OF THE
TIMES
« Nous n'avons plus le luxe de prendre des demi-mesures. »Pour lui, le passe « sanitaire » est une de ces « demi-mesures », et constitue déjà un outil dépassé.
« la rapidité inédite de cette quatrième vague [...] partout, les indicateurs repartent à la hausse [...] le contexte épidémique nous montre les limites des mesures intermédiaires [à savoir le passe « sanitaire » qui] a fonctionné à court terme mais ne suffira pas à atteindre une vraie immunité collective. »Et voilà qu'ils reviennent avec leur idée d'immunité collective, alors que ces produits ne sont en aucun cas des « vaccins » et qu'ils ne peuvent donc en aucun cas contribuer à la moindre immunité collective, en fait, ce serait même tout l'inverse : il faudrait suspendre toutes ces injections !
« assumer ce cap de l'obligation avec volontarisme [notamment parce que] chaque jour qui passe voit les antivaccins durcir leurs propos. Il est temps d'aller au-delà de l'incitation pour franchir la dernière marche. »La dernière marche pour qui ? La dernière marche de quoi ?
« Les supermarchés, grossistes et transporteurs britanniques peinaient jeudi à approvisionner le pays en nourriture et en carburant, des centaines de milliers d'employés ayant été invités à s'isoler en tant que cas contact de personnes testées positives au Covid-19. Un porte-parole du Premier ministre Boris Johnson a assuré que le gouvernement travaillait en étroite collaboration avec les chaînes de supermarchés, dont il ne néglige pas les difficultés, mais que l'isolement restait l'un des outils majeurs de la lutte contre la pandémie.Selon un article publié par iNews aujourd'hui même (le 27 juillet 2021) :
[...]
La baisse des effectifs a semé la confusion dans des secteurs tels que l'approvisionnement alimentaire, les transports, la grande distribution, l'hôtellerie et la restauration, l'industrie manufacturière et les médias. La chaîne de supermarchés britannique Iceland a déclaré avoir été contrainte de fermer des magasins. Le pétrolier BP a également fermé temporairement des stations d'essence en raison d'une pénurie de carburant imputée au nombre de chauffeurs de poids lourds qui ont dû s'isoler dans un secteur fonctionnant déjà à flux tendus. »
« Il y a une pénurie de tout à cause de la pandémie. Les industries comme la nôtre manquent de personnel en raison des règles d'isolement. »Le journal The Scotsman titre aujourd'hui 27 juillet 2021 : « La pénurie de main-d'œuvre pour les récoltes pourrait déclencher une crise alimentaire majeure ». Voici ce qu'a déclaré Ranjit Singh Boparan, fondateur et président du Two Sisters Food Group, l'un des plus grands transformateurs de poulet et de dinde du pays :
« [...] si le secteur alimentaire a connu de nombreux défis au fil des ans, rien n'est comparable à la "tempête parfaite" qui a été provoquée par un cocktail toxique d'événements survenant en même temps. Tout a commencé avec la pandémie et, depuis une semaine environ, avec la "pingdémie". Mais depuis le mois de mai de cette année, l'environnement opérationnel s'est si profondément détérioré que je ne vois pas d'autre issue que des pénuries alimentaires majeures au Royaume-Uni. »Voici une vidéo publiée par Euronews le 21 juillet dernier et qui concerne le Royaume-Uni :
« Les grands magasins peinent à trouver de la main-d'œuvre pour leurs livraisons, ce qui crée une crise d'approvisionnement en denrées alimentaires. »
« Le transporteur a déclaré que les compagnies aériennes, dont American Airlines, ont subi des retards en raison d'un manque de chauffeurs, de camions et d'approvisionnement en carburant. »Selon un article publié dans Forbes, hier 26 juillet 2021, aussi :
« Les problèmes de chaîne d'approvisionnement ont affecté les livraisons de biens de consommation dans le monde entier, mais ils touchent maintenant le secteur de l'alcool. Selon les médias locaux américains, les pénuries d'alcool laissent les rayons vides [...] »Reuters a hier 26 juillet, encore, publié un article relatif cette fois à l'Allemagne et dont le titre est : « Le moral des entreprises allemandes en baisse en raison des pénuries d'approvisionnement et des craintes de virus ». On peut notamment lire dans cet article que
« Les problèmes d'approvisionnement pèsent sur les secteurs de l'industrie et du commerce de détail, près de 64 % des entreprises industrielles se plaignant de pénuries de matériaux, selon l'institut Ifo. »Et,
« Des événements tels que la pandémie de Covid-19, les catastrophes naturelles en Chine et en Allemagne et les cyberattaques ont contribué à pousser les chaînes d'approvisionnement mondiales vers un point de rupture, menaçant le flux fragile des matières premières, des pièces et des biens de consommation, selon des entreprises, des économistes et des spécialistes du transport maritime. »Des défauts d'approvisionnement en matériels scolaires font aussi leur apparition aux États-Unis, à un mois de la rentrée scolaire...
« Préparez-vous mentalement à d'éventuelles manigances et falsifications ; préparez-vous physiquement à des perturbations de la chaîne d'approvisionnement en vous procurant de la nourriture, de l'eau, de l'essence, des piles et d'autres articles de survie. Faites tout ce qu'il faut pour être mieux armé lorsque la prochaine crise scénarisée [ou d'origine naturelle - NdT] surviendra. »Ce qui suit correspond donc à l'article publié initialement le 28 octobre 2020.
Note du traducteur : On peut supposer qu'il s'agit des vaccins en général, mais surtout des « produits » dangereux pour la santé qui sont injectés sous le nom fallacieux de « vaccin » anti-Covid. Autant dire qu'ils ont l'air un « tantinet » désespérés, et que leur « agenda vaccinal » — lui-même un sous-agenda d'autres agendas, comme des poupées russes — ne fonctionne pas aussi bien qu'ils l'espéraient. Sinon, pourquoi prendre de telles contre-mesures ?Le Dr Vivek Murthy, Chirurgien général des États-Unis, a publié jeudi un avis mettant en garde les citoyens de son pays contre la « menace urgente » que représentent la désinformation et les fausses informations en matière de santé, lesquelles ont
« menacé la réponse des États-Unis face au Covid-19 et continuent d'empêcher les Américains de se faire vacciner, prolongeant ainsi la pandémie et mettant des vies en danger. »L'avis de 22 pages appelle les entreprises du secteur des technologies de l'information et des médias sociaux à assumer davantage de responsabilités pour mettre un terme à la diffusion en ligne de fausses informations sur la santé.
« Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »Le Dr David Martin a répondu :
« Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C'est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s'est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »
Note du traducteur : Comme c'est souvent le cas pour les traductions d'articles rédigés d'un point de vue des États-Unis ou de la Grande-Bretagne, le contenu ne se réduit pas uniquement au pays (occidental) dont il est question. Ne doutez pas que les structures gouvernementales dont il est question dans cet article n'existent qu'en Grande-Bretagne.Les gouvernements utilisent la peur pour contrôler et manipuler leurs citoyens. C'est ce que viennent d'admettre les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B), un sous-comité qui, au Royaume-Uni, conseille le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE). Ils sont bien placés pour le savoir, car ils ont plaidé en faveur de ce projet et déclarent aujourd'hui que c'était une regrettable erreur.
Les scientifiques membres d'un comité qui a encouragé le recours à la peur dans le but de contrôler le comportement des populations pendant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l'éthique » et « totalitaire ». Dans un nouveau livre sur le rôle de la psychologie dans la réponse au Covid-19 du gouvernement, les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B) ont regretté l'usage de ces tactiques .La guerre psychologique est réelle
Le SPI-B a averti en mars de l'année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » représenté par le Covid-19 étant donné qu'« un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ».
Gavin Morgan, un psychologue de l'équipe, a déclaré :« Il est clair que le recours à la peur comme moyen de contrôle n'est pas éthique. Cette pratique est empreinte de totalitarisme. Une telle position au sein d'un gouvernement moderne n'est en rien éthique. Bien que je sois une personne de nature optimiste, tout ceci fait que j'ai aujourd'hui une vision plus pessimiste des gens. »
Commentaire: Pour imager les propos de l'auteur, et se rendre compte à quel point les gens sont « mûrs » pour ouvrir les bras au totalitarisme, voici une vidéo de Mark Dice qui inclut l'option d'affichage des sous-titres en français générés automatiquement. Franchement, il y a de quoi être choqué, mais préparez-vous ne serait-ce que psychologiquement, car c'est le monde dans lequel nous vivons tous désormais : nous vivons une réelle « expérience » Milgram mondiale.
Voir aussi cet extrait du film I comme Icare, à propos de l'obéissance selon les expériences menées par Stanley Milgram :
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