Brutalité et atrocité sans fin. Horribles bombardements aveugles sur Rafah, la ville la plus méridionale de Gaza. Nous savons que Netanyahou ne bouge pas le petit doigt sans l'accord de Washington.
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Cela a été clairement prouvé par la contre-attaque bénigne contre l'Iran — pour « riposter » à l'attaque de représailles « échec et mat » (Scott Ritter) du 14 avril de l'Iran contre Israël. En représailles à l'explosion par Israël du consulat d'Iran à Damas le 1ᵉʳ avril et à la mort de sept Iraniens, dont deux officiers de l'armée.

Le président Biden a demandé à Netanyahou de ne pas risquer une guerre à grande échelle et de faire preuve de souplesse dans ses représailles.

En revanche, Biden a dû donner à Netanyahou le feu vert pour supprimer Rafah, où plus d'un million de Palestiniens sont actuellement bloqués - bombardés depuis le nord de Gaza jusqu'à l'extrémité sud, Rafah, la porte verrouillée vers l'Égypte.

Regardez cette vidéo de 12 secondes. Elle montre l'horreur que doivent vivre ces gens. On ne sait pas combien de personnes seront tuées. C'est l'extermination d'un peuple entier — mandatée par les sionistes en charge des États-Unis et de toutes les marionnettes en Europe.


Ce crime infligé par l'État sioniste d'Israël, approuvé par Washington et ses vassaux de Bruxelles, doit être traduit en justice. Ceci, ainsi que les plus de 75 ans de « nettoyage ethnique », d'assassinat aveugle et jamais puni des Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie.

La prison à ciel ouvert qu'Israël sioniste a créée à Gaza en 2008, en fermant toutes les frontières et en occupant militairement l'étroite bande de terre qui comptait alors 2,3 millions d'habitants — sans accès aux médias, sans accès aux témoins -, les meurtres, les tortures, les atrocités indescriptibles commises, un holocauste caché, dont des preuves occasionnelles ont pu être divulguées.

Puis l'assaut du Hamas du 7 octobre 2023 contre Israël, bien planifié — au moins trois ans à l'avance — et organisé par les services secrets de l'État sioniste d'Israël, des États-Unis et du Royaume-Uni. L'attaque est maintenant imputée au Hamas. Soyons clairs : le Hamas est une création, y compris son financement, de l'État d'Israël.

L'objectif est, d'une part, de constituer un contrepoids « terroriste » (Israël et l'Occident) à l'Autorité palestinienne légitime et, d'autre part, de disposer à tout moment d'une cause légitime pour un « faux drapeau » — exactement comme le monde en a été témoin le 7 octobre.

Les forces de défense israéliennes (IDF) ont indiqué que dans les premières heures de l'attaque du Hamas, 1200 Israéliens ont été tués et plus de 200 pris en otage. Aucune de ces affirmations n'est prouvée. Pourtant, elle est répétée ad nauseam, même par les médias non traditionnels, comme s'il s'agissait de la vérité.

Des témoins israéliens ont raconté que les FDI ont tiré et tué des jeunes Israéliens qui participaient au festival de musique Supernova dans le désert du Néguev, à environ cinq kilomètres de la frontière de Gaza, le 7 octobre. Le Hamas a été accusé d'avoir assassiné des fêtards innocents.

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Cet assaut « final » sur Rafah était annoncé depuis des semaines par Netanyahou — mais il devait attendre l'approbation des sionistes qui commandent à Washington.

Qu'adviendra-t-il des survivants ? Israël finira-t-il par ouvrir la porte du désert du Sinaï, où l'Égypte, de connivence avec Netanyahou et peut-être copayée par Israël, a déjà construit des villes de tentes pour accueillir au moins une partie des réfugiés palestiniens, qui ne retourneront jamais sur leur terre natale ? Combien de temps et combien de personnes survivront, sans nourriture et eau adéquates, sans installations sanitaires, sans services de santé ?

Cela ressemble à la goutte d'eau qui fait déborder le vase d'une extermination bien planifiée du peuple palestinien, pour s'approprier illégalement ses terres et les énormes ressources en gaz au large de Gaza, estimées de manière prudente il y a déjà plus de 20 ans à un trillion de pieds cubes. Une évaluation actualisée pourrait être exponentiellement plus élevée. Mais dans ces conditions, personne n'en parle ni ne l'écrit.

La création illégale d'Israël remonte au moins à la déclaration Balfour de 1917, pendant la Première Guerre mondiale. À l'époque, la Palestine faisait partie de l'Empire ottoman et comptait une petite population juive vivant en paix avec la majorité palestinienne.

La déclaration Balfour est contenue dans une lettre datée du 2 novembre 1917, adressée par le ministre des Affaires étrangères du Royaume-Uni, Arthur Balfour, à Lord Rothschild, chef de la communauté juive britannique, pour transmission à la Fédération sioniste de Grande-Bretagne et d'Irlande (Wikipédia).

Cette déclaration a permis au gouvernement britannique de proposer aux Nations unies, en 1948, la création de l'État d'Israël sur le territoire de la Palestine. Cette proposition était illégale, car les territoires occupés par les Ottomans sont devenus des nations souveraines libres après la Première Guerre mondiale, y compris la Palestine. Le mandat confié en 1948 aux jeunes Nations unies, fortes de 52 membres seulement, était illégal. Voir « Israël est un État illégal ». Ralph Wilde à la CIJ (vidéos des sessions de la CIJ de 2 h 42min et du Plaidoyer du Dr. Wilde 26 min - 29 février 2024).

Combien de temps encore le monde va-t-il assister — ou pire encourager - à ce spectacle d'horreur ? Ne vous méprenez pas, il ne s'agit pas des peuples du monde, mais bien des soi-disant dirigeants (sic) du monde occidental, dont la plupart n'ont jamais été élus démocratiquement, mais ont été nommés à leur poste grâce à la ruse législative d'une sélection de l'Académie des jeunes leaders mondiaux (YGL) du Forum économique mondial (FEM).

Plus d'une fois, Klaus Schwab, le président [PDG] du FEM, s'est vanté d'être fier d'avoir pu infiltrer les YGL [Young Leaders] au sein des gouvernements du monde entier. Ces soi-disant dirigeants occidentaux semblent être des non-humains, élevés par le non-humain WEF qui est soutenu et financé par le Grand Capital, y compris BlackRock / Vanguard, ainsi qu'une récolte entremêlée de financiers de haut niveau de Wall Street.

Combien de temps l'Occident, en particulier le peuple européen, supportera-t-il de tels tyrans non élus, comme Mme Von der Leyen, nommée présidente de l'UE, et les marionnettes désignées par le WEF, comme Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Rishi Sunak ?

L'assaut de Rafah pourrait être un autre clou dans le cercueil de l'Israël sioniste, d'où une Palestine libre pourrait émerger. Puissent les Palestiniens retourner dans leur ancienne et nouvelle patrie palestinienne souveraine.

Article original en anglais :

Israel Just Launched a Brutal Attack on Rafah. "Beyond Shame, Beyond Crime..."

Traduction : Mondialisation.ca