Un récent article de SOTT Focus « Le bouleversement collectif de 2012 et l'histoire secrète des prophéties de fin des temps », écrit par votre serviteur, a reçu quelques critiques prévisibles. Une de ces critiques provenait du célèbre John Major Jenkins, lui-même. Pour être honnête, j'ai été honoré que M. Jenkins considère mes écrits dignes de critiques. Mais comme il a soulevé certaines plaintes, les éditeurs de SOTT ont suggéré de réagir en conséquence. Ce n'est que justice, après tout.
John Major Jenkins, pour ceux d'entre vous qui ne le connaissent pas encore, est le principal artisan du buzz créé autour du 21 décembre 2012. De son propre aveu, l'idée n'a pas exclusivement commencé avec lui, toutefois, M. Jenkins a amené le concept de « transformation de 2012 » vers de nouveaux sommets avec plusieurs livres (huit, selon mes calculs) et beaucoup de conférences et de présentations, y compris à l'Institut d'Études Mayas, la Society for American Archaeology [Société pour l'Archéologie américaine - NdT], et diverses universités - du moins c'est ce qu'il me dit. Il a publié et exposé dans un large éventail de lieux et écrit un nombre assez impressionnant d'essais sur le sujet.
Ces six dernières semaines, les révélations que Sir Jimmy Savile, depuis longtemps une personnalité et un « nom prestigieux » de la BBC, était en fait un pédophile de longue date ont captivé et horrifié le public britannique.
La grande majorité du public britannique connaissait Jimmy Savile en tant qu'ancien présentateur excentrique, et pourtant très regardé, d'émissions de télévision pour enfants et collecteur de fonds pour des œuvres caritatives. Savile démarra sa carrière en 1958 comme DJ pour Radio Luxembourg. En 1968, il rejoignit la BBC Radio 1 où il présentait Savile's Travels. De 1969 à 1973, il anima Speakeasy, un programme de discussion pour adolescents. En 1964, il commença à présenter Top of the Pops, l'émission télévisée de hit-parade de la BBC. Savile a aussi animé d'autres émissions de télévision de la BBC, dont le plus notoire est l'émission pour enfants Jim'll Fix It, qu'il présenta de 1975 à 1994. À cause de la nature des émissions qu'il a présentées et de sa grande implication caritative, tout au long de sa carrière, Savile fut entouré d'enfants d'âges divers.
Mark Williams-Thomas, ancien inspecteur devenu journaliste, est le premier à avoir dévoilé publiquement que Jimmy Savile était un grand délinquant sexuel, début octobre 2012 lors de l'émission Exposure d'ITV. William-Thomas, qui travaille actuellement sur une seconde émission qui examinera plus avant les agressions de Savile, a récemment déclaré que les preuves qu'il a recueillies suggèrent que Savile a construit toute sa carrière de manière à pouvoir agresser sexuellement des jeunes :
J'ai honte d'être israélienne. Voilà, c'est dit. Oui, je sais mieux que la plupart des gens qu'il y a beaucoup de gens biens, de gens qui ont du cœur, en Israël. Mais ce qui se passe actuellement à Gaza, ce qui est commis au nom de ces bonnes gens NE SAURAIT être toléré, parce que cela va à l'encontre de toute humanité et moralité.
Oui, il y a aussi des morts du côté israélien, mais malgré la tragédie et le déchirement qui touchent les familles de ces victimes, il est important de comprendre que l'étendue des souffrances et de la douleur vécues par les Palestiniens est incomparable, et il est de notre responsabilité à tous de s'élever contre cela !
Nous avons oublié les leçons du passé, et à cause de cela, à cause de notre manque de responsabilité, de notre ignorance et de notre inaction, nous avons permis à des dirigeants psychopathiques et à leurs idéologies perverses de s'emparer de notre perception de la réalité. Mais si nous nous arrêtions un moment pour réfléchir, nous verrions clairement que cette situation n'a rien à voir avec le fait de savoir « qui a tiré en premier » et « combien de roquettes » (même si les recherches nous montrent que dans la plupart des cas, y compris celui-ci, l'agresseur est Israël), mais à tout à voir avec les concepts humains les plus basiques, comme la moralité, la conscience, et le fait de ne pas avoir de sang sur les mains après le massacre (« oups, encore un ») d'enfants par notre gouvernement, qui appelle ça de « l'auto-défense ».
Et c'est le point principal : en tant qu'Israélienne, même si je n'ai pas appuyé sur la gâchette, j'aurai toujours du sang sur les mains si je garde le silence face à ce qui se passe.

Jihad Masharawi, journaliste photographe pour BBC Arabic, tient en pleurant son bébé, tué aujourd'hui par l'armée israélienne.
Pourquoi les Palestiniens lancent-il des roquettes sur Israël ? L'immense majorité d'entre elles, et j'insiste sur IMMENSE majorité, soit manquent leur cible, soit font un petit trou par terre, loin de la cible voulue. Il semble que les attaques de roquettes ne servent qu'à justifier l'attaque de Gaza et le meurtre des Palestiniens par l'armée israélienne.
Le truc, c'est que les attaques de roquettes sont le SEUL moyen dont disposent les Palestiniens pour protester contre l'occupation de leur terre depuis 60 ans, en réponse à des agressions et des meurtres israéliens injustifiés contre des civils palestiniens. Réfléchissez-y deux minutes. Les Palestiniens n'ont pas l'option de faire appel à la communauté internationale, parce que personne n'écoute. Ils n'ont aucune chance que les médias occidentaux exercent des pressions pour faire cesser l'agression israélienne et réparer les torts subis par les Palestiniens, parce que les médias occidentaux prennent éhontément le parti d'Israël.
Les Palestiniens ont deux choix : ils peuvent rester tranquillement les bras croisés et laisser l'IDF (Israeli Defense Forces) les massacrer arbitrairement et sommairement, ou ils peuvent lancer des tirs de roquettes primitives en direction des cibles les plus proches en territoire israélien, dans l'espoir de faire réfléchir à deux fois le gouvernement israélien. Mais même là, les Palestiniens ont un problème : le gouvernement israélien se réjouit des tirs de roquettes palestiniens sur Israël, et les provoque à intervalles réguliers.
À l'heure actuelle, 250 000 personnes sont privées d'électricité dans le sud de Manhattan. Le pronostic de rétablissement du réseau n'est pas bon. Quand l'océan a envahi les rives de l'East River, à proximité de la sous-station électrique ConEd de la 13e Rue, le transformateur a explosé de façon spectaculaire.
Il y a quelques jours, j'ai appris qu'Andrea Fornella Abbott, 41 ans, avait été déclarée coupable mardi de trouble à l'ordre public après avoir été arrêtée en juillet 2011 à l'aéroport international de Nashville. Elle était confrontée à 30 jours de prison et à une amende de 50 $, mais le juge l'a soumise à un an de probation parce qu'elle n'avait pas de casier judiciaire. « Et alors ? » me direz-vous. Ce qui m'a ennuyé, c'est son prétendu « trouble à l'ordre public ». Son « crime » a été de discuter avec des agents de la TSA, en insistant pour qu'ils ne touchent pas les parties intimes de sa fille de 14 ans lors d'une « fouille au corps de routine » avant de refuser de subir la procédure invasive elle-même. Vous voyez, le trouble à l'ordre public ne venait pas d'une mère légitimement soucieuse de l'intimité de sa fille et d'elle-même, mais des agents et de la TSA qui ont institutionnalisé le trouble « à l'ordre public » - disons le franchement - pathologique sur la base du Gros Mensonge de la Guerre contre le Terrorisme.
Voici la séquence filmée de l'événement. Bien qu'il n'y ait pas de son, il est clair qu'Andrea Fornella ne faisait que plaider sa cause. Voilà pour l'illusion de la libre expression.
Avec l'avènement d'Internet est venue l'Ère de l'Information ; il est désormais possible de diffuser et de trouver des informations sur presque n'importe quoi avec une facilité et une aisance sans précédent - des informations qui, il y a encore quelques dizaines d'années, auraient été extrêmement difficiles, sinon impossibles à obtenir pour la plupart des gens. Plus de données que n'importe qui d'entre nous pourra jamais en assimiler se trouvent maintenant au bout de nos doigts, et les actualités concernant la plupart des événements mondiaux sont disponibles pratiquement instantanément. Là où l'information est supprimée, elle finit par réapparaître tôt ou tard (plus tôt que tard, d'ailleurs). Nous emportons Internet avec nous dans des ordinateurs et des appareils portables super-puissants, et culturellement, dans notre vie quotidienne, nous passons maintenant énormément de temps en ligne, que ce soit pour le travail ou les loisirs.
Tout est connecté ! En un laps de temps relativement court, notre société mondiale est devenue un vaste réseau de diffuseurs d'information, une sorte de réseau cérébral géant qui traite et partage les données avec ses contreparties au sein de ce grand corps qu'est l'humanité. Pas étonnant que notre paradigme collectif soit en train de se modifier et que les patterns les plus profonds de notre structure subconsciente/archétypale - faits d'enseignements des Mystères et de prophéties antiques, d'histoires de pouvoir et d'allégories spirituelles, d'aventures épiques et de vieilles légendes - aient émergé au premier plan de notre conscience, devenant des sujets d'intérêt captivants.
Le 6 avril exactement, un séisme d'une magnitude de 6,3 sur l'échelle de Richter frappait la région de l'Aquila au centre de l'Italie et faisait plus de 300 victimes et 67 000 sinistrés.
Or le 31 mars, soit six jours avant l'événement, la commission « grands risques » constituée de sept experts s'était réunie afin d'étudier un « phénomène tellurique » en cours depuis décembre 2008.
À l'issue de cette réunion, elle avait indiqué qu'il n'était pas possible de prédire la survenue éventuelle d'un séisme plus important, mais avait recommandé de respecter davantage les mesures de prévention antisismiques, en particulier dans la construction des immeubles.
Le mardi 23 octobre 2012, les sept experts susmentionnés ont été condamnés en première instance à six ans de prison ferme.
De nombreux scientifiques sont très heureux de parler ouvertement d'une « sixième extinction » qui a commencé il y a environ 10 000 ans, car ils tiennent l'homme pour responsable. Blâmer l'homme sous-entend de manière anthropocentrique que nous sommes en quelque sorte à l'abri d'une extinction soudaine et que l'on peut remédier à la disparition des autres espèces, le tout étant de changer nos habitudes de vie qui favorisent le « réchauffement planétaire » ! Cependant, les véritables faits de l'histoire de la vie sur terre suggèrent que, du point de vue de la « nature », les humains ne sont qu'une espèce de plus dont les jours aussi sont comptés. En effet, les données historiques montrent qu'à maintes reprises, la nature a fait preuve d'une grande aptitude et d'une grande créativité pour remettre les pendules à l'heure, et ce, même pour les civilisations les plus « avancées ».
Pour ceux qui ne veulent pas en lire davantage (ou qui ne désirent pas être confrontés aux preuves), la dure réalité est que, au cours de ces dernières années, les signes célestes - sous la forme d'un nombre croissant de météorites/fragments cométaires envahissant notre atmosphère pas si isolée que cela - indiquent que l'humanité est au bord d'un événement de type « extinction ».
Lorsque j'ai vu pour la première fois le gros titre dans le Wall Street Journal de Murdoch, j'ai pensé que c'était une blague et je me suis demandé si le WSJ s'était mis à publier des articles satiriques. Mais quand il s'avéra que le compte-rendu selon lequel l'Union européenne avait reçu le prix Nobel de la paix de cette année était authentique, je suis allé vérifier quels autres organes de propagande traditionnels véhiculaient l'histoire. À ma grande surprise, c'était bien vrai et cela m'a immédiatement rappelé une autre absurdité : celle du chef suprême de la guerre du gouvernement américain (avec sa « liste des personnes à assassiner » par-dessus le marché) recevant le même prix en 2009.
Ma deuxième réaction fut d'écrire un article satirique en mettant en avant une organisation candidate tout aussi improbable pour un prix de la paix, comme la Réserve Fédérale ou le Congrès américain. Mais ridiculiser le comité Nobel aurait été trop facile et, en tout état de cause, comme beaucoup d'autres, je voulais vraiment connaître la raison derrière ce choix. À lire certains des commentaires sur The Telegraph et The Guardian, il est clair qu'il y a un sentiment écrasant d'ahurissement et de frustration face à ce que le prix Nobel de la paix est devenu : une farce.
Commentaire: Sott.net propose une série particulièrement exhaustive d'articles passionnants intitulée "Comètes et Catastrophes"