Bien, et maintenant davantage d'étrangeté. Comme nous l'avons couvert dans un reportage récent de SOTT, des témoignages et des enregistrements de bruits étranges entendus dans le monde entier sont devenus semi-viraux sur YouTube en janvier de cette année, et certains sont même traités par les médias traditionnels. Certains pontes de YouTube prétendent que ces bruits sont tous truqués, quelques scientifiques disent qu'ils sont « normaux » et qu'il n'y a pas de quoi s'inquiéter et beaucoup flippent tandis que le phénomène nourrit l'hystérie « 2012-c'est-l'apocalypse-oh-mon-Dieu-on-va-tous-mourir ». Alors que se passe-t-il vraiment ?
Le battage semble avoir commencé avec ces vidéos de Kiev, en Ukraine, postées respectivement le 3 et le 11 août 2011. (Bien que, comme nous le verrons plus loin, ce n'étaient pas les premiers compte-rendus.)
(Allez ici pour une traduction en anglais du récit sur les sons de la personne qui a mis la vidéo en ligne ainsi qu'une analyse et ici pour un résumé du sujet associé avec des analyses et des témoignages supplémentaires.)
Voilà une brève récapitulation des faits :
Merah n'a pas été identifié comme l'auteur des meurtres de trois soldats, d'un enseignant et de trois enfants juifs à Toulouse et à Montauban, parce que le tireur portait un casque de moto. Au contraire, des témoins oculaires ont décrit le tueur comme « corpulent » et de « type européen » (selon un témoin qui a déclaré avoir aperçu le visage du tueur lorsqu'il a abaissé sa visière), tandis que Merah était clairement élancé et, comme son physique l'indiquait, d'origine nord-africaine.
La seule « preuve » de la culpabilité de Merah est fondée sur les enregistrements de prétendues conversations entre les négociateurs de la police et Merah. Ces enregistrements n'ont pas été rendus publics et ne le seront probablement jamais. Tandis qu'on peut supposer qu'un dialogue entre Merah et la police a bien eu lieu, on a toutes les raisons de penser que les autorités françaises ne nous disent pas la vérité.
Depuis un certain temps, nous avons le plaisir de travailler avec un éditeur qui, au fil des années, est devenu non seulement un merveilleux partenaire, mais également un ami. Il fait un travail sérieux, et en ardent défenseur de la presse papier, il fait de son mieux pour la faire survivre dans ce monde informatisé.
C'est grâce à sa gentillesse que Sott.net et les Éditions Pilule Rouge bénéficient régulièrement d'espaces de publicité gratuits dans ses différentes publications (sans quoi, nous n'aurions pas les moyens de faire la moindre publicité).
Cela fait trois ans que cet éditeur et ami lit tous nos articles et livres. Il a voulu créer un magazine consacré - comme son titre l'indique - à l'Histoire et aux cataclysmes. Même si, ne faisant pas partie de l'équipe éditoriale, nous ne sommes pas responsables du contenu, nous sommes ravis de voir des extraits d'articles de Laura Knight-Jadczyk publiés dans son magazine.
À ce titre, nous aimerions attirer votre attention sur le premier numéro d'Histoire et cataclysmes, désormais disponible en kiosque (et en commande sur Internet). En aidant à le diffuser et en le partageant avec vos proches et toute personne qui pourrait être intéressée, vous pourrez aider à rendre les articles de Laura accessibles au public non-internaute.

Bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial, où les fascistes en uniforme règnent en maîtres
Mohamed Merah, Français de 23 ans d'origine algérienne, amateur de voitures, carrossier dans un garage automobile, avait voulu s'engager dans l'armée française pour « défendre le drapeau français » mais avait été rejeté, faisait la fête en boîte de nuit quelques semaines avant sa prétendue folie meurtrière, avait des antécédents de délits mineurs, et devait voir le juge en avril pour une histoire de conduite sans permis. Il se serait aussi rendu en Israël, en Afghanistan et au Pakistan pour des raisons inconnues à ce jour - peut-être pour y subir un « endoctrinement idéologique ».
C'est à peu près tout ce qu'on peut dire sur lui sans tomber dans la propagande douteuse du gouvernement, à savoir l'allégation selon laquelle il serait l'auteur des récentes tueries de Toulouse. Allégation sérieusement mise en doute, un témoin oculaire des meurtres de Montauban ayant déclaré de façon claire que le tireur, qui portait toujours un casque de moto, était « corpulent » :
[Note de l'auteur] Comme l'histoire est en cours de développement, des mises à jour sont publiées en fin d'article.

Discours de Sarkozy à Toulouse, le 19 mars 2012. Un « dirigeant fort en pleine crise ». Mais qui est derrière la crise ?
Cui Bono ?
Comme souligné avec une grande justesse par Franklin Delano Roosevelt :
« En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »Aucun événement politique n'étant le fruit du hasard, la première question à se poser est donc : « Cui Bono ? » c'est-à-dire : « À qui profite le crime ? »
Avertissement au lecteur : Rien dans cet article d'investigation ne devrait être interprété comme une preuve que Sott.net approuve les activités manipulatoires d'organisations telles que la scientologie ou toute autre organisation qui profite de la fragilité humaine. Non seulement nous reconnaissons la nécessité de protéger les personnes vulnérables, au sein de la société, de ce genre d'escrocs « New Age », mais en outre, depuis ces 10 dernières années, nous nous efforçons sans relâche de démasquer ces prédateurs. Ce sont d'ailleurs les escrocs New Age que nous avons démasqués qui ont commencé à nous calomnier en nous affublant de l'étiquette « secte ». Le problème s'avère toutefois que les groupes financés par l'État et prétendument créés dans le but de protéger les citoyens des « manipulations mentales » ont leurs propres motivations ; des motivations qui, au final, sont tout aussi pernicieuses que celles des groupes promoteurs de charlatans qu'ils prétendent combattre. Preuve en est le fait que la MIVILUDES n'a opéré qu'une attaque symbolique contre la scientologie ; les scientologues n'ont jamais subi de descente de police ni d'interrogatoire (au contraire de nombreux groupes inoffensifs) et, à l'issue d'un procès hyper-médiatisé, ont été condamnés à une amende de seulement 600 000 €, ce qui, pour une organisation aussi riche, équivaut à une petite tape sur les doigts. Pendant ce temps-là, et à plusieurs occasions, le président Sarkozy faisait ami-ami avec le représentant de la scientologie, Tom Cruise. En bref, les actions menées par la MIVILUDES contre la scientologie ne sont rien d'autre que de l'esbroufe.
Depuis les années 1970, les gouvernements français qui se sont succédés ont utilisé à outrance et exagéré le danger posé par les groupes New Age, dans le but d'imposer au peuple français un conformisme oppressif en matière de croyance : il s'agit de croire en l'État lui-même. Il s'agit ni plus ni moins que de remplacer une idéologie destructrice et manipulatrice par une autre. Comme l'a déclaré la principale organisation anti-secte en France - la MIVILUDES :
« Une répression de la part de l'Etat est donc nécessaire si un certain nombre de critères doivent être satisfaits :C'est-à-dire, lorsque des personnes ordinaires commencent à adopter des idées qui pourraient, de façon générale, menacer le contrôle qu'exercent les psychopathes au pouvoir sur la masse des êtres humains normaux [1].
- Une ou plusieurs personnes commencent à croire en certaines idées qui s'écartent de celles généralement acceptées par la société. »
L'inquiétant état des lieux que nous exposons dans les paragraphes qui suivent ne concerne toutefois pas que le peuple français. Le phénomène est mondial, et ses racines remontent aux années 1960 et 1970, période marquée par les tentatives des « agences de renseignement » occidentales et de certains éléments au sein des gouvernements occidentaux de récupérer et de discréditer le « Mouvement du potentiel humain » et son rejeton - le mouvement New Age - et d'imposer un conformisme de pensée et de croyance à des centaines de millions de personnes.
À l'origine, cette stratégie impliquait l'infiltration et le détournement de tout groupe qui commençait à distinguer (et à évoquer) les problèmes inhérents aux gouvernements et grosses sociétés qui dominaient (et détruisaient) le monde. Il s'agissait - et c'est toujours le cas - de contrôler la population - mentalement, physiquement et spirituellement - de tout pays donné. Mais l'objectif ne se limitait pas à infiltrer ces groupes. Après tout, garder constamment à l'œil chaque nouveau groupe et tenter de le corrompre via l'infiltration nécessiterait beaucoup d'efforts et d'effectifs. L'idéal était donc de pouvoir diaboliser automatiquement tout groupe qui « déviait » des normes sociales ou proposait des idées qui étaient contraires aux plans des gros gouvernements et des grosses sociétés. En gangrénant ces groupes, la réponse logique fut trouvée.
Une fois qu'un groupe avait été infiltré (ou créé de toutes pièces par une agence de renseignement), il était facile de faire passer ses membres pour des malades. Les groupes qui ont perdu pied avec la réalité finissent par recourir à des mesures extrêmes, comme le suicide - du moins c'est le raisonnement. Quel meilleur moyen de diaboliser l'idée même de « modes de vie alternatifs » que de médiatiser quelques cas où de tels groupes commettent un « suicide collectif » ?
Mais les individus impliqués dans ce genre de subterfuge sont toujours à l'affut d'une opportunité pour maximiser leurs profits en un minimum d'efforts. Les groupes sélectionnés pour se voir transformer en « secte » ne sont au final que des atouts sacrifiables, et ces atouts des agences de renseignement servent traditionnellement de couverture aux activités illégales de certains responsables politiques ou dirigeants de grosses sociétés.
Si des individus influents bénéficiant de certaines relations veulent s'engager dans des activités lucratives illégales, ils s'organiseront en secret et tenteront de garantir pour eux-mêmes la possibilité d'un démenti. S'ils veulent s'engager dans des activités HAUTEMENT illégales (comme la vente d'armes prohibée par le droit international, le blanchiment d'argent, le renversement de gouvernements, les fausses attaques terroristes, les réseaux pédophiles, etc.), ils s'organiseront sous le couvert d'une organisation qui pourra, si nécessaire, être dénoncée comme « secte apocalyptique ». Après tout, les « suicidés collectifs » ne risquent pas de parler, et on s'interroge peu sur leurs motivations : ce sont juste des malades, point final.
En outre, ces « suicides sectaires » établissent de manière très efficace la « réalité » des sectes dangereuses dans l'esprit du public, et cette « réalité » peut alors être utilisée pour diffamer, menacer et, si possible, détruire tout groupe qui menace le statu quo, à savoir les psychopathes au pouvoir qui utilisent la population comme esclaves.
La « secte » et le « suicide collectif » de Jonestown (qui étaient manifestement une opération de la CIA) illustrent cette stratégie, mais il y a eu beaucoup d'autres opérations similaires, qui, ensemble, ont donné naissance au mème « sectaire » dans la société moderne. Mais à notre époque moderne, c'est en France - où l'adhésion et l'admiration pour les « normes » culturelles françaises sont vues comme la quintessence de l'équilibre mental et de la raison - que le mème « sectaire » a été utilisé avec le plus de succès.
Si vous aimez les vieux films, vous aurez probablement remarqué qu'autrefois, les femmes avaient un merveilleux corps en forme de sablier, comme Marilyn Monroe. Aujourd'hui, de telles silhouettes sont rares car les femmes ont la taille moins marquée. Les recherches suggèrent qu'il existe de nos jours cinq fois plus de femmes "de forme rectangulaire" que de femmes ayant la silhouette de Marilyn Monroe. Presque une femme britannique sur deux tombe dans la catégorie « rectangles » une silhouette androgyne où la différence entre la poitrine, la taille et les hanches est très peu marquée.
Selon le CDC, environ un tiers des adultes aux États-Unis (33,8 %) sont obèses ainsi qu'environ 17% (ou 12,5 millions) des enfants et adolescents âgés de 2 à 19 ans. En 2010, aucun état ne connaissait une prévalence de l'obésité de moins de 20%. D'autres statistiques nous disent que plus de deux tiers des adultes aux États-Unis sont en surpoids ou obèses.
Deux tiers ! Et ce dans le pays où la pyramide alimentaire de l'USDA (Département de l'Agriculture des États-Unis) ainsi que le régime pauvre en matières grasses ont guidé les choix alimentaires depuis au moins deux générations !
Partout dans le monde, le mode de vie occidental (et l'alimentation qui l'accompagne) a gagné du terrain et, avec lui, l'obésité qui a plus que doublé depuis 1980. En 2008, 1,5 milliard d'adultes de plus de 20 ans étaient obèses et presque 43 millions d'enfants de moins de 5 ans l'étaient également en 2010.
Commentaire: [1] Au sens où l'entend le psychiatre A. Lobaczewski, à savoir les individus non psychopathiques.