SOTT Focus:


Crusader

SOTT Focus: Le psychopathe Rockefeller est-il à l'origine de la pandémie de « grippe espagnole » de 1918 ?

La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l'expérience brutale de l'Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l'histoire qu'on nous a racontée sur cette pandémie n'était pas vraie ? Et si, au contraire, l'infection mortelle n'était ni la grippe ni d'origine espagnole ?
Rockefeller Spanish Flu
© Inconnu
Des documents récemment analysés révèlent que la « grippe espagnole » pourrait avoir été une expérience vaccinale militaire qui a mal tourné.

Résumé

La raison pour laquelle la technologie moderne n'a pas pu identifier la souche virale mortelle de cette grippe pandémique tient en ce que ce n'était pas la grippe en tant que telle qui était mortelle.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de soldats sont morts de maladies que tués par les balles.

La pandémie n'était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe.

La pandémie n'était pas d'origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l'Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l'année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.

Une étude décrit des soldats comme
[...] présentant des infections actives [qui] propageaient par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d'autres — souvent [confinés] dans les mêmes espaces — étaient extrêmement vulnérables à l'invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. (1)
La grippe dite « espagnole » s'est attaquée à des personnes en bonne santé dans la fleur de l'âge. La pneumonie bactérienne s'attaque aux personnes dans la force de l'âge. La grippe s'attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées. Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d'origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

Fire

SOTT Focus: Minneapolis à feu et à sang - Du Covid-19 à l'émeute

minneapolis
27 mai 2020, Minneapolis : après deux mois de confinement, retour à la « normale » aux États-Unis
Il semble que l'on puisse avancer l'hypothèse qu'aux États-Unis, où la situation est si spécifique, y compris la crise du Covid-19, on soit peut-être en train de basculer de la crise du Covid-19 à la crise tout court (socio-économique, troubles sociaux, politique, etc.), et cela avec la pression énorme des présidentielles de novembre prochain. Il s'agit des événements de Minneapolis, depuis lundi et la mort d'un Africain-Américain, George Floyd, lors d'un contrôle de police passant par une immobilisation ventrale et une violent prise du cou de la victime, morte d'asphyxie. Le policier qui est intervenu de la sorte, Derek Chauvin, est connu pour sa brutalité et a déjà été impliqué dans plusieurs incidents ayant abouti à la mort de personnes interpellées.


Comment: Coïncidence ? George Floyd et Derek Chauvin ont travaillé dans le même club de Minneapolis.

« L'ancienne propriétaire d'un club dans le sud de Minneapolis affirme que l'officier de police et l'homme noir dont il a causé la mort ont tous deux travaillé dans son club, y assurant la sécurité jusqu'à la fin de l'année dernière.

George Floyd et l'ancien officier de police Derek Chauvin ont tous deux travaillé comme agents de sécurité au club El Nuevo Rodeo sur Lake Street, selon Maya Santamaria. Maya Santamaria a été propriétaire de l'établissement pendant près de vingt ans, avant de le vendre il y a quelques mois.

"Chauvin a été notre agent de police en dehors de ses heures de service pendant la quasi-totalité des 17 ans où nous avons été ouverts", a déclaré Santamaria. "Ils travaillaient ensemble en même temps, c'est juste que Chauvin travaillait à l'extérieur et que les agents de sécurité étaient à l'intérieur."

(...) Santamaria ne peut pas dire avec certitude qu'ils se connaissaient, car il y avait souvent une vingtaine d'agents de sécurité qui travaillaient au club, y compris des agents de police assurant la sécurité en-dehors de leurs heures de service. »

Il y a eu dès lundi soir des réactions populaires, d'abord dans le calme et portant sur le seul cas de cet Africain-Américain tué par la police, avec les connotations sociétales (racisme/antiracisme) qu'on devine mais sans que la forme de la manifestation ait cette connotation raciale puisque de nombreux Blancs (c-à-d, Caucasiens-Américains) y participaient. Les manifestations se sont poursuivies les jours suivants et, surtout hier, ont pris une toute autre allure, tournant à l'émeute et surtout au pillage de certains magasins. Cela tend, dans les conditions économiques très difficiles actuelles où de très nombreux citoyens sont brusquement au chômage et sans revenus, et où l'on a déjà constaté que nombre d'entre eux peinent à seulement se procurer de la nourriture, à justifier de les assimiler à des « émeutes de la faim ».


Comment: Notons également que, d'après de nombreux témoignages et vidéos qui circulent sur Internet, des antifas et des agents provocateurs seraient également impliqués dans ces émeutes :


Le 29 mai 2020, le Procureur général du Minnesota Keith Ellison - membre du parti démocrate, ancien membre de la Chambre des représentants du Minnesota et ex vice-président du Comité national démocrate - a supprimé un selfie tweeté en 2018 où, le sourire narquois, il tient à la main un exemplaire d' "Antifa: The Anti-Fascist Handbook" [Antifa : le manuel anti-fasciste - NdE]. Avec en légende : « Je viens de trouver le livre qui fera trembler de peur @realdonaldtrump. »


Réponse du berger à la bergère :

trump antifa
Les États-Unis vont désigner les ANTIFA comme organisation terroriste.

C'est donc un cocktail explosif, - argument sociétal et argument économique, - qui risque de faire tache d'huile dans les conditions crisiques, sociales et politiques que l'on connaît aujourd'hui. Hier, alors que les incidents se poursuivaient à Minneapolis, une foule d'un millier de personnes bloquaient des voitures de police sur une voie express à Los Angeles, directement en référence aux événements de Minneapolis. Bien entendu, tout le monde songe à l'élection présidentielle et à l'atmosphère crisique extrêmement tendue entre l'administration [Trump] et les gouverneurs de certains États, et diverses organisations progressistes, etc., et à l'explosion qui couve par conséquent. ZeroHedge.com note, à la fin de son article du jour (« Minneapolis Is Burning »), toujours sur la suite en continu des événements :

Crusader

SOTT Focus: À lire absolument — Coronavirus : le va-tout du Nouvel Ordre Mondial

Nous vivons une époque extraordinaire, pleine de faux-semblants, de mensonges entrecroisés et de vérités occultes, contre lesquelles toutes les conjurations d'imbéciles semblent se liguer...
Sunset
© Inconnu
Cette crise du Coronavirus sonne comme un point d'orgue, mettant en tension tout le ban et l'arrière ban des menteurs et autres éditorialistes patentés, stipendiés pour nous faire penser le plus loin possible de toute logique rationnelle. L'Histoire qui s'écrit sous nos yeux en est tellement brouillée, que nombreux sont ceux qui se résignent à contempler ce ballet grotesque. Cette Histoire dont nous sommes les acteurs nous est, de fait, confisquée, tant et si bien que derrière ce voile de mensonges peuvent s'activer impunément tous les marionnettistes pour déployer sans fin leurs intentions subversives...

« Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, menteuse qu'on enseigne, l'Histoire ad usum delphini, puis l'Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse ». Ces mots énigmatiques de Balzac[1] rejoignaient ceux de Disraeli qui avait pressenti de grands massacres à venir en Europe, à partir d'une agitation subtilement cornaquée par les grands affairistes internationaux depuis Londres : « Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l'imaginent ceux dont l'œil ne plonge pas dans les coulisses. »[2] Ces deux éminents connaisseurs de leur époque eurent en commun de révéler subtilement leurs grandes manœuvres occultes, mais sous une apparence de fiction, ce qui correspondait à l'époque au maximum dans la dénonciation sans perdre pour autant leur situation...

Syringe

SOTT Focus: À quoi ressemble le « plan vaccination » du Covid-19 ?

« Malgré le joyeux communiqué de presse de Moderna cette semaine, les résultats des essais cliniques pour son vaccin révolutionnaire contre le Covid-19 ne pourraient être pires. »

« Le vaccin, développé et défendu par Anthony Fauci et financé par Bill Gates, utilise une technologie expérimentale d'ARNm... »

« Trois des quinze cobayes humains du groupe ayant reçu une forte dose (250 mcg) ont subi un grave effet indésirable dans les 43 jours suivant l'injection effectuée par Moderna. Moderna... qui a reconnu que trois volontaires ont développé des événements systémiques de grade 3 définis par la FDA comme empêchant l'activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale. »

« Moderna n'a permis qu'à des volontaires exceptionnellement en bonne santé de participer à l'étude. Un vaccin présentant ces taux de réaction pourrait causer des blessures graves à 1,5 milliard d'êtres humains s'il était administré à chaque personne sur Terre. »

~ Robert F Kennedy, Jr., Children's Health Defense, 22 mai 2020, « La catastrophe des essais vaccinaux : le vaccin Moderna a un taux de 20 % de graves lésions dans le groupe qui a reçu des doses élevées ».
Mais qui s'en soucie, n'est-ce pas ? Ce qui compte c'est d'y aller à toute vapeur.
Vaccination
© Inconnu
J'ai démontré dans de nombreux articles au fil des années l'inutilité des vaccins qui sont destructeurs et inefficaces. Cet article porte sur un autre sujet : la manière dont est élaborée par ses planificateurs le « plan d'injection » dans le corps de la population mondiale d'un vaccin contre le Covid-19. Ces concepteurs ne sont pas complètement stupides, vous savez. Ils sont conscients des difficultés auxquelles ils vont devoir faire face. Ils savent que beaucoup de gens diront NON.

Considérez leur plan comme une opération des services de renseignement. Leurs architectes engagent de nombreuses discussions ; ils établissent des prédictions ; ils envisagent des options.

« Que se passera-t-il si nous rendons le vaccin obligatoire pour tout le monde ? »

En dehors de problèmes logistiques impressionnants, « obligatoire pour tous » signifie que les planificateurs n'ont aucune marge de manœuvre. Il devient difficile de faire des ajustements face à l'opposition du public. Ils ont dès le départ joué leur carte maîtresse.

Il est bien sûr possible d'appliquer des règles strictes. Faites appel à l'armée. Faites du porte à porte. Pendant des années. Essayez de traquer tous ceux qui refusent, plaquez-les au sol et abattez-les. État policier manifeste.

Family

SOTT Focus: L'âme et les barbelés — Une « liberté « muselée »

L'œuvre magistrale de Soljénitsyne, L'Archipel du Goulag, « cette immense fresque de l'univers concentrationnaire soviétique », constitue un parallèle à ce point édifiant avec l'Histoire conjuguée au présent qu'il était presque impossible de ne pas décider d'en partager avec vous un extrait bien précis : le chapitre 3 intitulé Une « liberté » muselée de la partie 4 titrée L'âme et les barbelés, desquels nous avons construit le titre de cet article. Si vous n'avez pas encore lu cette magistrale chronique dans laquelle « Alexandre Soljénitsyne « redonne une voix aux détenus du Goulag, cet « archipel » où des millions de zeks sont morts. », c'est peut-être bien le moment de le faire.
Soljénitsyne
© Ulf Andersen - Aurimage via AFPL'écrivain dissident russe Alexandre Soljénitsyne a été nobélisé en 1970. Mais il n'a pu recevoir son prix que quatre ans plus tard, après avoir été expulsé d'URSS.
L'existence de ce parallèle se fait de toute évidence par la tendance qu'ont les populations à suivre les dictas des pouvoirs en place, quel que soit ce pouvoir et quel que soit la période à laquelle il opère, à travers une propagande mensongère normalisée par lequel il nous inculque quoi penser, quoi dire et quoi faire. La peur, le mouchardage, l'ignorance, le mensonge, la traîtrise et la cruauté exercent leurs attributs sur des populations muselée, enfermée dans une pensée manichéenne dont nul n'a le droit de sortir. Tout dissident doit être arrêté, écarté, mis au silence, dénigré sur la place publique, et éventuellement jeté en pâture à la vindicte populaire effrayée par des mots et des idées qui mettent ses zones de confort en danger.

Alors bien sûr, le Goulag de l'Union soviétique peut nous sembler déjà « lointain », et pourtant... Bien que le contexte ne soit pas le même et bien que les moyens dont disposaient à l'époque le pouvoir en URSS n'aient rien à voir avec ceux dont disposent aujourd'hui les Pouvoirs en place « mondialisés » — ressources technologiques, résultats d'expérimentations (Milgram) et autres PsyOps selon la « psychologie des foules », pour ne citer que deux exemples — notez toutefois qu'ils sont majeurs, car à eux deux, ils constituent le fer de lance de la mise sous « bulles » de populations entières — il existe une tendance à l'obéissance mise à profit, depuis des siècles, par ceux que le pouvoir attire, ceux qui ont construit — et continuent de construire — le système que nous connaissons actuellement et qui voit chaque être humain de la planète assujetti aux conventions morales, sociales, médicales et politiques de son pays, et au sein duquel l'autorité de l'État se substitue finalement à l'autorité parentale et lave le cerveau de nos enfants dès leur plus jeune âge grâce au tout technologique.

Voici quelques articles dont le contenu permet de faire le parallèle entre l'extrait qui suit et nos « actualités » : À propos de ce qui a été dit par d'autres auteurs, à savoir que les camps dépravaient tous les individus, Soljénitsyne écrit quelques paragraphes avant le court chapitre que nous vous présentons :
« Se dépravent dans les camps ceux qui, avant les camps, n'étaient nantis d'aucune morale, d'aucune éducation religieuse, [...] ceux qui étaient mûrs pour la dépravation. [...] Si un homme ne tarde pas à s'encanailler dans les camps, cela veut dire sans doute que sa nature canaille se révèle à ce moment-là, alors qu'auparavant rien ne l'y forçait. [...] Oui, les camps avaient pour finalité et terme la dépravation. Cela ne signifie pas qu'ils arrivaient à écraser chacun. »
Voici donc cet extrait dans lequel toute mise en gras est le fait des éditeurs ; les italiques ont été conservées à l'identique de celles de l'auteur...

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Snakes in Suits

SOTT Focus: Corbett Report : Bill Gates et la grille de contrôle de la population

La prise de contrôle de la santé publique que nous avons documentée dans « Comment Bill Gates a monopolisé la santé mondiale » et la poussée remarquablement éhontée pour vacciner tout le monde sur la planète, que nous avons documentée dans « Le Plan de Bill Gates pour vacciner le monde » n'étaient pas, à la base, une question d'argent.
Bill Gates, save the planet

La richesse inimaginable que Gates a accumulée est maintenant utilisée pour acheter quelque chose de bien plus utile : le contrôle. Le contrôle non seulement des organismes de santé mondiaux qui peuvent coordonner un programme de vaccination mondial, ou des gouvernements qui rendront obligatoire une telle campagne sans précédent, mais aussi le contrôle de la population mondiale elle-même.

La vidéo sous titrée en français :

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SOTT Focus: Résumé SOTT des changements terrestres - Avril 2020 - Conditions météorologiques extrêmes, révolte de la planète et boules de feu

Avril 2020 nous a apporté quelques surprises glaciales liées aux changements climatiques, en passant par des chutes de neige en quantité record pour la saison dans certaines parties des États-Unis et de l'Europe, jusqu'à de la grêle en Asie et au Moyen-Orient.
Résumé Sott avril 2020
© Sott.net
Un système météorologique arctique a plongé le Canada, le Midwest, le Nord-Est et le Sud des États-Unis dans le froid, entraînant des pannes de courant au Manitoba et dans le Maine qui ont privé des centaines de milliers de personnes d'électricité. Des records de chute de neige ont été battus dans le Colorado avec 76 cm de cumul, dans le Dakota du Sud avec 38 cm et dans l'Iowa avec 28 cm.

La neige est également tombée à Douchanbé, au Tadjikistan, pour la première fois depuis 26 ans... et au printemps !

La production alimentaire mondiale n'a pas seulement été perturbée par la pandémie qui tue l'économie, un froid et un gel intenses ont également détruit des récoltes en Europe et aux États-Unis.

La grêle a également fait des ravages partout dans le monde ce mois-ci, et a entraîné la mort de cinq personnes, ravagé les récoltes et endommagé six mille maisons au Vietnam. Les tempêtes de grêle ont également laissé quatre mille personnes sans abri à Tripura en Inde, et ont recouvert d'un manteau épais les sols de certaines parties de l'Arabie Saoudite, de l'Iran et de la Chine... lequel en fondant a provoqué des inondations.

Stormtrooper

SOTT Focus: Sublimez votre « fasciste intérieur » — Un « précepte intemporel » au Temps du Corona

Bon, il faut parler du fascisme. Pas de n'importe quel type de fascisme. Un type de fascisme particulièrement insidieux. Non, pas le fascisme du début du 20e siècle. Pas le parti national fasciste de Mussolini. Pas le NSDAP d'Hitler. Pas le fascisme franquiste ni aucun autre type de mouvement ou de parti fasciste organisé. Pas même les redoutables nazis du Tiki-torch.
baby hitler moustache
© consentfactory.org
C'est de l'autre type de fascisme dont nous devons parler. Le genre qui ne vient pas dans la rue en agitant de grands drapeaux néo-nazis. Le genre qu'on ne reconnaît pas quand on le regarde. C'est comme cette blague sur les poissons et l'eau... le poisson ne reconnaît pas l'eau parce qu'il nage dedans. L'eau l'enveloppe. Le poisson en est inséparable. Il la respire à l'instant où il naît au monde.

Nous l'avons appris de nos parents, qui l'ont appris de leurs parents. Nos enseignants nous l'enseignent à nouveau à l'école. Il est quotidiennement renforcé au travail, dans les conversations avec les amis, dans nos familles et dans nos relations amoureuses. Nous l'absorbons dans les livres, les films, les émissions de télévision, les publicités, les chansons pop, les informations du soir, dans nos voitures, au centre commercial, au stade, à l'opéra... partout, car il est littéralement partout.

Pour nous, cela ne ressemble pas à du fascisme. Le fascisme ne ressemble au fascisme que lorsque vous lui êtes extrinsèque ou que vous le regardez de façon rétrospective. Quand on est dedans, le fascisme ressemble à la « normalité », à la « réalité », au « c'est comme ça ».

Satellite

SOTT Focus: 5G : Le champ magnétique terrestre s'affaiblit mystérieusement dans certains endroits, déstabilisant des satellites et des engins spatiaux

Le champ magnétique terrestre, qui protège la vie sur notre planète en bloquant la majeure partie du rayonnement solaire nocif, s'affaiblit mystérieusement en certains endroits.

Earth, magnetic field
Au cours des deux derniers siècles, il a perdu près de 10 % de sa force, ce qui a conduit certains à spéculer sur un renversement de pôle qui se produirait sur plusieurs siècles. De plus, les scientifiques ont identifié une vaste région ou le champ magnétique est affaibli, s'étendant de l'Afrique à l'Amérique du Sud, ainsi qu'un second "centre d'intensité minimale" au sud-ouest de l'Afrique, qui permettent tous deux aux particules cosmiques chargées, de pénétrer à basse altitude dans l'atmosphère, ce qui, d'après le magazine Sky, a pour effet d'éjecter les satellites en orbite terrestre basse.
Connue sous le nom d'anomalie de l'Atlantique Sud, l'intensité du champ dans cette zone a rapidement diminué au cours des 50 dernières années, tout comme la zone elle-même a grandi et s'est déplacée vers l'ouest.

Au cours des cinq dernières années, un deuxième centre d'intensité minimale s'est développé au sud-ouest de l'Afrique, ce qui, selon les chercheurs, indique que l'anomalie pourrait se diviser en deux cellules distinctes. -Sky

Cult

SOTT Focus: Tous aux abris et brûlez les hérétiques — La secte moderne du Corona

La peur et l'incertitude dominent la couverture médiatique de l'épidémie de Covid-19. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d'un jour à l'autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d'inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l'establishment médical. Et au cas où les Américains [tout comme les populations d'une grande partie des pays occidentaux - NdT] auraient des doutes sur la façon dont ils sont censés considérer cette nouvelle menace virale, les têtes pensantes de l'establishment qui délivrent sur un ton assuré leur dose quotidienne de news à un public acquis ont troqué leur habituelle morgue contre l'appréhension. Dans ce « vide de confiance », la réaction populaire à la pandémie a pris une tournure religieuse. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l'esprit de nombre de gens, tandis qu'on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste.

park brooklyn covid-19
Des espaces sûrs désormais disponibles à Brooklyn, New York City
Incapables de voir l'« ennemi » microscopique dont on leur dit qu'il menace leur vie et celle de leur famille, et privés d'un remède scientifiquement prouvé, les individus qui cherchent à être libérés du Covid-19 n'ont plus que leur foi dans l'efficacité des mesures de protection prescrites par les experts médicaux — notre caste de prêtres scientifiques — pour le tenir à distance. Si cela s'arrêtait là, la secte du Corona ne serait qu'une simple curiosité — après tout, les humains se sont toujours tournés vers la religion en période de trouble, et cela bien avant l'invention de l'écriture. Mais son côté obscur pointe déjà le bout de son vilain nez : ceux qui s'opposent à la nouvelle orthodoxie se voient accusés d'être responsables de ce « fléau ».

Nous sommes déjà passés par là. Au Moyen Âge, les paysans pieux étaient maintenus sur le droit chemin par des prêtres qui leur disaient que Dieu surveillait leurs moindres faits et gestes. Lorsqu'un fléau apparaissait, il était interprété comme un châtiment divin, la colère de Dieu s'abattant sur une population pécheresse. Ceux qui voulaient se distinguer par leur dévotion s'autoflagellaient en public, ou portaient des vêtements douloureux appelés « cilices » — dans les deux cas, dans le but de « mortifier la chair », littéralement de « mettre à mort » leur nature pécheresse.