Dieu sait pourtant si l'époque, dans sa folie, a été propice à susciter des réflexions et de mises en perspectives de qualité, dont j'ai eu l'honneur de re-publier un petit nombre sur ce blog. Et puis il y a des textes, parfois, d'une clarté qui atteint à l'incandescence, portés par un souffle rare, qui illuminent le champ de vision du lecteur. Celui-ci est de ceux-ci.
Il me faudrait des pages pour présenter Michel Maffesoli, un des tout grands penseurs de notre époque. Professeur émérite à la Sorbonne, il s'est inscrit dans un héritage somptueux (allant pour faire vite de Gaston Bachelard à Gilbert Durand, le défricheur lumineux des « structures anthropologiques de l'imaginaire », en passant par Jean Duvignaud, Georges Bataille, Julien Freund ou encore Georges Ballandier), produisant un renouvellement audacieux de la pratique socio-anthropologique et nourrissant une féconde descendance intellectuelle.
Dans laquelle j'ai l'heur de m'inscrire modestement puisque mon directeur de mémoire en anthropologie était au double bénéfice d'un doctorat en anthropologie (sous la direction de Gilbert Durand) et d'un doctorat d'État en Sorbonne (sous celle précisément de Michel Maffesoli.)
Celui-ci aborde ici un thème qu'il a abondamment défriché, de manière visionnaire, bien avant que qui que ce soit s'en préoccupe sérieusement : celui de la faillite des élites. Nous devons à Maffesoli des concepts essentiels pour comprendre l'effondrement de la modernité dans lequel nous nous trouvons engagés comme ceux de « tribalisme », de « nomadisme », d'« ensauvagement » ou encore d'« infosphère ».
Note du traducteur : Le choix a été fait de parler de « vaccin » uniquement pour définir que dans le cas de l'ARNm ce n'en est pas un, et pour parler de ce qu'il est dans son sens usuel. Dans tous les autres cas, le mot « vaccin » utilisé par l'auteur a été remplacé par d'autres mots ou expressions.
Quant à l'article précédent mentionné par l'auteur (publié le 10 janvier dernier), il fait le point sur les 10 choses à savoir sur cette « concoction » injectée dans le cadre de l'expérience qui constitue un viol du Code de Nuremberg et qui est dite « vaccinale » — pour soi-disant lutter contre le Covid-19 alors que les raisons sont selon toute apparence tout autres. Les sources en anglais ont été ajoutées pour permettre au lecteur de creuser plus loin :Sur les différents sujets listés ci-dessus, voir les articles suivants :
- Ce sont des outils jamais utilisés auparavant pour modifier et programmer notre génétique ;
- La « substance » à ARNm est un système d'exploitation [selon Moderna - NdT] ;
- Le concept fait fi de la sécurité sanitaire ;
- La « substance » provoque des effets secondaires dangereux [voire la mort selon la FDA - NDT] ;
- La « substance » est seulement conçue pour prévenir les symptômes modérés [selon le British Medical Journal - NdT];
- La « substance » n'est pas conçue pour empêcher la transmission ;
- L'OMS admet que les preuves de son efficacité n'existent pas ;
- La « substance » contient des nanoparticules de lipides PEGylés qui peuvent causer des maladies ;
- Ses conséquences sont dangereuses [Voir le détail sourcé dans différents pays dans l'article original en anglais - NdT].
- L'effet « stupefix » ou le secret du « vaccin » Covid
- Les mesures de confinement n'empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n'apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux
- Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire
- FDA : le « vaccin » anti-Covid-19 peut déclencher 22 problèmes de santé graves, voire la mort !
- CRIIGEN — Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies de modifications génétiques des organismes
- « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19
- « Vaccin » anti-Covid — Que disent les résultats publiés par Pfizer et quelles conclusions pouvons-nous en tirer ?
- « Cobayes humains » ? Ce que l'on ne dit pas sur le « vaccin » anti-Covid-19 de Pfizer
- Si le vaccin anti-Covid n'empêche pas l'infection, l'hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Les docteurs David Martin et Judy Mikovits expliquent que la « substance » anti-Covid n'est pas un « vaccin »
Voici le court extrait d'un échange entre les docteurs David Martin et Judy Mikovits (qui ont tous deux jusqu'à présent été très éloquents pour mettre en lumière les éléments relatifs à la soi-disant-pandémie de Covid) qui s'entretiennent avec Robert Kennedy Jr. et l'avocat Rocco Galati, lequel représente un groupe canadien de défense de la liberté qui poursuit en justice le gouvernement quant à la vaste escroquerie que constitue le Covid. David Martin fait valoir des points extrêmement importants sur le fait que nous ne pouvons pas étiqueter avec précision le dispositif que Moderna et Pfizer/BioNTech présentent de manière coercitive comme un « vaccin », puisque tant sur le plan médical que juridique, ça n'en est pas un :
Note du traducteur : James Lindsay, co-auteur avec Helen Pluckrose de Cynical Theories [« Théories cyniques », non traduit en français], semble avoir lu la Ponérologie politique d'Andrew Lobaczewski. Lindsay est, selon nous, l'un des premiers universitaires de renom à l'avoir fait et à avoir écrit quelque chose de substantiel à ce sujet (sans toutefois citer l'ouvrage en question, malheureusement). Compte tenu de sa formation en théorie critique, il est le candidat idéal pour accomplir cette mission, et sa manière de traiter de ce sujet présenté ici mérite d'être lue. Nous avons ajouté quelques commentaires qui mettent en corrélation certaines de ses idées avec la terminologie utilisée dans les travaux de Lobaczewski.Les pseudo-réalités, par définition fausses et irréelles, engendreront toujours la tragédie et le Mal à une échelle au moins proportionnelle à la portée de leur emprise sur le pouvoir — ce qui constitue leur principal intérêt — que ce soit d'un point de vue social, culturel, économique, politique ou (surtout) une combinaison de plusieurs ou de tous ces éléments. Ces pseudo-réalités sont, lorsqu'elles surgissent et prennent racine, à ce point importantes pour le développement et les tragédies des sociétés qu'il est utile de souligner leurs caractéristiques et leur structure de base afin de pouvoir les identifier et leur opposer une résistance adéquate avant qu'elles ne débouchent sur des calamités sociopolitiques — qui peuvent aller jusqu'à la guerre, en passant par le génocide et même l'effondrement de la civilisation, toutes ces possibilités étant à même de provoquer la mort de millions de personnes et la ruine de millions d'autres dans la vaine poursuite d'une fiction pour laquelle ses adeptes sont, ou sont amenés à être, suffisamment intolérants.
La nature des pseudo-réalités
Les pseudo-réalités sont, en termes simples, de fausses constructions de la réalité. Il est évident, espérons-le, que parmi les caractéristiques des pseudo-réalités figure le fait qu'elles doivent présenter une compréhension plausible mais délibérément erronée de la réalité. Il s'agit de « réalités » sectaires au sens où elles reflètent la façon dont les membres des sectes vivent et interprètent le monde — tant social que matériel — qui les entoure. Nous devons considérer de prime abord que ces interprétations délibérément erronées de la réalité remplissent deux fonctions connexes. Premièrement, elles sont destinées à modeler le monde pour qu'il puisse accueillir une petite partie des personnes qui souffrent de limitations pathologiques quant à leurs aptitudes à faire face à la réalité telle qu'elle est. Deuxièmement, elles sont conçues pour remplacer avec force toutes les autres analyses et motivations, qui seront tordues jusqu'à déformation par et au profit de ces individus essentiellement ou fonctionnellement psychopathes aussi longtemps que leur règne pseudo-réel pourra durer.
Commentaire : Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020.
« Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres ! »
Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre « Covid19 : la grande réinitialisation » se veut le bréviaire et la feuille de route d'une prise d'otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid 19 pour mettre en oeuvre la grande réinitialisation du capitalisme.
Le gouvernement a fait preuve d'imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.
Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19
Introduction - Pandémie iatrogène de panique
Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu'en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient (1) (2) :
- non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent ;
- pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire).
Sous le prétexte fallacieux d'un système national de santé au bord de la rupture, le gouvernement envisagerait de mettre en place des règles plus strictes, notamment le port obligatoire du masque à l'extérieur, l'introduction de couvre-feux et l'interdiction de ce qu'on appelle les « bulles étendues », dans lesquelles les Britanniques sont autorisés à rencontrer une seule personne qui n'est pas issue de leur foyer.
Toutefois, et c'est peut-être le plus effrayant, les ministres ont débattu en privé de la nécessité d'empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, voire qu'ils ne puissent pas quitter leur domicile plus d'une fois par semaine pour faire de l'exercice.
S'adressant aux journalistes, le Monsieur vaccin britannique, Nadhim Zahawi (né irakien), a déclaré :
« Nous sommes en train de revoir toutes les restrictions... Je m'inquiète du fait que les gens ne portent pas vraiment de masques dans les supermarchés et qu'ils ne suivent pas le parcours à sens unique fléché au sol, et qu'ils n'attendent pas à l'extérieur du supermarché lorsqu'il est bondé. Je suis inquiet de certaines des images que j'ai vues sur des interactions sociales dans les parcs. Si vous devez faire de l'exercice, vous ne pouvez sortir que pour faire de l'exercice. »Une source gouvernementale a également déclaré au Daily Telegraph que la règle actuelle permettant aux Britanniques de faire de l'exercice avec une (seule) personne qui n'est pas issue de son foyer est « utilisée comme excuse pour aller prendre un café dans le parc avec ses amis » et qu'elle sera donc probablement abandonnée.
Espérons que ces fragments ne contiennent pas quelque chose de bien pire que la grippe Covidienne qualifiée de dramatique d'une manière exagérée. Mais même si ce bolide a été ce mois-ci le plus impressionnant, de nombreux compte-rendus ont fait état d'événements similaires dans d'autres pays, notamment aux États-Unis avec deux récits enregistrés dans l'Idaho.
Désormais, les pluies torrentielles et les inondations deviennent ordinaires pour l'Asie du Sud-Est.
Le Vietnam continue d'être confronté à d'incessantes pluies diluviennes ; deux cent quatre-vingt morts, soixante-six disparus et un million et demi de personnes touchées rien qu'en décembre. Les autorités évaluent à dix mille milliards les dommages causés par cette catastrophe qui dure depuis des mois.
Le centre des Philippines fait partie des régions à avoir été frappée par des pluies continues depuis octobre. Les inondations et les glissements de terrain ont fait deux morts et entraîné ce mois-ci l'évacuation de centaines de familles.
En Indonésie occidentale, les eaux de crue ont dépassé jusqu'à cinq mètres les niveaux habituels, et ont causé des dégâts considérables et fait au moins cinq morts ; deux mille sept cents maisons se sont retrouvées sous les eaux, ce qui a contraint les autorités à couper l'électricité et l'approvisionnement en eau.
Cette fois, il n'y a pas eu d'élections mais un coup d'État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd'hui, les États-Unis sont sous le contrôle d'une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l'autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d'exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.
Mais c'est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d'autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu'ils sont. Et c'était déjà le cas avant même qu'ils n'approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd'hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C'est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d'un moment donné, le mensonge vous utilisera.
15 cm de neige et de glace devraient recouvrir le nord du Royaume-Uni cette semaine, dans le cadre d'une vague de froid qui pourrait faire chuter les températures jusqu'à -20°C dans certaines régions reculées des Highlands, des chiffres qui remettront en question les températures quotidiennes les plus froides jamais enregistrées au Royaume-Uni — au temps pour les prévisions globales annonçant que les températures extrêmement basses et les fortes chutes de neige appartiennent au passé...
À titre de référence, toutes les températures quotidiennes les plus basses jamais enregistrées au Royaume-Uni entre le 31 décembre et le 7 janvier sont supérieures à -21,2 °C, la majorité d'entre elles étant supérieures à -20 °C : le Royaume-Uni est sur le point de subir une vague de froid historique, qui pourraient battre les records établis lors des gels dévastateurs de 1941 et 1962.
Les routes et les trottoirs pourraient être transformés en patinoires fatales pendant un méga gel qui pourrait durer un mois, rapporte le dailyrecord.co.uk de manière typiquement dramatique — mais à cette occasion, l'hyperbole pourrait bien être justifiée.
Note du traducteur : Comme souvent, désormais, cet article est écrit selon la perspective d'une Britannique, mais l'ensemble s'applique aussi bien aux pays francophones des deux côtés de l'Atlantique Nord. Une preuve supplémentaire d'un agenda mondial qui n'avance même plus masqué, sans mauvais jeu de mots, encore que...Au matin, le monde est comme il devrait être. Le Soleil se lève, vers huit heures vingt, comme prévu dans cette partie de l'Angleterre pour un début du mois de décembre. Peu de temps après, je me lève, je procède à ma routine matinale habituelle, je prends un petit déjeuner rapide, je me lave et, à dix heures, je m'installe devant mon ordinateur. Les heures passent de façon inexorable jusqu'à l'heure du déjeuner. À ce moment-là, je dois faire l'effort de sortir pour effectuer mes courses.« Désormais, je me soucie bien plus de la façon dont l'humanité vit que de la durée de vie. Le progrès, pour moi, signifie accroître la bonté et le bonheur des vies individuelles. Pour l'espèce, comme pour chaque homme, la simple longévité me semble un idéal méprisable. »
~ C. S. Lewis
Aujourd'hui, je me rends le moins possible dans les magasins. Autrefois, il m'arrivait de traverser le centre ville voisin plusieurs fois par jour, sans hésiter : mais à cette époque, je pouvais sans problème me déplacer entre mon domicile et les quartiers alentour sans que passer de l'un à l'autre ne devienne un véritable casse-tête.
Maintenant, c'est différent. Aujourd'hui, au-delà des limites protectrices de notre maison, se trouve un univers parallèle, un lieu de rituels et de dogmes bizarres, où des personnages grotesquement masqués se croisent avec méfiance dans la rue ou, au supermarché, se tapissent derrière des écrans plastiques symboliques. Au lieu d'entendre de la musique en suivant le parcours réglementaire entre les allées, des voix désincarnées scandent des avertissements de mort et de maladie, m'ordonnent de me protéger et de protéger les autres en gardant mes distances et en gardant pour moi mes exhalaisons pestiférées.
Et ces voix de proclamer : « Nous sommes tous dans le même bateau ! »