Après l'extrait sur les
farceurs cosmiques, un autre passage de l'ouvrage de John A. Keel,
Operation Trojan Horse.
Traduction : Maat Le petit mystère amusant des ovnis évolue lentement en une série complexe de coïncidences et de paradoxes à mesure que l'on se plonge de plus en plus profondément dans les données, sans rien exclure et en les considérant toutes aussi objectivement que possible.
Nos cieux ont été remplis de « Chevaux de Troie » au cours de l'histoire, et comme le Cheval de Troie originel, ils
semblent dissimuler une intention hostile. Plusieurs faits solides sont maintenant apparents : les objets ont toujours choisi d'opérer d'une manière clandestine, choisissant pour leurs activités énigmatiques les heures obscures au-dessus de régions peu peuplées où la possibilité d'être repérés est faible. Peut-être choisissent-ils de rester à l'écart ou peut-être sont-ils impliqués dans les préparatifs à long-terme d'une prise de pouvoir manifeste de notre planète à un certain moment dans l'avenir. Cette théorie de l'hostilité est de plus soutenue par le fait que les objets choisissent le plus souvent d'apparaître sous des formes que nous pouvons volontiers accepter et expliquer à notre propre satisfaction, allant des dirigeables aux météores en passant par des avions d'apparence conventionnelle. Nous (les ufologues) n'avons vraiment fait attention qu'aux excentriques : les objets à configuration inhabituelle. Ils constituent indubitablement une minorité, et probablement une minorité
trompeuse, de tous les objets paraphysiques qui vont et viennent dans notre atmosphère. En d'autres termes, les soucoupes volantes ne sont pas du tout ce que nous avons espéré qu'elles étaient. Elles font partie de quelque chose d'autre.
J'appelle ce quelque chose d'autre : Opération Cheval de Troie.
Commentaire: John A. Keel, conférence fortéenne, 1992 : le phénomène OVNI est largement hallucinatoire
Sur le Mothman : lien