Santé et Bien-être
Ces derniers mois, il est devenu évident que le COVID-19 ne peut plus être considéré comme une menace majeure pour la santé publique. Le virus est désormais endémique, à l'instar de la grippe saisonnière ou du rhume. Pourtant, pour continuer à mettre en œuvre la Grande réinitialisation (Great Reset) pour « reconstruire en mieux », les marchands de peur ont besoin que cette crise se poursuive.
Après avoir examiné 602 cas au Royaume-Uni, les chercheurs de l'Imperial College de Londres et de l'Agence de sécurité sanitaire britannique (HSA) ont conclu dans leur étude, publiée dans The Lancet le 29 octobre, que «bien que les vaccins restent très efficaces pour prévenir les maladies graves et les décès dus au Covid-19, les résultats suggèrent que la vaccination n'est pas suffisante pour prévenir la transmission du variant Delta dans les ménages avec des expositions prolongées».
LOS ANGELES, Californie, 3 mai 2021 (LifeSiteNews) - Dans leur dernière note d'information, les America's Frontline Doctors (AFLDS) ont mis en garde contre la capacité des protéines de pointe issues des vaccins expérimentaux de thérapie génique COVID-19 à :
1.) traverser la "barrière hémato-encéphalique" en provoquant des dommages neurologiques,
2.) être "excrétées" par les vaccinés, provoquant des maladies chez les enfants et les adultes non vaccinés, et
3.) provoquer des saignements vaginaux irréguliers chez les femmes.
Pendant ce temps, au cours de ces mêmes 60 années, les taux américains de maladies cardiaques, d'obésité, de cholestérol sérique élevé et de maladie d'Alzheimer ont grimpé en flèche par rapport à nos ancêtres, et même par rapport aux sociétés primitives modernes utilisant les matières grasses saturées comme aliment de base.
Saviez-vous que plusieurs études sur les populations des îles du Pacifique, qui tirent de 30 à 60 % de leur apport calorique total intact de l'huile de noix de coco entièrement saturée, ont toutes montré des taux de maladies cardiovasculaires presque inexistants ?
Je vous vois déjà reculer d'effroi en vous disant « mais qu'est-ce qu'il leur prend au SF de vouloir nous relayer la propagande de CNews ». Tenez bon pourtant et allez jusqu'au bout car ces vidéos montrent que l'omerta sur le danger des vaccins est en train de se fissurer. La première est le témoignage d'un mari dont la femme subit des effets collatéraux mortels du vaccin ARNm anti-covid, la deuxième est la réaction de Martin Blachier à ce témoignage.
Les statistiques officielles cacheraient elles la moitié des décès Covid? Les effets secondaires des vaccins seraient ils l'explication ? Abonnez vous au blog car la censure veille...
Preuves directes de la mortalité
Les données de mortalité pour l'Angleterre et le Pays de Galles de l'ONS (Office for National Statistics - NdT) du 1er mai 2021 au 17 septembre 2021 montrent un excès significatif, en particulier dans la tranche d'âge des 15-19 ans. Selon le scénario de référence choisi, cet excès pour les 15-19 ans se situe entre 16 % et 47 % au-dessus des niveaux attendus (voir tableaux 1 et 2). Les décès dus au COVID-19 étaient trop peu nombreux pour expliquer l'excès. Un nombre disproportionné de cette mortalité excessive concernait des hommes. On s'attendrait à une certaine variation due au hasard, mais une augmentation de cette proportion est suffisamment importante pour ne pas être écartée sans une enquête plus approfondie.
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