Vassily Nebenzia : Chers collègues,
Nous vous souhaitons la bienvenue à notre réunion « Arria-formula » consacrée aux crimes commis par l'armée et les milices ukrainiennes dans le cadre de l'opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine. Aujourd'hui, nous allons essayer de parler le moins possible par nous-mêmes et de partager avec vous les récits des habitants de l'Est et du Sud de l'Ukraine et de donner la parole aux journalistes étrangers qui ont travaillé dans ces régions.

Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, est venu au Parlement pour introduire le discours du président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Sur 39 millions de citoyens canadiens, 1,4 serait d’origine ukrainienne, soit 3 à 4 % du corps électoral. Cette communauté est très encadrée par les organisations bandéristes qui lui infusent leur idéologie raciale.
Pourquoi les épidémiologistes, les virologues et le grand public considèrent-ils que certaines maladies comme la grippe et le Covid-19 se transmettent par contact humain, alors qu'il n'a en fait jamais été prouvé que les maladies se propagent de cette manière ? Pendant plus d'un siècle, la théorie des germes a eu la prépondérance et le pouvoir d'une orthodoxie religieuse, alors que la théorie du terrain explique de manière bien plus plausible la manière dont nous sommes « infectés » par certaines maladies. Cette théorie du terrain montre qu'une multitude de composantes environnementales et génétiques [qui renvoient à l'épigénétique - NdT] se combinent pour déterminer l'incidence de la maladie au sein d'une population ou chez un individu. Dans l'essai qui suit, Torsten Engelbrecht, les Dr Claus Köhnlein et Samantha Bailey s'appuient sur les éléments rassemblés dans leur extraordinaire livre Virus Mania afin de présenter les puissants arguments en faveur de la théorie du terrain [le livre a été traduit en français et publié aux Éditions Marco Pietteur, Collection Résurgence, en avril 2021, sous le titre Virus Mania - Corona/COVID-19, rougeole, grippe porcine, grippe aviaire, cancer du col de l'utérus, SARS, ESB, hépatite C, sida, polio... - NdT].Depuis environ 120 ans en particulier, les gens sont très réceptifs à l'idée que certains microbes sont comme des prédateurs qui roderaient autour de nos communautés humaines en quête de victimes et causeraient les maladies les plus graves comme le Covid-19, le Sida, l'hépatite C, la grippe aviaire, etc. Une telle idée est très simple, sans doute trop. Malheureusement, comme l'ont découvert la psychologie et les sciences sociales, les êtres humains ont une propension à trouver des solutions simplistes, en particulier dans un monde qui semble devenir de plus en plus compliqué. Mais les réalités médicales et biologiques, comme les réalités sociales, ne sont elles pas aussi simples. Edward Golub, professeur réputé d'immunologie et de biologie, a pour règle empirique que
« si la solution à un problème complexe peut tenir sur un autocollant de pare-brise, c'est mauvais signe ! J'ai essayé de condenser mon livre The Limits of Medicine : How Science Shapes Our Hope for the Cure [« Les limites de la médecine : comment la science façonne notre espoir de guérison », ouvrage non traduit en français - NdT] pour le faire tenir sur un autocollant de pare-brise, mais je n'y suis pas arrivé. »[1]
Une tempête hivernale tardive accompagnée de vents violents et de neige a balayé le nord-est des États-Unis qui a conduit à une chute des températures et rendu les déplacements périlleux. La vallée de l'Ohio a connu les plus fortes chutes de neige qui ont recouvert certaines parties de Nashville (Tennessee) et de Cincinnati. Certaines parties du Colorado, du Nouveau-Mexique, du Minnesota, du Dakota du Nord et de la Californie ont également signalé des chutes de neige tardives tout au long du mois. En outre, et à la suite d'une chute soudaine des températures et d'averses de neige qui ont engendré une très mauvaise visibilité pour les conducteurs, six personnes ont trouvé la mort dans un carambolage impliquant soixante véhicules sur l'Interstate 81 dans le comté de Schuylkill, en Pennsylvanie.
À la fin du mois, une grande partie du Royaume-Uni est restée soumise à des températures négatives en raison d'un souffle soudain d'air arctique qui a entraîné des chutes de neige jusqu'au sud de Londres. Les déplacements et l'alimentation électrique ont été perturbés dans les parties nord du pays.
Le 8 avril vers 10 h 30 heure locale, alors que les habitants de Kramatorsk faisaient la queue à la gare pour évacuer la ville avant son encerclement complet, les Forces Armées ukrainiennes ont lancé sur la zone un missile Tochka U à sous-munitions, provoquant un véritable bain de sang : plus de 30 morts et plus de 100 blessés.
L'Ukraine, cette « frontière » entre la Russie et l'Europe dite « civilisée », est à feu et à sang. Depuis des siècles, elle est au cœur d'une lutte acharnée entre certaines puissances qui cherchent à contrôler ce riche territoire et l'accès de la Russie à la Méditerranée.
Le massacre de Maïdan début 2014 a déclenché un soulèvement sanglant qui a débouché sur l'éviction du président Viktor Ianoukovytch, la sécession de la Crimée et sa réintégration au sein de la Russie, et une guerre civile dans l'Est de l'Ukraine.
Les médias occidentaux ont présenté la Russie comme l'instigatrice de ces troubles, et cette dernière a été sanctionnée et unanimement condamnée. Mais la Russie était-elle vraiment responsable de ces événements ?

Le duc de Windsor, qui fut pendant quelques mois en 1936 le roi Édouard, lors d'une tournée dans l'Allemagne nazie en 1937.
Lorsque des vérités gênantes sont capables de percer l'illusion enivrée de Novlangue orwellienne qui a contaminé les grandes lignes de la pensée actuelle, elles constituent une véritable bouffée d'air frais. L'une de ces vérités concerne la reconnaissance par les médias mainstream de l'authenticité du contenu scandaleux et funeste de l'ordinateur portable de Hunter Biden. Ces révélations ont forcé les États-uniens à prendre conscience que leur actuel président a, sous le règne d'Obama, directement bénéficié des systèmes de pots-de-vin et de corruption qu'il supervisait alors qu'il était vice-roi d'une Ukraine infestée de nazis.
Commentaire : L'article qui suit est peut-être le compte rendu le plus clair et le plus raisonnable de ce qui s'est passé en Ukraine. Son importance tient au fait que son auteur, Jacques Baud, colonel à la retraite des services de renseignement suisses, a été à plusieurs reprises un participant majeur et haut placé aux opérations de formation de l'Otan en Ukraine. Au fil des années, il a également eu de nombreux contacts avec ses homologues russes.
Première partie : en route vers la guerre
Pendant des années, du Mali à l'Afghanistan, j'ai travaillé pour la paix et ai risqué ma vie pour elle. Il ne s'agit donc pas de justifier la guerre, mais de comprendre ce qui nous y a conduit. Je constate que les « experts » qui se relaient sur les plateaux de télévision analysent la situation à partir d'informations douteuses, le plus souvent des hypothèses érigées en faits, et dès lors on ne parvient plus à comprendre ce qui se passe. C'est comme ça que l'on crée des paniques.
Le problème n'est pas tant de savoir qui a raison dans ce conflit, mais de s'interroger sur la manière dont nos dirigeants prennent leurs décisions.
Essayons d'examiner les racines du conflit. Cela commence par ceux qui durant les huit dernières années nous parlaient de « séparatistes » ou des « indépendantistes » du Donbass. C'est faux. Les référendums menés par les deux républiques auto-proclamées de Donetsk et de Lougansk en mai 2014, n'étaient pas des référendums d'« indépendance » (независимость), comme l'ont affirmé certains journalistes peu scrupuleux, mais de référendums d'« auto-détermination » ou d'« autonomie » (самостоятельность). Le qualificatif « pro-russes » suggère que la Russie était partie au conflit, ce qui n'était pas le cas, et le terme « russophones » aurait été plus honnête. D'ailleurs, ces référendums ont été conduits contre l'avis de Vladimir Poutine.
En fait, ces Républiques ne cherchaient pas à se séparer de l'Ukraine, mais à avoir un statut d'autonomie leur garantissant l'usage de la langue russe comme langue officielle. Car le premier acte législatif du nouveau gouvernement issu du renversement du président Ianoukovitch, a été l'abolition, le 23 février 2014, de la loi Kivalov-Kolesnichenko de 2012 qui faisait du russe une langue officielle. Un peu comme si des putschistes décidaient que le français et l'italien ne seraient désormais plus des langues officielles en Suisse.
Cette décision provoque une tempête dans la population russophone. Il en résulte une répression féroce contre les régions russophones (Odessa, Dniepropetrovsk, Kharkov, Lougansk et Donetsk) qui s'exerce dès février 2014 et conduit à une militarisation de la situation et à quelques massacres (à Odessa et à Marioupol, pour les plus importants). À la fin de l'été 2014, ne restent que les Républiques auto-proclamées de Donetsk et de Lougansk.
« Tout ceci n'est qu'une digression. Le vrai pouvoir, celui pour lequel nous devons nous battre nuit et jour, n'est pas le pouvoir sur les choses, mais sur les hommes. Comment un homme affirme-t-il son pouvoir sur un autre ? ... En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. S'il ne souffre pas, comment pouvez-vous être sûr qu'il obéit à votre volonté et non à la sienne ? Le pouvoir consiste à infliger la douleur et l'humiliation. Le pouvoir consiste à mettre en pièces des esprits humains et à les reconstituer dans des formes nouvelles qu'il aura choisies. Commencez-vous à entrevoir, alors, le genre de monde que nous sommes en train de créer ? »
~ George Orwell, 1984
« Nous devenons esclaves au moment où nous remettons entièrement les clés de la définition de la réalité à quelqu'un d'autre, qu'il s'agisse d'une entreprise, d'une théorie économique, d'un parti politique, de la Maison Blanche, de Newsworld ou de CNN. »Le Covid-19 a disparu comme par magie.
~ B.W. Powe
Après plus de deux ans de bombardement ininterrompu de « nouvelles » sur le Covid, cela fait plus d'une semaine qu'aucun article sur le sujet ne fait la Une. Les médias donnent et les médias reprennent. En escamotant soigneusement la « crise Covid », les responsables de ces méfaits tentent de nous faire oublier ce qu'ils nous ont fait, à nous et à nos familles, et les dommages permanents qu'ils ont causés à la société. Repensez à ce qu'était la vie il y a deux ans et imaginez si quelqu'un vous disait qu'une « urgence sanitaire » nécessiterait une répression de toute vie sociale et économique.
Ce document propose une compréhension des modes d'influence de l'industrie du médicament sur la décision publique en prenant appui sur la gestion aujourd'hui correctement documentée de la grippe A(H1N1) et en prolongeant la réflexion sur la gestion de la pandémie de covid. Il propose cinq pistes pour une réappropriation de la santé par les autorités publiques dans un régime démocratique.
Commentaire: Voir aussi :