OF THE
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En outre, « si on considère les dates mentionnées dans cet article, 177 ans avant le début de cette présente période de « sécheresse » d'ouragans il se trouve que l'on se retrouve en 1829 (2015 - 9 - 177). Retranchons encore 9 années et on arrive à l'année 1820 c'est-à-dire très exactement à la fin du deuxième cycle solaire très déficitaire du petit âge glaciaire qui sévit au début du XIXe siècle et appelé le minimum de Dalton. Or le dernier cycle d'activité solaire (24e) qui se termine en ce moment (ne figure pas dans l'illustration ci-dessous) est à peu près comparable en nombre de taches et en intensité aux deux cycles qui induisirent ce petit âge glaciaire. »
« Tout débat est précieux, surtout lorsqu'il est mené de bonne foi. »Mais tout d'abord, qu'est-ce que le CO2 ? Selon István E. Markó - chimiste à l'université de Louvain en Belgique - dans un article intitulé : « La fuite en avant du GIEC » publié le 3 octobre dernier :
~ François Gervais
« le CO2 est la molécule de la vie et [...] sans elle, il n'y aurait ni plantes, ni micro-organismes sur Terre. Pas d'humains, non plus. Dans des temps anciens, l'atmosphère contenait bien davantage de CO2 qu'aujourd'hui. La preuve par certaines bactéries qui ont dû mettre en place des systèmes de survie pour s'adapter à la diminution du taux de CO2. Signalons enfin que durant certaines périodes glaciales, le taux de CO2 était trois à quatre fois supérieur à celui mesuré aujourd'hui, attestant s'il le fallait encore de son effet de serre minime. Quant aux valeurs « constantes » de l'ordre de 280 ppm d'avant la révolution industrielle, elles résultent d'une sélection précise, guidée par une volonté de démontrer une théorie sur l'influence néfaste de l'utilisation des énergies fossiles. Cette attitude totalement non scientifique est chose courante dans ce domaine où le politique l'emporte sur le scientifique. [...]
Le CO2 est produit après une augmentation de la température, pas avant. Il est une conséquence de cette hausse de température et pas sa cause. [...] si l'on augmente davantage la quantité de CO2 dans l'atmosphère, cela ne changera quasiment rien à son effet de serre, celui-ci étant arrivé à son maximum. Cette constatation, basée sur les lois de la physique, corrobore ce que d'éminents climatologues ne cessent de dire et de publier : plus il y a de CO2 dans l'atmosphère, moins son effet de serre est important ! » [Les emphases sont de mon fait.]
« C'était là. Cet énorme panache de turbulence au-dessus des oiseaux de Beebe juste au moment où ils ont commencé à voler frénétiquement », déclara Johnson.Ayant ciblé la cause probable, Johnson ajouta ensuite quelques idioties :
La turbulence apparaît au-dessus des oiseaux entre 2 000 et 3 500 mètres. Johnson réalisa qu'il n'y avait que quelques explications possibles à ce phénomène.
« Les oiseaux ne volent pas aussi haut, et il écarta rapidement une action militaire, un bang supersonique, une pluie de météores ou une invasion extraterrestre. »Alors qu'on peut comprendre pourquoi Johnson a écarté l'action militaire ou le bang supersonique (il n'y avait aucun vol au-dessus du secteur à ce moment là), il n'a jamais expliqué pourquoi il rejetait une « pluie de météores », bien que l'on puisse comprendre l'inclusion de « l'invasion extraterrestre » - pour ridiculiser par association l'idée d'une « pluie de météores » ou d'autres phénomènes liés aux météorites.
« Quelque chose dans l'atmosphère, quelque chose de mystérieux, s'est produit au-dessus de Beebe, dans l'Arkansas, cette nuit-là... Et je crois que cela faisait partie de ce qui a amené ces oiseaux à s'envoler puis à mourir. »En effet, mais malgré la réponse juste sous son nez, Johnson s'est totalement égaré :
Les recherches de Johnson ont repéré une inversion de température passée inaperçue juste au-dessus de l'endroit où les oiseaux nichaient à environ 450 mètres au-dessus du sol. Cette « inversion » de température a agi comme un mégaphone, amplifiant tous les bruits survenant à Beebe à ce moment-là. Lorsque les feux d'artifice explosèrent, le son fut amplifié par l'inversion et devint beaucoup plus fort que d'ordinaire. Cela semble avoir tellement effrayé les oiseaux qu'ils se sont brusquement envolés, fonçant les uns contre les autres et contre les immeubles avoisinants. Des milliers d'oiseaux alors désorientés s'écrasèrent ensuite au sol, mourant de contusion.
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