Un processus psychologique d'une intensité sans précédent
La plupart des pays du monde se sont laissés séduire par l'énorme campagne psychologique lancée ce week-end après que les grands médias aient "prévu" que M. Biden deviendrait le président élu. Cette déclaration dramatique est factuellement fausse et ignore délibérément le processus légal de décision de la présidence, tel que stipulé par la Constitution, s'appuyant plutôt sur la manipulation magistrale de perceptions soigneusement cultivées pour donner l'impression d'un fait accompli malgré le fait que le résultat souhaité par les putschistes n'est pas encore légalement certifié. Il est de la plus haute importance d'expliquer les derniers développements de la guerre de terreur hybride contre l'Amérique, qui dure depuis des décennies, car la méthode de "gestion des perceptions" actuellement en cours de perfectionnement sera presque certainement utilisée dans les futures opérations de changement de régime à travers le monde dans le but de délégitimer les gouvernements sortants ciblés et de démoraliser leurs partisans après des élections contestées.
Mais cela ne résoudrait pas le problème, car nous parlons de la septicémie, une maladie qui touche 49 millions de personnes chaque année et qui laisse également nombre de ceux qui en survivent avec des problèmes de santé à long terme.
Alors que son communiqué de presse sur la septicémie a reçu peu d'attention de la part des médias, l'avertissement ultérieur de l'OMS selon lequel le bilan mondial du Covid-19 pourrait atteindre 2 millions de morts, même si un vaccin est trouvé, a reçu une place importante sur le site web de BBC News et ailleurs. Alors, de quoi devrions-nous davantage nous inquiéter et où devrions-nous investir nos efforts afin de minimiser les souffrances, les maladies à long terme et les décès ?
L'accent a été fermement mis sur la prévention des décès dus au Covid-19, dont la plupart concernent des personnes âgées présentant des comorbidités importantes. Oubliez la septicémie. Oubliez les nombreuses autres maladies graves et évitables.
— Boris Johnson ? Qui est-il ? demande Lucy.S'il était là aujourd'hui, je ne doute pas que Clive S. Lewis, l'un des plus grands intellectuels du XXe siècle, serait véritablement cinglant envers ce que le gouvernement britannique a au cours des sept derniers mois fait à ce pays, étant donné que ce gouvernement incarne l'oligarchie scientifique et technocratique même contre laquelle Clive S. Lewis nous avait il y a des décennies mis en garde. Je me sens donc quelque peu libre de transposer son commentaire sur Jadis, la Sorcière blanche qui a plongé Narnia dans un hiver perpétuel sans joie et sans Noël, et de l'appliquer à notre propre situation dans le pays de Covidie — celui dans lequel nous vivons maintenant — un lieu de peur et de misère perpétuelles, où la vie ordinaire est impossible, et où toute trace de joie naissante doit être tuée dans l'œuf avant qu'elle ne puisse croître assez pour défier la nouvelle norme hivernale qui s'enracine rapidement autour de nous.
— Il est celui qui tient sous son emprise toute la Covidie, répond M. Tumnus. L'homme qui parle du Covid en permanence. Le Covid pour toujours et plus jamais de Noël ; penses-y !
~ Le lion, la sorcière et l'armoire magique, Clive S. Lewis, premier tome de son ouvrage Le Monde de Narnia... avec quelques adaptations [remplacez dans le texte ici ou ci-dessous Boris Johnson par Justin Trudeau ou Emmanuel Macron, c'est du pareil au même - NdT].
Le Covid pour toujours & plus jamais de Noël
Les mots peuvent même s'avérer littéralement vrais. En Écosse, on parle déjà de ce qu'ils appellent un Noël numérique, quelle qu'en soit l'absurdité, tandis qu'en Angleterre, on joue déjà à un jeu psychologique de « bon flic/méchant flic », avec d'un côté le camarade de Pfeffel Johnson [Boris Johnson de son vrai nom : Alexander Boris de Pfeffel Johnson - NdT] qui, selon toute apparence, aspire désespérément à ce que nous puissions tous passer un Noël comme les autres, et de l'autre les membres du comité ironiquement nommé SAGE qui déclarent qu'il s'agit d'un vœu pieux. Qui va gagner ? Les méchants flics sortiront bien sûr vainqueurs, mais ils le seront sans doute grâce à une gestion prudente et un message habile pour présenter les choses comme une sorte de victoire pour le bon flic qui nous fera la grâce de quelques concessions, comme un assouplissement de la règle du 6 qui permettra la règle du 6+1 juste pour une journée, afin que la grande-tante Maud n'ait pas à passer la journée seule, un bon flic qui sera soutenu par Rishi Sunak [chancelier de l'Échiquier - NdT] qui nous promettra peut-être encore quelques-uns de ses haricots magiques destinés à fournir des dindes subventionnées. À y regarder de plus près, les dindes à prix réduit constitueraient une métaphore plutôt pertinente pour les responsables de cette débâcle. Mais au cas où ils tentent de nous embrouiller avec des détails stupides au cours des prochaines semaines, gardez avant tout ce qui suit à l'esprit : à savoir que la perspective pour chacun d'entre nous d'avoir à obtenir la permission d'individus comme de Pfeffel Johnson et son équipe pour profiter en famille des célébrations de Noël et de la venue au monde du Roi des Rois est au-delà de la parodie.
S'il existe une seule caractéristique propre à définir la littérature dystopienne, c'est bien l'éradication de toute individualité. « La conscience de soi n'est qu'une maladie », écrit Zamyatin. C'est pourquoi les dystopies sont invariablement racontées par des marginaux tourmentés : des individus bien conscients de la standardisation de leurs semblables transformés en marchandise, mais qui, soit craignent les conséquences de leurs paroles, soit en veulent à leur propre conscience de soi. Après tout, « aucune offense n'est aussi odieuse qu'un comportement dissident », comme l'écrit Huxley.
Que les dystopies aient émergé en tant que forme littéraire au début du XXe siècle n'est pas étonnant compte tenu de leurs préoccupations tyranniques pour l'uniformité. Les régimes totalitaires de Russie et d'Allemagne ainsi que leurs homologues technocratiques occidentaux, inspirés par des personnalités comme F. W. Taylor et Henry Ford, ont été des sources d'inspiration centrales. En dépit de leurs différences manifestes, ces idéologies concurrentes sont unies par la tentative utopique de redessiner non seulement la société, mais l'être humain lui-même. La puissance croissante de la science et de la technologie a fait naître l'idée que la Nature elle-même, dans toute sa complexité désordonnée, pouvait enfin être remodelée.
Mais au milieu des passes d'armes, des informations importantes ont quand même pu être sorties par l'infectiologue. Les voici :
1/ Le variant du coronavirus qui a produit en France l'épidémie de mars-avril-mai (première vague) a disparu
[...] le variant qui existait en mars-avril-mai a disparu.
2/ L'arrivée en juillet/août d'un nouveau variant
Ce variant Marseille 1, est arrivé par bateau mais s'est rapidement éteint sans que l'on sache trop pourquoi. Il n'était pas dangereux et ne donnait pas de troubles de la coagulation.
[...] ce qu'on appelle le variant Marseille 1, elle (l'infection) a fait une courbe en cloche, elle était de manière incroyablement moins dangereuse que tout ce que nous avions vu, et y compris ici un professeur d'hématologie qui surveille, parce que ça donne des troubles de la coagulation, en disant : « dans cette épidémie-là je ne sers à rien. Il n'y a aucun trouble ».
Vous avez raison dans vos évaluations. Le prestige et l'orgueil auxquels certains ont aspiré en approuvant des actes aussi odieux contre les enfants, les personnes âgées, les gens ordinaires, les pauvres, les sans défense, les impuissants, est à couper le souffle. Pourtant, je vous exhorte, je vous demande, je vous prie, gentiment, de ne pas épuiser votre esprit en vous lamentant sur ces temps difficiles. Surtout, ne perdez pas espoir. Plus particulièrement en raison du fait que nous sommes faits pour cette époque. Oui. Depuis des années, nous apprenons, nous nous entraînons, nous nous perfectionnons, en vue de cette rencontre précise entre notre engagement intérieur et le monde extérieur.
J'ai grandi sur les Grands Lacs et je reconnais un navire en état de navigabilité quand j'en vois un. En ce qui concerne les âmes éveillées, il n'y a jamais eu dans les eaux de navires plus performants que ceux que l'on trouve actuellement dans le monde entier. Et ils sont pleinement approvisionnés et capables de se signaler les uns les autres comme jamais auparavant dans l'histoire de l'humanité.
Ces deux questions méritaient donc d'être posées et la clarté d'être faite. Pour le premier point, il eut suffi de corréler les programmes de formation de chirurgiens chinois des vingt dernières années — tous bien précisément archivés dans les registres du Ministère de la Santé — et les lieux où, aujourd'hui en Chine, des assassinats seraient commis. Pour le second, d'appliquer la loi existante, qui exige une traçabilité totale du devenir des demandeurs d'organes, et expliquer alors pourquoi et comment plusieurs centaines d'entre eux disparaissent chaque année des listes d'attente des dons d'organes en France.
D'après l'Institut européen de Bioéthique, et contrairement à ce que le gouvernement Chinois annonçait en 2015 [Voir : Chine : fin des prélèvements d'organes sur les prisonniers], il semblerait que la Chine pratique toujours le prélèvement d'organe sur des prisonniers condamnés à mort. Plus encore, cette pratique touche également des prisonniers politiques, dont les organes sont prélevés sans condamnation à mort. Sont visés en particulier les membres de communautés religieuses ciblées par le Parti Communiste Chinois, comme l'explique dans une récente interview pour le magazine en ligne Bitter Winter le Professeur Huige Li, expert sur la question. Le prélèvement d'organes sur des prisonniers politiques était dénoncé depuis 2007, dans un rapport des juristes David Matas et David Kilgour, qui tiraient la sonnette d'alarme sur le sujet.
Surnommé « Trey » mais officiellement connu comme William Gates le troisième, Bill Gates est né en 1955 à Seattle dans l'état de Washington dans une famille riche et puissante. Son père, William Gates le deuxième, mesurant 2 mètres de haut, était un avocat qui a cofondé Preston Gates & Ellis, un cabinet d'avocats qui avait des bureaux aux États-Unis et en Chine.
En tant qu'homme très impliqué dans la politique, William Gates détient une longue liste de distinctions. Alors qu'il siégeait au conseil de Planned Parenthood de l'eugéniste Margaret Sanger, avant l'ère de Roe Vs. Wade, il était également le visage d'une initiative d'État en matière d'impôt sur le revenu dans l'État de Washington.
Les exceptionnelles pluies de mousson ont continué à battre des records, affectant des millions de personnes à travers l'Asie du Sud et de l'Est. Le mois de septembre offrait auparavant un temps clair, les risques de pluie étaient moindres et les températures plus agréables... mais c'est dorénavant tout le contraire qui se produit : nous assistons à de fortes inondations, à un froid inhabituel et à des chutes de neige hors saison.
La tempête subtropicale Alpha, qui s'est abattue sur la côte portugaise et sur certaines régions de l'Espagne, a été le premier événement de ce type à être enregistré depuis le début des relevés météorologiques. Des plages entières ont été dévastées par la montée rapide du niveau de la mer, les zones côtières ont été fortement inondées et des vents allant jusqu'à 100 km/h ont été enregistrés dans certaines régions intérieures.
Plus de cent personnes ont été secourues et cinq cent mille habitants se sont retrouvés sans électricité lorsque l'ouragan Sally a entraîné la chute des lignes électriques dans certaines parties de la Floride et de l'Alabama. Les compagnies d'assurance ont estimé le coût des dommages dans la région de la côte du Golfe entre un et trois milliards de dollars. Et tandis que ce secteur se remettait à peine de Sally, la tempête tropicale Beta provoquait des inondations soudaines sur les côtes du Texas, de la Louisiane et du Mississippi.
Si l'ouragan Delta devait frapper la côte américaine du Golfe du Mexique [ce qu'il a depuis fait - NdT], cette saison des ouragans battrait le record du plus grand nombre de systèmes nommés à toucher les États-Unis en une seule année, surpassant la saison historique de 2005, qui en comptait sept.
La pandémie du coronavirus oppose toute l'humanité au virus", a-t-il déclaré.
En fait, la pandémie n'est pas une guerre. La pandémie est une conséquence de la guerre. Une guerre contre la vie. L'esprit mécanique connecté à la machine à extraire l'argent a créé l'illusion que l'homme est séparé de la nature, et que la nature est comme une matière première morte et inerte qu'il suffit d'exploiter. Mais, en fait, nous faisons partie du biome. Et nous faisons partie du virome. Le biome et le virome, c'est nous. Lorsque nous faisons la guerre à la biodiversité de nos forêts, de nos fermes et dans nos entrailles, nous nous faisons la guerre à nous-mêmes.
L'urgence sanitaire du coronavirus est inséparable de l'urgence sanitaire de l'extinction, de l'urgence sanitaire de la perte de biodiversité et de l'urgence sanitaire de la crise climatique. Toutes ces urgences sont ancrées dans une vision du monde mécaniste, militariste et anthropocentrique qui considère l'homme comme distinct - et supérieur - aux autres êtres. Des êtres que nous pouvons posséder, manipuler et contrôler. Toutes ces urgences sont ancrées dans un modèle économique basé sur l'illusion d'une croissance sans limite et d'une avidité sans limite, qui violent les frontières planétaires et détruisent l'intégrité des écosystèmes et des espèces individuelles.
Commentaire: Voir aussi l'idée de "technosphère" développée dans cet article : Entretien avec Dmitry Orlov, ingénieur et écrivain russo-américain, sur la technologie et la technosphère
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