En 1999, il me fut demandé d'analyser les données sur les femmes enceintes et le tabagisme pour une grande compagnie d'assurance-santé. Ils faisaient une campagne pour que les femmes enceintes cessent de fumer et s'attendaient à trouver des données intéressantes pour soutenir leur argumentaire.
Je donnais des cours universitaires abordant le sujet. Les manuels déclaraient que fumer provoque la naissance de bébés prématurés en sous-poids. À cause de ceci, les bébés des mères fumeuses sont plus susceptibles de souffrir d'anomalies congénitales. Pour l'alcool, deux verres par jour étaient considérés sans danger mais pour le tabac il n'y avait pas de seuil d'innocuité. Je trouvais cela plutôt étrange. Vous fumez une cigarette pendant la grossesse et vous êtes plus susceptibles d'avoir un enfant souffrant d'anomalies congénitales ? Même pour un fanatique inconditionnel de la santé, c'est dur à croire.
Voici ce que je trouvai dans les données. Le poids moyen des bébés des mères fumeuses était de 3232 grammes. Celui des mères non fumeuses était de 3398 grammes. Cela fait environ 150 grammes de différence, ce qui n'est pas statistiquement significatif. Un poids de 3 kg à la naissance est un bon poids sain qui ne déclenche aucune alerte. Les bébés sont considérés en sous-poids s'ils font moins de 2270 grammes. 4,5 % des bébés de mères fumeuses étaient en sous-poids de même que 3,3 % des bébés de mères non fumeuses. La différence n'est pas significative. Il n'y a ici aucun indice de risque pour la santé causé par le tabagisme sur la base du poids.

Plus de 7,5 millions d’enfants ont été vaccinés contre la polio en Afghanistan en 2009
Depuis que la polio avait été éradiquée en 1999, c'est la première fois que la Syrie connaît de nouveaux cas de cette maladie infectieuse aiguë, contagieuse, et très invalidante. Cette épidémie de polio fait craindre une contagion à l'ensemble de la région (Syrie, Liban, Israël, Jordanie, Turquie, Palestine) et afin d'éviter la propagation de la maladie, une campagne de vaccination est actuellement mise en place par Damas. Plus de deux millions d'enfants devraient être vaccinés. Dans un article publié par L'Express, on peut lire que « les dix enfants souffrant de la polio n'étaient pas ou peu protégés contre cette maladie grave. Plus de 100 000 enfants vivent dans la même région de la Syrie : tous doivent être vaccinés ou revaccinés, selon l'OMS ».
Ainsi que l'écrivait Paul Craig Roberts au mois de mars dernier, « On sait maintenant que la justification de l'invasion était un paquet de mensonges orchestrés par le régime néoconservateur de Bush dans le but de tromper l'Organisation des Nations Unies et le peuple américain. ». Les infrastructures sont en ruine, les orphelins sont légion et les veuves sont si nombreuses que la polygamie est de retour. « Ce que les criminels de guerre de Washington ont apporté, c'est la mort et la destruction d'un pays. »
Ces chiffres ne sont pas seulement des statistiques : il s'agit d'individus, comme vous et moi : des hommes, des femmes, des enfants, des familles entières décimées non seulement par la guerre elle-même, mais également par les sanctions économiques des États-Unis qui ont précédé la guerre en Irak. Ce qui reste de ces familles est encore aujourd'hui un peu plus détruit et sacrifié sur l'autel de la déraison dans une guerre de religion entre les chiites et les sunnites. La stratégie du chaos fonctionne à plein « régime », sans mauvais jeu de mots. Pas un jour ne se passe sans qu'une explosion ait lieu en Irak et que des victimes innocentes perdent la vie. La guerre « civile » - une guerre de religion - a pris le relais de la guerre étasunienne. Georges Stanechey, dans son article du 13 mars dernier, écrivait : « Méticuleusement organisée, financée, armée, pour en prolonger l'égorgement, l'épuisement, la mise à mort, l'agonie. Une moyenne de trois mille morts par mois. ».
L'idée qu'un homme du nom de Jésus-Christ, né d'une vierge, faiseur de miracles, trahi et crucifié et se déclarant le « Fils de Dieu », ait réellement existé durant l'Empire romain dans la région de la Palestine moderne, fait l'objet d'un long débat souvent houleux.
Les historiens et les archéologues maintiennent catégoriquement qu'il n'y a aucune preuve historique de l'existence d'une telle personne et les chrétiens, de leur côté, se contentent de savoir dans leurs cœurs que Jésus a vécu et est mort pour effacer nos péchés (ou nos dettes). Alors, qu'en est-il ?
Ce qui est nouveau, bien que ce ne soit pas précisément très connu (c'est le moins qu'on puisse dire), c'est qu'il existe des preuves qui suggèrent que les détails de la vie de Jésus-Christ ont en fait été piqués à un autre célèbre J.-C. de la même époque. Alors, sérieusement, qui était le premier ici ?
Transcription ci-dessous :
Introduction
Commentaire:
Révélations : Jésus était Jules César !
Francesco Carotta : « si le Jésus Christ historique était Jules César, cela créerait un problème aux Églises, aux athées, et à la politique des occidentaux au Moyen Orient »
Selon Francesco Carotta, Flavius Josèphe était Paul de Tarse
Le christianisme : une religion impérialiste et opportuniste d'origine Romaine
D'où vient le bonnet de Marianne ?
L'un des livres (dans la catégorie histoires vraies) les plus prenants que j'aie jamais lus est In Broad Daylight [en plein jour - NdT], de Harry N. MacLean, un compte-rendu authentique de la vie et de la mort de Ken Rex McElroy, un voleur, escroc et, plus généralement, pitoyable représentant de la race humaine, qui sévissait à Skidmore, Comté de Nodoway, Missouri, USA.
Avec force détails crus et choquants, MacLean expose la nature véritablement psychopathique de McElroy, qui intimida, terrorisa et maltraita ses femmes, ses enfants et la population locale pendant plusieurs années. La justice se faisait attendre, McElroy déjouant sans cesse les tentatives de la police locale de le prendre sur le fait et utilisant le système judiciaire pour s'en tirer à bon compte et ne pas avoir à répondre de son comportement monstrueux. Finalement, après le meurtre par balle du propriétaire d'un magasin du coin par McElroy, les gens de la ville, galvanisés, décidèrent de faire justice eux-mêmes, et McElroy fut abattu « en plein jour » dans une rue de Skidmore, alors qu'il était assis dans son camion. Personne ne fut jamais inquiété pour son meurtre. Peu de gens (voire personne) pleurèrent sa mort.
J'ai repensé à cette histoire récemment, car depuis quelque temps, une ville située dans le Comté de Nodoway, Missouri (non loin de Skidmore) et ses habitants font l'actualité.
En janvier 2012, Daisy Coleman, 14 ans, et une de ses amies (13 ans) sortent en douce de la maison de Daisy, à Maryville, Comté de Nodoway, vers 1h du matin. Elles rejoignent deux « athlètes » de leur lycée et montent dans leur voiture. L'un des « athlètes », Matthew Barnett, et son copain conduisent Daisy et son amie chez Barnett. Là, on donne à Daisy un grand verre d'alcool que les garçons appellent la « bitch cup » [tasse à salope - NdT] ; après, c'est le trou noir, Daisy ne se souvient de rien. Quelques heures plus tard, Melinda, la mère de Daisy, retrouve sa fille dehors, en état d'hypothermie, en train de gratter à la porte de la maison familiale. C'est en aidant Daisy à prendre un bain que Melinda remarque les rougeurs autour des parties génitales et des fesses de sa fille. « Ça fait mal », dit Daisy lorsque sa mère l'interroge sur ces rougeurs. Ensuite, Daisy fond en larmes.
Premier épisode d'une série occasionnelle explorant l'amalgame d'intérêts politiques et financiers entre les législateurs du gouvernement et les plus grandes industries du monde.
Pour savoir ce qu'est réellement le fascisme et pourquoi nous devons le combattre et le détruire ici en Amérique, nous devons avant tout savoir ce que nous combattons, ce que sont vraiment les régimes fascistes et ce qu'ils font, qui finance et soutient le fascisme dans chaque pays (y compris les États-Unis en ce moment même), qui détient les nations sous de tels régimes et pourquoi les autochtones de tous les pays fascistes doivent être conduits vers un travail plus dur, moins d'argent, un niveau de vie réduit, la pauvreté et le désespoir, de sorte que les hommes et les grandes entreprises qui financent, subventionnent et possèdent le fascisme puissent devenir incroyablement riches.
- George Seldes, 1943
Ce matin, j'ai failli recracher tout mon thé sur mon clavier quand j'ai lu que le prix Nobel de la paix avait été décerné à l'« organisme international de surveillance des armes chimiques », l'Organisation pour l'Interdiction des Armes Chimiques (OIAC). Pardonnez mon cynisme, mais après que le va-t-en-guerre en chef Obama ait reçu la médaille en 2009, et la fourbe Union européenne l'an dernier, il me semble plutôt clair que la sélection du vainqueur de cette année soit à nouveau une déclaration politique en faveur de la guerre.
Ni la Syrie, ni le travail de l'OIAC avec les inspecteurs de l'ONU en Syrie ne sont mentionnés dans le communiqué de presse du Comité du Nobel. En fait, les États-Unis et la Russie sont épinglés pour leur non-respect des obligations du Traité. Toutefois, soyez tranquilles, CNN et tous les autres grands médias foireux en font tout un foin pour recentrer l'attention internationale sur le programme de « choc et stupeur », mené par les États-Unis, en Syrie.
CNN
Vendredi 11 octobre 2013
« Le prix Nobel de la paix a rallumé le projecteur mondial sur le conflit en Syrie.
Le Comité du prix à Oslo, en Norvège, l'a décerné vendredi à l'organisme international de surveillance des armes chimiques qui aide à l'élimination des stocks de gaz toxiques de l'armée syrienne, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).
Ses inspecteurs viennent tout juste d'entamer cette mission dans la zone de guerre active et le Comité norvégien du Nobel lui a décerné le prix pour soutenir la tâche ardue et dangereuse qui les attend. »

La liberté enterrée sous le poids de l'orgueil démesuré et de la corruption de la science moderne
« Les germes ne sont pas conscients qu'ils seront brûlés vifs ou enterrés profondément dans le sol avec le corps humain dont ils ont causé la mort. »Appliqué au thème de cet essai, cet adage n'est pas qu'une simple métaphore ; il est profondément et terriblement exact. Imaginez un monde qui croit au réchauffement planétaire soudainement frappé par le début d'une ère glaciaire. Les études révèlent que les ères glaciaires sont probablement précédées de périodes d'affolement météorologique (critère vérifié), des points chauds et des points froids (critère vérifié), des pluies torrentielles localisées et des inondations (critère vérifié), un accroissement des poussières cométaires dans l'atmosphère (critère vérifié), une augmentation du volcanisme (critère vérifié), une série d'hiver particulièrement froids et durs (critère vérifié) émaillés de vagues de chaleur et de sécheresses localisées (critère vérifié) ; puis, finalement, l'hiver décisif survient quand l'échauffement accru de la planète même (prouvé par le volcanisme accru) et l'augmentation de l'évaporation des mers concomitante se combine à l'atmosphère supérieure abaissée et refroidie et que la neige commence à tomber et tomber... et tomber... et tomber. Convertissez les millimètres cube de pluie qui sont tombés sur des parties de l'hémisphère nord supérieur ces dernières années en volumes de neige et vous pouvez facilement voir que des régions entières pourraient être rapidement enterrées sous des mètres et des mètres de neige qui, en supposant que l'effet albédo ne prenne rapidement le dessus et empêche la neige de fondre, au moment effectif de la fonte, multiplieraient les millions de créatures vivantes - y compris les gens - qui périraient, ensevelis avec les dirigeants pathologiques dont ils ont cru à tort qu'ils avaient leurs meilleurs intérêts à cœur.
En supposant que les pays d'origine des principaux scientifiques qui exposent la toute récente fraude scientifique du GIEC sur le changement climatique ne fassent pas partie de ceux qui seront enterrés sous la glace de la période glaciaire rapidement décroissante, que pensez-vous qu'il leur arrivera dans les régions qui ne seront pas ensevelies sous un kilomètre ou deux de glace ? Je ne sais pas pour vous mais pour moi l'image n'est pas belle à voir. Ces idiots jouent non seulement avec les vies de l'intégralité de la population de cette planète mais ils misent la leur sans même avoir une paire dans leur jeu.
Le psychopathe belliqueux John Kerry a, encore une fois, essayé de persuader le monde, de soutenir une attaque contre des basanés « au-delà des océans ». Alors que je regardais son discours il y a quelques jours, j'avais beaucoup de choses à dire en réponse. Malheureusement, je n'avais pas été invité à assister à l'événement. Donc, j'ai écrit mes réponses ici, pour les seules personnes qui importent réellement en ce monde, c'est-à-dire pas John Kerry ou sa coterie de maîtres et serviteurs psychopathiques. Il y en a beaucoup. Trop même.
Cela fait maintenant plusieurs jours que le président Obama consulte le Congrès et parle avec des dirigeants du monde de la situation en Syrie.
Et la nuit dernière, le président a demandé à toute son équipe de sécurité nationale de consulter également les dirigeants du Congrès, y compris les dirigeants des comités parlementaires de sécurité nationale. Et il nous a demandé de nous consulter sur ce que nous savons des horribles attentats aux armes chimiques qui ont eu lieu dans la banlieue de Damas la semaine dernière.
Je vais vous dire, moi qui ai passé presque trois décennies au Congrès des États-Unis, que je sais que cette consultation est le bon moyen pour un président de décider si l'on doit utiliser la force militaire et quand et comment. Et il est important de poser les questions difficiles et de recevoir les réponses pénibles avant de passer à l'action, pas juste après.

État policier : des employés civils du Navy Yard de Washington sont évacués de force, mains en l'air, d'un immeuble après la fusillade de masse qui a eu lieu à Washington, D.C. le 16 septembre 2013.
C'est la 16e fusillade aux États-Unis depuis qu'Obama est au pouvoir.
Une fois encore, les rapports initiaux ont décrit des « tireurs multiples ». Une fois encore, ces rapports ont été remplacés par la version du « tireur solitaire » - cette fois--ci, il s'agit d'un ancien réserviste de la Marine US du nom d'Aaron Alexis.
Alors, ce type a juste pété un plomb, comme ça ? Compte tenu des conditions financières, sociales et environnementales de plus en plus stressantes que la plupart d'entre nous subissent, cela n'aurait rien d'étonnant.
Mais il peut également être utile de poser cette question : Alexis était-il un autre pigeon mentalement programmé ?
Nous savons que la programmation mentale n'est pas de la science-fiction : c'est un fait. Des techniques visant à manipuler des gens pour les pousser à commettre des actes effroyables qu'ils ne commettraient pas autrement ont été mises au point par le gouvernement US il y a des décennies de cela.
Mais pourquoi le gouvernement US - ou n'importe quel gouvernement, d'ailleurs - manigancerait-il ce genre de plans macabres ?
Eh bien, si vous répandez suffisamment la peur, vous pouvez faire accepter quasi n'importe quoi aux gens.
Toutefois, cette stratégie pose un léger problème, un problème qui pourrait ruiner leurs plans les plus « infaillibles ».
Je vais essayer de vous expliquer...
Commentaire: Attention toutefois à la qualité des cigarettes. Ce sont les additifs utilisés qui semblent entrainer une dépendance au tabac.