Santé et Bien-être
Dans sa clinique, il traite des patients atteints de mélanome, la forme la plus mortelle de cancer de la peau. La majorité de ses patients avaient un niveau trop faible de vitamine D. Il ne serait pas surpris de voir une nette amélioration du taux de survie par rapport à des médicaments qui coûtent des dizaines de milliers d'euros. Un autre professeur teste aussi les niveaux de vitamine D de ses patients cancéreux et prescrit de la vitamine D lorsque le niveau est trop faible.

Photo: L'Invidia. Dettaglio da: Angelo Bronzino, Allegoria del trionfo di Venere (1540-1545). Noto anche come "Venere, Cupido, la Follia e il Tempo". Olio su tavola, National Gallery, Londra.
C'est en tout cas ce que montre une nouvelle étude conduite par Michael Christian, de la University of North Carolina, et Aleksander Ellis, de la University of Arizona. Les chercheurs se sont penchés sur deux groupes de personnes, des infirmières et des étudiants. Ils ont fait passer une nuit blanche à la moitié d'entre eux, et leur ont ensuite demandé de remplir une tâche, explique le Financial Times. Ils ont découvert que dans les deux groupes, le manque de sommeil conduit à un comportement immoral: grossièreté, vol, vandalisme et violence... les personnes n'ayant pas suffisamment dormi changent d'attitude, raconte Jezebel.
Du smartphone au cancer, en passant par le "babyphone"
Les résultats de cette étude de grande envergure accablent les radiations électromagnétiques générées par les dispositifs reliés au réseau internet sans fil (alias le wireless ou Wi-Fi). Mais les ordinateurs et autres smartphones ne sont pas les seuls mis en cause: les "babyphones" et téléphones sans fil sont également incriminés. Tous ces appareils mettraient en péril le bon développement du cerveau des enfants. Le rayonnement électromagnétique dégagé par ces outils plébiscités dans toutes les familles à l'heure actuelle seraient source de cancers, notamment de tumeurs au cerveau. L'utilisation d'un GSM standard (communications téléphoniques simples) ne serait par contre pas concernée.
Le 9 mai dernier, les Archives of Internal Medicine ont publié une étude faisant état d'une nouvelle prise de position de la part des médecins américains. Ces derniers préconiseraient de plus en plus à leurs patients d'avoir recours des pratiques de relaxation et de méditation pour les aider à combattre leurs maux.
Il y a seulement soixante - dix ans, lorsque les jours rallongés par les cycles jour-nuit artificiels sont devenus la norme, grâce à l'usage répandu des ampoules à incandescence, l'obésité, les diabètes, les maladies cardiaques, et les cancers sont tout à coup devenus des causes officielles de mortalité dans les rapports des médecins légistes, en lieu et place des blessures qui étaient une cause courante avant l'avénement des ampoules à incandescence.
Depuis l'apparition, aux alentours du milieu du XXe siècle, de ces maladies, causes majeures de mortalité, les efforts de la science et de la médecine afin d'expliquer cette étonnante recrudescence n'ont jamais porté sur d'autres facteurs essentiels que la nutrition. Et des lustres plus tard, alors que les Étasuniens continuent à mourir, médecins et chercheurs continuent à se pencher sur le même sujet.
J'ai un message providentiel et important à partager avec vous aujourd'hui. Comme il est dit dans cet important petit documentaire, que nous avons décidé de diffuser en ce moment (lien ci-dessous), il est temps pour nous d'abattre la fausse façade de la « science moderne, » et d'exposer les fondements philosophiques qui, en son nom, ont permis d'engendrer tant de peine, de souffrances et de destructions.
Le monde de la « science » nous a donné l'arme atomique, les OGM, les vaccins, les produits chimiques toxiques, les pesticides de synthèse et les drogues de psychiatrie. Il s'est servi de gens innocents dans des expériences médicales mortelles et a déchaîné une pollution génétique généralisée sur notre monde par suite à la prolifération négligente des organismes génétiquement monstrueux. Mais les scientifiques affirmaient qu'ils créaient un monde meilleur. « Mieux vivre grâce à la chimie, » disaient-ils il y a vingt ans. Et aujourd'hui, une génération plus tard, nous sommes face à un délabrement de la vie si grand et si désastreux, qu'il est qualifié de sixième grande extinction de la vie sur notre planète.
Comment la science a-t-elle pu paver la voie à une destruction planétaire pareille ?
Regardez le petit documentaire, Le Dieu Intérieur, pour le savoir. Il est possible de le voir en ce moment sur NaturalNews.TV : naturalnews.tv/v.asp?v=E3B38227225F9FC62BAEA9CC81BE1D12
Les tergiversations pour reconnaître des problèmes manifestes, entraînant des retards dans la prévention de l'exposition et la diminution des effets, viennent des défenseurs de la puissance nucléaire, plus motivés pour préserver le statu quo que pour aider des millions de personnes innocentes qui souffrent alors qu'elles n'y sont pour rien. - Nesterenko, A. V., Nesterenko, V. B. et Yablokov, Chernobyl: Consequences of the Catastrophe for People and the Environment.

Fumée se dégageant de l’Unité 3 de la centrale nucléaire de Dai-ichi le lundi 14 après une deuxième explosion d’hydrogène.
Au vu de la situation actuelle, je pense qu'il est raisonnable de s'attendre et se préparer au pire, tout en restant optimiste et n'en anticipant rien. C'est dans cet état d'esprit que je vais passer en revue la littérature disponible sur les thérapies accessibles et alternatives en cas de désastre nucléaire, ainsi sur les données sur la catastrophe de Tchernobyl. Ce que j'ai découvert est choquant en soi, mais sachez que des recherches essentielles bien documentées existent sur le sujet, qui pourront vous protéger, vous et vos proches.
Le présent article inclut un résumé de la publication Chernobyl: Consequences of the Catastrophe for People and the Environment qui est parue dans Annals of the New York Academy (2009). Les auteurs, Alexey V. Nesterenko (Institute of Radiation Safety (BELRAD), Biélorussie), Alexey V. Yablokov (Russian Academy of Sciences) et Vassily B. Nesterenko ont fait la synthèse d'informations trouvées dans plusieurs milliers de rapports scientifiques référencés et dans d'autres supports ; ces informations portent également sur les thérapies naturelles, efficaces, effectives et à la portée de tous. Il existe de nombreuses études sur les traitements alternatifs efficaces en cas de radiation. Cet article vous donnera une idée claire de ce à quoi vous attendre et de ce que vous pouvez faire en cas de catastrophe nucléaire au Japon.
C'est un sujet qui nous concerne tous, car aucun pays au monde n'est capable d'offrir une protection exhaustive contre les radiations à ceux qui vivent dans les zones à risque, ni contre les aliments cultivés localement et contaminés par les radiations.
L'étude
Une étude publiée le 4 mai dans la revue Human and Experimental Toxicology est de nature à relancer le débat sur le nombre de doses de vaccins administrés aux nourrissons. Elle suggère que les pays avec les taux de mortalité infantile les plus élevés ont tendance à donner plus de doses de vaccins aux enfants en bas âge. Les États-Unis, par exemple, en exigent pas moins de 26 - un record mondial - alors que l'on compte dans ce pays plus de 6 décès (6,22) pour 1000 naissances. En revanche, en Suède et au Japon, on n'administre que 12 vaccins, et ces pays comptent moins de trois décès pour 1000 (2,75 et 2,79 respectivement). La France recommande 19 doses et enregistre 3,33 décès pour 1000.
« Si vous prenez nos données et les combiner avec des données épidémiologiques de l'Europe, même chez les personnes qui cessent de fumer et de maintenir l'utilisation des substituts nicotiniques pendant des mois ou des années, il ne semble pas être l'incidence accrue du cancer du poumon», a déclaré Phillip A. Dennis, chercheur principal à la succursale doncologie médicale de l'Institut national du cancer.
«Cela suggère que la thérapie de remplacement à la nicotine est probablement plus sûr et est certainement plus sûr que le tabagisme. »
Commentaire: Comment un produit qui arrive à provoquer de tels effets peut être "sûr" ?