Boules de feu
États-Unis
La Californie a été durement touchée par des conditions météorologiques extrêmes : une bombe cyclonique, de graves inondations, des coulées de boue, des coupures de courant, des murs de neige à Soda Spring, et un tremblement de terre de magnitude 4,2 dont l'épicentre se situait au large de Malibu.

Au milieu de la nuit, un météore d'un mètre pénètre dans l'atmosphère terrestre au-dessus de la France.
Une traînée lumineuse plus ou moins longue : c'est ce qu'ont pu observer des habitants du Grand Est, mardi 7 février au soir, et notamment ceux qui habitent près de Nancy. Un météore a en effet traversé le ciel nocturne.
Les météorologues pensent que le changement climatique anthropique a renforcé La Niña, et déclenché ce qu'ils appellent le Greenland Block, une large zone de haute pression centrée sur le Pacifique nord associée à une zone de pression atmosphérique plus faible que d'habitude centrée sur le Pacifique occidental. Ils avancent même qu'il s'agit là du principal facteur qui expliquerait les records de froid glacial dans l'hémisphère nord cet hiver. Et pourtant, nous avons aujourd'hui les connaissances qui expliquent ces phénomènes : le Soleil façonne le climat, et la tendance d'un froid global pourrait s'intensifier dans les toutes prochaines années.
Les partisans du réchauffement climatique ont également souligné que la glace de mer de l'Antarctique a atteint son étendue la plus faible jamais enregistrée à la fin du mois de décembre. Pourtant, lorsque l'on regarde sur le long terme, la glace de mer de l'Antarctique affiche toujours une tendance à la hausse. En outre, la couverture neigeuse globale dans l'hémisphère nord est la deuxième plus élevée de ces 17 dernières années.
L'année 2023 pourrait commencer avec une comète visible à l'œil nu depuis la Terre. Rien n'est encore certain, car les comètes sont des objets imprévisibles. Mais, il est toutefois permis d'espérer que l'un de ces objets, en train de s'approcher de notre planète, devienne assez brillant pour que l'on puisse l'observer.
L'avez-vous aperçu ? Un phénomène lumineux, d'une durée de quelques secondes, a été observé dans le ciel breton dimanche 25 décembre, vers 18 h 30, par plusieurs habitants. « J'étais en voiture, sur la RN12, entre Landerneau et Ploudiry, lorsque j'ai aperçu le phénomène », témoigne Pascal. « C'était une boule de lumière, plus grosse qu'une étoile filante, qui a plongé dans le ciel à grande vitesse. Cela a duré environ 4 secondes. » L'apparition lumineuse a également été observée à la même heure depuis Concarneau (29), Lorient (56) et Boqueho (22) par des internautes.
Selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), la couverture neigeuse dans l'hémisphère nord qui s'étend du Minnesota aux États-Unis à la Sibérie est la deuxième plus importante enregistrée au cours des 17 dernières années pour un mois de novembre. Une importante couverture neigeuse au début de la saison froide n'est pas un bon signe, sachant que les masses d'air peuvent se renforcer au cours des mois suivants. Jusqu'à présent, la tendance est à la persistance d'un hiver froid et rigoureux.
Ce mercredi après-midi, déjà, une météorite a provoqué un bruit assourdissant en survolant l'île de Gran Canaria dans l'archipel des Canaries. Puis, ce jeudi 1er décembre, c'est à Lanzarote que le réseau espagnol de recherche sur les météorites a pu capter, à 1h53 du matin, une double météorite très rare.
Kousoumna Libaa, spécialiste du climat, a déclaré :
Les précipitations de cette année 2022 sont tout à fait exceptionnelles. Depuis le début de la saison de la mousson, le volume de la pluviométrie a été particulièrement élevé ; il a plu sans discontinuer durant les mois d'août et septembre et il a continué de pleuvoir au mois d'octobre.Le Nigeria a connu ses pires inondations depuis dix ans avec 18 des 36 États touchés : au moins 600 personnes sont mortes et des dizaines de milliers de têtes de bétail ont péri dans les eaux et les maladies hydriques.
Au Cameroun, les eaux de crue ont causé d'importants dégâts dans la région du nord, détruit des cultures et des maisons, et le gouvernement tchadien a déclaré l'état d'urgence en raison des inondations qui ont affecté plus d'un million de personnes.