Santé et Bien-être
Menée aux Etats-Unis, au Canada, au Chili, en Inde, et dans six pays européens, la France, l'Italie, l'Allemagne, la Suisse, la Grande Bretagne, et le Danemark, l'enquête de Marie-Monique Robin sera également publiée dans un livre à paraître le 7 mars. La journaliste s'est intéressée aux produits chimiques qui font désormais partie de notre alimentation. Conservateurs, colorants, anti-oxydants ou résidus de pesticides : ces substances, Marie-Monique Robin les considère comme de véritables poisons, et s'interroge quant à leur rôle dans le développement de maladies telles que le cancer, le diabète, l'obésité, ou les maladies neuro-dégénératives.

Nos données suggèrent que (le dioxyde de titane) devrait être utilisé avec une plus grande prudence qu'il ne l'est actuellement" © Schnitzler / Caro Fotos/Sipa
Il est partout, ou presque. Dans les colorants alimentaires, dans certains médicaments, dentifrices, crèmes solaires, dans la composition de nombreux produits à usage courant... Le dioxyde de titane est l'un des nanomatériaux les plus utilisés actuellement avec plus de deux millions de tonnes produites chaque année dans le monde. Or, selon les conclusions d'une équipe de chercheurs suisses et français, ces particules employées comme pigment et opacifiant produisent, dans les poumons, des effets inflammatoires similaires à ceux de l'amiante.
Ce n'est pas la première fois que des travaux font état des problèmes posés par ces substances. En mars dernier, une expertise de l'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail, depuis intégrée dans l'Anses) avait soulevé le cas du ciment qui acquiert, grâce à l'adjonction de dioxyde de titane nanométrique, des propriétés autonettoyantes. Or l'usure des bâtiments entraîne une dissémination de ce produit. En cas de très fortes doses, "des inflammations pulmonaires et des tumeurs ont été déclenchées chez des rats", notaient les experts. Selon eux, il est évident que "les personnes souffrant d'une pathologie respiratoire constituent des populations sensibles".
La vitamine D est la panacée pour le cancer du sein, si bien que l'industrie pharmaceutique tente de ridiculisée les recherches dans ce domaine, car elles tendraient à reduire à néant toute l'industrie du cancer du sein, donc les mammographies, si souvent décriées, la chimiothérapie, et ou la haute pharmaceutique. Reconnaître que le remède existe déjà, est un problème pour eux.
La vitamine D a finalement gagné la reconnaissance de la communauté scientifique internationale
de recherches (indépendante des labotoires). Elle est considérée comme un nutriment essentiel miraculeux, pour le cancer du sein. C'est la solutation pour la prévention du cancer, et de nombreux médecins homéopathes, et allopathes la prescrivent déjà l'hiver à leurs patients.
Il est connu que les antibiotiques altèrent la composition de la microflore intestinale, que cette flore est associée au système immunitaire intestinal et serait un important facteur de développement de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (Mici), et enfin que la consommation d'antibiotiques est plus fréquente chez les patients atteints de Mici que chez des contrôles sains, rappellent Anders Hviid, du Statens Serum Institut à Copenhague, et ses collègues.
Une psychologue de l'université de Miami a étudié le stress vécu par des enfants suite à des catastrophes naturelles et en particulier les ouragans. En 2005, l'ouragan Charley avait fait 35 morts en Floride. 384 enfants ont été par la suite étudiés et suivis par la scientifique. Elle a pu constater qu'un tiers d'entre eux présentait des symptômes de stress post-traumatique.
Dans Science, une étude de Gerardo Ramirez et Sian Beilock, de l'Université de Chicago, montre pourtant qu'un bref exercice d'écriture peut les aider à éviter d'être anxieux. Les chercheurs indiquent qu'une courte intervention de 10 minutes avant examen peut empêcher toute paralysie et améliorer les résultats aux examens, notamment pour les étudiants d'habitude anxieux dans les situations de test.
Traduction : Infoguerilla
Cette bonne vielle télévision nous cache encore des surprises...En plus des conséquences sur la santé mentale, voici ce qu'il a récemment été conclu dans le Journal de l'American College of Cardiology.
Récemment publiée dans la revue PLoS One, une étude de l'Institute for Safe Medication Practices (ISMP) met en évidence les pires prescriptions médicales coupables de rendre les patients violents. Parmi le top dix des plus dangereuses, on trouve les antidépresseurs Pristiq (desvenlafaxine), Paxil (paroxétine) et Prozac (fluoxétine).
L'inquiétude s'accroît au sujet des effets secondaires négatifs extrêmes de nombreux antidépresseurs et antipsychotiques populaires car, en plus de provoquer de graves problèmes de santé chez l'utilisateur, ces remèdes constituent aussi une menace importante pour la société. Le rapport de l'ISMP indique que, d'après l'organe d'enregistrement des événements indésirables de la Food and Drug Administration (FDA), de nombreux médicaments populaires sont même liés à des homicides.