Santé et Bien-être
Parce que M. Smith a tout un historique de tests sanguins en guise de référence pour son système immunitaire sain, et parce qu'il a été obligé de se faire vacciner contre le COVID-19, le Dr Thompson et M. Smith ont décidé de réaliser des tests sanguins de comparaison après le premier vaccin et après le deuxième vaccin pour voir si/comment les analyses de sang du patient étaient affectées par le vaccin. Le médecin déclare : « Les bras m'en sont tombés après avoir vu les résultats des tests sanguins après la deuxième injection ».
"On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller."Jacques Prévert ne pouvait pas mieux dire. Car on le sait bien en 2013 : le stress oxydant est notre ennemi public numéro 1. C'est cette sorte de « rouille » qui, en s'accumulant dans notre corps, nous fait vieillir plus vite. C'est elle qui nous pousse dans la maladie chronique, le cancer, Parkinson, Alzheimer... C'est elle qui finit par nous tuer.
Commentaire: Le glutathion - et son précurseur, le NAC, qui prévient la formation de caillots sanguins - est l'un des éléments essentiels du protocole de détoxication des injections expérimentales Covid : Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire
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Mais aucune loi ne va arrêter la broyeuse dans laquelle les conditions de vie et de travail se sont transformées. Seules l'organisation et la lutte collectives peuvent y parvenir.

Dr Richard Fleming retrace ce que l'on sait du Covid-19 et des vaccins, 18 mois après le début de la pandémie
Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l'injection génique sur l'immunité. Plusieurs généticiens avaient d'ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l'activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.
Les mois ont passé, et la folie vaccinale s'est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c'est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.
Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l'ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu'il soit expliqué en détail) si le patient refuse l'injection expérimentale, d'effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c'est comme cela », et nous l'avons bien accepté !
Des chercheurs de l'Université de São Paulo (USP) au Brésil ont montré qu'une solution saline hypertonique inhibe la réplication du SARS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, et ont élucidé le mécanisme biochimique impliqué. Un article rendant compte de ces recherches est publié dans ACS Pharmacology & Translational Science. L'étude a été réalisée en laboratoire à l'aide de cellules pulmonaires épithéliales humaines infectées par le virus.
Au Japon, confronté à une recrudescence des infections dans le pays, le Dr Haruo Ozaki, président de l'Association médicale métropolitaine de Tokyo, appelle, le 13 août 2021, à la généralisation de l'utilisation de l'Ivermectine par les médecins généralistes.
Ne dites plus « on n'a pas le recul » , malheureusement les études confirment les pires inquiétudes.
La fameuse protéine spike induite par la vaccination ne disparait pas rapidement mais demeure plusieurs semaines dans l'organisme occasionnant des dégâts qui rappellent celles de sa cousine induite par la contamination.
« Je pense qu'il y a des gens malveillants avec de mauvaises intentions. »« Pour moi, il est contre-indiqué de vacciner les femmes enceintes. C'est un nouveau type d'intervention médicale sans étude de toxicologie au niveau de la reproduction. C'est le comble du danger et de l'imprudence. Nous créons des anticorps dans le corps d'une femme contre une partie de la structure de soutien du placenta ».
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