Du point de vue politique, à partir des velléités impériales d'Olivier Cromwell (1599 - 1658), ce qui deviendra l'empire britannique a étendu son emprise sur le monde via le développement du système des banques centrales, du parlementarisme représentatif et du droit anglo-saxon (qui tourne autour des seuls axes commerciaux et maritimes). Il faut immédiatement rappeler que ce « droit anglo-saxon » s'était émancipé du principe de droit continental à partir de 1531 (naissance de l'Église anglicane sous le règne du Roi Henri VIII), transformant sa vocation initiale, qui était d'organiser les conditions de la vie en commun, en « arme de contrôle des populations » aux mains des puissants.
Olivier Cromwell a initié le principe de Commonwealth, sorte de République commerciale universelle rattachée à la Couronne en utilisant sa boîte à outil faite d'anonymat, d'opacité, de théâtre politique (via le parlementarisme dit représentatif), afin d'établir les ferments de ce qui deviendra (est d'ores et déjà devenu !) l'hégémonie capitalistique et apatride de la haute finance anglo-saxonne. Précisons immédiatement que c'est donc bien le modèle capitalistique hollando-britannique qui s'est imposé, aux dépens du modèle rhénan de la cogestion et de ce qui aurait pu devenir le modèle français de la codécision (la participation).
C'est précisément ce rapport de force politique qui a généré l'obsession des tenanciers économiques à imposer une nouveau modèle impérial appelé « Gouvernement mondial » afin de réduire drastiquement l'humanité et de mettre en esclavage les rares survivants. Cet esclavage prendra la forme de la fusion des identités biologique et numérique, c'est-à-dire du contrôle des moindres actes et pensées des Hommes, ce qui n'a rien de commun avec toutes les tyrannies que nous avons historiquement connues.
Note des éditeurs : L'ouvrage de Nissim Amzallag, La Réforme du Vrai, est particulièrement éclairant sur ce qui précède mais aussi sur ce qu'il est advenu de la science depuis quatre siècles, cette « autorité d'une idéologie maquillée en savoir ».
Pourquoi parler de science ? Parce que c'est cette même « science » qui, depuis plus de quatre siècles, a permis de définir et d'asseoir les décisions prises quant à la route que nous avons suivie depuis, que ce soit en ce qui concerne la finance, l'économie, le commerce, les politiques, les guerres, la recherche, la médecine, le droit, les lois, etc. En lisant l'ouvrage, surtout si l'on a acquis au préalable des connaissances quant à la Réalité du monde dans lequel nous vivons, on ne peut que constater que TOUT est lié.
Ce sont ces mêmes décisions prises en s'appuyant sur cette « science idéologique » qui ont tracé la voie vers le globalisme devenu aujourd'hui une réalité, globalisme pour un contrôle absolu et un pouvoir total auxquels aspirent depuis plusieurs siècles les élites cachées au sein de la perfide Albion, aidés par leurs cousins d'outre-Atlantique et leurs plus proches atouts disséminés dans le monde entier.
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