Santé et Bien-être
Le gluten est un mélange de protéines combiné avec de l'amidon dans l'endosperme de la plupart des céréales.
Il constitue environ 80 % des protéines contenues dans le blé.
Le gluten est responsable de l'élasticité de la pâte malaxée ainsi que de la masticabilité des produits à base de céréales cuits au four.
Il est important de savoir que le gluten se réfère aux protéines uniquement issues des céréales par conséquent, toutes les céréales contiennent du gluten.
Le gluten se divise en deux groupes : les prolamines et les gluténines.
Les protéines de la famille des prolamines sont à la source de la maladie cœliaque et de l'intolérance très pernicieuse.
Le blé (alpha gliadine), le seigle (sécaline) et l'orge (hordénine) sont les plus toxiques, suivis du maïs (zénine).
Pendant des millions d'années, les hommes ont consommé une nourriture naturelle, analogue à celle des animaux sauvages. Les enzymes et les mucines digestives étaient adaptées aux diverses substances ingérées.
L'alimentation moderne est riche en macromolécules nouvelles, pour lesquelles enzymes et mucines ne sont souvent pas adaptées.
Même pris en petite quantité ou exceptionnellement, un aliment contenant du gluten provoque des lésions de l'intestin.
Actuellement, les industries agroalimentaires modifient de façon exagérée les céréales, qui sont devenues beaucoup plus inassimilables et, par conséquent, encore plus toxiques qu'elles ne l'étaient déjà auparavant.
Avez-vous déjà entendu parler de cette (nouvelle ?) maladie ?
Il semblerait que ce soit la dernière trouvaille des laboratoires pour faire du fric en contaminant les femmes enceintes et leurs enfants.

La malbouffe entraîne une augmentation de l'obésité et du diabète au sein de la population.
À quelques jours de la Journée mondiale du diabète qui aura lieu dimanche, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire publie les chiffres salés du diabète pour l'année 2009. La maladie est en nette progression en France puisqu'en 2009 elle atteint 4,4 % de la population soit 2,9 millions de personnes, des chiffres bien supérieurs à ceux de l'année 2000 : 2,6 % et 1,6 million de personnes.
L'accroissement annuel atteint près de 4,7 %, mais s'il est tiré vers le haut par les populations les plus âgées, il concerne néanmoins toutes les tranches d'âge. En dessous de 44 ans, la prévalence est de 0,4 %, un chiffre dérisoire par rapport à la population des plus de 75 ans qui comptent 14,8 % de diabétiques. Les hommes sont aussi en moyenne plus touchés que les femmes. La prévalence maximale est donc atteinte par les hommes entre 75 et 79 ans, dont près de 1 sur 5 est traité pour le diabète (19,7 %) contre seulement une femme sur 7 au même âge.
Une étude de chercheurs danois publiée cette semaine dans la revue européenne Human reproduction a établi que la femme enceintre, prenant des antalgiques, fait courir des risques à son enfant des risques accrus de cryptorchidie (descente des testicules).
Pour ce faire, une équipe de chercheurs, conduite par Henrik Leffers, a suivi plus de 800 femmes enceintes. Elles ont été interrogées sur leur consommation d'antalgiques et leur bébé mâle a été examiné à la naissance.
"Cette étude porte sur des associations et non pas une relation de cause à effet", a dit le Dr Bernard Jégou, biologiste à l'Inserm, qui a complété le travail. Celles qui utilisaient plus d'un antalgique à la fois multipliaient par sept le risque de cryptorchidie.
Une grande étude scientifique récente a confirmé la conviction grandissante que l'herbicide chimique le plus utilisé dans le monde, le Roundup de Monsanto Corporation, est toxique et un danger pour l'organisme humain aussi bien qu'animal. La dernière recherche scientifique, effectuée par une équipe scientifique multinationale dirigée par le professeur Andrés Carrasco, directeur du Laboratoire d'embryologie moléculaire à la faculté de médecine de l'université de Buenos Aires et membre du Conseil national sur la recherche scientifique et technique d'Argentine, présente la démonstration alarmant que Monsanto et l'industrie agro-alimentaire des OGM ont systématiquement menti au sujet de l'innocuité de leur Roundup. À des concentrations de loin plus faibles que celles utilisées dans l'agriculture, le Roundup est lié à des anomalies congénitales. Les implications sont énormes pour la santé. Toutes les grandes cultures d'OGM sur le marché aujourd'hui sont génétiquement manipulées pour « tolérer » l'herbicide Roundup.
Le glyphosate a été breveté par Monsanto dans les années 70, bien avant la commercialisation des OGM, comme herbicide dit à large spectre. Il est généralement pulvérisé sur les feuilles et absorbé par elles, ou utilisé comme herbicide forestier. Il a d'abord été breveté et vendu par Monsanto sous le nom commercial Roundup. Le Roundup contient aussi d'autres produits chimiques secrets, que l'entreprise refuse de divulguer pour des raisons de « secret commercial. » À compter de 2005, 87% de la totalité des champs de soja de Zunie ont été plantés avec des variétés de soja génétiquement modifié résistantes au glyphosate et aspergés de Roundup.
The Independent on Sunday vient de lâcher une bombe. Le canard britannique s'est procuré des documents confidentiels plutôt gênants. En 1981, suite aux trouvailles du professeur (aujourd'hui émérite) Malcolm Lader, chercheur de renom dans le domaine de la psychiatrie, le Medical Research Council (MRC, institut gouvernemental) avait organisé un brainstorming scientifique pour évoquer le rétrécissement du cerveau survenu chez certains patients gobant des benzodiazépines. L'année suivante, le MRC décidait d'approfondir le sujet pour évaluer l'impact à long terme de ces molécules. Puis, plus rien. Le ministère de la Santé n'a pas donné suite.