James DiEugenio a enquêté sur la présidence de Kennedy et l'assassinat de Kennedy depuis l'époque de l'Assassination Records Review Board (ARRB), qui était en grande partie motivé par le succès du film d'Oliver Stone sorti en 1991, JFK, avec Kevin Costner dans le rôle du juge Jim Garrison. Son premier livre est Destiny Betrayed: JFK, Cuba, and the Garrison Case (1992, nouvellement édité en 2012). En 1993, il fonde Citizens for Truth about the Kennedy Assassination (CTKA) et coédite Probe Magazine, désormais remplacé par le site Web KennedysandKing.com.
États-Unis
La Californie a été durement touchée par des conditions météorologiques extrêmes : une bombe cyclonique, de graves inondations, des coulées de boue, des coupures de courant, des murs de neige à Soda Spring, et un tremblement de terre de magnitude 4,2 dont l'épicentre se situait au large de Malibu.
La Seconde Guerre mondiale fut le conflit le plus meurtrier de l'Histoire avec plus de 60 millions de morts soit 2,5 % de la population mondiale de l'époque dont la majorité fut des civils. Les tableaux suivants détaillent les pertes de chaque pays.
Globalement, les estimations des historiens varient de 50 millions à 85 millions de morts. Ces valeurs ne prennent pas en considération les morts de carences, privations, de suites de blessures, ou autres maladies consécutives au conflit, après mai 1945, en Europe, et septembre 1945, en Asie.
Dans tous les conflits qui ont agité l'histoire, il y a toujours eu un camp du bien et un camp du mal absolu. C'est du moins ce qui ressort des grandes déclarations politiques et de la marteau-thérapie médiatique que l'on peut observer dans les camps qui s'opposent. En fin de conflit, l'histoire est écrite par le vainqueur. Celui ci traduit souvent ses adversaires devant un tribunal en charge de condamner et de faire exécuter les chefs du camp des perdants. Les camps du bien et du mal sont alors parfaitement identifiés au regard de l'histoire.
La guerre en Ukraine n'échappe pas à cette règle universelle. Si l'on en croit les politiques et les médias occidentaux s'exprimant en parfaite connivence, le camp du bien serait le notre : USA-UE-OTAN-G7, le camp du mal serait le camp qui s'oppose au notre, quel qu'il puisse être.
« La décision de Biden de saboter les pipelines est intervenue après plus de neuf mois de débats très secrets au sein de la communauté de sécurité nationale de Washington...»
NORD STREAM
Le centre de plongée et de sauvetage de la marine américaine se trouve dans un endroit aussi obscur que son nom, sur ce qui était autrefois un chemin de campagne dans la ville rurale de Panama City, une station balnéaire en plein essor dans le sud-ouest de la Floride, à 70 miles au sud de la frontière de l'Alabama. Le complexe du centre est aussi indescriptible que son emplacement : une structure en béton terne datant de l'après-guerre qui ressemble à un lycée professionnel de la banlieue ouest de Chicago. Une buanderie et une école de danse se trouvent de l'autre côté de ce qui est maintenant une route à quatre voies.
Est-il vrai que « le 11 Septembre était une opération interne » (9/11 was an inside job) ? Oui, dans la mesure où Israël est « à l'intérieur » des États-Unis. Mais pour les chercheurs dissidents qui ont identifié Israël comme le principal responsable, la thèse inside job est une partie intégrante de l'opération sioniste, un peu comme un faux drapeau secondaire cousu en doublure sous le faux drapeau d'Al-Qaïda.
Un authentique mouvement pour la vérité aurait désigné Israël comme le principal suspect dès le départ. En effet, dès le premier jour, il était évident qu'Israël était le principal bénéficiaire. Le jour même des attentats à 13 heures, heure de New York, George Friedman (« né à Budapest, en Hongrie, de parents juifs qui ont survécu à l'Holocauste », nous informe Wikipédia) se réjouissait sur son site géopolitique Stratfor :
La guerre se prolongeant, l'« Occident » fait évoluer le concept de « démocratie » et « couvre » la vénération de l'État ukrainien « allié » pour ses criminels de guerre et d'avant-guerre. Ainsi érige-t-il le nazi ukrainien Stepan Bandera (1909-1959) en héraut de l'« indépendance ukrainienne » : léger défaut qu'il lui pardonne autant qu'à la « démocratie » ukrainienne post-Maïdan la promotion des groupements nazis et les coups de gourdin que le multi-millionaire Zelenski, digne successeur du milliardaire Porochenko, administre au peuple ukrainien : destruction du code du travail, des horaires aux salaires, et interdiction des partis et journaux d'opposition, requis par les « investisseurs » états-uniens.
À ma grande surprise, j'ai reçu plus de 1 200 commentaires, dont la plupart me disaient avoir vécu la même chose que moi. En voici un minuscule échantillon, pour vous donner une idée :
« Effectivement, j'ai aussi contracté ce nouveau virus sans nom. Je ressens une fatigue comme je n'ai jamais connu. » (Didier)
« Je suis toujours sous antibiotiques à cause d'une toux qui ne veut pas partir. Je n'ai jamais eu de tels symptômes de ma vie. » (Ratiba)
« Toujours pas remise. J'ai 60 ans et je n'ai jamais été malade comme ça ! Très très bizarre cet état. » (Evelyne)
« J'entame la troisième semaine d'une espèce de grippe - bronchite, qui ne veut pas se déloger. Ça perdure, je n'ai jamais vu ça. » (Trish)
Penseur scandaleux pour les uns, intellectuel visionnaire pour les autres, « rebelle destroy » selon ses propres termes, Emmanuel Todd ne laisse pas indifférent. L'auteur de La Chute finale, qui prédisait dès 1976 l'effondrement de l'Union soviétique, était resté discret en France sur la question de la guerre en Ukraine.