Alors que s'accumulent les cas (445 au 9 juillet) de syndrome de Guillain-Barré, une maladie neurologique apparemment « rare », chez des personnes ayant reçu un produit expérimental nommé « vaccin » anti-Covid — ce qui a contraint la mollassonne FDA à apposer une étiquette d'avertissement sur celui de Johnson & Johnson (J&J) — des scientifiques lancent des avertissements urgents sur un possible tsunami d'autres types de lésions neurologiques.
L'immunologiste J. Bart Classen, ancien chercheur sous contrat avec les Instituts américains de la santé et propriétaire de Classen Immunotherapies, une société de biotechnologie du Maryland, a publié une étude [soumise en décembre 2020 et acceptée pour publication en février 2021 - NdT] soulignant le potentiel des produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid à ARN messager (ARNm) à déclencher le développement de maladies à prions ainsi que d'autres maladies chroniques.
Le contenu de ces deux articles extraordinairement influents, chacun simplement intitulé « Correspondance », a été asséné par les médias grand public pendant un an. Chacun était clairement destiné à mettre fin à toute discussion sur la possibilité que le virus soit issu d'un laboratoire.
Il se trouve que j'ai lu ces deux « Correspondances » en mars 2020 et il m'est immédiatement apparu que chacune était conçue comme un outil de propagande. Ni l'une ni l'autre n'avait rien à voir avec la science. En fait, la « Correspondance » d'Andersen et al. publiée dans Nature Medicine a massacré la science, et les deux documents comportaient une inhabituelle combinaison d'auteurs.
J'étais tellement intriguée par ces articles que j'ai continué à chercher sur le Net pour en comprendre le sens, et j'ai découvert que Francis Collins, le directeur du NIH, avait publié un article sur son blog le 26 mars [2020 - NdT] à propos de la « Correspondance » publiée dans Nature Medicine, indiquant que cette « Correspondance » devrait mettre fin aux théories du complot suggérant que le virus est issu d'un laboratoire.
Note du traducteur : On peut supposer qu'il s'agit des vaccins en général, mais surtout des « produits » dangereux pour la santé qui sont injectés sous le nom fallacieux de « vaccin » anti-Covid. Autant dire qu'ils ont l'air un « tantinet » désespérés, et que leur « agenda vaccinal » — lui-même un sous-agenda d'autres agendas, comme des poupées russes — ne fonctionne pas aussi bien qu'ils l'espéraient. Sinon, pourquoi prendre de telles contre-mesures ?Le Dr Vivek Murthy, Chirurgien général des États-Unis, a publié jeudi un avis mettant en garde les citoyens de son pays contre la « menace urgente » que représentent la désinformation et les fausses informations en matière de santé, lesquelles ont
« menacé la réponse des États-Unis face au Covid-19 et continuent d'empêcher les Américains de se faire vacciner, prolongeant ainsi la pandémie et mettant des vies en danger. »L'avis de 22 pages appelle les entreprises du secteur des technologies de l'information et des médias sociaux à assumer davantage de responsabilités pour mettre un terme à la diffusion en ligne de fausses informations sur la santé.
Les États-Unis ont une loi fédérale connue sous le nom de loi RICO. Elle a l'air sympathique, mais sa cible est très précise : les organisations influencées par le racket et la corruption. Cette loi a été introduite en raison de la complexité de la procédure d'inculpation des structures du crime organisé.
Le Dr David Martin a déclaré au Comité d'enquête international sur le coronavirus qu'en avril 2003, une société pharmaceutique étatsunienne a déposé un brevet sur les agents antiviraux, le traitement et le contrôle des infections par le coronavirus, trois jours seulement après que — dans une demande supposée secrète — les Centres de contrôle des maladies aient cherché à breveter le coronavirus du Sras lui-même. La première épidémie de Sras s'est déclarée en Chine en février de la même année.
Sa description a amené le président de la commission d'enquête, l'avocat allemand Reiner Fuellmich, spécialisé dans la dénonciation des escroqueries d'entreprise, à commenter :
« Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »Le Dr David Martin a répondu :
« Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C'est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s'est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »
Dans le même ordre d'idées, les médias se sont concentrés sur les records de chaleur dans l'ouest des États-Unis en juin, tout en ignorant complètement les centaines de records de froid dans le sud et le Midwest, parce que cela ne cadre pas avec le « discours officiel sur le changement climatique ».
Vous ne devez à aucun prix vous occuper de la réalité, car la réalité ne suit pas le récit officiel ! Ne faites donc pas attention au gel estival qui a balayé le Royaume-Uni ou aux températures négatives dans les îles écossaises. Et ne faites pas attention non plus attention aux accumulations massives de glace au Groenland en pleine période de fonte, pas plus qu'aux tempêtes de neige anormales signalées par l'Islande dont certaines ont piégé les touristes à Vík í Mýrdal. Et ce n'est pas tout, la Nouvelle-Zélande a relevé la température la plus basse jamais enregistrée avec un -8,8° C à l'aéroport international de Dunedin. Et de l'autre côté de la planète, l'Argentine a observé une chute de neige incroyablement rare qui a endommagé les cultures à Cordoba.
Pour atteindre ses objectifs, le Nouvel Ordre Mondial a besoin de problèmes ou de crises à même d'effrayer et de choquer les populations — et donc de les faire passer d'un état d'esprit normal, rationnel et équilibré à un état d'esprit émotionnel qui réagira par le mécanisme de défense combattre-fuir-figer. Cette méthode engendre des faiblesses dans la population cible sous les formes d'un mauvais jugement, d'une mauvaise prise de décision et d'un consentement accru. La campagne de vaccination massive du monde entier a échoué, de nombreuses personnes refusant de se faire vacciner. Il existe de bonnes raisons à cela, étant donné que le « vaccin » est un dispositif expérimental dangereux et qu'il ne s'agit pas, juridiquement et médicalement parlant, d'un véritable « vaccin », mais plutôt d'un dispositif chimique pathogène qui altère les gènes.
Alors que ce qui n'est pas un « vaccin » anti-Covid [semble faire - NdT] des ravages dans le système reproductif des personnes à qui le produit a été injecté, qu'il [peut - NdT] rendre les gens magnétiques et qu'il blesse ou tue un certain nombre de personnes, il est probable que les manipulateurs du Nouvel Ordre Mondial sont déjà en train de planifier leur prochaine crise ou opération sous faux drapeau, et ce de manière active. Voici quatre scénarios susceptibles de se produire.
Note du traducteur : Comme c'est souvent le cas pour les traductions d'articles rédigés d'un point de vue des États-Unis ou de la Grande-Bretagne, le contenu ne se réduit pas uniquement au pays (occidental) dont il est question. Ne doutez pas que les structures gouvernementales dont il est question dans cet article n'existent qu'en Grande-Bretagne.Les gouvernements utilisent la peur pour contrôler et manipuler leurs citoyens. C'est ce que viennent d'admettre les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B), un sous-comité qui, au Royaume-Uni, conseille le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE). Ils sont bien placés pour le savoir, car ils ont plaidé en faveur de ce projet et déclarent aujourd'hui que c'était une regrettable erreur.
Comme le rapporte The Telegraph, le 14 mai 2021 :[1]
Les scientifiques membres d'un comité qui a encouragé le recours à la peur dans le but de contrôler le comportement des populations pendant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l'éthique » et « totalitaire ». Dans un nouveau livre sur le rôle de la psychologie dans la réponse au Covid-19 du gouvernement, les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B) ont regretté l'usage de ces tactiques .La guerre psychologique est réelle
Le SPI-B a averti en mars de l'année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » représenté par le Covid-19 étant donné qu'« un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ».
Gavin Morgan, un psychologue de l'équipe, a déclaré :« Il est clair que le recours à la peur comme moyen de contrôle n'est pas éthique. Cette pratique est empreinte de totalitarisme. Une telle position au sein d'un gouvernement moderne n'est en rien éthique. Bien que je sois une personne de nature optimiste, tout ceci fait que j'ai aujourd'hui une vision plus pessimiste des gens. »
Note du traducteur : Voici la traduction d'une interview menée par Mike Whitney sur l'origine du Sras-CoV-2, dans laquelle Ron Unz répond à ses questions.
« [...] Il reste la forte probabilité que le Covid [Sras-CoV-2 - NdT] provienne d'un laboratoire et qu'il ait était conçu pour servir d'arme biologique [...] La Chine était sûrement la cible visée [et] les États-Unis semblent être la source probable de l'attaque [...] Les suspects les plus plausibles seraient des éléments malveillants de notre appareil de sécurité nationale [...] Le virus et ses dispositifs de dispersion pourraient avoir été obtenus à Fort Detrick et des agents de la CIA [...] auraient été envoyés à Wuhan pour le propager. »Question 1 — Ce qui rend votre théorie sur les origines du Sras-CoV-2 si controversée, ce n'est pas qu'elle suggère que l'agent pathogène a été créé dans un laboratoire, mais qu'il s'agit en fait d'une arme biologique volontairement libérée par des agents étatsuniens menant une guerre secrète contre les ennemis présumés des États-Unis. Voici la « citation clé » de votre article intitulé « La machine de propagande des États-Unis et le récit orwellien d'un virus échappé d'un laboratoire » [publié en anglais par The Unz Review sous le titre « American Pravda: George Orwell's Virus Lab-Leak » - NdT] :
~ Ron Unz, rédacteur en chef de The Unz Review ; extrait de ce qui suit.
« [...] Il reste la forte probabilité que le Covid provienne d'un laboratoire et qu'il ait était conçu pour servir d'arme biologique, mais nous ne disposons pourtant d'aucune indication sérieuse quant à l'existence d'une fuite provenant d'un laboratoire. Donc, si l'épidémie initiale de Wuhan était due au déploiement d'une puissante arme biologique, mais pas à une fuite accidentelle d'un laboratoire, alors la Chine était sûrement la cible visée, victime plutôt que coupable [...]Alors, voici la question : Pensez-vous que les récents développements donnent plus de crédit à votre théorie explosive ou croyez-vous maintenant que le Covid-19 a simplement été « accidentellement » répandu à la suite d'une erreur humaine ?
Étant donné notre actuelle confrontation militaire et géopolitique avec la Chine, les États-Unis semblent être la source probable de l'attaque [...] Les suspects les plus plausibles seraient des éléments malveillants de notre appareil de sécurité nationale, probablement certains des néoconservateurs de l'État profond que Trump a placés au sommet de son administration.
Cette petite poignée de comploteurs de haut vol aurait alors fait appel aux ressources de l'appareil de sécurité nationale des États-Unis pour mener à bien l'opération. Le virus et ses dispositifs de dispersion pourraient avoir été obtenus à Fort Detrick et des agents de la CIA ou des membres des forces spéciales auraient été envoyés à Wuhan pour le libérer [...] En fait, ce qui s'est passé est un scénario du type Dr Folamour, mais transposé dans la réalité. »
Épisode 1 — La structure totalitaire : le délire paranoïaque
« Bien des gens affirment qu'on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n'est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l'émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C'est pour ton bien... Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l'esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j'ai affirmé que ce que nous vivions n'était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m'ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n'y ont pas intérêt), prétendant que j'exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.
~ Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953
Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu'à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d'élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d'observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu'ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l'entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l'interprétation, la persécution (ici, d'un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu'organismes porteurs d'une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l'idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d'une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l'ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l'économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d'individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l'ennemi — visible ou invisible — et la pureté.
L'État profond
Rien n'est jamais ce qu'il semble être, surtout lorsqu'il s'agit du monde moderne dans lequel nous vivons tous. « Il n'y a pas de démocraties ou d'autocraties, seulement des gouvernements », ai-je écrit [en anglais - NdT] la semaine dernière, et ils sont tous composés des incontournables bureaucraties militaire, diplomatique et du renseignement, ou ce qu'il est convenu d'appeler les « États profonds », qui, tous, gèrent des questions largement considérées — à tort ou à raison — comme étant au-delà de la responsabilité du citoyen lambda. Cette structure de pouvoir est alliée à des agents chargés d'encadrer la perception de la réalité au sein des médias grand public et du système éducatif afin de cacher à tous une réalité très sombre, bien plus malfaisante que celle que le magicien d'Oz cachait à Dorothée. Ses partisans disent que « c'est mieux ainsi », car « la société a besoin d'être contrôlée », tandis que ses détracteurs affirment qu'il s'agit là d'une grande manipulation et d'une atteinte aux droits fondamentaux de l'homme. Quel que soit le camp dans lequel on se place, on ne peut nier que le monde réel est bien pire que ce que la personne ordinaire pouvait imaginer.
« Du pain et des jeux »
Tous les peuples du monde sont fortement encouragés par leurs gouvernements à vaquer à leurs occupations quotidiennes et à se comporter en citoyens économiquement productifs et socialement responsables. À cette fin, ils sont distraits par « du pain et des jeux » en étant maintenus juste au-dessus du niveau de subsistance minimum et pressés de se concentrer davantage sur leur recherche personnelle du bonheur que sur celle de tous les autres. L'exception, bien sûr, est constituée par ceux qui montrent un intérêt sincère pour le fonctionnement du monde et qui, après des années d'endoctrinement pertinent dans le système d'enseignement supérieur, sont considérés par les « pouvoirs en place » comme « idéologiquement fiables ». Cette catégorie de citoyens d'élite apprend comment le monde fonctionne réellement après avoir jeté un coup d'œil dans les coulisses, avant de pouvoir jouer un rôle direct dans la gestion de cet état secret des choses. Parfois, les gens ordinaires découvrent la vérité par eux-mêmes ou par l'intermédiaire de lanceurs d'alerte, mais elle reste le plus souvent dissimulée.
Commentaire: Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux :