que je vous livre :

Le Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) - le site sacré où l'on pense que le Bouddha a reçu l'illumination il y a environ 2500 ans.

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d'Immunisation et à l'Initiative Mondiale d'Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d'autres articles.