Traduction SOTT


Commentaire : Le 31 mai 2013, c'était la « Journée mondiale sans tabac », « célébrée » pour la première fois par l'Organisation mondiale pour la santé en 1987. Elle « vise à encourager une période d'abstinence de 24 heures de toutes les formes de consommation de tabac à travers le monde ». (Wiki)

Vraisemblablement parce que fumer du tabac est mauvais pour vous.

Mais est‒ce réellement le cas ?

Assurément, cela n'est pas pour tout le monde. Et pourtant, face aux affirmations incongrues des « experts en matière de santé » depuis la seconde moitié du 20e siècle, beaucoup apprécient fumer et en ont tiré des bénéfices.

Donc, clarifions les faits.

Les soi‒disant dangers du tabagisme passif sont entièrement fictifs.

Fumer ne provoque pas le cancer du poumon. Il existe même des preuves isolées que cela protège contre le cancer du poumon.

Fumer peut protéger des maladies neuro‒dégénératives comme la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson et peut réduire les effets psychiatriques, cognitifs, sensoriels et physiques de la schizophrénie.

Et les enfants ? Une étude réalisée en Suède a observé deux générations d'enfants suédois et trouvé que les enfants de fumeurs avaient des taux plus faibles de rhinites allergiques, d'asthme allergique, d'eczéma et d'allergies alimentaires.

En fait, les bénéfices médicaux du tabac semblent aller bien au‒delà de tout ça.

Une recherche dans la base de données de SOTT.net apporte davantage de preuves, preuves qui sont soit mal comprises car la plupart des chercheurs partent de la croyance inculquée que fumer est mauvais (comme c'est scientifique !), soit simplement ignorées quand elles ne cadrent pas avec leur perception du monde.

Lorsqu'on relie les points à travers la médecine, la science, l'histoire, la psychologie et la sociologie, la vérité émerge claire comme de l'eau de roche : la campagne de propagande mondiale tous azimuts contre le tabac participe du même effort de « domination exhaustive » de l'humanité dans toutes les autres sphères. Les cibles et les victimes de la fausse « Guerre contre le terrorisme » sont les mêmes cibles de la guerre contre le tabac. On veut nous faire croire que nos merveilleux « dirigeants » qui nous encouragent à manger des OGM toxiques sont pourtant oh tellement soucieux des soi‒disant effets sanitaires du tabac. À d'autres !

Ainsi, dans l'esprit de résister à la guerre des psychopathes contre l'humanité, la liberté et la véritable santé...
Allumons tous nos cigarettes !


Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé.
© InconnuAudrey Hepburn dans Diamants sur canapé.

Parlons.

Comme Joan Rivers avait coutume de le dire.

Mais vraiment, ayons une gentille discussion sur le fait que toute notre planète semble avoir sombré dans la folie !

L'autre jour, j'ai remarqué un article intéressant que les éditeurs de SOTT avaient sélectionné : Les cellules cérébrales fonctionnent différemment de ce que l'on pensait auparavant : la nicotine aide à susciter la créativité, qui nous dit :
« De plus en plus, des études commencent à montrer que le traitement complexe de l'information, et peut‒être la conscience elle‒même, peut résulter de l'activité coordonnée entre de nombreuses zones cérébrales reliées par des faisceaux d'axones longs. Des problèmes cognitifs peuvent se produire quand ces régions ne communiquent pas ensemble correctement. [...]

En utilisant de la nicotine, ils ont stimulé l'axone pour déterminer comment cela affecterait un signal que la cellule cérébrale a envoyé au cortex. Sans nicotine, environ trente‒cinq pour cent des messages envoyés par la cellule cérébrale ont atteint le cortex. Mais quand la nicotine a été appliquée à l'axone, le taux de réussite a presque doublé jusqu'à soixante‒dix pour cent. »
La nicotine DOUBLE l'efficience de notre pensée. Hmmm... Je pense que cela explique plutôt clairement pourquoi les Pouvoirs en Place souhaitent éradiquer la cigarette. Après tout, comme le mentionnait un commentaire à l'article, « si notre immunité à la manipulation émotionnelle et à la propagande psychopathique est directement proportionnelle au contrôle cortical que l'on peut exercer sur les réactions émotionnelles réflexes programmées dans l'amygdale ; si fumer peut DOUBLER la communication effective entre le cortex et les autres zones du cerveau, que cela dit‒il alors sur les efforts pour abolir le tabac dans la population générale ? Ne pas avoir un quelconque mouton hystérique qui se réveille accidentellement et réfléchisse rationnellement à leurs actions. »

Comme c'est vrai.

Il suffit de considérer l'histoire de l'interdiction du tabac :
« À travers l'histoire, les interdictions et les prohibitions du tabac introduites par des régimes despotiques et totalitaires vont et viennent. En Europe, la plus récente avant l'introduction de la législation répressive sur le tabac de l'Irlande, étaient les lois anti‒tabac du Troisième Reich, instaurées par les nazis lors de leur régime bref mais dévastateur en Allemagne.

Malgré certains châtiments sévères au cours des décennies envers ceux qui désobéissent à l'interdiction de fumer, y compris la mort, le tabac et les fumeurs ont continué à prospérer. Vous trouverez ci‒dessous certaines des interdictions et prohibitions ratées introduites au cours des siècles, y compris la prolifération d'interdictions révoquées après l'échec de la prohibition en Amérique.

1575 - Mexique :le premier vote de loi consigné qui prohibe l'usage du tabac s'est produit quand l'Église catholique romaine adopte une loi qui prohibe le fait de fumer dans n'importe quel lieu de culte, dans toutes les colonies espagnoles.

1600 - Partout dans le Monde : les papes interdisent de fumer dans les endroits sacrés et dans tous les lieux de culte. Le pape Urbain VIII (1623‒44) menace d'excommunication ceux qui fument ou prisent dans les lieux saints.

1612 - Chine : un décret royal interdit l'usage et la culture du tabac.

1617 - Mongolie : l'empereur mongol prohibe l'usage du tabac. Les gens qui enfreignent la loi encourent la peine de mort.

1620 - Japon : le Japon interdit l'usage du tabac.

1632 - États-Unis : la première interdiction de fumer consignée se produit quand le Massachusetts instaure une interdiction de fumer dans les lieux publics.

1633 - Turquie : le sultan Mourad IV interdit de fumer et jusqu'à dix - huit personnes par jour sont exécutées pour avoir enfreint cette loi.

1634 - Russie : le tsar Alexis 1er interdit de fumer. Les coupables d'une première infraction risquent le fouet, le nez cassé et l'exil en Sibérie. Les récidivistes encourent l'exécution.

1634 - Grèce : l'Église grecque interdit l'usage du tabac en prétendant que la fumée de tabac avait intoxiqué Noé.

1638 - Chine : l'usage et la fourniture de tabac devient un crime passible de décapitation pour les accusés.

1639 - États-Unis : le Gouverneur Kieft de Nouvelle‒Amsterdam bat Bloomberg de plusieurs siècles et interdit de fumer en Nouvelle‒Amsterdam qui deviendra plus tard New York.

1640 - Bhoutan : le fondateur du Bhoutan moderne, Shabdrung Ngawang Namgyal introduit la première interdiction de fumer de ce pays en proscrivant l'usage du tabac dans les bâtiments du gouvernement.

1647 - États-Unis : les gens ne sont autorisés à fumer qu'une seule fois par jour et fumer en public est prohibé dans le Connecticut.

1650 - Italie : le pape Innocent X publie un décret interdisant de fumer à la basilique St Pierre de Rome.

1657 - Suisse : la prohibition du tabac est instaurée dans toute la Suisse.

1674 - Russie : la peine de mort est adoptée pour le crime de fumer.

1683 - États-Unis : les premières lois prohibant le tabac sont adoptées à l'extérieur du Massachusetts. Philadelphie prend la suite en introduisant des amendes pour les contrevenants.

1693 - Angleterre : la première interdiction consignée qui interdit de fumer dans certains secteurs de la Chambre du Parlement est instaurée.

* Les interdictions de fumer et les prohibitions devinrent rares au 18e et au 19e siècle. Le commerce du tabac devint une importante source de revenus pour les monarques et les dirigeants et les interdictions du tabac furent révoquées. Pour ne pas être en reste, même le pape ouvrit une usine de tabac en 1779.

1719 - France : fumer est interdit à l'exception de certaines régions.

1818 - États‒Unis : fumer est interdit dans les rues de Lancaster, en Pennsylvanie. Le maire est condamné à une amende lorsqu'il devient le premier à enfreindre la loi.

1840 - États‒Unis : fumer est interdit à Boston.

1893 - États‒Unis : l'état de Washington adopte une législation qui interdit la vente et la consommation de cigarettes.

1898 - États‒Unis : interdiction totale des cigarettes dans l'état du Tennessee.

1900 - États‒Unis : la vente de cigarettes est désormais proscrite dans les états de Washington, de l'Iowa, du Tennessee et du Dakota du Nord.

1904 - États‒Unis : une femme est condamnée à trente jours de prison par un juge new yorkais pour avoir fumé devant ses enfants.

1905 - États‒Unis : l'Indiana adopte l'interdiction totale de la cigarette.

1907 - États‒Unis : Washington adopte une législation qui interdit la fabrication, la vente, l'échange ou le don de cigarettes, de papier à cigarette ou d'emballages de cigare.

1914 - États‒Unis : fumer est interdit au Sénat des États‒Unis.

1922 - États‒Unis : quinze états ont désormais des lois qui interdisent la vente, la fabrication, la possession et l'usage de cigarettes.

Hitler était un fervent anti‒fumeur et un croisé de la cause anti‒tabac. Il finança personnellement des recherches sur les dangers du tabac et il est guère étonnant, étant donné la nature de son régime, que les résultats tendaient à soutenir ses assertions, selon lesquelles fumer était un mal dont la race aryenne devait se défaire. Nombre d'études réalisées sous le Troisième Reich sont la base des arguments mis en avant aujourd'hui par ceux qui cherchent à imposer des interdictions de fumer répressives.

Hitler déclara un jour que le tabac était « la colère de l'homme rouge contre l'homme blanc ». Sous les Nazis, le Bureau contre les dangers de l'alcool et du tabac fut établi en 1939, suivi en 1942 par l'Institut pour la lutte contre les dangers du tabac. Les Nazis furent les premiers à inventer le terme de « tabagisme passif ».

Sous le régime nazi, le peuple allemand se vit imposer l'ensemble le plus complet de régulations et de restrictions observé dans n'importe quel pays moderne à ce jour. Hitler lui‒même s'intéressa particulièrement à ce domaine, surveillant souvent personnellement la rédaction et la mise en œuvre de la politique anti‒tabac.

Interdictions et restrictions dans l'Allemagne Nazie
  • La Luftwaffe a interdit de fumer en 1938 ;
  • Poste allemande a introduit sa propre interdiction ;
  • Fumer a été défendu dans de nombreux lieux de travail, bureaux gouvernementaux, hôpitaux et maisons de repos ;
  • Le NSDAP (National sozialistische Deutsche Arbeiterpartei) a annoncé une interdiction de fumer dans ses locaux en 1939 ;
  • Le chef SS Heinrich Himmler a annoncé une interdiction de fumer pour tous les officiers de police et SS en uniforme pendant leur service en 1939 ;
  • Les interdictions de fumer d'Hermann Goering ordonnées aux soldats dans les rues, lors des défilés et des permissions ;
  • Soixante des plus grandes villes allemandes ont interdit de fumer dans les trams en 1941 ;
  • Fumer a été interdit dans les abris contre les attaques aériennes. Certains disposaient de pièces séparées pour les fumeurs ;
  • Les bons de tabac étaient refusés aux femmes enceintes ;
  • Des interdictions de fumer générales ont été instaurées dans de nombreux cafés, bars et restaurants ;
  • Les femmes de moins de vingt‒cinq ans n'avaient pas le droit de fumer ;
  • Il était défendu aux restaurants et aux cafés de vendre des cigarettes à leur clientèle féminine ;
  • En juillet 1943, il est devenu illégal pour tous les moins de dix‒huit ans de fumer en public ;
  • Fumer a été interdit dans tous les trains et bus urbains de l'Allemagne en 1944. Cette initiative émana d'Hitler en personne qui s'inquiétait de l'exposition des jeunes femmes conductrices à la fumée du tabac.
  • 1973 - États‒Unis : l'Arizona devient le premier état de la vague actuelle d'interdictions de fumer à adopter une loi complète restreignant la cigarette dans les lieux publics. »
    Et le défilé continue :

    Le Conseil de New York vise une nouvelle interdiction de fumer pour les parents en voiture

    Davantage de contrôle : le conseil municipal de Los Angeles vote pour proscrire la cigarette dans les parcs municipaux

    Seulement des candidats non‒fumeurs pour le parti islamique de Malaisie

    Le New Hampshire prohibe le tabac dans les bars et les restaurants

    L'interdiction de fumer hollandaise s'applique aux coffee shops

    L'OMS exhorte à l'interdiction de fumer dans les lieux publics

    Beverly Hills envisage l'interdiction de fumer à l'extérieur

    Pékin envisage d'interdire de fumer près des installations olympiques

    Les conducteurs sont maintenant confrontés à l'interdiction de fumer au volant

    L'Union Européenne réfléchit à une interdiction de fumer publique sur tout le continent

    Belmont, première ville des Etats‒Unis à interdire toute cigarette

    Un couple anglais confronté à une enquête de tabagisme dans sa propre maison

    Mais simplement parce qu'on se dirige vers une interdiction de fumer chez les gens ordinaires, ne pensez pas que ceux qui nous imposent ces lois à nous autres prennent réellement ce truc au sérieux.

    Fumer est interdit à D.C. mais pas au Congrès :
    « WASHINGTON - Alors que l'interdiction de fumer dans toute la ville prendra effet ici le mois prochain, au moins un lieu de travail de la cité sera épargné : le Congrès, bénéficiaire d'une sorte d'immunité diplomatique pour les législateurs fédéraux... Parce que pendant que le reste du pays s'est retourné contre la cigarette avec grand zèle, le Congrès a obstinément ‒ certains diraient fièrement ‒ refusé de plier... même dans des États qui ont totalement interdit de fumer dans les lieux publics, il y a eu des empoignades sur le tabac autour des sièges de l'État qui sont principalement exposés aux législateurs et pas aux lois... Une confluence de forces culturelles et démographiques plus puissantes semble en jeu au Capitole, avec des législateurs s'adonnant à un orgueil démesuré familier.

    « Généralement, le Congrès a des lois pour nous et des lois pour eux, et les lois pour eux sont très souvent plus plaisantes que les lois pour nous » a déclaré M. Buckley. »
    Mais pas seulement au Congrès des États‒Unis !

    Le Parlement européen abandonne l'interdiction de fumer
    « Le Parlement européen a abandonné son interdiction de fumer après seulement quarante‒trois jours. L'interdiction avait été instaurée le mois dernier dans les deux bâtiments du Parlement à Bruxelles et Strasbourg. Cependant, les députés européens et le personnel furieux de la suppression de leurs zones fumeurs ont commencé à fumer n'importe où dans les bâtiments et obligé à l'abandon de l'interdiction.

    L'annulation de l'interdiction est une gifle magistrale infligée aux fanatiques anti‒tabac qui ont ardemment fait pression sur les parlementaires européens pour instaurer une interdiction de fumer à l'échelon européen. L'écroulement de l'interdiction suit la révolte manifeste des législateurs et employés des bâtiments du Parlement européen. Un député européen anglais a déclaré : « Je l'ignore depuis le 1er janvier et je fume dans plus d'endroits qu'avant. Je refuse que des connétables me disent quoi faire ou pas. »

    Le Parlement peut maintenant difficilement s'attendre à ce que les citoyens européens obéissent à des lois stupides interdisant de fumer quand eux‒mêmes, les législateurs ont complètement ignoré, passé outre et abandonné leur propre prohibition. Le lobby Anti‒tabac admet que c'est le cas avec la porte‒parole de l'ASH, Deborah Arnott, qui décrit l'abandon de l'interdiction comme « scandaleuse » et déclare que « cela ridiculise les propositions de la commission d'une interdiction de fumer à l'échelon européen ».
    Remarquez ceci en particulier : un député européen anglais a déclaré : « Je l'ignore depuis le 1er janvier et je fume dans plus d'endroits qu'avant. Je refuse que des connétables me disent quoi faire ou pas. » Eh bien, nous savons tous ce qui arriverait au péquin moyen s'il faisait ce genre de chose - probablement la prison et une amende salée. Mais pas nos glorieux dirigeants. Voyez ceci :

    L'ancien dirigeant libéral démocrate Charles Kennedy « interpellé » par la police pour avoir fumé dans un train

    Pensez‒vous que nos « dirigeants intrépides » sauraient quelque chose que nous ignorons ? Ou du moins, qu'ils espèrent que nous ne fassions pas attention aux recherches et posions des questions ? Des choses comme :

    Une étude découvre que fumer permet d'éviter la maladie de Parkinson :
    « Il y a plus de preuves pour étayer une vieille théorie selon laquelle les fumeurs sont moins susceptibles de développer une maladie de Parkinson que les gens qui n'utilisent pas de produits du tabac, ont annoncé lundi des chercheurs... On ne comprend pas bien ce qui pourrait causer un tel effet préventif déclare le rapport d'Archives of Neurology mais des études de tests sur des animaux suggèrent deux possibilités.

    L'une est que le monoxyde de carbone ou d'autres agents de la fumée du tabac exercent un effet protecteur et favorisent la survie des neurones cérébraux qui produisent la dopamine, ce qui permet aux muscles de fonctionner correctement et fait défaut aux parkinsoniens.

    Les cigarettes peuvent aussi empêcher d'une façon ou d'une autre le développement de substances toxiques qui interfèrent avec le fonctionnement neurologique adéquat. »
    Mince, cette référence au monoxyde de carbone me rappelle une chose mentionnée par le psychologue Andrzej Lobaczewski :
    « Les personnes moins clairement enclines à la direction psychopathique comprennent celles affectées par certains états causés par les activités toxiques de certaines substances comme l'éther, le monoxyde de carbone et peut‒être certaines endotoxines à condition que cela se soit produit dans l'enfance. »

    ~ Andrzej M. Lobaczewski, Ponérologie politique)
    Et encore :

    Le tabac et la caféine peuvent protéger contre la maladie de Parkinson

    La nicotine aide les patients atteints d'Alzheimer et de Parkinson

    On a découvert que la nicotine protège des lésions cérébrales apparentées à la maladie de Parkinson

    La nicotine diminue les symptômes de dépression chez les non‒fumeurs

    Des scientifiques identifient des régions cérébrales où la nicotine améliore l'attention, d'autres aptitudes cognitives

    Ensuite, bien sûr, il y a ce corpus intéressant que j'ai rassemblé il y a quelques années :

    Fumer peut‒il être BON pour CERTAINES personnes ?

    Juste au cas où vous penseriez vraiment que le gouvernement en a après la cigarette pour VOTRE BIEN, pensez‒y à deux fois. De nombreuses études suggèrent que les problèmes qui sont mis sur le dos des cigarettes peuvent avoir des causes entièrement différentes que les gouvernements et les multinationales ont tout intérêt à dissimuler. Considérez simplement ce qui suit :

    Des études médicales relient les produits laitiers au risque de cancer.

    Maintenant, gardez à l'esprit que le gouvernement est totalement derrière l'industrie laitière et que le lait est librement promu et bu dans les lieux publics !

    Ensuite, il y a ceci : Plus dangereux que fumer ? La mort par le soda :
    « Boire un soda par jour pourrait vous faire prendre sept kilos par an. D'autres risques liés à la santé comprennent diabète de type 2, maladie cardiaque, cancer du côlon et lésions nerveuses...

    Les sociétés de marketing qui assaillent les consommateurs de publicités pour leurs boissons non alcoolisées appétissantes espèrent vous encourager à boire davantage de leurs produits nocifs, pas moins. En effet, ils y ont un avantage financier. Leurs revenus annuels représentent des milliers de dollars. Pour protéger leurs intérêts, comme le fait remarquer le Pr Marion Nestle de l'Université de New York, l'industrie du soda crache des tonnes de fric pour convaincre les gens de consommer leurs produits en grandes quantités. À la fin des années 1990, Coca‒Cola a dépensé environ un milliard six cent mille dollars en marketing mondial, avec plus de huit cent cinquante millions de dollars dépensés rien qu'aux États‒Unis. Avec ce genre de dépenses faramineuses, pas étonnant que Coca‒Cola soit un nom aussi familier. Assurément, ceux qui plaident pour réduire la consommation de ces cochonneries à cause de leurs impacts négatifs sur la santé se heurtent à une opposition bien financée ‒ ce n'est guère différent des activistes anti‒tabac qui se battent contre les manigances et fourberies de l'industrie du tabac. »
    Ce que l'auteur de cet article semble ne pas savoir, c'est que la nicotine présente de nombreux avantages en matière de santé, comme le fait de fumer en général, comme on l'a déjà dit. Après tout, vous n'aurez pas le monoxyde de carbone qui prévient de la maladie de Parkinson, en appliquant un patch à la nicotine.

    D'autres affirmations ignorantes sont proférées à propos de la cigarette et des maladies parodontales : Fumer double pratiquement les traitements des canaux radiculaires.

    Ce qui semble de loin bien plus dangereux en relation avec les maladies parodontales ‒ un symptôme de troubles systémiques plus profonds ‒ c'est le gluten.

    Effet de la maladie cœliaque dépendante du gluten sur l'état de la cavité buccale et des dents des enfants

    Autre élément à considérer si vous souffrez de problèmes dentaires : Le stress peut semer la pagaille dans votre bouche :
    « Une revue de littérature publiée dans le numéro d'août du Journal of Periodontology (JOP) a observé une forte relation entre le stress et les maladies parodontales ; cinquante‒sept pour cent des études inclues dans la revue ont montré une relation positive entre les maladies parodontales et des facteurs psychologiques comme le stress, l'angoisse, l'anxiété, la dépression et la solitude...

    Les chercheurs spéculent que le cortisol, une hormone, peut jouer un rôle dans la relation possible entre le stress et les maladies parodontales. Une étude dans le numéro de juillet du JOP a trouvé que des taux accrus de cortisol peut mener à une destruction accrues des gencives et de l'os de la mâchoire dues aux maladies parodontales. Il est bien connu que les maladies parodontales, si elles ne sont pas traitées, peuvent finir par aboutir à une perte osseuse ou de dents. »
    Pendant ce temps, bien sûr, les actions de l'administration actuelle semblent être conçues pour augmenter le stress, avec tout le « battage du terrorisme » et l'économie qui s'effondre à cause des mensonges de Bush sur les AMD [Armes de destruction massive ‒ N.D.T.] qui nous ont emmenés en Irak. Je pense que Bush devrait être interdit partout. Il est bien plus toxique que de fumer !

    Et au fait, puisqu'on a évoqué le sujet, vous devriez savoir que le gluten est impliqué dans bien plus de problèmes que le fait de fumer !

    La sensibilité au gluten peut aboutir à un dysfonctionnement neurologique indépendant des symptômes

    Fringales, obésité et consommation de gluten :
    « Les produits à base de céréales n'offrent tout simplement pas les nutriments nécessaires à la santé humaine et endommagent le corps humain. Malgré le Département de l'agriculture des États‒Unis et les guides alimentaires canadiens, si les gens ont une alimentation riche en céréales, ils peuvent développer des symptômes de maladie cœliaque (mais dans la plupart des cas, sans le diagnostic de lésion intestinale). [...]

    Je veux suggérer une explication alternative à double facette qui peut s'étendre à une portion importante et grandissante des personnes en surpoids et obèses parmi la population générale. Comme mentionné plus tôt, tous ceux qui consomment suffisamment de gluten présenteront certains symptômes de maladie cœliaque. Si la consommation en grande proportion de gluten endommage les villosités intestinales ‒ à un moindre degré que ce qui est généralement requis pour diagnostiquer la maladie cœliaque ‒ l'absorption des graisses sera compromise. Des carences en acides gras essentiels sont une conséquence probable...

    De médiocres conseils médicaux contribuent aussi au problème. Le mantra des graisses réduites continue à retentir dans les bureaux des professionnels de santé malgré un corpus grandissant de résultats de recherches contraires. En février de cette année, les résultats d'une grande étude de huit ans sur quarante - neuf mille femmes ont montré peu de différence entre la santé des femmes ayant une alimentation pauvre en graisses comparées à celles ayant une alimentation normale. Chose inquiétante, cette alimentation pauvre en graisse semble avoir résulté en une prise de poids, un facteur de risque classique de diverses maladies. »
    L'ère de l'autisme, la piste gluten du cas 2 :
    « [...] des parents ont découvert qu'un régime sans gluten ni caséine ‒ c'est‒à‒dire sans céréales contenant du gluten et sans produits laitiers contenant de la caséine ‒ à résoudre à la fois des problèmes de comportement et des maladies physiques comme un transit intestinal perturbé. Les grains en question sont des céréales ‒ gluten est une protéine du blé, du seigle, de l'orge et de la plupart des avoines. »
    En considérant le fait que l'obésité (et les problèmes qui y sont liés) est maintenant considéré comme le facteur de risque médical numéro 1, jetez un coup d'œil sur un autre poison très dangereux de notre alimentation que notre gouvernement Big Brother tellement protecteur qui ne veut pas que nous fumions n'aborde pas : le lien entre glutamate monosodique (GMS) et obésité :
    « Comme l'aspartame, le GMS est une excitotoxine, une substance qui surexcite les neurones au point d'endommager la cellule, et pour finir, aboutit à la mort cellulaire. Les humains n'ont pas de barrière hémato‒encéphalique dans l'hypothalamus ce qui permet aux excitotoxines de pénétrer dans le cerveau et d'y causer des ravages, selon le Dr Russell L. Blaylock dans son livre Exictotoxins. Selon des études réalisées sur les animaux, le GMS crée une lésion dans l'hypothalamus qui se corrèle avec un développement anormal comprenant obésité, petite stature et problèmes de reproduction sexuelle.

    Sur la base de ces preuves, le Dr Blaylock fait une remarque intéressante à propos de l'obésité épidémique américaine, en particulier chez les jeunes gens : « On ne peut que se demander si le grand nombre de personnes ayant des soucis d'obésité aux États‒Unis est lié à l'exposition précoce aux excitotoxines des additifs alimentaires puisque cette obésité est l'une des caractéristiques les plus constantes du syndrome. Une caractéristique de l'obésité induite par des excitotoxines est qu'elle ne semble pas dépendre de la ration alimentaire. Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes ne peuvent pas éliminer leur obésité par un régime. » [...]

    ~ Russell L Blaylock MD, Excitotoxins, page 263

    Olney, J.W. « Brain Lesions, Obesity, and Other Disturbances in Mice Treated with Monosodium glutamate » [Lésions cérébrales, obésité et autres troubles chez les souris traitées au glutamate monosodique ‒ N.D.T.], Sci. 165(1969): 719‒271. Une barrière hémato‒encéphalique dans l'hypothalamus fait défaut aux humains, même adultes. C'est pour cette raison que le Dr Olney et d'autres neuro‒scientifiques sont si préoccupés par l'usage répandu et important d'excitotoxines dans les additifs alimentaires, comme le GMS, les protéines végétales hydrolysées et la cystéine. Dans ses expériences, le Dr Olney a trouvé qu'une exposition à dose élevée au GMS entraînait une hypoplasie du lobe antérieur de l'hypophyse et des gonades, associée à des taux hypothalamiques, hypophysaires et plasmatiques faibles en LH, hormone de croissance et prolactine. Quand des doses en dessous des niveaux toxiques pour les cellules hypothalamiques étaient utilisées, il a trouvé une élévation rapide en LH et un abaissement de la production pulsatile d'hormone de croissance. Essentiellement, ces excitotoxines peuvent provoquer de sévères modifications patho‒physiologiques dans le système de contrôle endocrinien central. Nombre de ces changements dysfonctionnels peuvent se produire avec des doses sous‒toxiques de GMS. On peut spéculer que l'exposition chronique à ces neurotoxines pourrait entraîner des altérations significatives du fonctionnement de l'hypothalamus, y compris ses parties non endocriniennes. »
    En parlant d'aspartame, une autre substance cent fois plus nocive que fumer : Trafic de Poison ‒ Bataille amère dans les édulcorants.

    Des produits diététiques « augmentent l'appétit » :
    « L'aspartame, mieux connu sous le nom de l'édulcorant NutraSweet, est un neurostimulant lié à la stimulation de l'appétit donc il peut vous donner faim », a déclaré le Pr Dingle, professeur agrégé en santé et en environnement à l'Université de Murdoch.
    Un aliment diététique « pourrait alimenter le risque d'obésité » :
    « Des aliments diététiques pour enfant peuvent avoir mené par inadvertance aux excès alimentaires et à l'obésité, disent des chercheurs.

    Dans des tests sur de jeunes rats, les animaux à qui l'on administre les versions à basses calories d'aliments sont conduits à trop manger, qu'ils soient maigres ou obèses.

    Les chercheurs croient que les versions à basses calories des aliments d'ordinaire riches en calories perturbent la capacité du corps à utiliser le goût pour réguler l'apport calorique...

    L'obésité est un facteur de risque significatif à la fois pour le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires, et son augmentation vertigineuse pose un problème croissant de santé publique. »
    L'aspartame provoque le cancer chez les rats à des taux actuellement autorisés chez l'Homme :
    « Notre étude a montré que l'aspartame est un composé carcinogène multi‒potent dont les effets carcinogènes sont aussi évidents à une dose quotidienne de vingt milligrammes par kilo de poids corporel (mg/kg), remarquablement moins que la dose journalière admissible actuellement pour l'Homme », écrivent les auteurs. À l'heure actuelle, la dose journalière admissible pour les êtres humains est fixée à 50 mg/kg aux États‒Unis et 40 mg/kg en Europe.

    L'aspartame est le second édulcorant artificiel le plus utilisé au monde. On le trouve dans plus de six mille produits dont les boissons gazeuses et en poudre, le chocolat chaud, le chewing‒gum, les bonbons, les desserts, les yaourts et les édulcorants de table ainsi que certains produits pharmaceutiques comme les vitamines et les sirops contre la toux sans sucre. Plus de deux cents millions de personnes dans le monde en consomment. L'édulcorant a été utilisé depuis plus de trente ans, ayant été approuvé par la FDA [Food and Drug Administration, Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux ‒ N.D.T.] pour la première fois en 1974. Des études sur la carcinogénicité de l'aspartame réalisées par ses fabricants se sont révélées négatives. »
    Un député demande l'interdiction d'un édulcorant « dangereux » :
    « Un membre de la commission spéciale parlementaire sur la nourriture et l'environnement a appelé à une action d'urgence pour interdire l'édulcorant artificiel aspartame, utilisé dans six mille aliments, boissons et produits pharmaceutiques.

    Le député démocrate libéral Roger Williams a déclaré lors d'un débat de clôture à la Chambre des Communes qu'il y avait « des preuves convaincantes et fiables pour que cette substance cancérigène soit totalement interdite sur le marché des aliments et des boissons au Royaume‒Uni. En autorisant l'usage de l'aspartame, les régulateurs dans le monde ont échoué dans leur principale mission de protection du public », a‒t‒il dit aux députés...

    L'aspartame est maintenant consommé en moyenne chaque jour par une personne sur quinze dans le monde, dont la plupart sont des enfants, selon le député. Il est utilisé pour sucrer pas moins de six mille produits, des chips, confiseries, chewing‒gum, boissons diététiques et énergétiques aux vitamines et médicaments, y compris ceux pour enfant. Pourtant, la science qui a appuyé son approbation était « biaisée, non concluante et incompétente ».
    Un producteur d'édulcorant hollandais se retire du marché de l'aspartame :

    Mince, vous ne supposez pas que toutes ces excuses dissimulent le fait que ces gars ont subitement pris conscience de leur responsabilité potentielle après que l'étude Ramazzini en Italie, contrôlée par sept experts mondiaux, ait montré que l'aspartame était un carcinogène multi‒potent ; sans mentionner les études du fabricant originel, Searle, qui montraient aussi le cancer ?

    Betty Martini, fondatrice de Mission Possible International, nous dit :
    « Pendant des années, la FDA et les fabricants ont essayé d'empêcher les études indépendantes et Gregory Gordon qui a mené l'investigation originelle de United Press International a déjà écrit sur ce sujet. Première partie et seconde partie.

    Et les études continuent à affluer.

    Une en Grèce montre des problèmes neurologiques et une perte de mémoire. Résultat : Alzheimer. [La pathologie même dont il a été montré que fumer la combattait !].

    Une autre à Liverpool montre l'interaction de l'aspartame.

    En fait, l'aspartame interagit avec tous les médicaments et vaccins.

    La recherche du Dr Ralph Walton a montré que quatre‒vingts pour cent des études indépendantes contrôlées par des pairs montrent les problèmes que l'aspartame engendre.

    Maintenant, la FDA est obligée de rappeler l'aspartame et d'invoquer l'amendement Delaney qui stipule que, si un produit provoque le cancer chez les animaux, il ne doit pas être mis dans de la nourriture. Le propre toxicologue de la FDA, le Dr Adrian Gross, a déclaré au Congrès que cela aurait dû être fait dès le départ.

    L'aspartame n'aurait jamais dû être approuvé et la façon dont Don Rumsfeld l'a fait autoriser alors que la FDA avait dit « non » est racontée par James Turner, avocat, dans le documentaire sur l'aspartame Sweet Misery: A Poisoned World [Douce Misère : un monde empoisonné ‒ N.D.T.]. Voici la vidéo »
    Le Nouveau‒Mexique entame une procédure législative pour interdire l'aspartame :
    « Un projet de loi sénatorial pour débarrasser le Nouveau‒Mexique de ce qui a été surnommé « la maladie de Rumsfeld » a été déposé jeudi par le sénateur, Gerald Ortiz y Pino, démocrate, à Albuquerque, tandis que quinze sénateurs des deux côtés de l'île ont également signé, soutenant la législation pour interdire l'aspartame, édulcorant artificiel mortel...

    Stephen Fox, citoyen du Nouveau‒Mexique et propriétaire d'une galerie d'art à Santa Fe est l'un des principaux militants à œuvrer pour sensibiliser l'opinion publique et proscrire l'utilisation de l'additif autorisé par la FDA des États‒Unis.

    Fox et bien d'autres qui essayent de faire interdire l'aspartame tentent depuis des années d'alerter les consommateurs qui ne se doutent de rien de ses dangers, en disant que l'aspartame contient des « substances toxiques et mortelles ».

    En ce qui concerne les effets médicaux nocifs de l'aspartame, un récent rapport rédigé par une équipe médicale internationale hautement respectée lie maintenant les toxines de l'aspartame aux lymphomes et leucémies.

    L'article de Morando Soffritti « Aspartame induces lymphomas and leukemias in rats » [L'aspartame induit lymphomes et leucémies chez les rats ‒ N.D.T.] se trouve dans le numéro de juillet 2005 de l'European Journal of Oncology. Le Dr Soffritti appartient à la Fondation européenne Ramazzini d'oncologie et des sciences environnementales du centre de recherches sur le cancer de Bologne, en Italie.

    Puisque l'aspartame peut augmenter l'obésité et peut même causer le syndrome métabolique qui touche quarante‒huit millions d'Américains, il n'y a aucune raison de jamais consommer ce produit. Au minimum, il devrait être interdit dans toutes les écoles. »
    Au moment de l'introduction de l'aspartame, à la fois Rumsfeld et les médecins savaient qu'il était toxique, qu'il causait le cancer et un tas d'autres maladies, qu'il endommageait l'ADN. Ils ont tout de même décidé de le promouvoir.

    Ce n'est que maintenant, trente ans plus tard, que certains suggèrent que cette substance toxique ne devrait pas être utilisée comme ingrédient de base dans de nombreux produits alimentaires consommés par les humains, tout ceci fait qu'on s'émerveille de « l'état avancé » des connaissances humaines, n'est‒ce pas ?

    Les nations commencent à interdire l'aspartame :
    « À la fois l'Indonésie et l'Afrique du Sud amène le monde à se diriger fermement vers la prohibition de ce produit chimique pour des raisons médicales : l'aspartame est une excitotoxine et provoque des lésions cérébrales. Le substitut au sucre se dégrade dans le corps en produisant trois substances toxiques : méthanol (alcool de bois qui provoque la cécité), formol et dioxopipérazine qui provoque des tumeurs cérébrales. Repris de Jakarta Indy. »
    « Nouveau » (c'est‒à‒dire désormais relaté dans les médias conventionnels) : craintes sur l'aspartame :
    « L'aspartame, que les consommateurs connaissent mieux sous les noms de marques NutraSweet et Equal, est un édulcorant artificiel que l'on trouve globalement dans environ six mille produits.

    Il y en a dans les bonbons, les desserts et les yaourts. On le trouve dans les sodas diététiques et le chocolat chaud et ces sachets sans sucre pour le café et le thé dans les restaurants. Il y en a aussi dans certains produits pharmaceutiques comme les pastilles pour la toux et les vitamines. Certains chewing‒gum sont édulcorés à l'aspartame.

    À ce niveau de saturation, il représente soixante‒deux pour cent du marché des édulcorants artificiels...

    Les enfants sont de gros consommateurs d'aspartame par le biais du Coca‒Cola Light, du Pepsi Light, de Kool‒Aid, des desserts de gélatine Jell‒O, des mélanges pour gâteaux et de certaines glaces à l'eau.

    Selon le Center for Science in the Public Interest [Centre pour la science dans l'intérêt du public ‒ association de défense des consommateurs ‒ N.D.T.], la dose journalière admissible d'aspartame équivaut pour un enfant de vingt‒deux kilos à boire deux sodas light par jour ou un peu plus de sept pour un adulte de soixante‒huit kilos... Les chercheurs de la fondation Ramazzini écrivent dans leur étude : « Sur la base des présents résultats, nous croyons qu'une révision des régulations actuelles régissant l'utilisation de l'aspartame ne peut être différée. Cette révision est particulièrement urgente en ce qui concerne les boissons contenant de l'aspartame, grandement consommées par les enfants. »

    La FDA déclare qu'elle n'a pas encore examiné le rapport. Mais il semble qu'elle ne trouve toujours pas de raison pour revoir son opinion ou ses conseils aux consommateurs.

    Depuis la publication de l'étude, sur son site Web dans la section substances chimiques de la Cuisine, le Center for Science in the Public Interest a désormais rétrogradé l'aspartame de la catégorie « à utiliser avec précaution » à « tout le monde devrait s'en abstenir ». Il rejette également l'acésulfame. »
    Hmmm... La FDA n'a pas examiné les recherches mais ne voit aucune raison de revoir son opinion ?! Pardon ?

    Eh bien c'est en fait compréhensible si l'on considère qui se trouve à l'origine de l'imposition de ce poison au public :

    De l'aspartame à la ponérologie politique :
    « En 1985, Monsanto a acheté G.D. Searle, l'entreprise chimique qui détenait le brevet de l'aspartame, l'ingrédient actif du NutraSweet. Monsanto n'était apparemment pas troublé par le passé nébuleux de l'aspartame, y compris une commission d'enquête de la FDA en 1980, composée de trois scientifiques indépendants, qui confirma qu'il « pouvait induire des tumeurs cérébrales ».

    La FDA avait en fait interdit l'aspartame sur la base de ce résultat, juste pour voir le président de Searle, Donald Rumsfeld, jurer de « faire entrer ses attaquants » pour le faire autoriser. »
    Pour lire la chronologie, allez sur ce lien.

    Quand des pathocrates comme Rumsfeld parviennent à des positions d'autorité et de pouvoir et que les gens n'ont pas la compréhension psychologique des psychopathes, nous en pâtissons tous.

    L'autorisation du poison aspartame et l'implication de Rumsfeld illustre parfaitement la façon dont les psychopathes détruisent l'humanité. Lisez Ponérologie politique !

    Maintenant, si tout ceci n'est pas suffisant pour vous écœurer, je suis désolée de vous dire que le problème est réellement bien pire.

    Les scientifiques mettent en garde contre les produits chimiques dans le plastique :
    « Le bisphénol A (BPA), un composé semblable à l'œstrogène utilisé pour faire du plastique dur, est utilisé dans les biberons en plastique polycarbonate, les grands bidons de fontaine à eau, les bouteilles de sport, les plats à micro‒ondes, les revêtements des boîtes de conserve et certains scellants dentaires, a déclara vendredi le Los Angeles Times.

    Les scientifiques, qui ont passé en revue environ sept cents articles, ont dit que les gens sont exposés à des taux de produits chimiques qui dépassent ceux qui nuisent aux animaux de laboratoire.

    L'avertissement, publié en ligne par le journal Reproductive Toxicology, était accompagné par une étude des National Institutes of Health [Instituts nationaux de santé ‒ N.D.T.] qui a trouvé des lésions utérines chez les animaux nouveaux‒nés exposés au BPA, selon le journal. »
    Naturellement, l'industrie du plastique ne tient pas compte de cette recherche de manière psychopathique typique, de la même façon que la FDA méprise les recherches sur l'aspartame. Mais, pour l'amour de dieu, ne fumez pas ! Cela pourrait vous faire suffisamment réfléchir pour voir l'homme qui œuvre en coulisses, cette fois !

    Alerte aux produits chimiques transgenres dans les nettoyants ménagers :
    « Les défenseurs de la santé publique, les écologistes et les blanchisseurs ont adressé une pétition à l'Agence de protection de l'environnement pour faire interdire les additifs chimiques « transgenres » que l'on trouve dans certains détergents ménagers et autres agents nettoyants.

    Ils demandent aussi des études sur les risques humains liés aux éthoxylates de nonylphénol (ENP) dont on sait que ce sont de puissants perturbateurs endocriniens. On pense déjà que ces substances chimiques sont la cause des poissons mâles qui deviennent femelles dans les cours d'eau du monde entier.

    Certains croient que ces poissons transformés peuvent être les canaris proverbiaux dans la mine qui désignent un problème humain beaucoup plus important. Environ deux cent cinquante mille garçons au moins sont nés ces trente dernières années aux États‒Unis et au Japon, et les scientifiques relient le phénomène à une accumulation corporelle de ces types de toxines transgenres.

    En tant que perturbateurs endocriniens, les ENP affectent l'expression génétique en activant ou désactivant certains gènes et interfèrent avec la façon dont votre système glandulaire fonctionne. Ils miment l'hormone féminine œstrogène ce qui explique pourquoi certains espèces marines passent de mâles à femelles.

    Environ dix‒huit mille tonnes d'ENP sont fabriquées aux États‒Unis chaque année. »
    Des filles entrent dans leur puberté à six ans mais les médicaments sont‒ils la réponse ? :
    « Certaines filles entrent maintenant dans leur puberté dès six ans ‒ avec des produits chimiques toxiques largement tenus pour responsables. Mais de nouveaux médicaments pour retarder les années sont‒ils vraiment la bonne réponse ?

    Les médecins sont de plus en plus inquiets du nombre de filles ‒ et de garçons ‒ adressées à des spécialistes à cause de ce phénomène de puberté « précoce ».

    L'âge normal de début de la puberté à la fois chez les filles et les garçons a diminué d'environ deux ans depuis le 19e siècle, à quatorze ans pour les garçons et douze ans pour les filles. C'est dû en grande partie à l'amélioration de la nutrition ‒ on pense que le début de la puberté est déclenché par la taille physique. Une autre théorie est que l'épidémie d'obésité est en cause...

    Quelle que soit la cause, un nombre croissant d'enfants sont privés d'enfance et se transforment, physiquement, en mini‒adultes de plus en plus jeunes. Mais sans la maturité émotionnelle pour gérer ces changements, ils sont vulnérables à l'exploitation. »
    Ensuite, bien sûr, notre merveilleux gouvernement Big Brother qui ne veut pas que nous fumions des cigarettes qui ont des bénéfices sanitaires avérés, dont celui d'aider au processus de la pensée, continue à tous nous irradier avec des ondes électromagnétiques bizarres de toutes sortes :

    Une entreprise de téléphonie mobile doit enlever une antenne‒relais là où le taux de cancer a grimpé en flèche :
    « Une entreprise de téléphonie mobile est sur le point d'enlever une antenne sur un immeuble d'appartements après que sept habitants aient été frappés par un cancer.

    Trois sont morts et un quatrième combat la maladie depuis que deux antennes ont été installées sur le toit de l'immeuble de cinq étages maintenant surnommé la Tour Funeste dans le quartier. »
    Les dangers cachés des radiations de téléphones portables :
    « Chaque jour, nous nageons dans un océan de radiations électromagnétiques (REM) produites par les appareils électriques, les lignes électriques, le câblage des bâtiments et un tas d'autres technologies qui font partie de la vie moderne. Du lave‒vaisselle et du four micro‒ondes dans la cuisine jusqu'au radio réveil près de votre lit en passant par le téléphone portable que vous tenez près de votre oreille ‒ parfois pendant des heures par jour ‒ l'exposition aux REM croit et devient une sérieuse menace pour la santé.

    Mais une énorme crise de santé publique émerge en provenance d'une menace particulière : les REM des téléphones mobiles ‒ à la fois le rayonnement des combinés et celui des antennes‒relais qui transmettent les signaux ‒ que des études ont relié au développement de tumeurs cérébrales, de dommages génétiques et autres troubles liés à l'exposition. Pourtant, le gouvernement et une machine médiatique de l'industrie de la téléphonie mobile bien financée continuent à leurrer le public peu méfiant sur les dangers d'un produit utilisé par des milliards de personnes.

    Aujourd'hui, il y a plus de deux milliards d'utilisateurs de téléphones portables exposés chaque jour aux dangers des REM ‒ des dangers que les régulateurs du gouvernement et l'industrie de la téléphonie mobile refusent d'admettre qu'ils existent. On y trouve : lésion génétique, dysfonctionnement cérébral, tumeurs cérébrales et d'autres problèmes comme les troubles du sommeil et les migraines...

    L'industrie de la téléphonie mobile est parfaitement au courant de ces dangers. En fait, il existe suffisamment de preuves scientifiques pour que les contrats de certaines entreprises interdisent de poursuivre en justice le fabricant du cellulaire ou le fournisseur de service ou de s'allier à une action en justice conjointe. Pourtant, le public ignore largement les dangers tandis que les médias claironnent régulièrement de nouvelles études montrant l'innocuité de l'usage des téléphones portables.

    Développés à l'origine pour le ministère de la Défense, l'innocuité des dispositifs de téléphonie mobiles n'a jamais été testée. Ils sont entrés sur le marché grâce à un vide réglementaire.

    Les questions quant à la sécurité des téléphones portables ont été soulevées au début des années 1990 quand un homme d'affaires a intenté un procès en prétendant que les portables avaient provoqué la mort de sa femme à cause d'un cancer au cerveau.

    Pour aborder les questions tournant autour de l'innocuité de la téléphonie mobile, l'industrie concernée a fondé une association : Wireless Technology Research (WTR). Le Dr George Carlo a été embauché pour diriger les efforts de recherche du WTR.

    Sous la direction du Dr Carlo, les scientifiques ont découvert que les radiations des téléphones mobiles entraînaient des lésions de l'ADN, compromettaient la réparation de l'ADN et interféraient avec les pacemakers.

    La recherche européenne a confirmé les résultats du Dr Carlo. Des études suggèrent que les radiations des téléphones cellulaires contribuent au dysfonctionnement cérébral, aux tumeurs et potentiellement à des maladies comme l'autisme, le déficit de l'attention, les maladies neuro‒dégénératives et les problèmes psychologiques et comportementaux. »
    L'intégralité de l'article ci‒dessus est À LIRE ABSOLUMENT !

    Si vous avez encore l'illusion que le gouvernement interdit de fumer pour votre bien, voici un autre article qui nous montre que ce que le gouvernement recommande pourrait très bien nous tuer :

    Mammographies : les rayons‒X peuvent augmenter le risque de cancer du sein de deux cent cinquante pour cent :
    « Il est important de rappeler que quatre‒vingt‒dix pour cent des cas de cancer du sein ne sont pas héréditaires et que la plupart des femmes en bonne santé n'auraient pas besoin de subir des examens aux rayons‒X fréquents de la poitrine, surtout si elles ont dans la vingtaine », a déclaré le Dr Erin Pennery de l'unité de cancérologie du sein.
    Le fait est que les États‒Unis, la soi‒disant « plus grande nation sur Terre », sombrent rapidement dans l'oubli de plus d'une manière :

    Les États‒Unis dégringolent dans le classement mondial de l'espérance de vie :
    « Malgré son statut d'un des plus riches pays au monde, l'Amérique a chuté de la 11e à la 42e place en vingt ans, selon les chiffres officiels des États‒Unis.

    Le Dr Christopher Murray, directeur de l'Institute of Health Metrics and Evaluation de l'Université de Washington a déclaré : « Il y a quelque chose qui cloche quand l'un des plus riches pays au monde, celui qui dépense le plus dans les services de santé, n'est pas capable de se maintenir au niveau des autres pays. »

    Jim McDermott, membre du Congrès démocrate, a dit : « la couverture des services de santé est la plus grande crise nationale que rencontre l'Amérique. Elle menace tout sauf les Américains les plus riches. Si vous n'appartenez pas au un pour cent des plus riches, alors vous savez que vous vivez à un coup de fil, accident ou maladie de la ruine financière à cause d'une crise médicale. »

    La chute est aussi due à l'amélioration des services de santé, de la nutrition et du mode de vie ailleurs dans le monde. Les pays ayant une plus longue espérance de vie comprennent la plupart de l'Europe, le Japon, Singapour et la Jordanie.

    Les États‒Unis ont aussi un taux de mortalité infantile plus élevé que beaucoup d'autres pays : 6,8 décès pour 1 000 naissances. Les pires chiffres d'espérance de vie se trouvent en Afrique, avec le Swaziland en dernier à 34,1 ans. »
    Le problème aux États‒Unis semble être le contrôle politique exercé sur la science. La politique et les marges de profit ne devraient JAMAIS influencer la science, mais c'est la façon dont les affaires marchent aux États‒Unis :

    Nos hypothèses sur la cause des maladies chroniques pourraient être fausses :
    « Martha Herbert, neuro‒pédiatre à l'hôpital général du Massachusetts à Boston, étudie les images cérébrales des enfants autistes. Elle examinait des patients un jour il y a quelques années lorsque qu'une fillette de trois ans entra avec plus de problèmes que les troubles cognitifs et comportementaux habituels.

    Elle était intolérante au lactose et les aliments contenant du gluten semblaient toujours malmener son estomac. Les enfants autistes souffrent profondément et pas seulement de leur difficulté à constituer des liens émotionnels avec les membres de leur famille, se faire des amis ou tolérer des changements mineurs dans leur train‒train quotidien.

    Herbert a vu de nombreux jeunes enfants qui avaient eu une douzaine d'infections de l'oreille ou plus à l'époque où ils entraient dans son cabinet et beaucoup d'autres avec une diarrhée chronique et autres problèmes gastro‒intestinaux, dont de sévères allergies alimentaires. Ce genre de symptômes ne cadre pas avec l'explication traditionnelle de l'autisme de maladie génétique implantée dans le cerveau et c'était précisément ce qu'Herbert avait à l'esprit ce jour‒là. Elle avait vu trop d'enfants dont le système entier était détraqué.

    Au cours de la consultation de la petite fille, Herbert apprit que le père de l'enfant était informaticien ‒ bio‒informaticien, pas moins ‒ quelqu'un entraîné à mouliner des données biologiques et à en faire ressortir des schémas intéressants. Elle lui fit part de sa croyance que la recherche sur l'autisme se focalisait trop sur l'examen des gènes qui jouent un rôle dans le développement et le fonctionnement cérébral, à l'exclusion d'autres facteurs ‒ à savoir la susceptibilité des enfants aux agressions de l'environnement comme l'exposition aux produits chimiques et substances toxiques.

    Les puces à ADN ouvrent la voie à une toute nouvelle manière de tester l'innocuité des produits chimiques synthétiques : chaque produit chimique altère le schéma d'activité génétique de manière spécifique et possède donc une empreinte génétique unique. Si l'empreinte génétique d'un produit chimique correspond étroitement à celle d'une autre substance déjà connue pour être toxique, il y a de bonnes raisons de suspecter que ce produit chimique peut aussi être nocif pour nous.

    En fin de compte, les organismes gouvernementaux chargés de réguler les produits chimiques et de protéger notre santé pourraient utiliser cette méthode, un aspect du domaine dénommé toxico‒génomique, pour venir à bout des milliers de produits chimiques non testés ou insuffisamment étudiés qui circulent dans notre environnement.

    En d'autres termes, ces organismes pourraient rendre notre monde plus sûr en identifiant ‒ et on l'espère, en interdisant ‒ les substances dangereuses.

    Pour répondre à l'inquiétude que l'exposition environnementale affectait la santé des enfants, l'administration Clinton lança en 2000 la National Children's Study, la plus grande étude de ce genre entreprise aux États‒Unis, sous les auspices des National Institutes of Health.

    Le but était de recruter cent mille enfants ; une bio‒banque génétique a depuis été ajoutée. Les investigateurs n'ont pas encore recruté les participants, en partie à cause d'incertitudes financières. Le budget prévisionnel 2007 de l'administration Bush a totalement supprimé le financement de l'étude, bien que le Congrès l'ait réinstauré en février.

    L'ironie est que couper les financements de tels projets pourrait être l'option la plus coûteuse de toutes. Même si l'on aborde avec succès les questions politiques qui dominent la campagne électorale comme les coûts médicaux qui grimpent en flèche et le nombre croissant de non assurés, notre échec à considérer les mécanismes fondamentaux des maladies ‒ l'interaction entre nos gènes et l'environnement ‒ pourrait toujours nous ruiner, socialement si ce n'est financièrement. »
    La vérité c'est que de nombreuses substances ont été identifiées comme bien plus dangereuses pour la santé humaine que de fumer des cigarettes (sans les bénéfices concomitants !) mais elles doivent encore être interdites. On ne peut que se demander si cela est voulu étant donné la façon dont elles affectent notre ADN

    Donc, pendant qu'on a des problèmes pour financer des recherches qui nous aideraient, qu'est‒ce qui est BEL ET BIEN financé ?

    Les maladies explosives que les scientifiques développent dans nos laboratoires :
    « Le fait qu'un laboratoire de recherche biologique a probablement été la source de l'épidémie de fièvre aphteuse est, paradoxalement, à la fois énormément rassurant et à première vue très inquiétant. »
    Rassurant ???
    « Rassurant parce que si la multinationale Merial Animal Health Labs était responsable de l'épidémie, alors les scientifiques sauront exactement quelle souche virale est en cause et auront un vaccin tout prêt ‒ en effet, la cause de l'épidémie auraient été les vaccins anti‒fièvre aphteuse mêmes que les scientifiques produisent en grandes quantités.

    Mais la nouvelle est aussi inquiétante car elle met en lumière le fait que d'énormes quantités de virus et de bactéries sont détenues en laboratoire dans toute la Grande‒Bretagne qu'on pensait être en sécurité. Cela inclut des germes qui ont le potentiel d'engendrer des ravages économiques et bien pire.

    En 1952, dans un test d'arme de guerre bactériologique britannique, une nuée de microbes de la peste pneumonique et bubonique a délibérément été relâchée au‒dessus d'un ponton amarré loin des côtes des Hébrides extérieures, sur lequel il y avait des singes et des lapins vivants en cage. Malheureusement, un chalutier de pêche traversa la nuée et chose plutôt incroyable, son équipage put rentrer au port de la côte du Lancashire sans être arrêté ou averti, telle était la culture du secret de la Guerre froide à l'époque. Heureusement les pêcheurs n'avaient pas été infectés.

    Au fil des ans, il a été prétendu de nombreuses fois que divers pathogènes mortels s'étaient « échappés » des établissements de guerre bactériologique du ministère de la Défense à Porton Down, où des expériences sur certaines des armes chimiques et bactériologiques les plus mortels connues de la science se sont déroulées depuis la Première guerre mondiale.

    Au cours des décennies, des dizaines de milliers d'animaux, y compris des primates, ont été délibérément infectés avec tout un tas de maladies horribles et sont inévitablement entrés en contact avec des centaines de chercheurs, techniciens et assistants de laboratoire.

    Au début des années 1970, une petite épidémie de variole a fait suite à l'infection accidentelle d'un employé de laboratoire de l'École londonienne d'hygiène et de médecine tropicale. Et le dernier cas humain de cette horrible maladie s'est produit après qu'un technicien ait été infecté à l'université de Birmingham en 1978. Aujourd'hui, la variole n'existe qu'à deux endroits, les laboratoires des Centers for Disease Control (CDC) [Centres de contrôle des maladies ‒ N.D.T.] à Atlanta en Géorgie et à Novosibirsk, en Russie. »
    Waouh ! Je suis TELLEMENT rassurée que des recherches soient faites sur plus de manières épouvantables de tuer les gens mais que presque rien n'est entrepris pour trouver comment garder les gens en bonne santé ! Tout est mis sur le dos de la cigarette ! Le fait est que la cause la plus probable des maladies attribuées au tabac est la pollution.

    Dix millions de personnes à risque à cause de la pollution :
    « Plus de dix millions de personnes risquent l'infection des poumons, le cancer et une espérance de vie réduite parce qu'ils vivent dans les dix villes les plus polluées du monde, selon un rapport publié mercredi.

    Le rapport diffusé par l'Institut Blacksmith, un groupe de recherches environnementales international, liste dix villes dans huit pays où la pollution pose des risques sanitaires et favorise la pauvreté. »
    Je pense que c'est bien plus que dix millions... Et c'est permis car ce genre de pollution est causé par des multinationales qui font plus d'argent avec des choses qui nous tuent que l'industrie du tabac en faisait. Ce qui nous ramène à nouveau à la question de l'argent. Qui profite financièrement de toutes ces maladies (mis à part évidemment le complexe militaro‒industriel) ? Qui ? Big Pharma, c'est eux !

    La réalité alternative de la FDA et de Big Pharma :
    « En tant que gens lucides, les adeptes de la santé naturelle examinent parfois les actions de la Food and Drug Administration (FDA) et se demandent de quelle planète viennent les décideurs. C'est comme si la FDA vivait dans un monde totalement différent du nôtre ‒ un monde où les nutriments sont dangereux mais où les produits chimiques synthétiques sont parfaitement sûrs à la consommation humaine. »
    Oh oui, et Big Pharma nous dit : Ne fumez pas à moins que ce soit les MÉDICAMENTS que nous vous vendons :
    « L'entreprise californienne de Palo Alto développe des médicaments qui peuvent être « fumés » et comme la nicotine des cigarettes, traverser les poumons pour pénétrer dans le sang presque instantanément.

    Les investisseurs aiment l'idée.

    Les actions d'Alexza ont augmenté de presque soixante pour cent au cours des cinq derniers mois, surpassant de loin l'Index de Biotechnologie Nasdaq qui a augmenté de quinze pour cent au cours de la même période. »
    Vous devez vraiment lire toute l'histoire pour savoir à quel point l'idée est macabre. Des médicaments pour vous abrutir délivrés instantanément tandis qu'une substance qui vous aide à penser plus efficacement et exhaustivement, la nicotine, doit être éliminée de la planète. Peu importe qu'ils nous empoisonnent avec tout le reste. Vous n'êtes pas censés vous en rendre compte, ce que vous pourriez si vous fumiez.

    Ce qui nous ramène à la question du tabac. Mince, avec tous ces prétendus terroristes qui rôdent et le stress que le terrorisme peut produire, on pourrait penser qu'ils voudraient que les gens fument un peu pour rester calme et réfléchir sérieusement aux problèmes ; après tout cela serait grandement bénéfique pour tout le monde. Mais nan, pas du tout ! En fait ils veulent vous donner l'impression d'ÊTRE UN TERRORISTE SI VOUS FUMEZ !

    Des espions anti‒taffes pour contrôler l'interdiction de fumer au Québec :
    « Le ministre de la Santé du Québec, Philippe Couillard, a admis qu'il y aura des inspecteurs « en civil » dans les bars et les restaurants de la province pour s'assurer qu'une nouvelle loi anti‒fumeur sera appliquée lorsqu'elle entrera en vigueur le 31 mai.

    La nouvelle législation interdira de fumer dans tous les lieux publics clos, dont les bars et les restaurants.

    Certaines critiques disent que la province n'a pas embauché assez d'inspecteurs pour s'assurer de l'observation de la loi mais Couillard affirme que ça n'est pas vrai.

    « La police municipale peut aussi être utilisée si les municipalités leur en donne l'autorité », a‒t‒il déclaré mercredi. « Ils sont sous leur juridiction. Ils peuvent assurément travailler en collaboration avec les inspecteurs. »
    Deux cents agents en patrouille pour faire respecter l'interdiction de fumer à Liverpool :
    « Des dizaines d'officiers municipaux patrouilleront les bars, les restaurants et les magasins pour veiller au respect de l'interdiction de fumer lorsqu'elle entrera en application en juillet, a‒t‒il été révélé la nuit dernière.

    À Liverpool, il y aura une équipe centrale de vingt à vingt‒cinq personnes, bien qu'environ deux cents agents patrouilleront les rues, les bars et les clubs de la ville les premiers jours après l'interdiction.

    Les conseils municipaux se sont vus allouer vingt‒neuf millions cinq cent mille livres sterling pour financer ce personnel qui sera à même de dresser sur le champ des amendes de cinquante livres contre les personnes et d'envoyer au tribunal les établissements s'ils bafouent la loi.

    Mais l'action a été critiquée par les fumeurs de la région comme étant « maladroite » et les conseils municipaux ont été accusés de coup monté après qu'il soit apparu que les agents pourront s'asseoir en civil parmi les buveurs et prendre secrètement les gens en photo ainsi que les filmer. »
    À défaut d'autre chose, cette histoire nous révèle la vérité sur la « Guerre contre le terrorisme » ‒ cela n'existe pas. La guerre est réellement contre les droits et libertés des citoyens ordinaires. S'il y avait vraiment des terroristes comme Bush, Blair et d'autres le prétendent, ils ne feraient pas aussi attention aux innocents qui fument pour améliorer leur pensée et leur créativité et réduire le stress de leurs peurs des soi‒disant terroristes. Donc, non seulement vous êtes supposés avoir peur mais on ne vous permet pas d'avoir un quelconque autre soulagement que le Prozac, le Xanax et autres médicaments, dont il a été montré qu'ils étaient liés à des taux de violence et de suicide accrus et qui ralentissent définitivement les processus de pensée !

    Il y a davantage, comme l'indique un commentaire sur mon blog :

    John Wayne est‒il mort de radiations nucléaires ? :
    « Je crois que les faits montrent que John Wayne, dont on dit que sa mort est due à un cancer du fumeur, a été tué, comme de nombreux autres acteurs/employés du tournage de Le Conquérant qui se trouvait dans le sens du vent d'un test atomique dans le Nevada.

    Je soutiens depuis longtemps que toute « l'industrie » du cancer est établie pour dissimuler les ravages faits aux humains par les tests atomiques et autres armes de guerre biologique libérées ‒ virus simiens, etc.

    Cela a été mis en scène par l'armée et les services de « renseignements ». N'oubliez pas que lorsque la bombe A originelle a explosé, le scientifique Fermi (je crois) a réellement parié que la réaction en chaîne continuerait et enflammerait toute l'atmosphère de la Terre en une boule de feu, c.‒à‒d. qu'ils ne connaissaient pas les ramifications de ce qu'ils tripatouillaient mais voulaient de toute façon risquer l'extinction planétaire ou humaine. Ils n'ont toujours aucune idée des dégâts causés par la plus minuscule des particules de ce truc chez les humains, sans parler de l'uranium appauvri... cependant ils savent mentir et en connaissent un rayon sur la propagande.

    Je propose que les Indiens d'Amérique et d'autres étaient au courant à propos du tabac : ça peut être une plante utile ‒ SI CONSOMMÉE AVEC MODÉRATION. Fumer cigarettes sur cigarettes pendant trente ans va entraîner de l'emphysème chez certaines personnes et certains sont plus sensibles à un peu près n'importe quoi y compris les cacahuètes (le contact peut tuer certaines personnes). La plupart de ce qu'on a raconté aux êtres humains sur les cigarettes, Dieu, la guerre, etc., ne sont que des mensonges destinés à aider un petit groupe à conserver le pouvoir et à dissimuler leur massacre et leur vol à l'encontre de nous autres. »
    Ce qui nous amène au point final que je voudrais porter à votre attention aujourd'hui : Reconnaître les types d'anti‒fumeurs.

    Dans une section de son livre intitulé Dissecting Antismoker Brains [Disséquer le cerveau des anti‒fumeurs ‒ N.D.T.], Michael J McFadden aborde les différents types d'anti‒fumeurs et leurs divers traits de caractère et comportements...

    1) Les innocents - Ce groupe, d'ordinaire des non‒fumeurs de longue date, accepterait généralement normalement le tabagisme et les fumeurs comme partie intégrante du monde qui les entoure. Cependant, à cause de la couverture médiatique et de l'exposition à la propagande anti‒tabac, ils en sont venus à croire qu'un risque médical est posé par ceux qui fument autour d'eux. Cela peut les amener à modifier certains comportements, par exemple une préférence pour les restaurants non‒fumeurs, mais cela ne sera généralement pas un facteur déterminant dans leurs décisions. La qualité de la nourriture primera sur la présence éventuelle de fumeurs. En amour, ils préféreront un partenaire non‒fumeur mais regarderont au‒delà de ce genre d'affaires en prenant en compte le tableau d'ensemble. Il est peu probable qu'ils fassent la leçon à un partenaire qui fume, préférant une persuasion plus raisonnée de les aider à se débarrasser de la « mauvaise habitude ». Le nombre d'innocents a énormément grandi cette dernière décennie à cause du budget médiatique des groupes anti‒tabac.

    2) Les névrosés - Les névrosés ont significativement une plus grande difficulté que la moyenne à gérer aisément et productivement un ou plusieurs aspects de la vie rencontrés couramment. Cela peut se transformer en peurs totalement irrationnelles, phobies et comportements obsessionnels. Ce groupe de personnes est particulièrement visé par la croisade anti‒tabac hystérique et associé à la propagande exagérée. Il n'y a pas si longtemps, une personne qui refusait d'entrer dans un bar ou un restaurant par crainte de respirer de la fumée aurait probablement été considérée comme un excellent candidat à un soutien psychologique pour soulager sa névrose. Cependant, dans le climat actuel, cette même personne, peu importe à quel point la peur est irrationnelle ou infondée, trouvera du soutien et sera félicitée pour son action. Cela alimente davantage le feu à l'intérieur du névrosé. Les gens de ce groupe d'anti‒fumeurs sont susceptibles d'être ceux qui agressent verbalement des fumeurs qui leur sont totalement étranger à cause de leurs « cancérettes ».

    3) Les vraiment affectés - Des segments de la population peuvent avoir des réactions allergiques à différents stimuli comme les chiens, le pollen, les noisettes, etc. La fumée du tabac peut constituer un déclencheur pour un petit segment de la population. Pour certains c'est une réaction physique réelle tandis que pour d'autres cela provient en grande partie ou entièrement d'une fondation psychosomatique. On doit se rappeler que les gens qui vivent ce genre de réactions n'ont aucun moyen de connaître leur véritable cause et que la sensation est réelle et effrayante même si complètement psychosomatique. Les incidents de non‒fumeurs ayant une réelle réaction physique indésirable à de faibles taux de fumée de tabac sont extrêmement rares. Cependant, tandis que davantage de restrictions et d'interdictions de fumer sont mises en place, les lobbys anti‒tabac prétendent que davantage d'incidents de ce type se produisent dans leurs efforts pour accroître ou mettre en œuvre des interdictions. Ceux qui se sentaient « vraiment affectés » par la fumée du tabac étaient très rares il y a quarante ans mais sont devenus beaucoup plus communs de nos jours.

    4) Les endeuillés - Si nous entendons qu'une personne est morte du cancer du poumon ou d'une maladie cardiaque, la question qui vient à l'esprit des gens est : fumait‒il ? Si oui, les non‒fumeurs ordinaires sont heureux de ne pas partager cette habitude avec le défunt et sont rassurés, à tort dans certains cas, sur le fait que la grande faucheuse n'a probablement pas leur nom dans la corbeille des affaires en attente. Pour la famille endeuillée la douleur est plus profonde et le besoin de savoir pourquoi plus fort. Ils sont susceptibles de croire que leur défunt a été « tué par le tabac » même si, médicalement, on ne le sait pas vraiment ! La colère et l'émotion compréhensibles lors de la perte d'un être cher peut les amener à vouloir se venger de l'industrie du tabac. Incapables d'attaquer les cigarettiers, les endeuillés peuvent entrer dans le cercle des anti‒fumeurs, acceptant leur propagande et plaidant le soutien aux interdictions de fumer et aux taxes comme moyens pour eux de se venger des cigarettiers anonymes.

    5) Les ex‒fumeurs et victimes - Il n'est pas inhabituel d'entendre dire que le tabac rend « plus dépendant que l'héroïne ». Cependant, partout dans le monde des millions réussissent chaque année à arrêter sans souffrir de convulsions, se tordre dans des souffrances atroces sur le sol, être hospitalisés ou internés de force. Des millions d'autres fumeurs gèrent leur habitude, fument très peu ou choisissent consciemment des marques légères. Bien que l'addictivité du tabac soit grandement exagérée, le fait reste que de nombreux fumeurs éprouvent une grande difficulté à arrêter. Pour de nombreux fumeurs, arrêter implique de diaboliser le tabac et toutes les expériences qu'ils en ont. Cette visualisation du tabac en démon renforce leurs efforts pour arrêter mais après avoir réussi, le diable reste à l'intérieur, les incitant à revenir au tabac. Ces anciens fumeurs peuvent alors consacrer des énergies considérables à la mission d'éliminer la vue et l'odeur de la fumée du monde entier autour d'eux et faire de la vie des fumeurs sur leur chemin un enfer. Un autre groupe d'anciens fumeurs arrête à la suite de problèmes de santé qu'ils attribuent au tabagisme. Certains ont une motivation et un désir sincères d'épargner aux autres un destin similaire. Ensuite il y a ceux qui acceptent mal que les autres continuent à fumer sans conséquences néfastes et deviennent alors aigris et des membres totalement engagés de la brigade anti‒tabac.

    6) Les contrôleurs - Souvent à cause d'insécurités de fond, les personnalités contrôleuses ressentent le besoin d'exercer une quantité de contrôle anormale sur les gens et le monde qui les entourent. Les contrôleurs peuvent être convaincus par les médias que le tabagisme passif est une menace pour la santé ou simplement le voir comme une occasion en or d'exercer plus de contrôle. Dans les relations et les mariages, les contrôleurs confisqueront les cigarettes, imposeront des inspections d'odeur, délivreront des punitions pour les transgressions d'une nature à la fois psychologiques et physiques. Leur but entier est le contrôle, la domination et d'imposer leurs volontés sur les sujets. Leurs efforts ne seront pas considérés comme un vice mais comme une vertu quand ils mettent en avant la cause de la bonne santé et de l'air propre même si leur motivation réelle est simplement la satisfaction obtenue de voir les autres se plier à leur volonté. L'objectif ultime est la création de lois et de punitions qui incarnent et soutiennent les désirs du contrôleur.

    7) Les idéalistes - Une section de ce groupe est sincère, croyant que fumer provoque maladie et souffrance et leur faisant ressentir un besoin d'agir. Ces idéalistes cherchent généralement des moyens constructifs et utiles d'aider ces fumeurs qui souhaitent arrêter et persuadent les gens de ne pas commencer par l'éducation et l'information. Ils ne s'adonnent pas tellement au dénigrement, à la diabolisation et au harcèlement que d'autres groupes adoptent si volontiers comme tactique. Mais les idéalistes aux sentiments forts, même s'ils savent que les arguments contre le tabagisme passif sont loin d'être convaincants, utiliseront tout de même des études pauvres pour servir leur cause. Les idéalistes sont généralement des gens avec un bagage professionnel ou des médecins. Arrogants et confiants que leurs instincts à propos du tabac sont justes et exacts, ils se sentent le droit de déformer les recherches pour qu'elles conviennent à leurs besoins. Leur vrai pouvoir se situe dans leur accès aux politiciens et leur capacité à faire passer des foutaises scientifiques pour des faits.

    8) Les moralistes - Les moralistes ont toujours joué un rôle dans les croisades anti‒tabac. Ils cherchent à décrire le tabagisme et les fumeurs comme une influence corruptrice sur la société. Ils prétendront que fumer est la porte ouverte aux drogues et mène au crime. Ils s'inquiètent aussi pour les enfants de fumeurs et sont partisans de transformer en crime le fait de fumer pour une femme enceinte ; ils exigeront même que les enfants placés soient retirés des foyers fumeurs. Dans l'ensemble, les moralistes sont puritains, pudibonds et de nature insatisfaite. Ils voient les autres s'amuser et veulent faire cesser tout ce à quoi ils s'adonnent car pour eux c'est forcément mal si la gaieté est impliquée.

    9) Les cupides - L'anti‒tabagisme est devenu un gros business qui vaut des centaines de millions de dollars rien qu'aux États‒Unis. Beaucoup le voit comme un énorme domaine de croissance tandis que le « fascisme sanitaire » progresse mondialement. Cela a en retour attiré les cupides chez les avocats, médecins, entreprises pharmaceutiques, agences de publicité, journaux, chercheurs, etc., tous plus que prêts à prendre le train anti‒fumeurs en marche dans la tentative de participer à l'action. Des centaines de milliers de dollars ont été investis dans les organismes anti‒tabac, leur fournissant le poids pour se faire remarquer par les affairistes. Néanmoins, l'argent n'est pas la seule force motrice : le lobby anti‒tabac est maintenant un bon moyen de faire progresser une carrière et ouvre la porte aux milieux universitaire et politique. Les cupides se soucient moins de la question du tabac ou de la santé et si fumer était totalement interdit demain matin, ils se tourneraient en un clin d'œil vers une autre campagne anti, que ce soit la viande, les voitures ou l'alcool.

    Conclusion : tout le mouvement anti‒tabac puise son énergie de diverses personnes dans tous ces groupes tandis qu'ils se rassemblent et œuvrent à différents moments et de manières différentes sur diverses campagnes. Le mouvement anti‒tabac en tant que tel n'est pas n'est pas une conspiration multinationale à tête unique mais plutôt une hydre à plusieurs têtes avec de nombreuses motivations et forces qui a été alimentée jusqu'à grossir de manière incroyable par l'argent des taxes au cours de ces quinze ou vingt dernières années.

    L'analyse de M. McFadden de ces groupes n'est que le début de son livre qui va bien plus en profondeur que je ne peux le faire ici.

    Dissecting Antismoker Brains de Michael J McFadden. Ce livre acclamé est disponible pour 21,95 $ chez Antibrains

    Fumer est plus sain que le fascisme.
    © InconnuFumer est plus sain que le fascisme.
    Maintenant, je pense que je vais m'en griller une et faire une pause...