Décidément, tout est possible. Morandini, avec son émission culte des années 90, qui a tant fait hurler la gauche bien-pensante, qui avait par ailleurs signé à deux mains les pétitions pro-pédophiles dans Libé 15 ans plus tôt, ne croyait pas si bien dire. Le mondialisme, cette pandémie tout droit sortie des cerveaux malades de Soros, Gates, et autres Rockefeller, a transformé les pires délires en réalité.
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Des drag queens donnent des cours de transition aux enfants, des pédophiles déguisés en femmes s'introduisent dans les écoles, des centaines de mômes désorientés demandent à changer de sexe, avant de pleurer un jour sur leur identité perdue. À partir de là, plus rien ne doit nous étonner.


Hier, à la remise des Grammy (pas les grands-mères qui font du porno, les Granny, mais les Victoires de la musique en Amérique), le public en extase a vu arriver la grande dame de la chanson nord-américaine, Céline Dion en personne.

Resplendissante dans un manteau Guérisol couleur colique, elle a rassuré son fanatorium mondial de mères de famille nées sans culture musicale. Le problème, c'est que la Céline qui est apparue ressemble vaguement à Céline, mais une Céline en pleine santé, pas l'anorexique mortifère que la coulisse connaît. Et dont le passé...

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La Céline des années 2020, la voici :

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Pour les fans ultra et les malvoyants, voici la Céline rebootée :


Quand on est un peu visagiste, ou anatomiste, ça ressemble quand même à un sosie. D'ailleurs, après un discours de quelques secondes, « Céline » est repartie en coulisses, d'où elle a chanté... Bon, on dit ça, on dit rien.

C'est comme la Nasa qui nous explique que les « tremblements de Lune » mettent en péril les futures missions...

L'astrophysicien Lagadec, dont les threads sont fort intéressants par ailleurs, se bat un peu contre des moulins à défendre la version rafistolée de la Nasa :


Pour en revenir aux sosies, Hillary Clinton, qui avait fait une dépression nerveuse en pleine campagne 2016 face au terrible Trump, avait été remplacée un temps par un sosie, mais bien loupé. Les journalistes n'avaient pas eu le droit de l'approcher à moins de 25 mètres.

C'était oublier le zoom sur tous les appareils. Les images de la fausse Hillary, qui ressemblait à sa femme de ménage ou à sa dernière maîtresse en date, avaient fait le tour du monde et démonétisé un peu plus l'image de la candidate démocrate.

La presse soumise avait tenté de cacher le flop, qui saute pourtant aux yeux :


En gros, on avait le choix entre passer pour un con ou un conspirationniste. La réponse, elle était toute trouvée. N'importe quel dessinateur ou visagiste pouffera devant l'évidence :

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Hillary jouera en revanche son sosie dans une série, et là, on a pu voir la vraie :

Alors, qui désinforme, qui ?
Décidément, l'Amérique n'a aucun problème avec le mensonge.