Santé et Bien-être
Les Instituts nationaux américains de la santé ont publié une nouvelle étude qui explique que les personnes exposées à la roténone et au paraquat auraient plus de risques de développer Parkinson, cette maladie incurable qui affecte le système nerveux central. Ainsi, les individus en contact avec ces deux pesticides auraient 2,5 fois plus de risques d'être un jour diagnostiqués comme atteints de cette maladie, que les personnes jamais exposées.
Les boissons énergisantes peuvent avoir de sérieux effets secondaires sur les enfants et les adolescents. A l'issue d'une étude publiée dans la revue Pediatrics, des médecins américains de l'université de Miami ont décidé de tirer la sonnette d'alarme. Selon les données qu'ils ont collectées de différentes sources, une consommation excessive de ces boissons pourraient entrainer chez les jeunes palpitations cardiaques, crises, irritabilité, hallucinations, attaques voire dans les cas les plus extrêmes une mort subite. Parmi les cas étudiés, les scientifiques rapportent par exemple celui d'une étudiante américaine de 18 ans hospitalisée 5 jours après avoir bu deux boissons.
Longtemps éclipsé par les fameuses graisses animales, le rôle du sucre dans l'apparition des maladies dites de civilisation est aujourd'hui mis en évidence par la recherche et les nutritionnistes. Même si le plaisir qu'il apporte est indéniable, sa consommation en excès à des effets encore peu connus sur la santé. Les risques que font courir le sucre sont liés, comme pour de bien d'autres produits, à son raffinage, qui l'isole, le rend plus assimilable, avec des conséquences multiples sur la santé à commencer par le surpoids. Et le sucre se cache dans la plupart des aliments, du pain en passant par les pâtes, les pommes de terre, ou encore les corn flakes ou le riz. Et ne parlons pas des confiseries et autre gâteau, glace, bonbons ou chocolat. Le sucre est donc partout, sous des formes très diverses.
Les plus simples, le glucose et le fructose, seront en grande quantité par exemple dans les confitures. Associez les 2 molécules, vous obtenez du saccharose, et à plus grande échelle encore, de l'amidon. Tous sont des sucres digestibles, et sont la base des sucres de canne ou de betterave, des céréales comme le blé et des pommes de terre. Plus ces produits sont raffinés, moins ils contiennent de fibres et plus ils seront absorbés par l'intestin grêle.
La médecine moderne est solidement établie sur la « théorie des germes » fait connaître par Louis Pasteur dans les années 1860. Au moment où nous abordons le 21ème siècle, cette théorie pasteurienne vieille de 140 ans est toujours le paradigme de la lutte contre la maladie de la médecine occidentale.
Seulement, de nos jours, devant l'énorme déferlement de maladies infectieuses et la rapide propagation épidémique du cancer, du diabète, des maladies cardiaques et des autres maladies chroniques, nous devons nous demander si la théorie de Pasteur est vraiment sérieuse.
Considérez ces statistiques alarmantes d'un rapport commandité par le Nutrition Institute of America en octobre 2003 : 2,2 millions de patients hospitalisés sont victimes d'effets indésirables de médicaments, les remèdes prescrits entraînant chaque année la mort de 106.000 personnes. En d'autres termes, plus de 2.000 clients meurent chaque semaine en Zunie de remèdes prescrits correctement à des doses convenablement indiquées.
Si le soda light apparait comme une bonne alternative diététique aux boissons sucrées, il semblerait que celui-ci ne soit pas sans danger. C'est ce que viennent de découvrir des chercheurs américains à l'issue d'une étude présentée en début de semaine à la conférence internationale de l'American Stroke Association à Los Angeles.
Selon leurs résultats, les personnes qui boivent du soda light quotidiennement augmentent leur risque d'accident vasculaire de 61% comparé à celles qui ne consomment aucun soda. Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques américains ont suivi pendant plus de 9 ans près de 2.560 individus dans le cadre du projet baptisé Northern Manhattan Study (NOMAS).
Les chercheurs ont étudié le cas de 216 adultes australiens porteurs des premiers symptômes de la maladie avec près de 400 individus sains. Leurs conclusions indiquent qu'en moyenne les personnes malades avaient été exposées à une dose d'ultra violet moins importante.
Or la vitamine D provient en partie de la synthèse des rayons du soleil sur la peau. L'autre partie est liée à une alimentation, notamment dans la chair de certains poissons.
Dormir moins de six heures par nuit serait une "bombe à retardement" pour notre santé. C'est ce qu'ont découvert des chercheurs de l'Université de Warwick à l'issue d'une étude de grande envergure et publiée dans la revue European Heart Journal. Pendant plusieurs années, ceux-ci ont analysé des données recueillies sur plus de 470.000 individus de huit pays différents. Et si ce n'est pas la première fois que des scientifiques étudient les dangers du manque de sommeil sur notre organisme, les résultats sont ici assez probants.
Lorsque Frida Sivermark (photo ci-dessus), 17 ans, est rentrée de l'école, elle s'est assise sur le canapé et s'est endormie.
- « Comme c'est sympa qu'elle puisse enfin se détendre« , a dit sa mère à propos de sa fille autrement si active.
Les conclusions proviennent d'une très vaste enquête auprès de 14.000 enfants britanniques autour de Bristol (sud-ouest de l'Angleterre), nés en 1991 et 1992, dont la santé et les modes de vie ont été étudiées à l'âge de 3 ans, 4 ans, 7 ans et 8 ans et demi.
Les parents devaient détailler en suivant un questionnaire l'alimentation de leurs enfants. Ces derniers ont ensuite été soumis à un test de quotient intellectuel (QI) à 8 ans et demi.