Santé et Bien-être
"Bien que la pratique de la méditation soit associée à une sensation de calme et de détente physique, les praticiens ont longtemps prétendu que la méditation procure aussi des avantages cognitifs et psychologiques qui persistent toute la journée", explique Sara Lazar du Massachusetts General Hospital.
"Cette étude montre que des changements dans la structure du cerveau pourraient sous-tendre certaines des améliorations signalées et que les gens ne se sentent pas mieux seulement parce qu'ils ont passé du temps à relaxer."
Des ingénieurs agronomes ont étudié la différence entre le comportement et la consommation alimentaire d'enfants autistes et d'autres enfants témoins. L'étude, qui a porté sur des enfants dont la tranche varie entre 6 et 8 ans, n'a montré aucune différence liée au sexe, à l'âge ou au poids.. Ils ont ainsi relevé certains troubles comportementaux, particulièrement un comportement d'addiction (dépendance).
Les scientifiques ont comparé les effets des médicaments et la thérapie cognitive chez 84 patients en rémission d'une dépression, âgés de 18 à 65 ans. Tous étaient sous médication et ne présentaient aucun signe de dépression depuis sept mois, rapportent les Archives of General Psychiatry.
Cette étude confirme que l'éclairage intérieur entre la tombée du jour et l'heure du coucher entraîne une diminution de la production de mélatonine, une hormone produite par la glande pinéale (épiphyse) du cerveau. Cette diminution pourrait avoir un impact sur les processus physiologiques régulés par cette hormone, tels que la somnolence, la régulation de la température corporelle, la pression artérielle et le métabolisme du glucose.
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Menée aux Etats-Unis, au Canada, au Chili, en Inde, et dans six pays européens, la France, l'Italie, l'Allemagne, la Suisse, la Grande Bretagne, et le Danemark, l'enquête de Marie-Monique Robin sera également publiée dans un livre à paraître le 7 mars. La journaliste s'est intéressée aux produits chimiques qui font désormais partie de notre alimentation. Conservateurs, colorants, anti-oxydants ou résidus de pesticides : ces substances, Marie-Monique Robin les considère comme de véritables poisons, et s'interroge quant à leur rôle dans le développement de maladies telles que le cancer, le diabète, l'obésité, ou les maladies neuro-dégénératives.

Nos données suggèrent que (le dioxyde de titane) devrait être utilisé avec une plus grande prudence qu'il ne l'est actuellement" © Schnitzler / Caro Fotos/Sipa
Il est partout, ou presque. Dans les colorants alimentaires, dans certains médicaments, dentifrices, crèmes solaires, dans la composition de nombreux produits à usage courant... Le dioxyde de titane est l'un des nanomatériaux les plus utilisés actuellement avec plus de deux millions de tonnes produites chaque année dans le monde. Or, selon les conclusions d'une équipe de chercheurs suisses et français, ces particules employées comme pigment et opacifiant produisent, dans les poumons, des effets inflammatoires similaires à ceux de l'amiante.
Ce n'est pas la première fois que des travaux font état des problèmes posés par ces substances. En mars dernier, une expertise de l'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail, depuis intégrée dans l'Anses) avait soulevé le cas du ciment qui acquiert, grâce à l'adjonction de dioxyde de titane nanométrique, des propriétés autonettoyantes. Or l'usure des bâtiments entraîne une dissémination de ce produit. En cas de très fortes doses, "des inflammations pulmonaires et des tumeurs ont été déclenchées chez des rats", notaient les experts. Selon eux, il est évident que "les personnes souffrant d'une pathologie respiratoire constituent des populations sensibles".
La vitamine D est la panacée pour le cancer du sein, si bien que l'industrie pharmaceutique tente de ridiculisée les recherches dans ce domaine, car elles tendraient à reduire à néant toute l'industrie du cancer du sein, donc les mammographies, si souvent décriées, la chimiothérapie, et ou la haute pharmaceutique. Reconnaître que le remède existe déjà, est un problème pour eux.
La vitamine D a finalement gagné la reconnaissance de la communauté scientifique internationale
de recherches (indépendante des labotoires). Elle est considérée comme un nutriment essentiel miraculeux, pour le cancer du sein. C'est la solutation pour la prévention du cancer, et de nombreux médecins homéopathes, et allopathes la prescrivent déjà l'hiver à leurs patients.
Il est connu que les antibiotiques altèrent la composition de la microflore intestinale, que cette flore est associée au système immunitaire intestinal et serait un important facteur de développement de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (Mici), et enfin que la consommation d'antibiotiques est plus fréquente chez les patients atteints de Mici que chez des contrôles sains, rappellent Anders Hviid, du Statens Serum Institut à Copenhague, et ses collègues.
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