Nous comparerons deux périodes de données, soit celles publiées en date du 17 septembre1 2021 et celles publiées en date du 29 octobre2 2021. De plus, notre comparatif se limitera au nombre de rapports3 (pour 100 000 doses administrées) d'événements « indésirables » présentant un intérêt particulier (EIIP4).
Nous nous limiterons aux principales catégories d'EIIP en analysant les données et en présentant les variations en nombre et en pourcentage.
Note du traducteur : Cet article constitue la deuxième partie de la série sur Moderna écrite par Whitney Webb. La première partie s'attache aux quelques années tumultueuses pour Moderna, qui sont devenus synonymes de quasi faillite juste avant l'arrivée de la plandémie de Covid-19 : L'histoire de Moderna — Une entreprise en quête d'une « intervention miraculeuse de la Sainte Vierge ». La seconde partie, objet de cet article, se concentre sur l'histoire de Moderna depuis l'avènement de cette même plandémie de Covid-19. Quant à la troisième partie, comme annoncé par l'auteur en fin d'article, elle examinera comment le miracle tant attendu par Moderna qui s'est produit lors de la crise du Covid-19 n'était que le début de son sauvetage miraculeux, puisque l'entreprise a depuis non seulement étendu son partenariat avec le gouvernement des États-Unis, mais aussi avec une entreprise liée à la CIA.Le Covid-19 a fait disparaître les obstacles réglementaires et les difficultés rencontrées lors des essais thérapeutiques, ceux-là mêmes que Moderna n'avait jamais pu surmonter auparavant. Pourtant, comment Moderna a-t-elle su que le Covid-19 créerait ces conditions des mois avant qui que ce soit d'autre, et pourquoi a-t-elle affirmé plus tard que son produit transgénique nommé « vaccin anti-Covid-19 » testé dans les essais menés au sein des Instituts nationaux de la santé des États-Unis était différent de son candidat commercial ?
Selon le contexte, le terme « vaccin » a été soit mis entre guillemets, soit changé pour produit transgénique nommé « vaccin anti-Covid-19 » ou par « produit transgénique » tout simplement. Dans le cas de citations, il est laissé tel quel. Sauf indication contraire, toutes les emphases (italique et gras) sont de notre fait.
Bonne lecture.
Fin 2019, l'entreprise biopharmaceutique Moderna était confrontée à une série de défis qui menaçaient non seulement sa capacité à mettre un jour un produit sur le marché, et donc à réaliser des bénéfices, mais également sa propre existence en tant qu'entreprise. De nombreux signes avant-coureurs indiquaient que Moderna n'était dans le fond qu'une énième escroquerie semblable à celle de Theranos, et nombre de ces signes se sont multipliés et aggravés à mesure que la décennie touchait à sa fin. La première partie de cette série en trois volets a exploré les circonstances désastreuses dans lesquelles Moderna se trouvait à l'époque, le salut de la société reposant sur l'espoir d'un miracle divin, une sorte d'« intervention miraculeuse de la Sainte Vierge », selon les termes mêmes d'un ancien employé de Moderna.
Si la crise du Covid-19 qui a éclaté au début de l'année 2020 peut difficilement être décrite comme le fruit d'une intervention divine bienveillante pour la plupart des gens, elle peut certainement être considérée comme telle du point de vue de Moderna. Les principaux problèmes de l'entreprise, notamment les obstacles réglementaires apparemment insurmontables et son incapacité à dépasser les essais sur les animaux pour ses produits les plus prometteurs — et les plus rentables — ont été comme par hasard balayés, et juste au moment le plus opportun. Depuis janvier 2020, la valeur de l'action de Moderna — qui avait entamé une baisse constante depuis son introduction en bourse — est passée de 18,89 dollars par action à sa valeur actuelle de 339,57 dollars par action, grâce au succès de son produit transgénique nommé « vaccin anti-Covid-19 ».
Quand vous pensez à Halloween, quelle est la première image qui vous vient à l'esprit ? J'ai fait un petit sondage informel parmi mes amis, ma famille et mes collègues. Devinez quelle image est sortie en premier ? Les citrouilles ! Je parie que vous pensiez que j'allais dire « les sorcières ». Bon, je pensais vraiment que ce serait les sorcières, mais elles ne sont arrivées qu'en deuxième, au coude à coude !
Quand je pense à Halloween, je pense aux travaux manuels de l'école primaire, lorsque nous découpions des silhouettes de sorcières pour les coller sur de larges lunes jaunes en papier kraft. La sorcière était toujours à califourchon sur un balai, sa robe noire flottant au vent, accompagnée d'un chat noir assis sur l'arrière du balai. Déjà à l'époque, je me demandais comment le chat pouvait tenir sur le balai, et comment quiconque aurait pu imaginer qu'un balai pût faire office de siège un tant soit peu confortable.
Mais vous voyez où je veux en venir : de manière significative, Halloween est associé aux sorcières, femmes maléfiques qui fréquentent le diable et font des choses malveillantes - comme mettre les enfants perdus en cage pour les engraisser en vue de les manger, donner des pommes empoisonnées et se servir de rouets pour empoisonner des princesses abandonnées ou sans défense à la recherche du véritable amour.

Signature du Cadre de partenariat stratégique par le Secrétaire général de l'Onu (António Guterres) et le Président fondateur du Forum économique mondial (Klaus Schwab).
New York, juin 2019
Ces politiques sont souvent conçues par les groupes de réflexion avant d'être adoptées par les gouvernements, qui sont également des partenaires du Partenariat public-privé mondial. Les gouvernements servent le processus de gouvernance mondiale issue du Partenariat public-privé mondial en appliquant leurs décisions de manière concrète dans les politiques, les législations et les lois.
L'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID)), la division des Instituts nationaux de la santé (National Institutes of Health (NIH)) dirigée par Anthony Fauci, a financé une récente expérience en Tunisie, au cours de laquelle des techniciens de laboratoire ont sédaté des beagles, ont placé les têtes de ces derniers dans des cages en maille, et les ont laissés se faire dévorer vivants par des phlébotomes affamés.
Ensuite ils ont répété l'expérience en extérieur, plaçant les beagles dans des cages dans le désert la nuit, le tout pendant neuf nuits consécutives, dans une région de Tunisie où les phlébotomes étaient abondants et où la ZVL (Leishmaniose viscérale zoonotique) - la maladie causée par le parasite transporté par les phlébotomes - était « endémique ».
Note du traducteur : Il était temps de s'intéresser un peu plus en détail à l'entreprise Moderna — à l'origine baptisée ModeRNA — et à tous les aspects et acteurs qui lui ont permis de prospérer « grâce » à la plandémie de Covid-19. Cette article constitue le premier volet d'une série en trois parties. La première partie s'attache aux quelques années tumultueuses pour Moderna qui ont précédé l'arrivée de la plandémie de Covid-19. La seconde partie se concentrera sur l'histoire de Moderna depuis l'avènement de cette même plandémie. La troisième partie examinera comment le miracle tant attendu par Moderna qui s'est produit lors de la crise du Covid-19 n'était que le début de son sauvetage miraculeux, puisque l'entreprise a non seulement étendu son partenariat avec le gouvernement, mais aussi avec une entreprise liée à la CIA.En raison de préoccupations persistantes liées au manque de fiabilité — mais pas que — de son système capable de délivrer de l'ARNm qui menaçaient l'ensemble de son éventail de produits, l'entreprise Moderna était avant le Covid-19 sur le point de perdre des investisseurs. La peur causée par la [soi-disant - NdT] crise pandémique a largement fait disparaître ces préoccupations, même si rien ne prouve qu'elles aient jamais été résolues.
Cette série est longue, mais il s'agit d'un travail d'investigation majeur dont le contenu révèle bien des aspects non seulement en ce qui concerne Moderna, mais aussi Big Pharma, le Forum économique mondial et le Département de la Défense des États-Unis, et surtout, il donne un éclairage sur le dangereux réseau bien structuré du Pouvoir mondial — une hydre — qui s'abat sur les populations depuis plus de 18 mois sous couvert d'une « plandémie de Covid-19 ». L'analyse de Whitney Webb est, comme bien souvent, magistrale.
Le terme « vaccin » a été changé chaque fois qu'il est question des produits transgéniques nommés « vaccins anti-Covid-19 ». Sauf indication contraire, toutes les emphases (italique et gras) sont de notre fait.
Accrochez-vous et bonne lecture.
Ceux qui ont analysé la [soi-disant - NdT] crise du Covid-19 et ses effets se sont surtout concentrés sur la façon dont sa nature perturbatrice a entraîné des transformations et des recalibrages majeurs dans la société et l'économie. Cette perturbation s'est également prêtée à une variété d'agendas qui avaient besoin d'un événement au potentiel de « réinitialisation » pour faire aboutir leurs projets. Dans le cas de l'industrie des vaccins, le Covid-19 a entraîné des transformations spectaculaires dans la manière dont les agences fédérales gèrent l'approbation des contre-mesures médicales en cas de crise déclarée, dans la manière dont les essais des vaccins candidats sont menés, dans la manière dont le public perçoit la vaccination et même dans la manière dont le terme « vaccin » est défini.
De tels transformations, bien qu'évidentes, ont suscité des éloges de la part de certains et de vives critiques de la part d'autres, cette dernière catégorie étant largement censurée du discours public à la télévision, dans la presse écrite et en ligne. Cependant, en analysant objectivement ces transformations radicales, il est clair que la plupart de ces réformes dans le développement et la politique des vaccins favorisent de façon spectaculaire la rapidité et la mise en œuvre de technologies nouvelles et expérimentales au détriment de la sécurité et d'études approfondies. Dans le cas des « vaccins », on peut affirmer que personne n'a davantage profité de ces transformations que les développeurs des produits transgéniques nommés « vaccins anti-Covid-19 » , en particulier l'entreprise pharmaceutique et biotechnologique Moderna.
Il s'avère que tous les scientifiques et les médecins qui ont insisté sur le fait que le Molnupiravir était « extrêmement sans danger » — il faut oser quand même — ne s'appuient finalement pas vraiment sur la « science ». En effet, selon un rapport publié jeudi par Barron's, d'autres scientifiques craignent que le médicament ne provoque des cancers ou des malformations congénitales. Autant pour le supposé « formidable niveau de sécurité » du médicament, comme l'a affirmé le Dr Scott Gottlieb dans une interview le jour où Merck a rendu la recherche publique.
En dépit des avertissements émanant de plusieurs scientifiques selon lesquels son nouveau — pas si nouveau, voir en fin d'article l'historique de la molécule — « médicament anti-Covid-19 » pourrait avoir des effets secondaires très dangereux, comme des cancers et des malformations congénitales, Merck a officiellement soumis à la FDA sa pilule pour approbation. Si elle est approuvée — et tout porte à croire qu'elle le sera — ce serait la première pilule antivirale pour « traiter le virus ».
Les États des côtes est et ouest de l'Inde ont été soumis à des records de précipitations et de crues soudaines. Au Gujarat, 1,6 million d'habitants ont été concernés et 7 000 ont été évacués. À Odisha, les pluies diluviennes ont affecté 2,3 millions de personnes dans 4 964 villages, 7 500 maisons ont été endommagées et environ 130 000 hectares de terres agricoles ont été détruits.
La tempête Ida a entraîné des pluies torrentielles, des crues soudaines, de la grêle et des tornades dans tout le nord-est des États-Unis, ce qui a provoqué la mort de dizaines de personnes et engendré des dégâts considérables. Les villes de New York et du New Jersey ont été impactées par des précipitations records, et des habitants se sont retrouvés piégés dans des sous-sols et des voitures inondés.
Accrochez-vous : ça décape.
« Les concerts, je ne souhaite pas en faire tant que le pass sanitaire est en vigueur. »
Commentaire: Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux :