Le pic précoce du cycle solaire a enregistré le nombre quotidien de taches solaires le plus élevé depuis plus de 20 ans, ainsi que d'intenses tempêtes géomagnétiques qui ont produit d'extraordinaires aurores aux quatre coins du globe, bien plus au sud qu'à l'accoutumée.
Cette intense activité solaire s'est accompagnée de conditions météorologiques extrêmes sur Terre, notamment des tempêtes particulièrement violentes et des inondations record dans le monde entier.
À travers tout l'Asie du Sud, des millions de personnes ont été affecté par les précipitations dues à la mousson qui ont détruit des infrastructures, inondé des maisons et entraîné des coupures d'électricité :

• Bangladesh — Des inondations catastrophiques ont entraîné la mort de 27 personnes et 5,6 millions ont été sinistrés.
• Inde — Des inondations considérables dans l'État du Gujarat ont causé la mort de 28 personnes et déplacé 24 000 autres.
• Cambodge, Laos et Myanmar — Des semaines de pluie en quelques jours ont provoqué des inondations majeures qui ont endommagé les cultures.
• Inde — Des précipitations diluviennes - 20 cm en 24 heures - ont entraîné des glissements de terrain mortels.

Des records de pluviosité pour la saison sont à nouveau battus dans l'hémisphère nord, ce qui témoigne d'une accumulation de poussières cométaires et de particules volcaniques dans l'atmosphère ainsi que d'un déséquilibre du champ électrique terrestre.
Après avoir balayé les Caraïbes et une partie du sud-est du Mexique, l'ouragan Beryl a déversé des précipitations abondantes sur le Texas, provoquant des inondations et privant d'électricité près de 3 millions de foyers et d'entreprises. Les dernières forces de Beryl se sont abattues sur le Vermont et la Nouvelle-Angleterre, avec plus de 10 centimètres de pluie en 24 heures, provoquant sur de vastes étendues des crues soudaines.

D'autres épisodes d'inondations à souligner :

• Brésil — Plus de 2 millions de personnes ont été affectées par des pluies torrentielles et des inondations généralisées dans le sud du pays.
• Inde — D'abondantes pluies se sont déversées dans la ville de Bombay avec près de 20 centimètres de cumul en 12 heures.
• Chine — D'importantes précipitations se sont abattues sur la province du Henan, avec plus de 60 centimètres en 24 heures.
• Vietnam — Après 12 heures de pluies diluviennes, les voies de communication de l'île de Phú Quốc ont été complètement inondées et les habitants ont été évacués en très grand nombre.
• Afghanistan — Des pluies torrentielles suivies d'inondations dans l'est du pays ont entraîné la mort de 40 personnes et fait près de 350 blessés.
• Inde — Dans l'État du Kerala, des précipitations violentes ont causé plusieurs glissements de terrain destructeurs provoquant la mort de 150 personnes et la disparition de 187 autres.

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Ce mois a été marqué par des précipitations et des inondations record dans le monde entier, accompagnées de chutes de neige inhabituelles à cette période de l'année dans les deux hémisphères.
Au Bangladesh, au Laos, en Chine et en Inde, une violente mousson a bloqué les déplacements de millions de personnes et causé d'importants dégâts aux infrastructures. Certaines régions d'Allemagne, de Suisse, d'Italie, d'Autriche et de France ont également été touchées par des pluies torrentielles qui ont provoqué l'inondation de grands axes routiers et entraîné des évacuations. Sydney, en Australie, a été inondée à deux reprises par des pluies diluviennes sans précédent, nécessitant des évacuations massives de plusieurs banlieues situées en basse altitude.

Dans le Midwest des États-Unis, les inondations ont entraîné la fermeture de plusieurs axes routiers et des évacuations, et l'accumulation rapide du volume d'eau a provoqué une rupture partielle du barrage de Rapidan dans le Minnesota, emportant dans son sillage un segment de berge, détruisant une centrale électrique et provoquant des coupures d'électricité dans quelque 600 foyers. Il s'agit de la deuxième inondation la plus importante de l'histoire du barrage qui a atteint l'équivalent d'une crue centennale.

L'activité solaire a continué à s'intensifier tout au long du mois de mai, déclenchant la tempête géomagnétique la plus puissante depuis deux décennies, et les réseaux électriques, les télécommunications, le transport aérien et les services GPS ont été perturbés. Mais ces effets ont été éclipsés par des aurores boréales et australes époustouflantes, qui, observées bien plus au sud que d'habitude, ont ébloui des millions de spectateurs dans le monde entier. Ce fut le déploiement le plus intense depuis 500 ans !
Alors que des chaleurs extrêmes se sont abattues sur certains pays de l'hémisphère nord, comme le Mexique et l'Inde, tous les autres ont globalement enregistré des températures anormalement froides pour un mois de mai. Quant à l'hémisphère sud, plusieurs régions ont essuyé d'importantes chutes de neige précoces.

Alors que l'actuel cycle solaire atteint son apogée, les phénomènes météorologiques et géologiques extrêmes et très inhabituels s'intensifient, tout comme les troubles sociaux et géopolitiques.
Le 23 avril, quatre éruptions solaires se sont produites de manière quasi simultanée, un phénomène rare suivi le 30 avril d'une éruption solaire de classe X qui a provoqué des pannes radio généralisées dans toute la région du Pacifique.

Cette activité pourrait être à l'origine de plusieurs phénomènes intenses qui se sont manifestés au cours de la dernière partie du mois d'avril :

• États-Unis — Plusieurs tornades se sont abattues dans au moins cinq États.
• Chine — Une tornade d'une force inhabituelle a provoqué la mort de cinq personnes et des blessures pour trente-trois autres dans la ville de Guangzhou [Canton).
• Arabie Saoudite — Des pluies diluviennes ont été suivies d'inondations généralisées.

Une éruption solaire de classe X qui s'est scindée en deux explosions simultanées - phénomène connu sous le nom d'éruption solaire sympathique - a déclenché une éjection de masse coronale qui a déferlé sur la Terre, provoquant la plus grande perturbation du champ magnétique de notre planète depuis plus de six ans. La dernière fois que la Terre a connu une perturbation géomagnétique aussi puissante, c'était en septembre 2017.
L'orage géomagnétique qui en a résulté a atteint le niveau de gravité sévère (G4), a provoqué des perturbations dans les communications à travers le monde, et augmenté le risque d'importants tremblements de terre.

Il convient de noter que ce pic dans l'actuel cycle solaire est survenu plus tôt que prévu, et que la diminution de l'activité solaire entraîne une baisse des températures sur Terre.

Lahaina à Hawaï, Valparaiso au Chili, et le Panhandle du Texas aux États-Unis ont tous été frappés par des incendies aux origines suspectes, aux modes de propagation inhabituels et aux effets extrêmement destructeurs. Les réseaux sociaux ont été inondés de théories et de spéculations : de l'incendie criminel aux armes à énergie dirigée. Mais dans quel but ? S'approprier des terres, faire peur à la population ? Seul l'avenir nous le dira.

« J'ai pu voir les images et parfois personnellement observé des dégâts extraordinaires dans notre État. Qu'il s'agisse d'ouragans ou de tornades, il n'est pas rare que les dommages causés par ces phénomènes laissent malgré tout des vestiges d'une structure.
Lorsque l'on regarde les destructions qui ont eu lieu ici, on constate qu'il n'y a plus rien. Tout a disparu. Il ne reste sur le sol que des cendres.
Certaines évaluations préliminaires, que je qualifierai de prématurées, font état de 400 à 500 structures détruites. Le processus d'évaluation étant toujours en cours, il est impossible de dire avec certitude que ce chiffre est définitif. »
~ Greg Abbott, Gouverneur du Texas

Ces dernières années, nous avons décelé des signes de sabotage systématique commis par les élites mondialistes visant des terres agricoles, des agriculteurs et des infrastructures liées à la production alimentaire ; ces incendies pourraient-ils en faire partie ?

L'année 2024 a commencé en fanfare : l'ouest du Japon a été secoué par un tremblement de terre de magnitude 7,5, qui a entraîné l'effondrement et la destruction de nombreux bâtiments, provoqué plusieurs incendies et mis hors service des infrastructures sur l'île principale du Japon, Honshu, juste au moment où les familles fêtaient le Nouvel An. Dans le détail, plus de 33 400 personnes ont été évacuées dans des centres et au moins 200 bâtiments se sont effondrés. Près de 30 000 foyers ont été privés d'électricité et plus de 110 000 d'eau courante. Le bilan s'est alourdi à plus de 200 morts, dont plus de 100 sont toujours portés disparus. De fortes répliques ont enseveli d'autres maisons et bloqué des routes essentielles à l'acheminement des secours.
Des records de gel ont provoqué des perturbations généralisées dans le monde entier. au même moment, Aux États-Unis, les 50 États ont été frappés par d'importantes chutes de neige ; 55 % de la partie continentale des États-Unis a été recouverte d'un manteau neigeux - un épisode sans précédent. Ces chutes de neige ont entraîné d'importantes perturbations dans les transports, des milliers de vols ont été annulés, des pannes d'électricité se sont produites à divers endroits et des infrastructures ont été endommagées dans l'ensemble du pays.

Mise à jour du 17 janvier 2024

À l'heure où nous avions initialement publié ce Résumé (et après la suppression par YouTube de notre chaîne SOTT Media), les sous-titres en français n'étaient pas encore disponibles sur notre chaîne Odysee. C'est aujourd'hui chose faite. Nos lecteurs vont donc pouvoir visionner ci-dessous la vidéo du Résumé des changements terrestres de décembre 2023 sous-titré en français (nous avons supprimé l'originale en anglais seulement).

Alors que le cycle solaire 25 est sur le point d'atteindre son maximum un an plus tôt qu'estimé, nous observons une augmentation des phénomènes électriques tels que les spirales aériennes, les tremblements de terre et les éruptions volcaniques.
Une tempête solaire colossale a presque atteint la « classe X » et a frappé la Terre le premier jour du mois, provoquant quelques perturbations mineures dans les signaux radio et Internet à travers le monde. Cette tempête a été suivie, le 15 décembre, par l'une des plus importantes éruptions solaires depuis 2017, qui a temporairement interrompu les communications radio sur Terre, affectant même les fréquences les plus élevées. La NOAA a déclaré :

Ces impacts ont été ressentis d'un bout à l'autre du pays.

Ces puissantes tempêtes magnétiques récurrentes ont également affecté le trou dans la couche d'ozone de l'hémisphère sud. Son étendue qui se réduit habituellement à cette époque de l'année, s'est maintenue à une taille d'environ 15 km², devenant ainsi le troisième trou dans la couche d'ozone le plus important après un 30 novembre.

Alors que nous approchons du milieu du cycle solaire 25, qui a connu l'activité solaire la plus faible depuis environ 200 ans, l'ensemble de la planète enregistre des températures inférieures à la moyenne et des chutes de neige inhabituelles pour la saison.
Le Old Farmer's Almanac prévoit un hiver rigoureux dans l'hémisphère nord, avec des chutes de neige plus abondantes que la normale dans la plupart des régions des États-Unis prédisposées aux précipitations neigeuses, ainsi que des tempêtes, des averses et des bourrasques qui se poursuivront jusqu'au début du printemps. Le premier épisode arctique de la saison a déjà établi des centaines de nouveaux records de basses températures et a entraîné l'accumulation de neige la plus importante jamais enregistrée par la NOAA pour la fin d'un mois d'octobre et le début d'un mois de novembre.

Les montagnes Rocheuses, les plaines du nord, les Grands Lacs et le nord de la Nouvelle-Angleterre ont été recouverts d'une neige abondante, soit 17,9 % des 48 États contigus [terme qui exclut l'Alaska, Hawaï et tous les territoires américains d'outre-mer] au moment du passage au mois de novembre, ce qui constitue un nouveau record historique depuis 2003.

Mais l'hémisphère nord n'a pas été le seul à enregistrer des températures inférieures à la moyenne et des chutes de neige : l'Afrique du Sud a aussi reçu son lot de chutes de neige au printemps !

Jusqu'à présent, les signes d'une période glaciaire induite par un minimum solaire se précisent et se multiplient, il faut donc s'y préparer.