Nous n'avons pas besoin de vous dire à quel point l'année 2020 aura été une année phénoménale. Après avoir passé deux décennies à suivre « les actualités » et à alerter les lectrices et les lecteurs sur le fait qu'il arriverait un moment où nous serions confrontés au totalitarisme mondial, l'année qui se termine a confirmé de façon spectaculaire nos analyses des tendances. L'hystérie d'une Troisième Guerre mondiale, qui a suivi l'assassinat par Trump d'un haut fonctionnaire iranien, a fait place à une panique mondiale due à un « nouveau » coronavirus « apprivoisé » et à des « confinements » tyranniques, et la fin de l'année s'est soldée par une élection présidentielle américaine manifestement truquée. Dans l'intervalle de ces événements marquants, les « Pouvoirs en place » ont commandité une « Révolution culturelle » visant à faire disparaître des monuments et des symboles historiques et culturels, avant d'encourager dans les faits une émeute de masse dans les villes américaines en raison d'un fantasmatique « racisme systémique ».
Le terrorisme islamique radical a, quant à lui, été « remisé au placard » tout au long de cette période de folie, avant d'être brièvement réintroduit en octobre par une série d'attentats en France et en Autriche, au moment même où des couvre-feux et un deuxième « confinement » étaient instaurés dans tout l'Occident de manière simultanée. La terreur du « Covid » s'étant manifestement estompée, il était nécessaire d'administrer une « piqûre de rappel » pour optimaliser le respect des règles chez les masses et les « immuniser » contre la pensée critique.
En dernière analyse, tout ce qui précède ne constitue guère plus que de grossières armes de distraction massive, déployées dans le but de détourner notre attention des objets géocroiseurs qui menacent la planète avec une régularité croissante, des phénomènes météorologiques et sismiques de plus en plus extrêmes (et qui détermineront probablement des futures vagues de « migration climatique »), et la « divulgation au compte-gouttes » tout au long de l'année du réel intérêt dont fait preuve le gouvernement américain pour le phénomène des OVNIs — ce qui équivaut à une reconnaissance quasi officielle que des services de renseignement supérieurs se mêlent effectivement des affaires humaines « d'en haut et au-delà ».
Selon le même éditorial publié dans le New England Journal of medicine qui annonce un « triomphe », voici ce que les auteurs de l'étude, dans un euphémisme flagrant, écrivent par ailleurs :
« Le nombre de cas graves de Covid-19 — un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo — est trop faible pour que l'on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves.Donc, en gros, ils ne savent pas grand chose et les essais cliniques menés par Pfizer qui ont conduit aux approbations de la FDA et à des milliards de ventes ne permettent en rien de déterminer :
D'autres questions se posent, notamment celle de savoir si des problèmes inattendus d'innocuité peuvent survenir lorsque le nombre de personnes vaccinées atteint des millions, voire des milliards.
On ignore également si les effets secondaires seront plus nombreux avec un suivi plus long [dans le temps - NdT], combien de temps le vaccin reste efficace, s'il limitera la transmission et comment il fonctionnera chez les enfants, les femmes enceintes et les patients immunodéprimés. »
- Si les cas graves sont plus graves ou non chez les personnes vaccinées ;
- Quel sera l'ampleur des effets secondaires une fois le vaccin administré à des millions de personnes ;
- Quels seront les effets secondaires à long terme ;
- Quelle est la durée de son efficacité.
La « guerre contre le coronavirus » n'est pas une lutte contre la maladie et ne repose pas non plus sur sa prévention. Si la « pandémie » se limite à l'impact d'une grippe saisonnière, on constate, suite aux mesures prises, une dégradation globale de la santé des individus, confirmant ainsi que cette hostilité est bien une guerre contre les populations.
Dans son dernier discours, le président Macron en précise les dernières modalités, en énonçant la possibilité d'organiser « l'isolement des personnes contaminées de manière plus contraignante,[2]» ce qui pourrait signifier, selon le sénateur Alain Houpert, la création de camps d'internement.
Bien que son cadre d'application ne soit pas précisé, le principe de précaution présente une primauté sur toute autre politique destinée à « gérer des risques incertains[3] ». Dans le cas du coronavirus, il devient un « outil de gestion virtuel de risques virtuels[4]». La « pratique scientifique » est alors réduite au principe moral de responsabilité. Ce dernier se résume à une monstration de la participation des populations à des mesures qui les asservissent. Les mesures de précaution relèvent alors d'une théologie de l'obscène, d'un faire-voir amalgamant responsabilité et culpabilité. Elles s'inscrivent dans une nouvelle religion basée sur le sacrifice.
Cette étude s'ajoute à une liste croissante d'articles publiés et évalués par des pairs (Mawson, 2017; Hooker and Miller, 2020) qui comparent la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé l'ampleur des dommages causés par les vaccins, et que l'épidémie de maladies chroniques chez les enfants n'est plus guère un mystère.
L'étude que le CDC a refusé de faire
Depuis 1986, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont légalement tenus de mener des études portant sur l'innocuité des vaccins et d'émettre tous les deux ans un rapport relatif à cette innocuité en ce qui concerne les vaccinations des enfants. En 2018, il a été établi qu'ils ne l'avaient jamais fait. Il incombe donc aux groupes non gouvernementaux de faire le travail que le CDC refuse de faire.
En tant que première organisation gouvernementale à promouvoir la vaccination des Américains, le CDC refuse de s'incriminer dans l'épidémie de maladies chroniques infantiles. Nous avons affaire ici au cas classique dans lequel on demande au renard de surveiller le poulailler. Pour ne pas risquer de voir le public se détourner de la vaccination, ils contribuent à créer un vide de preuves.

Image fournie par le ministère des armées. Vision de ce que pourrait être le combattant du futur en 2040/2050, avec des vêtements connectés, plus de protections et une interface homme/machine permettant d’aider le combattant, et issue de travaux d’étudiants de l’école de design Strate pour l’armée de terre.
En imaginant le soldat de 2030, le comité d'éthique des armées a tranché pour un mix entre Spiderman et Batman, dans son premier avis publié cette semaine. Le groupe composé de 18 membres de civils et militaires est chargé d'apporter un éclairage sur les questions d'éthique soulevées par les innovations scientifiques, techniques et leurs éventuelles applications militaires. Il devait travailler sur deux thématiques : le soldat augmenté et l'autonomie des systèmes d'armes létaux déjà testés en Chine via un drone d'attaque et commandé en masse par le Royaume-Uni. Concernant le premier sujet, le groupe de réflexion créé fin 2019 estime qu'il est nécessaire de commencer les recherches sur des méthodes invasives ou non pour augmenter les capacités des soldats.
Le temps du grand ménage est arrivé. Parce que s'il vous arrive en ce moment d'éprouver la sensation d'être au sein d'une bataille spirituelle, vous n'êtes pas seul. Nombre des plus grands érudits, philosophes et ascètes du monde ont compris l'aspect multidimensionnel du monde dans lequel vivent des êtres non physiques, bons et mauvais, en lutte perpétuelle contre nous et les uns contre les autres. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l'existence des êtres spirituels puisse être directement vécue parce que
« [...] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de voir où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir à quel endroit ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d'être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n'est pas modifiée du fait que l'homme les connaît ou ne les connaît pas. »Vous n'êtes pas seul, mais vous pourriez avoir dans votre entourage des personnes qui entravent votre voie vers la spiritualité et déséquilibrent votre recherche d'harmonie intérieure. L'article qui suit explore ce sujet. Il sera suivi par quelques citations qui aideront peut-être les lectrices et les lecteurs à y voir plus clair.
~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres
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Nous vivons une époque de folie. Il semble que nous soyons entrés dans la zone crépusculaire. Un « tourbillon » tordu de polarisation extrême et de systèmes de valeurs contradictoires. Un monde où la haine est palpable des deux côtés du point de contrôle de la polarité. La volonté orchestrée de provoquer des divisions sur tous les fronts : race, sexe, politique et religion ne devrait pas surprendre ceux qui sont sur le chemin de la spiritualité. L'énergie de l'ancienne ère des Poissons se meurt et les débranchés se battent contre la marée montante de la nouvelle ère du Verseau.
L'enfer se déchaîne. Les émeutes et la violence abondent, les pénuries alimentaires, les confinements, les conditions météorologiques extrêmes et les maladies sont au rendez-vous, et à mesure que la vie s'écoule, nos préjugés profonds et notre instinct de conservation se manifestent. Des instincts de survie délibérément exacerbés par nos sombres dirigeants, des êtres au charisme néfaste qui cherchent désespérément à garder le contrôle d'un paradigme moribond.
Programmés pour les conflits
Les humains sont programmés pour les conflits. Nous possédons tous un schéma interne de type Jekyll et Hyde — un M. Gentil et un M. Méchant qui partagent le même espace. Chacun d'entre nous est soumis à des forces positives et négatives qui envahissent notre esprit et bouleversent notre vie. La lutte pour la polarité devient évidente lorsque nous vérifions nos propres dialogues internes. Nous avons tous un Gollum qui partage notre conscience, et il est parfois inconfortable de surveiller notre pensée... et ce qu'elle révèle sur l'état de notre conscience.
- Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
- Les vaccins n'empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
- Les vaccins n'empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
- Les vaccins n'empêcheront pas les décès dus au Covid.
« Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu'ils sont exactement. »
~ Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l'école de pharmacie de l'université du Maryland
« La différence entre le génie et la stupidité, c'est que le génie a ses limites. »Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m'empêche pas d'attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »
~ Albert Einstein
Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n'a aucun sens, surtout si l'on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.
Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n'a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »
Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l'establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n'est qu'un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu'elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu'elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.
Nicole Delépine écrivait en 2017 :
« Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C'est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d'une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l'arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s'était déjà produit « ouvrant la voie à l'adoption d'un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l'euthanasie et de l'extermination des personnes handicapées dès 1931. »Ceci étant posé, voici le communiqué de Christian Cotten du 2 décembre 2020.
Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d'obligations et c'est le rôle du parlement que de protéger les droits des citoyens en dehors de toute querelle médicale et en l'absence de péril. »
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Médecins — Pharmaciens — Infirmiers — Fonctionnaires de la santé !Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l'État français. Vous serez ainsi sollicités dans les prochaines semaines pour la mettre en œuvre, tout particulièrement dans les EHPAD. Les vaccins qui seront utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n'a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n'existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu'aux probables effets secondaires à court et long termes, bénins ou handicapants voire létaux.
Premier avertissement avant poursuites pour viol du Code de Nuremberg et atteinte à l'intégrité d'autrui
Cette campagne vaccinale est ainsi constitutive de façon irréfragable d'une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujets de cette expérimentation et qu'il est largement documenté scientifiquement que nombre de vaccins produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels.
Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d'interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code, reconnu internationalement depuis cette époque.
Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que les études — pour protéger la vie et la santé des personnes testées [voire vaccinées, puisque c'est initié dans certains pays dès la semaine prochaine - NdT] — ne soient pas poursuivies jusqu'à ce que l'on dispose d'un protocole d'étude adapté pour répondre aux importantes préoccupations en matière d'innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l'encontre du vaccin et du protocole d'étude.
Les pétitionnaires demandent d'une part qu'un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d'études sérieuses quant au test PCR. C'est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l'efficacité d'un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l'éventuel bénéfice d'un vaccin ne peuvent être déterminés avec une certitude suffisante, et c'est la raison pour laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l'éthique.
En outre, ils exigent qu'il soit exclu, par exemple au moyen d'expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures — qui proviennent en partie de la nature des coronavirus — puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :

« PRENEZ VOTRE PLACE DANS LE RANG »
Poster de propagande créé par la Grande-Bretagne en 1915
C'est la première leçon du pouvoir : des sociétés entières peuvent être facilement influencées lorsqu'elles souffrent de l'illusion que les mauvais moments seront éphémères et que les gouvernements les garderont en sécurité quoi qu'il arrive.