OF THE
TIMES
L'après-midi était chaud et clair dans la capitale. L'agitation du commerce et du tourisme métropolitain emplissait les rues. De petits voiliers parsemaient les eaux à l'abri du vent, visibles depuis les bâtiments gouvernementaux, poussés par une brise du sud. Le Soleil scintillait sur la houle et les sillages, prêtant un éclat lumineux aux coquelicots et aux tulipes qui se balançaient dans les parcs le long du bord de l'eau. Tout était en ordre.
Mais soudain, le ciel s'illumina comme s'il y avait un second soleil plus brillant. Un second jeu d'ombres apparut ; d'abord longues et pâles, elles se raccourcirent et s'accentuèrent rapidement. Un bruit étrange de sifflement et de vrombissement sembla venir de partout d'un seul coup. Des milliers de personnes tendirent le cou et regardèrent en l'air, cherchant dans le ciel le nouveau soleil. Au-dessus d'eux, une gigantesque boule de feu blanche s'épanouit, comme le déploiement d'une grande fleur de papier, mais maintenant d'une brillance aveuglante. Pendant plusieurs secondes la boule de feu domina le ciel, faisant honte au Soleil. Le ciel devint chauffé à blanc, puis pâlit lentement en passant par le jaune et l'orange jusqu'à un rouge cuivré hostile. Le vrombissement horrible cessa. Les spectateurs, aveuglés par le flash, brûlés par sa chaleur torride, couvrirent leurs yeux et reculèrent de terreur. Les occupants des bureaux et des appartements se précipitèrent à leurs fenêtres, cherchant dans le ciel la source de l'éclat brillant qui avait illuminé leur pièce. Une grande couverture de nuages cuivrés et turbulents emplit la moitié du ciel. Juste le temps de compter douze battements de cœur, la ville se trouva frappée de terreur, hébétée et silencieuse.
Le temps passe, mais ils se trouvent toujours à cinq ou sept années d'avoir la bombe. » -- Shlomo Brom, conseiller adjoint à la sécurité nationale sous l'ex-Premier ministre Elud Barak.Tandis que les politiciens israéliens continuent de battre le tambour de guerre contre ce qu'ils (eux-seuls à présent) prétendent être une menace imminente d'un Iran à la capacité nucléaire, une rhétorique hystérique très semblable est utilisée pour essayer de nous convaincre d'une menace très différente mais également catastrophique contre la vie sur Terre - « le changement de climat ». Les catastrophistes nous disent qu'il nous reste dix ans, au mieux, pour inverser la destruction inévitable ou faire face aux conséquences sinistres de villes sous les eaux, tremblements de terre, tsunamis et maladies tropicales redoutées, sinon racistes, se déplaçant vers le nord. En recherchant cet article, je suis tombé sur un blogue qui présente un argument très frappant :
Tout à fait en dehors de la science, une chose que je trouve suspecte sur le catastrophisme du climat est comment ce changement délétère massif et terrible est supposé être devant nous, et pourtant (par ce qui me frappe comme une coïncidence étonnante) on nous dit toujours que nous sommes capables de l'arrêter, mais seulement - et là le speaker prend invariablement l'air pressant d'un commentaire de pub TV - si nous agissons à cette minute même. C'est étrange, étant donné que nous sommes soumis à ce qui semble être (du point de vue catastrophique) un scénario de la fin des temps inévitable qui se développe depuis la Révolution industrielle. Étant donné l'échelle de temps et les incertitudes énormes impliquées, vous penseriez que des prédictions du moment exact du « point de non-retour » doivent impliquer une marge d'erreur assez significative. Prenant cela en considération, il est étrange qu'il ne semble pas y avoir un seul partisan du changement de climat qui dise « Foutaises ! Ça ne me fait pas plaisir de vous dire ceci, mais il est trop tard depuis un ou deux (ou dix ou cinquante) ans et il n'y a fondamentalement rien que nous puissions faire maintenant. » En ajoutant peut-être : « Nous pourrions aussi bien sortir avec style - que tout le monde aille chez le concessionnaire de 4x4 ! » ou « Rassemblons 10 000 de nos meilleurs amis et prenons l'avion pour Bali pour y faire une grande fiesta ! »
Ce dont l'Amérique a réellement besoin est une insurrection globale du peuple, de préférence fondée sur la force et la peur de la force, la seule chose que comprennent les oligarques. Et même dans ce cas, les chances ne sont pas bonnes. Les oligarques détiennent tout le pouvoir légal, la police, les prisons, la surveillance et la puissance de feu. Sans parler d'une population docile.En bref, la situation est assez semblable à celle décrite dans le film « V pour Vendetta » dans cet échange révélateur :
Dominic : Que pensez-vous qu'il va arriver ?Baegent mentionne ensuite une autre approche :
Finch : Ce qui se passe habituellement lorsque des personnes sans armes se lèvent contre des personnes avec des armes.
Hésitant pour une insurrection ouverte, un refus national de payer les impôts sur le revenu ferait certainement bouger les choses.De manière intéressante, cette approche de la révolution a été décrite dans une satire de SOTT au mois d'avril dernier. Cet article a été visionné probablement plus que tout autre article que nous avons publié ! Peut-être est-ce une preuve du fait que le lectorat reconnaît cette idée comme valable et viable. Le seul problème encore est que ce devrait être un mouvement unifié - la majorité des hommes sur la planète devraient se serrer les coudes. Mais cela n'arrivera pas aux États-Unis et la raison est aussi expliquée par Baegent :
Commentaire: Pour plus d'informations sur l'histoire secrète des interactions entre la Terre et les comètes et astéroïdes, nous conseillons au lecteur la série d'articles de Laura Knight-Jadczyk Comètes et Catastrophes - colonne de gauche sur la page d'accueil du site fr.sott.net.
Pour voir le nombre impressionnant d'hécatombes de par le monde sur une carte (avec liens vers des articles), cliquez ici.