SOTT Focus:


Bullseye

SOTT Focus: Les tests nasopharyngés « ne sont pas sans risque » selon l'Académie de médecine ou la petite histoire des tests PCR et leur utilité dans « l'agenda de la crise mondiale »

L'Académie de médecine a publié le 8 avril un communiqué qui alerte — il était temps ! — sur les « graves complications qui commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines » des suites des prélèvements nasopharyngés qui sont effectués pour — soi-disant — « détecter le Covid-19 » :
« Le prélèvement nasopharyngé suivi de la détection du génome viral par RT-PCR est devenu la méthode de référence pour le diagnostic de l'infection par le Sras-CoV-2. L'écouvillonnage nasal est également nécessaire pour la réalisation d'un test antigénique.

Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l'étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite [1-3]. »
Test PCR nasopharyngé
© Inconnu
Et lorsque les médias alternatifs alertaient sur les risques liés à l'usage de ces prélèvements, ils étaient traités de complotistes...

Rappelons que l'écouvillon de 15 cm de long va titiller la très fragile plaque cribriforme qui est étroite et profondément rainurée ; elle soutient le bulbe olfactif et est perforée par des foramines pour le passage des nerfs olfactifs. Les foramines situées au milieu de la rainure sont petites et transmettent les nerfs à la voûte des fosses nasales ; celles des parties médiane et latérale de la rainure sont plus grandes — les premières transmettent les nerfs à la partie supérieure de la cloison nasale, les secondes à la conque nasale supérieure. Une plaque cribriforme fracturée peut entraîner un dysfonctionnement olfactif, un hématome septal, une rhinorrhée du liquide céphalo-rachidien (LCR) et éventuellement une infection pouvant conduire à une méningite. La rhinorrhée du LCR (liquide clair qui s'écoule du nez) est très grave et considérée comme une urgence médicale.

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Burka

SOTT Focus: Ceci n'est pas un masque ! L'analyse de deux psychanalystes et sociologues sur les effets mentaux de ce port généralisé

Dès le début de la pandémie de Covid-19, nous avons souligné que le port généralisé du masque chirurgical ne répondait pas à une nécessité sanitaire, mais réactivait un comportement archaïque. Nous publions aujourd'hui l'analyse de deux sociologues sur les effets mentaux de ce port généralisé. Il induit, selon eux, des comportements psychotiques que nous pouvons vérifier avec l'accroissement actuel des troubles psychiatriques.
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L'obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la « pandémie ». Cette contrainte n'est pas d'ordre sanitaire et témoigne d'un hors sens. C'est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l'acte d'une sortie du Politique.

Commentaire: Pour approfondir ce sujet, voir l'ouvrage de Hannah Arendt, Les origines du totalitarisme :
« Le système politique mis au point par l'Allemagne hitlérienne et la Russie stalinienne ne consiste pas en une simple radicalisation des méthodes dictatoriales. C'est un système entièrement original qui repose sur la transformation des classes en masses, fait de la police le centre du pouvoir et met en œuvre une politique étrangère visant ouvertement à la domination du monde. Animé par une logique de la déraison, il tend à la destruction complète de la société comme de l'individu. Un classique de la théorie politique. »
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Passport

SOTT Focus: Les « vaccins » synonymes de « contrôle de pureté » ou l'essor du passeport vaccinal

Comme prédit l'année passée, les passeports vaccinaux sont en train d'être déployés dans le monde entier, y compris aux États-Unis. Comme l'a rapporté Ron Paul dans son Liberty Report1-2, diffusé en direct le 29 mars 2021, l'administration Biden
« envisage sérieusement d'établir une sorte de système fédéral de passeport vaccinal, où les citoyens qui ne peuvent pas — ou ne veulent pas — prouver au gouvernement qu'ils ont reçu le « vaccin » expérimental seront légalement traités comme des citoyens de seconde zone ».
Passeport vaccinal vert Israël
© InconnuLe « passeport vert » en Israël : Êtes-vous vaccinés ? Êtes-vous purs ?
Ron Paul prévient que ce système
« se transformera rapidement en une copie du système de « crédit social » chinois, où les comportements indésirables sont sévèrement punis. »
Je dis la même chose depuis de nombreux mois maintenant, et nous avons toutes les raisons de soupçonner que nous nous dirigeons effectivement dans cette direction.

Écoutez le plaidoyer émouvant d'Ilana Rachel Daniel depuis Jérusalem, en Israël, où un « laissez-passer vert » est désormais nécessaire pour accéder à un certain nombre de lieux publics et participer à la vie sociale. Mme Daniel, qui a émigré des États-Unis vers Israël il y a 25 ans, est conseillère en santé, militante et responsable de l'information pour un nouveau parti politique des droits de l'homme appelé Rappeh.

Syringe

SOTT Focus: Le « vaccin anti-Covid » est-il une arme de destruction massive ?

Dire qu'un État ou un régime est meurtrier constitue une personnification commode d'une abstraction. Les régimes sont en réalité des personnes qui ont le pouvoir de commander une société entière. Ce sont ces personnes qui ont commis les nombreux méga-massacres de notre siècle, et leur identité ne doit pas être dissimulée sous l'abstraction de l'« État », du « régime », du « gouvernement » ou du « communiste ».

~ Rudolph Rummel (1994) Death by Government [La mort par le gouvernement - NdT]
En raison du titre du livre de Rummel, certains pourraient penser que cette citation est contradictoire, mais elle ne l'est pas. Les gens tuent ou permettent délibérément le meurtre ; ainsi, identifier les tueurs uniquement par le biais d'une abstraction identitaire revient à blâmer une arme à feu qui tire et tue toute seule au lieu de blâmer le véritable meurtrier qui a appuyé sur la gâchette. Par le biais d'une ruse psychologique, il s'agit en fait de dissimuler les responsables. Cette stratégie ne peut être efficace que lorsqu'elle est utilisée par la classe dirigeante comme propagande pour les imbéciles.
Tempête
© Inconnu
Les gouvernements sont composés de personnes, et ces personnes appelées politiciens sont issues des rangs de la population générale, et elles sont le pire de l'humanité. Faut-il alors incriminer l'humanité tout entière ? Je n'irais pas aussi loin, et ceux qui sont au gouvernement sont des meurtriers, mais la complicité par la servitude volontaire de masse et le soutien envers l'État dans le meurtre des autres constitue un facteur majeur dans la persécution, le génocide et le démocide des innocents.
Note du traducteur : Le démocide est un concept proposé par le politologue Rudolph Rummel pour décrire « le meurtre intentionnel d'une personne désarmée ou non armée par des agents gouvernementaux agissant en leur qualité d'autorité et conformément à la politique gouvernementale ou au haut commandement. » Selon Rummel, cette définition couvre un large éventail de décès, y compris les victimes du travail forcé et des camps de concentration, les meurtres commis par des groupes privés non officiels, les exécutions sommaires extrajudiciaires et les décès massifs dus à des actes gouvernementaux d'omission et de négligence criminelles, comme dans le cas des famines délibérées, ainsi que les meurtres commis par des gouvernements de facto, c'est-à-dire les meurtres liés à la guerre civile.

Source

Attention

SOTT Focus: L'absurdité des « vaccins » anti-Covid

Note du traducteur : Comme très souvent dans ce monde globalisé, cet article concerne globalement les États-Unis, mais il s'applique tout aussi bien aux pays occidentaux dans leur ensemble, et à l'Union européenne en particulier. Les emphases (gras et italique) sont de notre fait.
Les efforts visant à exiger que chaque Étasunien reçoive une injection d'un « vaccin » expérimental contre le Covid-19 reposent sur l'idée fausse que la vaccination protégera les bénéficiaires de l'infection par le Sras-Cov-2, le virus responsable du Covid-19, ou les empêchera de transmettre l'infection à d'autres personnes.
vaccins
© Inconnu
La FDA, le CDC, le NIH et les sociétés pharmaceutiques concernées ont tous très clairement déclaré qu'aucune preuve n'existe pour appuyer cette idée.

Aucun des trois « vaccins » expérimentaux contre le Covid-19 actuellement distribués aux États-Unis n'a démontré qu'il protégeait contre l'infection ou la transmission du virus supposé être à l'origine du Covid-19 (Sras-CoV-2), ni même qu'il empêchait l'apparition des symptômes du Covid-19.

Ce fait est indiscutable, mais les médias, les prestataires de soins médicaux et les politiciens continuent de ressasser le mensonge selon lequel la vaccination confère une « immunité contre le Covid ». Même des sources comme la Mayo Clinic affirment de manière irresponsable et sans fondement que la vaccination « pourrait vous empêcher de contracter » ou de « propager » le Covid-19. Ces mêmes mensonges sont à la base de la forte pression exercée par le président Biden en faveur d'une vaccination de masse pour « rendre ce jour de l'Indépendance vraiment spécial ».
Note du traducteur : L'auteur se réfère au discours de Joe Biden prononcée le 11 mars dernier, dans lequel il évoque la lumière au bout du tunnel (il existe aussi une contagion chez les dirigeants occidentaux, c'est celle d'une propagande mensongère) en mettant en lumière les récents progrès accomplis dans la vaccination contre le Covid-19, avec l'espoir qu'ils permettront un début de retour à la normale aux États-Unis cet été, avec pour objectif de faire du 4 Juillet, jour de la fête nationale :
« Le 4 juillet, il y a de fortes chances que vous, votre famille et vos amis puissiez vous réunir dans votre jardin pour faire un barbecue et célébrer la fête de l'indépendance [...] Après cette longue et dure année, cela fera de cette fête de l'indépendance quelque chose de vraiment spécial, où nous ne soulignerons pas seulement notre indépendance comme nation, mais où nous commencerons à marquer notre indépendance vis-à-vis de ce virus. »
L'avenir nous le dira.

Vader

SOTT Focus: La dystopie totalitaire émergente — Entretien avec le professeur Mattias Desmet

Peu de phénomènes ont eu un impact profond au niveau mondial aussi rapidement que l'actuelle épidémie de Coronavirus. En un rien de temps, la vie humaine a été complètement réorganisée. J'ai demandé à Mattias Desmet, psychothérapeute et professeur de psychologie clinique à l'université de Gand, comment une telle chose est possible, quelles en sont les conséquences et à quoi nous pouvons nous attendre à l'avenir.
covid police confinement
© Inconnu« Nous vivons dans un monde psychotique. Les fous sont au pouvoir. »
~ Philip K. Dick, L'homme dans le château fort
Près d'un an après le début de la Coronacrise, comment se porte la santé mentale de la population ?

Mattias Desmet — Pour l'instant, il existe peu de chiffres qui montrent l'évolution d'indicateurs possibles comme la prise d'antidépresseurs et d'anxiolytiques ou le nombre de suicides. Mais il est surtout important de replacer le bien-être mental lié à la Coronacrise dans sa continuité historique. La santé mentale était en déclin depuis des décennies. Le nombre de dépressions et de problèmes d'anxiété ainsi que le nombre de suicides ont depuis longtemps régulièrement augmenté. Et ces dernières années, l'absentéisme dû à la souffrance psychologique et aux burnouts a connu une croissance énorme. L'année précédant l'épidémie de Coronavirus, on pouvait sentir ce malaise croître de manière exponentielle. Cela donnait l'impression que la société se dirigeait vers un point de basculement où une « réorganisation » psychologique du système social était impérative. C'est ce qui se passe avec la Coronacrise. Au début, nous avons remarqué que des personnes ayant peu de connaissances sur le virus évoquaient des peurs terribles, et une véritable réaction de panique sociale s'est manifestée. Cela se produit surtout si une forte peur sous-jacente existe déjà chez une personne ou au sein d'une population.

Les dimensions psychologiques de l'actuelle Coronacrise sont sérieusement sous-estimées. Une crise agit comme un traumatisme qui prive un individu de son sens de l'histoire. Le traumatisme est considéré comme un événement isolé en soi, alors qu'il fait partie d'un processus continu. Par exemple, nous négligeons facilement le fait qu'une partie importante de la population a été lors du confinement initial étrangement soulagée, se sentant libérée du stress et de l'anxiété. J'ai régulièrement entendu des gens dire : « Oui, ces mesures sont sévères, mais au moins je peux me détendre un peu ». Parce que le train-train de la vie quotidienne s'est arrêté, un calme s'est installé dans la société. Le confinement a souvent libéré les gens d'une ornière psychologique, ce qui a permis de créer un soutien inconscient pour le confinement. Si la population n'avait pas déjà été épuisée par sa vie, et surtout par son travail, elle n'aurait jamais soutenu le confinement. Du moins pas en tant que réponse à une pandémie qui n'est pas trop grave par rapport aux grandes pandémies du passé. Quelque chose de similaire s'est produit lorsque le premier confinement a pris fin. On a alors régulièrement entendu des déclarations telles que « Nous n'allons pas recommencer à vivre comme avant, être à nouveau coincés dans les embouteillages », etc. Les gens ne voulaient pas revenir à la vie normale d'avant la Coronacrise. Si nous ne tenons pas compte du mécontentement de la population vis-à-vis de son existence, nous ne comprendrons pas cette crise et nous ne pourrons pas la résoudre. D'ailleurs, j'ai maintenant l'impression que la nouvelle normalité est redevenue une ornière, et je ne serais pas surpris que la santé mentale commence vraiment à se détériorer dans un avenir proche. Peut-être surtout s'il s'avère que le vaccin n'apporte pas la solution magique que l'on attend de lui.

Magnify

SOTT Focus: Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants

Le port du masque imposé avec succès dans la population générale pendant l'ère du Covid-19 constitue un témoignage du pouvoir de la propagande, de la mainmise des institutions et du désir de conformité sociale. Les préjudices de cette mesure obligatoire sont palpables, et potentiellement gargantuesques sur le long terme, à commencer par le conditionnement psychologique du public à se conformer à une mesure absurde dont les effets négatifs personnels sont directs. Voici l'examen des preuves croissantes de ce qui est évident : le port du masque généralisé nuit aux personnes et à la société, sans aucun avantage détectable.
Masques Covid-19 population
© Stuff
Introduction — Il incombe au gouvernement d'évaluer la sécurité

Conformément au principe de précaution, il incombe au gouvernement de démontrer, avant d'imposer une mesure, l'absence de dommages significatifs qui auront été anticipés, en particulier dans le cas d'une mesure médicale personnelle appliquée à la population générale en bonne santé.

Pour les masques, le principe de précaution n'a pas été suivi lors de la pandémie de Covid-19. Dans les provinces canadiennes, les mesures relatives au port obligatoire du masque généralisé ont été encore plus agressives que les recommandations certifiées par l'OMS. 1

Les récents commentaires scientifiques n'ont pas manqué de faire état de cette imprudence du gouvernement. En voici quelques exemples.
  • Dès le 20 avril 2020, Lazzarino et al. s'opposaient directement à une perversion de la logique autour du principe de précaution qui a été appliqué par certains scientifiques et de nombreux législateurs (à savoir que les gouvernements devraient agir « sans preuve définitive, juste au cas où ») : 2

Eye 1

SOTT Focus: De la psychologie des adeptes du déni de conspiration

Comment se fait-il que des personnes par ailleurs parfaitement intelligentes, réfléchies et rationnelles reculent devant l'idée que les psychopathes conspirent pour les manipuler et les tromper ? Et pourquoi défendent-ils avec autant de véhémence cette position sans fondement ?

obsédé par les complots
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L'histoire elle-même regorge de machinations commises par des menteurs, des voleurs, des tyrans et des narcissiques et décrit leurs effets dévastateurs. Les preuves de corruption et d'inouïes fourberies abondent également à l'époque moderne.

Nous savons, sans la moindre équivoque, que les hommes politiques mentent et occultent les relations qu'ils ont entre eux et que les entreprises témoignent couramment d'un mépris total pour les normes morales — en bref, nous baignons dans la corruption.

Nous savons que le jeu des chaises musicales entre les entreprises et les sphères politiques, le système de lobbying, les régulateurs corrompus, les médias et le système judiciaire signifie que les actes répréhensibles ne sont pratiquement jamais soumis à un semblant de véritable justice.

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Flashback SOTT Focus: « Il y a quelqu'un dans ma tête, mais ce n'est pas moi »

Piotr Ouspenski disait en 1947 qu'un fait d'une importance prodigieuse avait échappé à la psychologie occidentale, à savoir que l'homme ne se rappelait pas lui-même, qu'il vivait, agissait et raisonnait dans un profond sommeil, dans un sommeil non pas métaphorique mais absolument réel. Depuis les développements récents en neurosciences et en sciences cognitives, la psychologie occidentale vient de rattraper son retard, et le tableau qu'elle dresse s'accorde parfaitement avec l'ésotérisme chrétien ravivé par Gurdjieff et Mouravieff. L'homme est effectivement une machine gouvernée par les influences extérieures.
Cerveau humain
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Pour le psychologue Daniel Kahneman, notre mode de réflexion est composé de deux systèmes. Le premier, la pensée rapide (le Thinking fast) ou système 1 (l'inconscient adaptatif de Timothy Wilson), est inconscient, intuitif, ne demande pas trop d'effort, est incontrôlable et non-intentionnel. Ce système n'est pas sujet au doute. Il simplifie les événements, supprime les ambiguïtés, saute sur les conclusions et utilise un système d'association d'idées pour produire un rapide croquis d'une situation donnée, ainsi que pour construire une histoire la plus cohérente possible. Le système 1 reconnaît instantanément des modèles de situation et permet « de produire des solutions adéquates » :

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SOTT Focus: Résumé SOTT des changements terrestres - Février 2021 - Conditions météorologiques extrêmes, révolte de la planète et boules de feu

Aux États-Unis, des températures exceptionnellement froides et des records de chutes de neige ont continué de sévir pendant une bonne partie du mois de février et de vastes territoires ont été tapissés de blanc.
Résumé Sott février 2021
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La tempête hivernale Shirley a aussi bien touché le Sud profond que le Sud supérieur ainsi que la vallée de l'Ohio. Au Texas, les routes principales ont été bloquées, plus de quatre millions de foyers ont été privés d'électricité, et pas moins de dix millions ont été privés d'eau courante. Il s'agit de la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'histoire de l'État.

Faute d'être préparées à une chute aussi soudaine des températures, toutes les infrastructures de base ont été touchées. Avec des éoliennes gelées et des panneaux solaires recouverts de neige, les « énergies vertes » se sont également avérées inutiles face à des situations extrêmes comme celles-ci. Est-ce un aperçu de ce qui pourrait se produire dans d'autres pays ?

À Chihuahua, au Mexique, où le même système météorologique a affecté les régions du nord et sa production d'« énergie verte », d'importantes coupures de courant ont également été signalées.

Dans les États Mid-Atlantic des États-Unis, la tempête a également provoqué des précipitations glaciales, causé plus de 212 000 coupures de courant et tué au moins douze personnes.

Dans le nord-ouest, et notamment dans la région de Portland en Oregon, des pluies verglaçantes ont également couvert de glace des routes, des lignes électriques et des arbres, et ont privé plus de 270 000 personnes d'électricité. À Seattle, un cumul de 30 centimètres de neige au milieu du mois a fait de ce jour-là le plus enneigé depuis cinquante-deux ans.