SOTT Focus:


Corona

SOTT Focus: Neil Ferguson, l'homme de main de Bill Gates

Je vous présente Neil Ferguson : le fantôme dans la machine, l'intermédiaire entre l'OMS et Bill Gates.
neil ferguson covid-19
Neil Ferguson joue-t-il le rôle d'intermédiaire dans le canular du corona ?
Pourquoi les gouvernements applaudissent-ils lorsqu'il prédit une pandémie et qu'il leur dit de verrouiller leurs pays ?

Y en a-t-il que son passé intéresse ?

Pourquoi jouit-il encore d'un emploi prestigieux ?

De qui est-il proche ?

D'abord, mettons les choses au clair : on voit des articles affirmant que les prédictions informatiques n'ont pas vraiment pour objectif d'être précises, que la modélisation COVID à laquelle ont adhéré les États-Unis, la Grande-Bretagne et d'autres pays a été mise de côté. Ces articles racontent en essence des foutaises. Pourquoi ? Parce que les gouvernements obéissent à un modèle. Ils obéissent aux projections prédisant le plus grand nombre de morts... voilà un fait accablant.

Neil Ferguson, par l'intermédiaire de son institut à l'Imperial College de Londres, peut décider du sort d'un pourcentage important de la population mondiale (en inventant des morts). C'est lui qui mène la danse.

C'est le Monsieur Génie de la modélisation informatique des épidémies.

Ses collègues experts gonflent sa réputation.

Selon le Business Insider (25/04)) :
L'équipe de Ferguson a prévenu Boris Johnson que la quête de « l'immunité collective » [laisser les gens vivre leur vie au grand jour au Royaume-Uni] pourrait coûter 510 000 vies, provoquant un brusque retournement de situation [verrouillage national massif au Royaume-Uni]... Ses simulations ont également influencé d'autres pays, et ont été citées par les autorités américaines, allemandes et françaises.
Non seulement ils les ont citées, non seulement elles les ont influencées, mais ils les ont avalées telles des couleuvres.

Crusader

SOTT Focus: La Fondation Rockefeller et le programme international pour la santé ou l'ancêtre des fondements de l'OMS

Bien qu'elle ne soit plus la seule institution philanthropique assimilée à la santé mondiale, la Fondation Rockefeller a marqué ce domaine comme aucune autre organisation. Créée il y a un siècle ce mois-ci [l'article est de 2013 - NdT], la Fondation Rockefeller a fait de la coopération en matière de santé une initiative qui est à la fois un organisme intergouvernemental officiel et une agence privée, et en a façonné les principes, les pratiques et les institutions clés dans le domaine de la santé internationale [dont les fondements sont les mêmes que ceux que l'on retrouve aujourd'hui au sein de l'OMS et de la Fondation Bill & Melinda Gates - NdT]. Contrairement aux acteurs de la santé mondiale qui sont aujourd'hui à l'aise avec les médias, la Fondation Rockefeller n'a pas fait étalage de son rôle, ce qui ne l'a pas empêché de rester dans les coulisses : on pourrait comparer son omniprésente influence à la manière dont son fondateur éponyme fonctionnait, comme l'a observé son secrétaire de longue date en 1925 : « Il n'est jamais là, et pourtant il est toujours là ».
Fondation Rockfeller et la Santé
© Inconnu
La Fondation Rockefeller a été créée en 1913 par le magnat de la Standard Oil, John D Rockefeller, « pour promouvoir le bien-être de l'humanité dans le monde entier ». Ses efforts s'inscrivaient dans un nouveau mouvement américain de « philanthropie scientifique », lancé par le magnat de l'acier d'origine écossaise Andrew Carnegie dans son essai de 1889 L'évangile de la richesse. Cette approche appelait les riches à canaliser leurs richesses pour le bien de la société en remplaçant la charité individuelle par un soutien à l'amélioration sociale systématique, qui était propice à l'ordre, à la productivité et au progrès séculaire. Dans la tumultueuse ère progressiste du début du XXe siècle, de nombreux contemporains considéraient la philanthropie comme une utilisation cynique des profits tirés de l'exploitation pour contrer la menace de l'agitation de la classe ouvrière et du radicalisme politique croissant. Ces efforts philanthropiques ont contribué à repousser l'État-providence aux États-Unis et ont donné aux intérêts privés un contrôle considérable sur le bien-être social.

Commentaire: Voir aussi :


Light Saber

SOTT Focus: Si l'expérience suédoise est concluante, les mesures de confinement n'auront servi à rien


L'article qui suit est une critique des mesures de confinement draconiennes, publiée dans un média mainstream (on n'entend pas beaucoup les médias alternatifs s'exprimer sur le sujet ces temps-ci). Le postulat de départ est que la « pandémie de COVID-19 est réelle - c'est-à-dire que l'auteur part du principe que les chiffres officiels sont exacts et que les gouvernements et la population doivent de toute évidence se prémunir contre ce virus.

Néanmoins, l'auteur fait remarquer que la Suède - le SEUL État chrétien dont le gouvernement n'a pas pris de mesures hitlériennes contre sa population - rapporte en essence le même taux de mortalité (très très bas) par COVID-19 que les autres pays, un « hic » qui laisse apparaître que les mesures de confinement n'ont AUCUN EFFET préventif ou réducteur sur la progression de cette prétendue « pandémie ».


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Lorsque des commentateurs étrangers débattent des mesures très légères prises par la Suède contre le Covid-19, ils ont tendance à prendre un ton offensé. Ce qui est surprenant à première vue. On aurait pensé que chacun aurait à cœur la réussite de l'expérience menée par ce pays nordique. Après tout, si la Suède parvient à venir à bout de cette épidémie sans faire exploser son économie, il y a de l'espoir pour le reste du monde. Jusque-là, il y a de nombreux signes encourageants. La maladie semble essentiellement suivre la même trajectoire en Suède qu'ailleurs.

Même si nous devons attendre des données plus complètes, les modélisations réalisées par les autorités du pays laissent suggérer que le taux d'infection à Stockholm a atteint un pic le 8 avril. Si tel est le cas, nous devons réfléchir aux implications, à savoir qu'une fois mises en place des règles d'hygiène de base et de distanciation sociale, resserrer la vis ne change peut-être pas grand-chose. Ce qui serait une bonne nouvelle pour le reste d'entre nous. L'approche du « laisser-faire » ne rétablirait peut-être pas complètement nos économies, mais cela nous permettrait au moins de les sortir du coma artificiel dans lequel nous les avons plongées.

Dans les grandes lignes, la Suède suit l'approche adoptée par le Royaume-Uni la semaine précédant les mesures de confinement - l'approche que nos stratèges adoptaient autrefois, lorsqu'on savait garder la tête froide. Le 23 mars, dans un revirement brutal, les magasins britanniques fermaient et on priait les gens de rester chez eux.

Pourquoi ce revirement ? Était-ce à cause des médias qui, dans un accès d'hystérie, avaient exigé des mesures de confinement similaires à celles instaurées sur le continent ? Ou des réactions d'indignation après que des gens avaient visité des sites pittoresques le jour de la Fête des mères en Angleterre ? Ou de la modélisation réalisée par l'Imperial College, publiée quelques jours auparavant, qui prévoyait des centaines de milliers de morts en l'absence de quarantaine de masse ? Quelle que soit l'explication, le confinement est monté en puissance naturellement, chaque nouveau décès servant d'argument pour imposer des restrictions encore plus sévères.

Bullseye

SOTT Focus: Covid-19 - La catastrophe humanitaire provoquée par le Plan diabolique de « confinement » mondial voulu par Bill Gates, Rockefeller et autres psychopathes

D'abord, il y a la fourbe mystification, un gouvernement — presque — universel ment dans le monde entier au sujet d'un virus mortel que l'OMS a nommé Covid-19. La décision d'un confinement mondial — littéralement conçu pour provoquer un effondrement économique mondiale — avait déjà été prise lors de la conférence du Forum économique mondial de Davos, qui s'est tenu du 21 au 24 janvier 2020. Le 30 janvier, l'OMS déclarait le Covid-19 urgence de santé publique de portée internationale. À ce moment-là, seuls 150 cas de Covid-19 étaient recensés en dehors de la Chine. Déclarer une pandémie n'était en rien justifié. Le 11 mars, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, a transformé l'urgence de santé publique de portée internationale en pandémie. Cette déclaration a donné le feu vert pour la mise en œuvre du « Plan ».
prepping toilet paper
© Inconnu
La pandémie était nécessaire pour servir de prétexte à l'arrêt de l'économie mondiale propre à provoquer son effondrement et le naufrage de la vie sociale qui lui est inhérente.

Il ne s'agit en aucun cas d'une coïncidence. Un certain nombre d'événements préparatoires se sont produits, tous orientés vers une monumentale catastrophe historique mondiale. Tout a commencé il y a au moins dix ans — probablement bien avant — avec le tristement célèbre rapport Rockefeller de 2010, qui décrit la première phase d'un plan monstrueux, appelé scénario « Lock Step » [Étape de confinement - NdT]. L'Event 201, qui s'est tenu à New York le 18 octobre 2019 figure parmi les derniers préparatifs de la « pandémie ».

L'événement était parrainé par le Centre de santé publique Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, le club des riches et des puissants qui se réunit chaque année en janvier à Davos, en Suisse. Un certain nombre de groupes pharmaceutiques — notamment des groupes d'intérêt en faveur des vaccins — ainsi que les Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis et de la Chine y ont participé.


L'un des objectifs de l'Event 201 était une simulation informatique d'une pandémie de virus à corona. Le virus simulé avait au départ été nommé SARS-2-nCoV, pour être ensuite renommé 2019-nCoV. Les résultats de la simulation ont été désastreux : en 18 mois, 65 millions de personnes en étaient mortes et la bourse avait chuté de plus de 30 %, entraînant un chômage et des faillites sans précédent. Il s'agit précisément du scénario dont nous vivons aujourd'hui le premier stade.

Question

SOTT Focus: Tucker Carlson : les mesures de confinement sont-elles efficaces ?

Il semble que cette question n'intéresse pas beaucoup les politiciens.

carlson

Bulb

SOTT Focus: Pasteur versus Béchamp - La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l'occasion d'ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Béchamp versus Pasteur
© InconnuBéchamp (à gauche) versus Pasteur (à droite)
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l'idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons et bien sûr des virus. Bien que l'idée ait circulé bien avant que Pasteur ne devienne éminent, ses travaux de laboratoire dans les années 1860 ont donné l'impression de fournir les preuves scientifiques qui manquaient auparavant.

Ce que l'on sait moins, c'est que d'autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ». Ils considéraient que le facteur le plus important qui détermine si une personne tombe malade ou non ne tient pas en la présence d'un germe, mais relevait plutôt de la disposition propre à l'environnement interne du corps (le « terroir » ou le terrain) à se préparer en vue de repousser ou de détruire le germe en question.

L'un des principaux scientifiques de la théorie du terrain était Antoine Béchamp (1816-1908). Pasteur et Béchamp étaient des rivaux acharnés autour de nombreuses questions scientifiques. Le livre de R. B. Pearson, publié en 1942 Pasteur: Plagiarist, Imposter [Pasteur, plagiaire et imposteur - NdT] suggère même que Pasteur a plagié une partie de ses travaux à partir de ceux de Béchamp — ce qui a dû constitué pour ce dernier un point de contestation compréhensible, lui qui finalement est mort dans l'oubli le plus total. En revanche, Pasteur est devenu habile à s'auto-promouvoir, au point que son nom est devenu un mot commun bien après sa mort.


Commentaire : Pasteur ne s'est par contre pas promu tout seul... Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l'on reprend le contexte de l'époque où fleurissait aussi la théorie de l'évolution de Darwin, l'on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s'exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d'entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Nous pouvons aussi nous interroger sur la fonction exact des microbes dans l'écologie planétaire, et déterminer s'ils ne seraient pas en fait nécessaires à l'évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd'hui religion.


Commentaire:
Voici quelques extraits de l'ouvrage du Dr Éric Ancelet, Pour en finir avec Pasteur (pages 83, 84, 85, 87, 90, 91).
Bien introduit dans les antichambres du pouvoir, Pasteur va imposer ses vues sur un autre sujet à la mode, celui de la génération spontanée, dont il va pourfendre les défenseurs avec sa vindicte coutumière. Les savants s'affrontent rarement dans la sérénité.

L'orgueil et les préjugés s'en mêlent, comme la nécessité d'assurer sa carrière, ses titres et ses subventions.
[...]
La négation par Pasteur d'une « génération spontanée » à partir de matière inerte était donc justifiée en son temps, mais elle l'a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les « espèces microbiennes », sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter mais en aucun cas de se transformer en « autre chose ». Or Béchamp puis Tissot ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique.
[...]
Ce dernier passage est très intéressant si l'on considère le « Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ou la similitude frappante entre les possibles transformations réversibles de ces micro organismes et les astéroïdes qui peuvent devenir des comètes (et revenir à l'état d'astéroïde, ou pas), qui elles-mêmes peuvent devenir des planètes, le tout en fonction du champ électrique cosmique dans lequel ils et elles progressent.
Voir : Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon

Pour en revenir au livre du Dr Éric Ancelet, poursuivons.
De ces débats découlent deux conceptions radicalement opposées de l'écologie microbienne.
Pour Pasteur, le microbe génère la maladie. [...] « À chaque germe une maladie ». [...] « À chaque maladie un vaccin ».
[...]
Pour Béchamp, la maladie active le microbe.
[...]
Alors, Pasteur ou Béchamp ?

Nous avons vu pourquoi la France du siècle dernier avait besoin que Pasteur ait raison. Bien mieux que Béchamp, savant discret et peu « médiatisé », Pasteur était capable de jouer le rôle politique de fer de lance d'une France républicaine profondément éprouvée dans son orgueil national.
Toutefois,
C'est seulement en 1877 que Pasteur, âgé de 55 ans [...] va entreprendre des recherches sur les micro-organismes « responsables » des maladies humaines et animales.
Avant cela, Pasteur a plagié les travaux antérieurs de Béchamp, travaux dédiés à des recherches sur les maladies des vers à soie. Il présentera le résultat de ces travaux comme les siens propres sans jamais citer Béchamp, et en affirmant que ses travaux sont antérieurs à ceux de Béchamp. En outre, et pour bien appuyer le tout, en « fin diplomate et beau parleur » qu'il est, Pasteur « dédiera son traité sur les maladies des vers à soie à l'Impératrice ». Puis,
C'est alors que survient un événement considérable dans une vie humaine, surtout à la lumière d'une « médecine nouvelle » qui à chaque maladie associe, non pas un microbe pathogène ou un gène défectueux, mais un conflit de nature psycho-émotionnelle.

Le 19 octobre 1868, à l'âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une attaque d'hémiplégie qui paralyse son côté gauche.

Selon les lois biologiques du docteur R.G. Hammer, il pourrait s'agir d'une « crise épileptoïde » déclenchée en phase de guérison par un œdème cérébral situé dans l'hémisphère droit, au niveau des centres moteurs. Guérison de quoi ? Chez l'homme droitier, cette partie du cerveau est en étroite relation avec des conflits de territoire. Or Pasteur vient d'imposer in extremis son antériorité sur Béchamp ! Nous devons signaler aussi que l'hémisphère droit et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur, correspondent classiquement à la part féminine de l'être, à la passion, au sens artistique, à l'intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s'est construite sur des valeurs purement masculines, l'action, l'affrontement, l'analyse, la raison, que toute le biologie post-pasteurienne est infirme, hémiplégique de naissance ?
On ne peut que se résoudre à croire que c'est le cas... Pasteur est hémiplégique depuis neuf ans quand il entreprend les recherches pour lesquels il est « connu ».


Fireball 5

SOTT Focus: Les sept passages dévastateurs de la comète Vénus à proximité de la Terre

Dans un article précédent intitulé « La Terre a-t-elle « volé » l'eau de Mars ? », j'ai mentionné qu'une rencontre rapprochée entre Mars et la Terre s'était produite il y a environ 12 500 ans — soit 10 500 ans avant J.-C. La planète Mars s'est rapprochée de la Terre sous l'influence de la planète Vénus qui, à l'époque, était un corps cométaire. Cette nature antérieurement cométaire de Vénus a amplement été théorisée par Velikovsky et démontrée par de récentes observations.
Venus
© Inconnu
Cependant, l'article susmentionné a laissé beaucoup de questions concernant Vénus.

Qu'est-il arrivé à Vénus après son interaction avec Mars ? Combien de temps a-t-il fallu à Vénus pour acquérir son orbite circulaire et planétaire actuelle ? La cométaire Vénus a-t-elle eu d'autres interactions avec la planète Terre ? Combien de passages Vénus a-t-elle effectués avant d'acquérir une orbite stable ? Quelles étaient les dates de ces passages ? Quels ont été leurs effets ?

Il y a 12 500 ans, la comète Vénus se trouvait à l'intérieur du Système solaire et a poussé Mars vers la Terre. Aujourd'hui, Vénus n'est plus une comète, mais une planète à l'orbite circulaire stable.

Le fait que Vénus soit une planète est attesté dès la Mésopotamie depuis environ 4 500 ans, ce qui signifie probablement que la transformation de Vénus de comète en planète s'est produite entre il y a 12 500 ans et il y a 4 500 ans.

Commentaire: Voir aussi pour la dernière question :


Black Cat

SOTT Focus: Le talentueux docteur Fauci

Des décisions politiques et sociales radicales ont été prises aux États-Unis et dans le monde entier quant aux mesures de quarantaine d'urgence et pour d'autres mesures qui restes à adopter. Dans de nombreux cas, les mesures radicales et sévères, telles que la fermeture de l'économie mondiale, sont justifiées par les projections de morbidité du cas COVID-19 pour l'avenir. S'il est une personne qui est le visage de la stratégie actuelle de lutte contre le coronavirus à Washington, c'est bien le directeur de l'Institut National Américain des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) du groupe des Instituts américains de la santé (NIH), le Dr Tony Fauci. Ce que les grands médias omettent commodément de mentionner dans leur discussion sur le rôle de Fauci est son histoire très controversée et conflictuelle depuis qu'il a rejoint le NIAID en 1984, au début de la panique du sida. Son rôle jette alors une lumière enrichissante sur ses actions remarquables et très controversées aujourd'hui.
bush jr Fauci medal of freedom
© Karen Bleier/AFP/Getty ImagesEn 2008, le président américain George W. Bush remet la Médaille présidentielle de la liberté à Fauci "pour ses efforts déterminés et agressifs pour aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé".
Tony Fauci, membre éminent du groupe de travail de la Maison Blanche sur le coronavirus, est présenté par les principaux médias américains tels que CNN, MSNBC ou le New York Times comme le grand expert de tout ce qui concerne l'épidémie de Covid19. Il a qualifié "d'anecdotiques" les efforts du président pour promouvoir un médicament connu contre la malaria comme traitement des patients atteints de coronaropathies graves, alors que sept ans auparavant il avait soutenu le même médicament. Il a publiquement pris les projections d'un institut créé dans l'État de Washington par la Fondation Gates, la même fondation qui possède virtuellement l'OMS et détient des participations importantes dans les principaux fabricants de vaccins, pour affirmer que jusqu'à 200 000 Américains pourraient mourir de COVID19. Fauci a déclaré que COVID19 est "probablement environ 10 fois plus mortel que la grippe saisonnière", ce qui signifierait 300-600 000 décès dus au coronavirus cette année, au même moment, dans une revue médicale respectée, il a comparé la morbidité du COVID-19 à celle de la grippe saisonnière. Lorsqu'on lui a demandé combien de temps l'arrêt d'une grande partie de l'économie américaine devait durer, M. Fauci a répondu uniquement lorsqu'il n'y a aucun nouveau cas positif au test Covid19, ce qui est impossible étant donné les tests défectueux. Il a également soutenu les tests directs sur l'homme de nouveaux vaccins sans tests préalables sur les animaux, y compris avec des vaccins radicaux non testés à base de gènes d'ARNm.

M. Fauci a plus d'influence sur la politique nationale américaine concernant la pandémie sans précédent de Covid-19 que quiconque, y compris le président. La plupart des médias le traitent avec admiration comme un scientifique irréprochable, l'un des meilleurs au monde. Un examen plus approfondi de la carrière d'Anthony Fauci donne une image radicalement différente, très alarmante en fait.

Smoking

SOTT Focus: Sauve des vies, tire ta clope : incroyable découverte, les fumeurs sont moins susceptibles de contracter le COVID-19

Il n'y a pas beaucoup de sujets de rigolade ces temps-ci, mais la récente découverte selon laquelle les fumeurs pourraient être protégés contre le COVID-19 en est un. Alors que la liste des études montrant que les fumeurs sont sous-représentés dans les unités COVID ne cesse de s'allonger, un éminent neurobiologiste français du nom de Jean-Pierre Changeux mène actuellement un essai randomisé contrôlé visant à tester l'effet de patchs de nicotine sur des patients COVID-19.
smoker china covid-19
Ne vous en faites par pour lui !
C'est loin d'être une théorie farfelue. Changeux a expliqué son hypothèse en détail ici. Pour faire simple, il affirme que les récepteurs nicotiniques cholinergiques jouent un rôle-clé dans le développement de la maladie, et que la nicotine peut y mettre un frein. S'il a raison - et le principe de l'ironie voudrait que ce soit le cas - cela sauverait non seulement des milliers de vies, mais ce serait un coup dur pour les groupes de « santé publique » qui n'ont de cesse de répéter que la clope et le vapotage sont des facteurs de risque pour le COVID-19.

Ces groupes sont tellement habitués à mentir en toute impunité qu'au début de la pandémie, ils se sont empressés d'affirmer que le tabagisme entraînait des complications en cas de coronavirus. Aux États-Unis, les journaux rapportent à l'envi que les fumeurs et les vapoteurs « pourraient » courir un plus grand risque s'ils sont infectés, assertion ambiguë qui se passe de toute démonstration. Un groupe de médecins new-yorkais a exhorté le gouverneur Andrew Cuomo à interdire la vente de tabac et de cigarettes électroniques, en se basant sur l'hypothèse fallacieuse selon laquelle « des preuves de plus en plus nombreuses démontrent un lien entre la consommation de tabac et un risque accru de progression du COVID-19 ». Quant à l'OMS, quand il n'est pas occupé à cirer les pompes du parti communiste chinois, il émet des allégations infondées selon lesquelles les fumeurs seraient plus « susceptibles » de morfler davantage en cas de coronavirus.

Commentaire: Maintenant, considérez la dimension sinistre de cette « découverte » : depuis le début de cette « pandémie », les gouvernements font des pieds et des mains pour interdire complètement la vente de tabac et de produits dérivés du tabac...

Voir aussi :
2020 : La fin des cigarettes mentholées

Dr William T. Whitby : vive le Tabac, où l'on découvre que l'usage du tabac n'est pas mauvais pour notre santé


Red Pill

SOTT Focus: 90 jours d'hystérie : les chiffres officiels prouvent que le COVID-19 RESTE bénin

Dans mon premier article SOTT publié le 19 avril, je comparais les statistiques relatives aux taux d'infection et de décès par COVID-19, selon les pays (% de populations entières). Décidant d'être généreux, j'étais parti du principe que les chiffres rapportés, entre autres, par l'Université Johns-Hopkins étaient tout à fait corrects et précis, tout en sachant parfaitement que cette présomption est extrêmement discutable.
hospital war zones
Dans mon article précédent, nous apprenions qu'à la date du 15 avril, à 10h du matin (AEST, Australian Eastern Standard Time), n'étaient pas infectés :
99,994 % de la population en Chine (1,4 milliard d'habitants)
99,729% de la population en Italie (60 millions)
99,817 % de la population des États-Unis (330 millions)
99,633% de la population en Espagne (47 millions)
99,842% de la population en Allemagne (83 millions)
99,910% de la population en Iran (83 millions)
99,798% de la population en France (65 millions)
99,698% de la population en Suisse (8,6 millions)
99,858% de la population du Royaume-Uni (67 millions)
99,979% de la population en Corée du Sud (51 millions)
99,889% de la population en Suède (10,3 millions)
99,974% de la population en Australie (25 millions)
99,974% de la population mondiale (7,5 milliards)