Disparus aussi, les entretiens avec les critiques sociaux Cornel West, Tariq Ali, Noam Chomsky, Gerald Horne, Wendy Brown, Paul Street, Gabriel Rockwell, Naomi Wolff et Slavoj Zizek. Disparus, les entretiens avec les romanciers Russell Banks et Salar Abdoh. Disparue, l'interview de Kevin Sharp, ancien juge fédéral, sur le cas de Leonard Peltier. Disparus, les entretiens avec les économistes David Harvey et Richard Wolff. Disparus, les entretiens avec les vétérans et diplômés de West Point Danny Sjursen et Eric Edstrom sur nos guerres au Moyen-Orient. Disparues, les discussions avec les journalistes Glenn Greenwald et Matt Taibbi. Disparues, les voix de ceux qui sont persécutés et marginalisés, notamment l'avocat des droits de l'homme Steven Donziger et le prisonnier politique Mumia Abu Jamal. Aucune des émissions que j'ai réalisées sur l'incarcération de masse, où j'interviewais des personnes libérées de nos prisons, n'est plus présente sur YouTube. Les émissions avec les caricaturistes Joe Sacco et Dwayne Booth ont disparu. Ils ont fondu dans l'air, sans laisser un seul support derrière eux.
La protéine spike des « vaccins » Covid subsiste chez l'être humain pendant au moins quatre mois après l'injection. Il s'agit d'une toxine qui perfore directement les membranes cellulaires. Elle provoque des lésions mitochondriales dans les cellules et une maladie de type Covid chez les souris.
Mais se retrouve-t-elle chez l'être humain à des concentrations qui créeraient ces problèmes ? Et les modifications apportées aux protéines spike du « vaccin » sont-elles susceptibles de réduire cette toxicité ?
Cet article est le premier d'une série dans laquelle je décrirai les mécanismes potentiels de la toxicité de la protéine spike et des effets secondaires des « vaccins », et je présenterai des mesures que les « vaccinés » peuvent prendre pour se protéger contre ces effets, voire en guérir. Dans ce premier article de la série, nous examinons la protéine spike en tant que toxine capable de percer des trous minuscules. Tout d'abord, quelques informations essentielles.
Avant que nous ne soyons accusés de russophobie (par des personnes à la mémoire trop courte ou ayant des objectifs à visée plus large), permettez-moi de rappeler à tous que depuis que nous avons fondé et lancé OffGuardian nous avons été qualifiés de « trolls russes » parce que nous avons constamment défendu les actions de la Russie, tant en Ukraine en 2014-16 que plus tard en Syrie et ailleurs.
Je suis plus que consciente que la Russie a longtemps lutté contre la menace existentielle que propose l'Otan et l'empire étatsunien.
Oui, la Russie s'est opposée à l'impérialisme étatsunien... mais pour des raisons de survie nationale et non d'idéologie. Elle s'est dressée contre le militarisme et l'hégémonie des États-Unis, mais pas contre le « mondialisme ».
Une pluviométrie sans précédent a déferlé sur le Brésil, affectant des millions de personnes. Des coulées de boue et des inondations se sont produites dans la ville de Petropolis, entraînant la mort d'au moins 152 personnes. Les rivières en crue dans l'État du Rondônia ont contraint des milliers de personnes à fuir et les routes se sont transformées en rivières dans la ville d'Umuarama.
La République dominicaine et Haïti ont été confrontées à des pluies torrentielles et à des vents violents causés par un front froid. Il a plu pendant 36 heures, et plusieurs rivières sont sorties de leur lit. Près de 3 444 foyers ont été touchés, et 2 500 familles ont été déplacées.
En Équateur, certaines parties de Quito ont été dévastées par les plus intenses précipitations pluvieuses depuis près de 20 ans. Il est tombé 40 fois plus de pluie que prévu par les prévisions. Le déluge a déclenché un glissement de terrain qui a entraîné la mort de 24 personnes, la destruction de plusieurs maisons, et emporté des dizaines de véhicules.

Eugenio Cisterna, détail de la mosaïque La Pentecôte — 1903
Basilique Notre-Dame du Rosaire de Lourdes

Eugenio Cisterna, La Pentecôte — 1903
Mosaïque de la basilique Notre-Dame du Rosaire de Lourdes
Introduction — Ibn 'Arabî et la mystique de l'Islam
Selon le professeur Henry Corbin, l'un des plus prolifiques spécialistes du mysticisme de l'Islam du XXe siècle, Ibn 'Arabî (1165-1240) était
« un génie spirituel qui était non seulement l'un des plus grands maîtres du soufisme dans l'Islam, mais aussi l'un des grands mystiques de tous les temps. »L'Imagination (khayâl), comme l'a montré Corbin, joue un rôle majeur dans les écrits d'Ibn 'Arabî. Dans les Openings [Ouvertures - NT], par exemple, Ibn 'Arabî dit à ce sujet :
« Après la connaissance des noms divins et de la révélation de soi et de son omniprésence, aucun pilier de la connaissance n'est plus complet. »Ibn 'Arabî critique fréquemment les philosophes et les théologiens pour leur incapacité à reconnaître sa signification cognitive. Selon lui, « aql » ou raison, un mot qui dérive de la même racine que « iqâl » ou entrave, ne peut que délimiter, définir et analyser. La raison perçoit la différence et la distinction, et saisit rapidement la transcendance et l'incomparabilité divines.

Stepan Bandera (au centre) portant la Croix du Mérite allemand 2e classe avec épées. Il ne se prétendait pas nazi, juste « nationaliste » ukrainien. Dès 1935, Bandera prône la violence politique. Il fait assassiner une soixantaine de personnalités dont deux ministres polonais. Durant la Seconde Guerre mondiale, il organise l’extermination des intellectuels juifs et slaves. Le nouveau régime ukrainien a élevé des monuments à sa gloire dont un à Lviv, ville où il supervisa un massacre.
Lucien Cerise : En Ukraine, les ennuis ont commencé en 2013, avec le lancement de la deuxième révolution colorée dans ce pays, nommée dans les médias « EuroMaïdan », formé à partir du surnom « Maïdan » de la place centrale de Kiev. Le but de cette insurrection était de faire tomber le président de la république en exercice, accusé d'être pro-russe, puis de purger l'État, l'administration et les médias de tout ce qui restait de fonctionnaires, d'intellectuels ou de journalistes favorables à la Russie.
Ceci dans la perspective de faire adhérer l'Ukraine à l'Union européenne, ce que Moscou peut supporter, et à l'OTAN, ce qui représente en revanche un danger mortel pour l'intégrité de la Russie. Sur le site de l'OTAN, la chronologie de toutes les étapes de l'intégration de l'Ukraine dans l'OTAN est récapitulée. Un extrait :
« En septembre 2020, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a approuvé la nouvelle stratégie de sécurité nationale de l'Ukraine, qui prévoit le développement du Partenariat spécifique OTAN-Ukraine en vue d'une adhésion du pays à l'Organisation. » [1]À noter, le site de l'OTAN est en quatre langues : l'anglais et le français - les deux langues diplomatiques - le russe, pour s'adresser à l'ennemi et, on se demande bien pourquoi, l'ukrainien ! Deux régions ukrainiennes ont désapprouvé en 2014 la révolution EuroMaïdan et l'avenir euro-atlantiste qu'elle promettait au pays : la Crimée, qui a rejoint la Russie, et le Donbass, que la Russie n'a pas accepté d'intégrer, ce qui a lancé une guerre civile entre l'État central de Kiev et cette région rebelle, devenue une sorte de nouvelle Vendée slave.
La perception exacte, le langage précis et l'objectivité sont les premières victimes des guerres et des conflits. Et pour cause. L'émotion éclipse la raison. Le prisme « nous/ils » réfracte et déforme nos pensées. L'individu est emporté par l'humeur collective. La frénésie gronde juste sous la surface.
Les expériences de guerre et de conflit ne sont cependant pas uniformes. Elles varient. Quel sang est versé, en quelle quantité ? Sommes-nous les protagonistes directs ou simplement les partisans empathiques de certains combattants ? Dans quelle mesure et pourquoi nous identifions-nous à un camp ? À quel point haïssons-nous l'autre camp ? Notre moi collectif est-il vulnérable ou confiant ? Quel est le niveau d'anxiété préexistant ?
L'un des principaux thèmes sous-jacents de la matrice Russie/Ukraine/OTAN est que l'Empire du mensonge (copyright Poutine) a été ébranlé jusque dans ses tréfonds par la capacité combinée des missiles hypersoniques russes et d'un bouclier défensif capable de bloquer les missiles nucléaires provenant de l'Ouest, mettant ainsi fin à la destruction mutuelle assurée (DMA).
Cela a conduit les Étatsuniens à presque risquer une guerre chaude pour pouvoir placer des missiles hypersoniques qu'ils n'ont toujours pas à la frontière occidentale de l'Ukraine, et être ainsi à trois minutes de Moscou. Pour cela, ils ont bien sûr besoin de l'Ukraine, ainsi que de la Pologne et de la Roumanie en Europe de l'Est.
En Ukraine, les Étatsuniens sont déterminés à se battre jusqu'à la dernière âme européenne — s'ils doivent pour réussir en passer par là. Il s'agit peut-être du dernier coup de dé (nucléaire). Et donc de l'avant-dernière tentative de contraindre la Russie à se soumettre en utilisant la dernière arme étatsunienne de destruction massive encore utilisable : SWIFT.
L'enquête déconstruit l'image lisse d'un mouvement qui a inspiré le public occidental, alors que trois mouvements néonazis étaient présents aux côtés des manifestants à Kiev fin 2013 et début 2014. De là, ils ont infiltré les institutions gouvernementales en Ukraine et, avec une aide militaire, financière et technologique considérable des forces de l'OTAN et des agences de renseignement occidentales, ont progressivement pris le contrôle des forces militaires du pays et les ont dirigées pour lancer une « opération anti-terroriste » qui visait les Russes ethniques opposés à la révolution de Kiev.
Commentaire: Voir aussi les articles suivants :