Santé et Bien-être
Une nouvelle étude cruciale canadienne évente encore un autre mensonge propagé par l'industrie de la biotechnologie. Cette fois, c'est la fausseté de l'assertion bidon, selon laquelle un certain pesticide utilisé dans les cultures d'organismes génétiquement monstrueux (OGM) ne se retrouveraient pas dans le corps humain après consommation, qui été démontrée. Au Canada, dans le Département d'obstétrique et de gynécologie de l'université du Centre hospitalier de Sherbrooke du Québec, des chercheurs ont prouvé que, contrairement à ce qu'affirme la bio-ingénierie, la toxine Bt, présente dans le maïs et d'autres cultures OGM, se fraye un chemin dans le système sanguin. Et cette toxine a été trouvée dans le sang de 93 pour cent des femmes enceintes testées.
Publiée dans la revue Reproductive Toxicology, cette étude explique que la toxine Bt s'introduit dans le corps, non seulement à travers la consommation directe d'OGM, mais aussi en mangeant de la viande, du lait et des œufs provenant d'animaux dont l'alimentation contient des OGM. Dans l'ensemble féminin contrôlé, 80 pour cent du groupe des femmes enceintes ont été testées positives à la présence de toxine Bt dans le cordon ombilical de leur bébé, et 69 pour cent des femmes non-enceintes ont été testées positives à la toxine Bt.
Cette découverte est intrigante pour le moins. Les chercheurs s'attendaient à d'autres résultats. Les chercheurs font l'hypothèse que les ondes électromagnétiques des téléphones portables pourraient avoir une action duale sur les niveaux d'hormones masculines et sur la fertilité. Les ondes accroîtraient le nombre de cellules responsables de la production de testostérone dans les testicules, mais aussi baisserait une autre hormone produite dans l'hypophyse et bloquerait la conversion de la testostérone en une autre forme qui est censée stimuler la production de spermatozoïdes.
En attendant, éviter de laisser votre portable dans votre poche de pantalon si vous voulez devenir papa...
En 2008 aux États-Unis, 78% des cobayes embauchés dans le cadre d'essais cliniques relatifs à des médicaments visant le marché US ont été recrutés à l'étranger. En Europe, c'est 61%, plus 11% de patients provenant de pays d'Europe centrale (membres de l'Union européenne). Ces dernières années, la Pologne et la Hongrie, par exemple, ont représenté 21% des sujets recrutés dans le monde, selon une enquête de Reuters : plus du double que les États-Unis et le Canada réunis ! En France, 8% seulement des patients impliqués dans des essais ont eu lieu sur le sol français. Tout cela au profit de l'Asie, de l'Amérique Latine et des pays de l'Est.
Munich, 17 mai 2011. Des recherches récentes menées par la coalition No Patents on seeds ! montrent qu'en mai 2011, la société américaine Monsanto a reçu un brevet européen sur les melons sélectionnés de manière traditionnelle (EP 1 962 578). Les melons ont une résistance naturelle à certains virus et en particulier pour les melons cultivés à l'origine en Inde. En utilisant des méthodes traditionnelles de sélection, ce type de résistance a été introduit chez les autres melons et a été brevetée en tant qu'"invention" de Monsanto.
« Ce brevet est un abus du droit des brevets parce qu'il ne repose pas sur une véritable invention. Il est contraire au droit européen excluant les brevets sur les méthodes de sélection conventionnelle. En outre, il s'agit d'un cas de bio-piraterie, puisque les plantes d'origines et les plantes les plus pertinentes proviennent d'Inde » explique Christoph Then, porte-parole de No patents on seeds !. « De tels brevets bloquent l'accès aux ressources génétiques nécessaires pour entamer de nouvelles sélections, et les ressources de base quotidiennement utilisées sont subordonnées à la monopolisation et la spéculation financière ».
5 200 personnes en bonne santé ayant en moyenne 51 ans ont été suivies pendant cinq ans. On a mesuré leur taux de vitamine D et leur apport de calcium. Après cinq ans, 199 personnes avaient développé le diabète.
Selon Diabetes Care, les personnes qui avaient un haut niveau de vitamine D voyaient leur risque de développer le diabète de type 2 être réduit de 44 à 57 %, comparativement aux personnes avec un taux moindre. Le calcium n'avait cependant aucune incidence sur la maladie.
WWF dénonce, dans un rapport d'enquête qui a été publié hier, la présence de résidus chimiques dans l'eau que nous buvons. Qu'il s'agisse de l'eau du robinet ou d'une eau en bouteille, toutes contiennent des éléments toxiques.
Initialement, WWF recherchait les traces de micropolluants métalliques, de substances azotées ou phosphorées issues de pesticides, de PCB, de bisphénol A et de résidus médicamenteux. En tout, 179 molécules étaient recherchées et 19 ont été retrouvées dans l'eau des 41 villes testées en 2009. Il s'agissait pour l'essentiel de nitrates, de résidus chlorés ou bromés de sous-produits de désinfection et de l'aluminium comme le rapporte Ouest-France. Dans 20% des cas, de l'atrazine déséthyl, un herbicide interdit depuis 2003, a été retrouvé.
Commentaire: Comment un produit qui arrive à provoquer de tels effets peut être "sûr" ?