L'Ukraine, cette « frontière » entre la Russie et l'Europe dite « civilisée », est à feu et à sang. Depuis des siècles, elle est au cœur d'une lutte acharnée entre certaines puissances qui cherchent à contrôler ce riche territoire et l'accès de la Russie à la Méditerranée.
Le massacre de Maïdan début 2014 a déclenché un soulèvement sanglant qui a débouché sur l'éviction du président Viktor Ianoukovytch, la sécession de la Crimée et sa réintégration au sein de la Russie, et une guerre civile dans l'Est de l'Ukraine.
Les médias occidentaux ont présenté la Russie comme l'instigatrice de ces troubles, et cette dernière a été sanctionnée et unanimement condamnée. Mais la Russie était-elle vraiment responsable de ces événements ?

Le duc de Windsor, qui fut pendant quelques mois en 1936 le roi Édouard, lors d'une tournée dans l'Allemagne nazie en 1937.
Lorsque des vérités gênantes sont capables de percer l'illusion enivrée de Novlangue orwellienne qui a contaminé les grandes lignes de la pensée actuelle, elles constituent une véritable bouffée d'air frais. L'une de ces vérités concerne la reconnaissance par les médias mainstream de l'authenticité du contenu scandaleux et funeste de l'ordinateur portable de Hunter Biden. Ces révélations ont forcé les États-uniens à prendre conscience que leur actuel président a, sous le règne d'Obama, directement bénéficié des systèmes de pots-de-vin et de corruption qu'il supervisait alors qu'il était vice-roi d'une Ukraine infestée de nazis.
Commentaire : L'article qui suit est peut-être le compte rendu le plus clair et le plus raisonnable de ce qui s'est passé en Ukraine. Son importance tient au fait que son auteur, Jacques Baud, colonel à la retraite des services de renseignement suisses, a été à plusieurs reprises un participant majeur et haut placé aux opérations de formation de l'Otan en Ukraine. Au fil des années, il a également eu de nombreux contacts avec ses homologues russes.
Première partie : en route vers la guerre
Pendant des années, du Mali à l'Afghanistan, j'ai travaillé pour la paix et ai risqué ma vie pour elle. Il ne s'agit donc pas de justifier la guerre, mais de comprendre ce qui nous y a conduit. Je constate que les « experts » qui se relaient sur les plateaux de télévision analysent la situation à partir d'informations douteuses, le plus souvent des hypothèses érigées en faits, et dès lors on ne parvient plus à comprendre ce qui se passe. C'est comme ça que l'on crée des paniques.
Le problème n'est pas tant de savoir qui a raison dans ce conflit, mais de s'interroger sur la manière dont nos dirigeants prennent leurs décisions.
Essayons d'examiner les racines du conflit. Cela commence par ceux qui durant les huit dernières années nous parlaient de « séparatistes » ou des « indépendantistes » du Donbass. C'est faux. Les référendums menés par les deux républiques auto-proclamées de Donetsk et de Lougansk en mai 2014, n'étaient pas des référendums d'« indépendance » (независимость), comme l'ont affirmé certains journalistes peu scrupuleux, mais de référendums d'« auto-détermination » ou d'« autonomie » (самостоятельность). Le qualificatif « pro-russes » suggère que la Russie était partie au conflit, ce qui n'était pas le cas, et le terme « russophones » aurait été plus honnête. D'ailleurs, ces référendums ont été conduits contre l'avis de Vladimir Poutine.
En fait, ces Républiques ne cherchaient pas à se séparer de l'Ukraine, mais à avoir un statut d'autonomie leur garantissant l'usage de la langue russe comme langue officielle. Car le premier acte législatif du nouveau gouvernement issu du renversement du président Ianoukovitch, a été l'abolition, le 23 février 2014, de la loi Kivalov-Kolesnichenko de 2012 qui faisait du russe une langue officielle. Un peu comme si des putschistes décidaient que le français et l'italien ne seraient désormais plus des langues officielles en Suisse.
Cette décision provoque une tempête dans la population russophone. Il en résulte une répression féroce contre les régions russophones (Odessa, Dniepropetrovsk, Kharkov, Lougansk et Donetsk) qui s'exerce dès février 2014 et conduit à une militarisation de la situation et à quelques massacres (à Odessa et à Marioupol, pour les plus importants). À la fin de l'été 2014, ne restent que les Républiques auto-proclamées de Donetsk et de Lougansk.
« Tout ceci n'est qu'une digression. Le vrai pouvoir, celui pour lequel nous devons nous battre nuit et jour, n'est pas le pouvoir sur les choses, mais sur les hommes. Comment un homme affirme-t-il son pouvoir sur un autre ? ... En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. S'il ne souffre pas, comment pouvez-vous être sûr qu'il obéit à votre volonté et non à la sienne ? Le pouvoir consiste à infliger la douleur et l'humiliation. Le pouvoir consiste à mettre en pièces des esprits humains et à les reconstituer dans des formes nouvelles qu'il aura choisies. Commencez-vous à entrevoir, alors, le genre de monde que nous sommes en train de créer ? »
~ George Orwell, 1984
« Nous devenons esclaves au moment où nous remettons entièrement les clés de la définition de la réalité à quelqu'un d'autre, qu'il s'agisse d'une entreprise, d'une théorie économique, d'un parti politique, de la Maison Blanche, de Newsworld ou de CNN. »Le Covid-19 a disparu comme par magie.
~ B.W. Powe
Après plus de deux ans de bombardement ininterrompu de « nouvelles » sur le Covid, cela fait plus d'une semaine qu'aucun article sur le sujet ne fait la Une. Les médias donnent et les médias reprennent. En escamotant soigneusement la « crise Covid », les responsables de ces méfaits tentent de nous faire oublier ce qu'ils nous ont fait, à nous et à nos familles, et les dommages permanents qu'ils ont causés à la société. Repensez à ce qu'était la vie il y a deux ans et imaginez si quelqu'un vous disait qu'une « urgence sanitaire » nécessiterait une répression de toute vie sociale et économique.
Ce document propose une compréhension des modes d'influence de l'industrie du médicament sur la décision publique en prenant appui sur la gestion aujourd'hui correctement documentée de la grippe A(H1N1) et en prolongeant la réflexion sur la gestion de la pandémie de covid. Il propose cinq pistes pour une réappropriation de la santé par les autorités publiques dans un régime démocratique.
Il y a deux semaines, la banque centrale russe avait annoncé qu'elle mettait fin à ses achats officiels d'or auprès des banques locales en raison d'une hausse de la demande des consommateurs ordinaires. En effet, lorsque le rouble s'est effondré, les Russes ont en mars massivement acheté de l'or pour protéger leurs économies. Les grandes banques russes ont signalé une ruée des consommateurs vers les lingots et les pièces. La Sberbank, la plus grande institution financière de Russie, avait alors indiqué que la demande d'or et de palladium avait quadruplé au cours des dernières semaines. Parallèlement, le ministère russe des finances a également qualifié l'or d'« alternative idéale » au dollar américain.
Commentaire: Voir aussi :
- La Russie vient de briser le dos à l'Occident - Arrimage du rouble à l'or
- L'or russe dans le collimateur
- L'annulation des réserves russes va conduire à un nouveau système monétaire international
- Le « gel » des fonds russes
- Tout ce qui brille n'est pas nécessairement de l'or russe
- Dites bonjour à l'or russe et au petroyuan chinois
Disparus aussi, les entretiens avec les critiques sociaux Cornel West, Tariq Ali, Noam Chomsky, Gerald Horne, Wendy Brown, Paul Street, Gabriel Rockwell, Naomi Wolff et Slavoj Zizek. Disparus, les entretiens avec les romanciers Russell Banks et Salar Abdoh. Disparue, l'interview de Kevin Sharp, ancien juge fédéral, sur le cas de Leonard Peltier. Disparus, les entretiens avec les économistes David Harvey et Richard Wolff. Disparus, les entretiens avec les vétérans et diplômés de West Point Danny Sjursen et Eric Edstrom sur nos guerres au Moyen-Orient. Disparues, les discussions avec les journalistes Glenn Greenwald et Matt Taibbi. Disparues, les voix de ceux qui sont persécutés et marginalisés, notamment l'avocat des droits de l'homme Steven Donziger et le prisonnier politique Mumia Abu Jamal. Aucune des émissions que j'ai réalisées sur l'incarcération de masse, où j'interviewais des personnes libérées de nos prisons, n'est plus présente sur YouTube. Les émissions avec les caricaturistes Joe Sacco et Dwayne Booth ont disparu. Ils ont fondu dans l'air, sans laisser un seul support derrière eux.
La protéine spike des « vaccins » Covid subsiste chez l'être humain pendant au moins quatre mois après l'injection. Il s'agit d'une toxine qui perfore directement les membranes cellulaires. Elle provoque des lésions mitochondriales dans les cellules et une maladie de type Covid chez les souris.
Mais se retrouve-t-elle chez l'être humain à des concentrations qui créeraient ces problèmes ? Et les modifications apportées aux protéines spike du « vaccin » sont-elles susceptibles de réduire cette toxicité ?
Cet article est le premier d'une série dans laquelle je décrirai les mécanismes potentiels de la toxicité de la protéine spike et des effets secondaires des « vaccins », et je présenterai des mesures que les « vaccinés » peuvent prendre pour se protéger contre ces effets, voire en guérir. Dans ce premier article de la série, nous examinons la protéine spike en tant que toxine capable de percer des trous minuscules. Tout d'abord, quelques informations essentielles.
Commentaire: Voir aussi les articles suivants :
- La substance meurtrière dans la circulation sanguine : la « protéine spike »
- « La protéine Spike est toxique et dangereuse pour l'homme » - Pr Bridle, spécialiste des vaccins
- Les ARNm vaccinaux atteignent de nombreux organes et passent la barrière hémato-encéphalique — Quels sont les risques d'une future méga épidémie ?
- Les « vaccins » nouvelle génération et le Covid-19 — Interview intégrale du Docteur Christian Vélot (Mise à jour de la vidéo censurée)
- Tout s'explique quand on réalise qu'ils veulent nous tuer
- Walter Chesnut : « Les injections anti-Covid accélèrent le vieillissement et seront encore plus mortelles si répétées »
- CRIIGEN — Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies de modifications génétiques des organismes
Avant que nous ne soyons accusés de russophobie (par des personnes à la mémoire trop courte ou ayant des objectifs à visée plus large), permettez-moi de rappeler à tous que depuis que nous avons fondé et lancé OffGuardian nous avons été qualifiés de « trolls russes » parce que nous avons constamment défendu les actions de la Russie, tant en Ukraine en 2014-16 que plus tard en Syrie et ailleurs.
Je suis plus que consciente que la Russie a longtemps lutté contre la menace existentielle que propose l'Otan et l'empire étatsunien.
Oui, la Russie s'est opposée à l'impérialisme étatsunien... mais pour des raisons de survie nationale et non d'idéologie. Elle s'est dressée contre le militarisme et l'hégémonie des États-Unis, mais pas contre le « mondialisme ».
Une pluviométrie sans précédent a déferlé sur le Brésil, affectant des millions de personnes. Des coulées de boue et des inondations se sont produites dans la ville de Petropolis, entraînant la mort d'au moins 152 personnes. Les rivières en crue dans l'État du Rondônia ont contraint des milliers de personnes à fuir et les routes se sont transformées en rivières dans la ville d'Umuarama.
La République dominicaine et Haïti ont été confrontées à des pluies torrentielles et à des vents violents causés par un front froid. Il a plu pendant 36 heures, et plusieurs rivières sont sorties de leur lit. Près de 3 444 foyers ont été touchés, et 2 500 familles ont été déplacées.
En Équateur, certaines parties de Quito ont été dévastées par les plus intenses précipitations pluvieuses depuis près de 20 ans. Il est tombé 40 fois plus de pluie que prévu par les prévisions. Le déluge a déclenché un glissement de terrain qui a entraîné la mort de 24 personnes, la destruction de plusieurs maisons, et emporté des dizaines de véhicules.
Commentaire: Voir aussi :