Santé et Bien-être
Les principaux enseignements du projet Aphekom ont été présentés et discutés le 1er mars lors de la réunion finale à laquelle assistent de nombreux acteurs de l'environnement et décideurs européens.
Impact sur l'espérance de vie et les dépenses de santé : L'évaluation de l'impact sanitaire dans 25 grandes villes européennes montre que l'espérance de vie pourrait augmenter jusqu'à 22 mois pour les personnes âgées de 30 ans et plus (en fonction de la ville et du niveau moyen de pollution), si les niveaux moyens annuels de particules fines PM 2,5 étaient ramenés au seuil de 10 microgrammes par mètre-cube, valeur guide préconisée par l'OMS.
Cette néphrologue est non seulement docteur en médecine, mais aussi diplômée en Physique Théorique (Université Rutgers). Elle a dirigé un laboratoire de biochimie et enseigné la médecine interne et la néphrologie aux étudiants en médecine.
Comme beaucoup de médecins, j'ai, pendant des années eu une foi aveugle dans les vaccinations. Je croyais qu'elles étaient nécessaires, sûres et efficaces. Comme beaucoup de médecins, je n'ai jamais ouvert le moindre document pour me faire une opinion> personnelle. Mais contrairement à beaucoup de médecins, je ne puis supporter d'adhérer à de faux paradigmes et je ne dois rien au gouvernement. Au cas où se présenterait le pire des scénarios et contrairement à la plupart des médecins, j'ai la possibilité de gagner ma vie sans avoir besoin d'une licence médicale. Je ne crains pas de clamer haut et fort la vérité que j'ai découverte. Les milliers de pages que j'ai consultées, les centaines d'heures de travail que j'ai consacrées à la recherche m'ont permis de découvrir l'horrible vérité par rapport à ce qui est fait aux gens, comme aux animaux partout dans le monde sous le faux prétexte de « santé publique ».
Pour le secteur gazier, c'est une affaire digne de Wikileaks qui commence. Dans son édition du 26 février, The New York Times publie un très sévère réquisitoire contre l'exploitation des gaz non conventionnels (GNC) aux États-Unis. Le sujet n'est pas nouveau. Mais, cette fois, la charge est des plus sérieuses. Car, en complément de son long article, le quotidien new-yorkais publie 30,000 pages de rapports secrets de l'agence de protection de l'environnement (EPA), de l'industrie gazière et des régulateurs. Une volumineuse collection de documents inédits que le site du journal met à la disposition des internautes.
Qu'apprend-on en épluchant cette documentation fraichement exhumée ? D'abord, l'importance des gaz non conventionnels dans l'approvisionnement énergétique des États-Unis. En 2010, 493,000 puits fournissaient 50% du gaz naturel consommé outre-Atlantique. En 2030, rappelle l'EIA (le service de statistiques du ministère américain de l'énergie, ndlr), les deux tiers des molécules américaines seront extraites de ces gisements non conventionnels. Sidérant, si l'on se souvient que cette production était encore marginale il y a une dizaine d'années.
Le Psychiatry Research rapporte que la méditation aurait des effets notables sur la mémoire, la conscience de soi et l'empathie.
Les chercheurs ont suivi 16 personnes qui s'adonnaient à un programme de réduction du stress basé sur des mouvements de yoga et sur la méditation pleine conscience, qui consiste à porter volontairement attention aux sentiments, sensations et états d'esprit sans porter de jugement. Ce programme durait huit semaines.
Cette fois, une étude publiée dans le Journal of Nutrition mentionne que les noix de pécan diminuent les risques de maladies cardiaques et de cancer.
Ces noix sont très riches en antioxydants; elles diminuent également l'inflammation des artères.
En 2009, ce sont plus de 1.000 tonnes d'antibiotiques qui ont été vendues en France pour les animaux, indique le rapport cité par 20minutes.fr. Ce sont les porcs qui ingèrent le plus de médicaments. 44% des antibiotiques vendus leur étaient en effet destinés contre 22% pour les volailles, 16% pour les les bovins, et 8% pour les lapins. Une consommation d'antibiotiques qui après avoir augmenté de près de 13% depuis 1999, accuse une baisse de près de 4% par rapport à 2008.
Cette info n'est pas nouvelle, mais elle mérite que l'on y revienne un instant ...
Depuis très longtemps, diverses espèces d'amarantes sont cultivées pour l'alimentation en Asie, en Amérique et en Afrique. Ainsi, elle jouèrent un rôle alimentaire important dans les civilisations Mayas, Aztèques et Incas.
Depuis plusieurs millénaires, les graines ont été consommées grillées (comme le pop-corn) ou sous forme de farine tandis que les feuilles étaient cuisinées comme légumes verts.
Ainsi que l'explique D. Guillet : « La culture de l'Amaranthe fut à son apogée durant l'Empire Aztèque. Pour le peuple Aztèque, l'Amarante possédait une valeur nutritionnelle, thérapeutique et rituelle. »
Après la conquête espagnole du Mexique, leurs cultures furent interdites car elles servaient dans divers offices religieux Aztèques.
Du fait de cette interdiction et de la violente répression qui sévissait durant plusieurs siècles à l'encontre des jardiniers qui continuaient à cultiver cette plante, l'Amarante a depuis le XXe siècle, presque totalement disparu de l'alimentation mexicaine, alors même qu'elle entrait dans la constitution de très nombreux plats aztèques.
Cette plante fait reparler d'elle, et en bien en ce moment puisque de nombreux cas de récupération de gènes de résistance à l'herbicide Roundup venu de maïs OGM ont été recensés aux États-Unis d'Amérique.
La plante s'y est adaptée et s'est démultipliée grâce à ce gène dans les champs traités avec cet herbicide made in Monsanto !
Commentaire : Apparemment , il n'y a pas eu récupération de gènes. L'amarante aurait développé une résistance au Roundup. Voir cette étude en anglais intitulée, « le cas des Amarantes résistantes sont dues à une plus grande résistance»
Rapport de l'ISIS du 21 février 2011
Un responsable scientifique de l'USDA (ministère de l'Agriculture zunien) envoie une alerte urgente au ministre de l'Agriculture, Tom Vilsack, à propos d'un nouvel agent pathogène des plantes dans le soja et le maïs génétiquement monstrueux * Roundup Ready, qui pourrait être responsable du taux élevé de stérilité et d'avortement spontané chez le bétail. -- Dr Mae-Wan Ho.
[* Ndt : Voir Roundup, le désastre absolu.]
Prière de diffuser largement et de faire suivre à vos élus
Une lettre ouverte a été publiée à la Farm and Ranch Freedom Alliance, fondée et dirigée par Judith McGeary pour sauver les fermes familiales en Zunie (1, 2). Cette lettre au ministre de l'Agriculture Tom Vilsack, écrite par Don Huber, professeur émérite à l'université Purdue, prévient qu'un agent pathogène, « nouveau pour la science, » a été découvert par « une équipe de scientifiques spécialistes des plantes et des animaux. » Huber dit que cela devrait être traité « d'urgence, » car capable d'entraîner « un effondrement des marchés d'exportation zuniens de soja et maïs, et des bouleversements importants dans les denrées alimentaires et le fourrage du pays. »
La lettre paraît avoir été écrite avant que Vilsack n'annonce sa décision d'autoriser sans restriction les plantations commerciales de luzerne génétiquement monstrueuse le 1er février, dans l'espoir de convaincre le ministre de l'Agriculture d'imposer à la place un moratoire sur la déréglementation des cultures Roundup Ready.
Le nouvel agent pathogène semble associé à de graves maladies omniprésentes chez les plantes, comme le syndrome de mort subite du soja et la nécrose de Goss du maïs, mais ses effets présumés sur le bétail sont alarmants. Huber se réfère à « des rapports récents sur le taux de stérilité de plus de 20% chez les génisses laitières, et de pas moins de 45% d'avortements spontanés chez les bovins. »
Cela pourrait être le pire cauchemar du génie génétique, contre lequel quelques scientifiques et moi mettons en garde depuis des années (3) (voir Genetic Engineering Dream or Nightmare, ISIS publication) : La création involontaire de nouveaux agents pathogènes par transfert horizontal de gène et recombinaison.
Huber écrit en conclusion : « J'étudie les agents pathogènes des plantes depuis plus de 50 ans. Nous assistons actuellement à une tendance sans précédent au décuplement des maladies et troubles végétaux et animaux. Cet agent pathogène pourrait contribuer à la compréhension et résolution de ce problème. Il mérite une attention immédiate avec d'importantes ressources pour éviter l'effondrement général de notre infrastructure agricole vitale. »
Longtemps le constat a fait l'objet d'une sorte d'omerta. Les études épidémiologiques, mesurant les effets à première vue désastreux du tabac, laissaient apparaître un insolite bénéfice : statistiquement, les fumeurs semblaient mieux protégés contre les maladies neurodégénératives, alzheimer ou parkinson. Or cela faisait désordre et risquait de brouiller le message anti-cigarettes. D'où une certaine gêne : mieux valait n'en pas parler. Pourtant, dès 1999, au nom de l'Assistance publique, le professeur Pierre Cesaro et le docteur Gabriel Villafane (service de neurologie, CHU Henri-Mondor de Créteil) déposaient une discrète demande de brevet revendiquant l'«utilisation de la nicotine à l'état pur comme médicament pour les maladies neurodégénératives, notamment la maladie de Parkinson, certaines épilepsies, et les démences séniles type alzheimer».
Notons la formulation prudente : «nicotine à l'état pur» - pas question de recommander aux malades (ou futurs malades, au nom de la prévention) de fumer comme des pompiers, avec les inconvénients des goudrons cancérigènes ! Dans leur demande de brevet, les deux spécialistes préconisent l'utilisation des patchs nicotiniques destinés aux gens qui veulent cesser de fumer.
Commentaire: Et en prime l'amarante s'avère être dépourvue de gluten.