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SOTT Focus: Covid-19 : 12 experts remettent en question la nécessité d'un confinement mondial

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Ci-dessous, une liste de douze experts médicaux dont les opinions sur la crise du coronavirus contredisent le discours officiel des médias dominants et le déluge de mèmes inondant actuellement les réseaux sociaux.

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Le Dr Sucharit Bhakdi est spécialiste en microbiologie, ex-professeur à la Johannes Gutenberg University de Mainz, directeur de l'Institute for Medical Microbiology and Hygiene, et l'un des chercheurs scientifiques les plus cités de l'histoire allemande.

Commentaire: Cet article est une véritable bénédiction, compte tenu de l'hystérie ambiante. Les extraits cités, ainsi que les liens fournis, donnent un excellent aperçu de ce qui se passe réellement avec cette panique virale. Malheureusement, personne n'écoute les experts ; les gens préfèrent écouter les politiciens - qui sont plus intéressés par leur image et leur réélection - et les médias mainstream prêts à tout pour obtenir des clics, y compris à effrayer la populace.

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SOTT Focus: D'abord ne pas nuire - Si les soins de santé primaires restent fermés, le bilan pour les personnes âgées sera pire que celui du Covid-19

Je suis médecin « en première ligne » dans la « guerre contre le Covid-19 ». Oui, nous avons un énorme problème, mais ce n'est pas nécessairement le virus lui-même. Le vrai problème est caché à la vue de tous. Voyons si nous pouvons commencer à le discerner.
covid-19 médecin hôpital
© Inconnu
Période de confinement

Voici comment les médecins, les infirmières et autres personnels médicaux et administrateurs gèrent cette crise.

Des unités d'assistance respiratoire « pour les contaminés » qui sont séparées du reste des patients ambulatoires et du personnel de santé ont été mis en place au sein des cliniques et des hôpitaux. Toute personne qui se présente avec une toux, ou des éternuements, ou qui montre un signe de détresse respiratoire, est dirigée vers cette unité et tenue à l'écart de toute personne entrant avec des blessures ou toute autre maladie non respiratoire. C'est ainsi que pour prévenir sa propagation à l'ensemble du bâtiment, la contagion est maintenue isolée au sein de l'unité d'assistance respiratoire qui dispose de ses propres médecins et du personnel nécessaire pour soigner les malades. Là encore, tous les arrivants qui présentent des symptômes respiratoires — qui peuvent en réalité aller du simple rhume à la grippe saisonnière typique, voire à une toux due à des allergies saisonnières — sont envoyés dans cette unité respiratoire.

Chaque fois qu'un médecin est tenu d'enregistrer un élément lié à la consultation d'un patient, il doit le faire en saisissant une note dans un dossier — électronique, la plupart du temps — en lui attribuant une certaine catégorie. Après que la pandémie ait été officiellement déclarée, et compte tenu de l'effort mondial de confinement, cette catégorie est spécifique aux codes internationaux désignés pour ce coronavirus particulier. Après tout, les personnes ont besoin d'attestations d'arrêt de travail pour maladie ou de certificats de quarantaine délivrés par les médecins, qui déterminent lesquels délivrer à qui en fonction de la probabilité d'être infecté ou d'être en contact étroit avec des personnes infectées.

Brain

SOTT Focus: Coronavirus - Le langage comme arme de destruction massive

Contrairement à ce que la plupart des gens ont été amenés à croire, le coronavirus pourrait être moins virulent et moins mortel que le virus de la grippe. Des scientifiques australiens auraient découvert que les malades se remettent du coronavirus à peu près de la même manière qu'ils le font pour la grippe. Malgré cela, le coronavirus Covid-19 a transformé le monde entier en quelques jours seulement.

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© Inconnu« Ils appellent cela une quarantaine, pour ne pas avoir à dire qu'il s'agit d'une loi martiale. »
Dans les sociétés occidentales prétendument démocratiques, des populations entières acceptent des mesures draconiennes « pour leur propre bien », ce qui créé un précédent pour des quarantaines, des confinements et des interdictions de voyager injustifiés, et bien plus encore. En ce moment même, une grande partie de la population mondiale s'isole d'elle-même sur la base d'une science floue et approximative et de spéculations douteuses fondées sur des données peu fiables.

Ainsi, bien que le coronavirus Covid-19 lui-même soit probablement beaucoup moins dangereux que ce qu'on nous raconte, le langage en apparence ordinaire mais néanmoins néfaste utilisé pour décrire — et donc exacerber — cette « crise » constitue une réelle menace pour nos sociétés. Lorsque les populations cessent de s'interroger sur le pourquoi et le comment d'une situation, et se limitent à accepter aveuglément les ordres de l'État, elles auront à faire face aux conséquences de cette inertie. Les mots prennent de nouvelles significations et influencent la façon dont nous percevons tous la réalité. Lorsqu'un certain point de vue devient une réalité consensuelle, il peut entraîner des changements dramatiques au sein de la réalité elle-même.

2 + 2 = 4

SOTT Focus: Hystérie et confinement élaborés sur la base d'une manipulation des chiffres du Covid-19

En annonçant les plus importantes restrictions dans les libertés individuelles au cours de l'histoire de notre nation, Boris Johnson a résolument suivi les conseils scientifiques qui lui avaient été donnés. Les conseillers du gouvernement semblent calmes et recueillis,manifestant un solide consensus entre eux. Face à une nouvelle menace virale, dont le nombre de cas augmente chaque jour, je ne suis pas sûr que n'importe lequel des premiers ministres aurait agi très différemment.
Gonflé versus Dégonflé
© Inconnu
Mais j'aimerais soulever quelques points de vue qui n'ont guère été abordés ces dernières semaines, et qui indiquent une interprétation des chiffres assez différente de celle sur laquelle le gouvernement agit. Je suis professeur en pathologie récemment retraité et pathologiste consultant du NHS [Système de santé en Grande-Bretagne - NdT], et j'ai passé la plus grande partie de ma vie adulte dans le domaine des soins de santé et des sciences — des domaines qui, trop souvent, sont caractérisés par le doute plutôt que par la certitude. Concernant les données actuelles, elles fournissent la place nécessaires à différentes interprétations. Si certaines de ces autres interprétations sont correctes, ou du moins plus proches de la vérité, alors les conclusions sur les actions requises changeront en conséquence.

La façon la plus simple de juger si nous sommes atteints d'une maladie exceptionnellement mortelle est d'examiner les taux de mortalité. Y a-t-il plus de personnes qui meurent que ce à quoi on s'attendrait de toute façon pour une semaine ou un mois donné ?

Statistiquement, nous nous attendons à ce qu'environ 51 000 personnes meurent en Grande-Bretagne ce mois-ci. Au moment où nous écrivons ces lignes, 422 décès sont liés au Covid-19 — soit 0,8 pour cent de ce total prévu.

Sur une base mondiale, nous nous attendons à ce que 14 millions de personnes meurent au cours des trois premiers mois de l'année. Les 18 944 décès dus aux coronavirus dans le monde représentent 0,14 pour cent de ce total.

Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont actuellement inférieurs à ceux d'autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe). Ce ne sont pas des chiffres qui, en soi, devraient provoquer des réactions mondiales drastiques.

Binoculars

SOTT Focus: Pourquoi la France cache un remède contre le virus testé et peu coûteux

Ce qui se passe dans la cinquième plus grande économie du monde laisse supposer un scandale de collusion majeur dans lequel le gouvernement français aide Big Parma à tirer profit de l'expansion du Covid-19. Les citoyens français informés sont absolument furieux à ce sujet.
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© EFE/Cugnot Mathieu EFEIl semblerait que le gouvernement français aide Big Pharma à tirer profit de la pandémie de Covid-19.
Ma première question à une source parisienne sérieuse et irréprochable, la juriste Valérie Bugault, portait sur les liaisons dangereuses entre le Macronisme et Big Pharma et surtout sur la mystérieuse « disparition » - plus probablement le vol pur et simple - de tous les stocks de chloroquine en possession du gouvernement français.

Bad Guys

Flashback SOTT Focus: Dépression nerveuse de masse : des millions d'américains au bord du gouffre tandis qu'une pandémie de stress ravage la société


Commentaire : Cet article que nous avions publié il y a 7 ans, est ô combien d'actualité et amène à une vision complémentaire devant l'épidémie virale que nous traversons actuellement.

Il s'agit ici d'une autre pandémie : celle du stress et de la dépression de masse. Le confinement planétaire actuel exacerbe le niveau de stress d'une manière inédite jusqu'ici. En outre, les conseils prodigués dans l'article sont plus que jamais vitaux.

Fort heureusement pour nous, nous ne sommes pas démunis face a ce stress qui tue ; nous avons même un champ d'action assez vaste. La région de l'hippocampe peut-être protégée, voire même stimulée — au niveau de la production de neurones, par exemple par la pratique du sport (même chez soi à défaut de pouvoir le faire à l'extérieur) — , d'une diététique appropriée et/ou de la méditation. Quelques pistes : Bonne lecture !


En tant que médecin, je peux vous dire que le stress a atteint des niveaux pandémiques, même si beaucoup se retiennent de se l'avouer ou à leurs pairs.
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La population américaine représente cinq pour cent de la population mondiale, pourtant, les deux tiers des médicaments psychiatriques utilisés dans le monde entier leur sont prescrits. Si ce n’est pas un signe de menace d’effondrement de la santé mentale, nous ne savons pas ce que c’est !
Notre préjugé de normalité nous empêche de prendre en compte que des dizaines de millions de personnes dans les pays occidentaux tombent comme des mouches de maladie, de dépression et d'autodestruction. Je suis tombée sur cet article de David Kupelain, à propos de la santé des Américains et je suis d'accord avec certaines des observations faites au sujet de l'état désastreux des choses :
  • une nouvelle recherche percutante des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) [Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies - N.D.T.] montre qu'un lycéen sur cinq a été diagnostiqué aux États-Unis avec le TDAH [Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité - N.D.T.], et de même une nouvelle étude étendue des résidents de New York, montre, malheureusement, qu'un préadolescent sur cinq - des enfants âgés de six à douze ans - ont été médicalement diagnostiqués avec soit le TDAH, l'anxiété, la dépression ou le trouble bipolaire ;
  • une nouvelle recherche conclut que le stress rend les gens vulnérables à une maladie grave, et un nombre croissant d'études confirment maintenant que le stress chronique joue un rôle important dans la progression du cancer, le deuxième plus grand tueur du pays. Le plus meurtrier de tous - la maladie cardiaque, qui provoque un décès sur quatre aux États-Unis - est également connu pour être causé par un énorme facteur de stress ;
  • de façon incroyable, onze pour cent de tous les Américains âgés de douze ans et plus prennent actuellement des antidépresseurs ISRS [Inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine - N.D.T.] - ces médicaments psychotropes très controversés avec l'étiquette d'avertissement « tendances suicidaires » de la FDA [Food and Drug Administration - Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux - N.D.T.] et de corrélation inquiétante avec les tireurs de l'école [référence est faite à la tuerie de l'école primaire de Newtown - N.D.T.]. Les femmes sont particulièrement sujettes à la dépression, avec un stupéfiant vingt-trois pour cent de toutes les femmes américaines de quarante à soixante ans - presque une sur quatre - qui prennent des antidépresseurs, selon une importante étude menée par la CDC ;
  • ajoutez à cela des dizaines de millions d'utilisateurs de tous les autres types de médicaments psychotropes, y compris (il suffit d'en choisir un) les 6,4 millions d'enfants américains entre quatre et dix-sept ans, diagnostiqués avec le TDAH, et à qui l'on prescrit du Ritalin ou des psychostimulants similaires. Ajoutez à cela les vingt-huit pour cent des adultes américains ayant un problème d'alcool, c'est plus de soixante millions, plus les vingt-deux millions qui consomment des drogues illicites comme la marijuana, la cocaïne, l'héroïne, les hallucinogènes et les inhalants, et bientôt une image émerge d'une nation de drogués, avec des centaines de millions de dépendants d'une substance toxique ou autre - légale ou illégale - pour « aider » à faire face au stress et aux problèmes de la vie.

Commentaire: Voir aussi :


Ambulance

SOTT Focus: Le coronavirus N'EST PAS originaire de Chine - Les médecins de Lombardie font face à d'« étranges pneumonies » depuis au moins NOVEMBRE

Une « étrange pneumonie » circulait déjà dans le nord de l'Italie en novembre dernier, quelques semaines avant que les médecins ne soient informés de la nouvelle épidémie de coronavirus en Chine, a déclaré cette semaine l'un des principaux experts médicaux du pays européen.


Commentaire : Cela signifie presque certainement que le virus n'est PAS originaire de Chine et qu'il circule dans le monde depuis de nombreux mois — même s'il le fait peut-être sous ses formes mutantes les plus récentes.

Wuhan — comme Bergame, le centre de l'Iran et Madrid — s'avère alors être un « point chaud », probablement en raison d'un certain nombre de facteurs LOCAUX.


Giuseppe Remuzzi
© InconnuGiuseppe Remuzzi, vend la mèche : « Des médecins ont vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées, en décembre, et même en novembre ».
« Ils [les médecins généralistes] se souviennent avoir vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées en décembre et même en novembre », a déclaré Giuseppe Remuzzi, le directeur de l'Institut Mario Negri pour la recherche pharmacologique à Milan, dans une interview donnée à la Radio publique nationale des États-Unis. Remuzzi ajoute :
« Cela signifie que le virus circulait, au moins dans [la région nord de] la Lombardie et avant que nous ayons eu connaissance de cette épidémie en Chine. »

Au moment où les commentaires de Remuzzi deviennent publiques, les scientifiques poursuivent toujours leurs recherches quant à l'origine du Covid-19. L'expert chinois en maladies respiratoires Zhong Nanshan avait précédemment déclaré que même si la Chine a été la première à signaler l'agent pathogène, il n'était pas possible de connaître avec certitude sa provenance réelle.


Commentaire : La Chine a fondamentalement résolu un problème mondial dont les autorités occidentales — y compris les médecins — n'avaient pas conscience jusqu'en janvier. En conséquence, ils se font traiter de « terroristes du virus ».


Commentaire: Une question demeure : pourquoi une province — Bergame — d'une région — Lombardie — du nord de l'Italie est-elle si durement touchée ?

Nous n'avons pas précisément la réponse à cette question...
Mais il est intéressant de noter que la Chine a pris cette situation suffisamment au sérieux pour placer Wuhan en quarantaine, identifier le coupable (« Covid-19 »), craquer son génome, et en informer le monde, y compris en partageant les protocoles à même ou pas d'atténuer ses effets et de sauver autant de vies que possible.

L'Italie, l'Union européenne, les États-Unis, l'OTAN et le hautain « Ordre occidental » NE L'ONT PAS FAIT.

Soit dit en passant, cette révélation d'une « étrange épidémie de pneumonie » l'automne dernier correspond à notre propre expérience directe. L'un de nos rédacteurs a contracté début décembre ce que nous soupçonnions être une « pneumonie cryptogénique » — terme général utilisé par les experts pour désigner une « pneumonie d'origine inconnue ».

Plusieurs médecins n'ont cependant pas pu la diagnostiquer, croyant plutôt que ce qu'ils voyaient sur les scanners pulmonaires était un cancer. Les biopsies ont cependant permis d'écarter cette hypothèse. Même à cette époque, ils ne considéraient PAS qu'il s'agissait d'une source virale !

Le coronavirus pourrait très bien être présent dans la population mondiale depuis bien plus longtemps que ce que l'on pensait. Si c'est le cas, cela montre à quel point la panique actuelle est sans fondement — et pire encore, comment elle est alimentée par des intérêts géopolitiques et d'ingénierie sociale malveillants.


Padlock

SOTT Focus: Covid-19 : confinement planétaire

Faisons un petit exercice de réflexion. Juste pour le fun. Pour passer le temps pendant que, confinés chez nous pour une période indéfinie, nous vérifions compulsivement le nombre de « cas en circulation » et de « morts totales » de Covid-19, en nous lavant les mains toutes les vingt minutes et en essayant de ne pas nous toucher la figure.
french police lockdown
© Inconnu
Mais avant cela, je tiens à préciser que je crois que cette histoire de Covid-19 est réelle, et qu'elle constitue probablement la menace la plus mortelle pour l'humanité dans toute l'Histoire des menaces mortelles pour l'humanité.

D'après les données que j'ai consultées, ce n'est qu'une question de jours, ou d'heures, avant que presque tout le monde sur Terre ne soit infecté et ne meure dans des souffrances atroces, seul, ou ne souffre de symptômes légers et courants similaires à ceux du rhume, ou d'aucun symptôme du tout.

Je pense que je dois le dire clairement, avant de procéder à notre exercice de réflexion, parce que je ne veux pas qu'on pense à tort que je fais partie de ces nazis probablement soutenus par la Russie qui se promènent en disant « c'est juste la grippe », ou qui répandent de dangereuses théories conspirationnistes sur les armes biologiques et la loi martiale, ou qui doutent ou remettent en question les mesures de bon sens consistant à confiner le monde entier (au risque d'entraîner une nouvelle Grande Dépression) à cause de la découverte d'un virus idéalisé.

De toute évidence, il ne s'agit pas seulement de la grippe. Des milliers de personnes sont en train d'en mourir. Certes, la grippe fait bien plus de victimes, des centaines de milliers chaque année, mais ce virus Covid-19 est totalement nouveau, et ne ressemble à aucun des autres millions de virus qui circulent en permanence, et les experts disent qu'il va probablement tuer, ou rendre gravement malade, ou brièvement incommoder des millions, voire des milliards de personnes si nous ne confinons pas des pays entiers et ne terrorisons pas tout le monde jusqu'à la soumission totale.

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SOTT Focus: Des virus ont-ils inventé l'ADN ?


Commentaire : A la lumière de ce que l'on sait sur les virus, le coronavirus ne serait-il pas en fait nécessaire à notre évolution ? Ne ferait-il pas partie des mécanismes utilisés par la nature pour transmettre de l'information ? Au final ne nous serait-il pas d'une grande aide en apportant des briques à notre ADN ? On a tendance à considérer que les virus sont uniquement des grands méchants. L'article qui suit montre que ce n'est pas si simple et qu'ils sont peut-être à l'origine de la vie. Si les virus ont « inventé » l'ADN, avoir une peur panique d'un virus finalement très faiblement létal sauf pour les gens affaiblis, est peut-être juste une folie.


Depuis leur découverte, les virus sont restés exclus de l'arbre de l'évolution. Aujourd'hui, de nombreux biologistes discutent ce fait, et donnent aux virus un rôle primordial dans les changements subis par nos cellules ancestrales.

flu virus
Les virus posent un problème de fond aux biologistes : comment les situer dans l'ensemble du monde vivant ? Sont-ils seulement en vie ? D'après la théorie cellulaire élaborée au XIXe siècle, tout être vivant est constitué de cellules, ce qui n'est pas le cas des virus. Au milieu du XXe siècle, l'observation des cellules au microscope électronique a conduit à diviser le monde du vivant entre les cellules eucaryotes, qui possèdent un noyau entouré d'une membrane, et les cellules procaryotes, qui en sont dépourvues.

Les virus ont été arbitrairement rattachés à l'une de ces deux catégories en fonction de leurs hôtes. Les virus « procaryotes » étaient clairement opposés aux virus « eucaryotes ». On supposait alors que les virus avaient dû se former à partir de fragments d'acides nucléiques issus d'organismes cellulaires procaryotes ou eucaryotes, devenus par la suite autonomes et infectieux.

Modèles expérimentaux simples pour les pionniers de la biologie moléculaire, objets d'étude privilégiés pour la microbiologie médicale, les virus n'intéressaient généralement pas les évolutionnistes. Cette situation est en train d'évoluer. En effet, nous connaissons de mieux en mieux les virus grâce au séquençage de leurs génomes, et à l'analyse structurale de leurs protéines. Ces travaux ont montré que les virus forment un monde à part, qui coévolue depuis les temps les plus anciens avec le monde cellulaire.

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SOTT Focus: Le virus du wétiko - La plus terrible des pandémies connue de l'humanité

Ce qui suit est la première partie d'une série de trois articles. La deuxième partie est ICI, et la troisième partie sera traduite prochainement. Cette série a initialement été publiée en 2011.


Commentaire : Est-il utile de prévenir le lecteur que ce qui suit constitue dans sa totalité un « éclairage » dans la compréhension de certains mécanismes des événements « pandémiques » en cours ?


Dans Christophe Colomb et autres cannibales, l'auteur indigène Jack D. Forbes explore avec lucidité une pathologie qui a façonné chez l'humain une attitude autodestructrice connue depuis de nombreuses années par les Amérindiens. La description qu'il fait de cette maladie me semble clairement identique à la maladie psycho-spirituelle de l'âme décrite dans mon livre, The Madness of George W. Bush: A Reflection of our Collective Psychosis [« La folie de George W. Bush - Un reflet de notre psychose collective », ouvrage non traduit en français - NdT]. J'y expose le concept de psychose collective que j'appelle « égophrénie maligne », à laquelle l'humanité est en proie depuis l'aube de son histoire. Forbes décrit cette même pandémie psychique ainsi :
« Depuis des milliers d'années, les êtres humains souffrent d'un fléau, d'une affection pire que la lèpre, d'un mal pire que la malaria, d'une maladie bien plus terrible que la variole. ».
Humain trois faces
© Inconnu
Depuis des siècles, les peuples natifs traquent le même virus « psychique » que j'appelle « égophrénie » maligne et qu'ils nomment wétiko, du terme crée pour désigner une personne ou un esprit malveillant qui terrorise les autres [« par des actes terribles et diaboliques incluant le cannibalisme », d'après Christophe Colomb et autres cannibales de Forbes - NdT]. Le professeur Forbes, qui fut l'un des fondateurs du mouvement amérindien au début des années 60, déclare : « L'histoire épidémiologique de la maladie du wétiko constitue, en grande partie et de façon tragique, l'histoire du monde des 2 000 dernières années. ». « Maladie de l'âme ou de l'esprit », le wétiko/égophrénie maligne est au sens propre du terme une « psychose ». Nous désignons Forbes et moi, bien que sous un nom différent, la même maladie de la psyché, de l'âme et de l'esprit à l'origine de l'inhumanité de l'humanité envers elle-même.

L'étude de l'entité du wétiko nécessite au préalable d'invoquer son esprit et d'entrer en relation avec lui, comme pour un rituel magique. Pour éviter une trop grande « imbrication » avec l'objet de notre contemplation, le wétiko doit être considéré et abordé avec un maximum d'objectivité, comme s'il nous était extérieur. L'épidémiologie du wétiko se distingue de celle de toute autre maladie par son origine psychique unique. L'incarnation du virus wetiko dans la psyché même qui constitue le fondement de notre enquête, pose un vrai défi. Conscient de ce dilemme, Forbes indique qu'il tente d'examiner la maladie « d'un point de vue aussi libre que possible des hypothèses créées par la maladie même qui est étudiée. ». Si le cadre de référence nous permettant d'examiner le virus du wétiko nous est inconnu, la clairvoyance requise pour initier le processus de guérison sera obscurcie par la maladie et notre enquête compromise. L'observation à la fois chez les autres et dans l'« autre » aspect de soi du processus par lequel le virus se manifeste permet de « le » voir de façon plus objective. Voir et reconnaître les manifestations de cette psychose dans le monde constitue une image reflet nous permettant de voir et reconnaître la même maladie telle qu'elle se présente subjectivement dans notre propre esprit.

Commentaire: Fiction ou réalité ? « Les parasites de l'esprit » ou la description du wétiko dans le classique de science-fiction de Colin Wilson