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Paul Offit dit que l'on peut, en toute sécurité, administrer 10.000 vaccins à la fois chez un nourrisson. Mais ce médecin bénéficie aussi d'un brevet qu'il détient pour le vaccin Rotateq. - Qu'est-ce qui ne va pas dans ce tableau ?

Le Dr Paul Offit est le pédiatre qui a co-inventé un vaccin contre le rotavirus (nom commercial : Rotateq) et qui a, une fois, déclaré dans une interview que l'on peut administrer à un enfant 100.000 vaccins à la fois sans problème (plus tard il a révisé ses chiffres et parlé de 10.000).

Professeur de pédiatrie à l'Université de Pennsylvanie, il est le chouchou des médias traditionnels et est largement cité comme « expert sur la sécurité des vaccins » autoproclamé, malgré le conflit d'intérêts flagrant qu'implique une telle désignation.

Malheureusement pour le Dr Offit, une étude de 2010 publiée dans le Journal of Virology a révélé qu'il possédait un brevet d'exploitation de plusieurs millions de dollars sur le vaccin Rotateq et que ce vaccin contenait un retrovirus vivant d'origine simiesque (avec un degré de certitude de 96%) qui a probablement infecté des millions d'enfants au cours des dernières années en causant beaucoup de dommages. Les infections à rétrovirus sont permanentes et peuvent se maintenir indéfiniment jusque dans les générations futures. En d'autres mots, une fois que ces retrovirus ont été insérés dans le génome humain, ils ne peuvent plus être éliminés.

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En outre, une étude de 2014 publiée dans Advances in Virology a montré que le vaccin du Dr Offit contenait « une souche endogène du virus M7 du babouin... » probablement due à la lignée de cellules de singe à partir de laquelle le Rotateq a été produit. Voir ici l'entièreté du PDF.

Afin de pouvoir saisir l'extrême importance de ces résultats, il est bon de se familiariser avec l'histoire des virus adventices dans ce qu'on appelle les vaccins vivants ou les vaccins atténués. Ces vaccins contiennent le vecteur même de la maladie réelle, que la vaccination est censée prévenir. Bien que ces virus soient considérés « affaiblis », leur processus de fabrication en fait souvent des virus plus adaptables à l'hôte dans lequel ils sont injectés. Les nombreux passages par les cellules humaines et animales font que ces vaccins sont parfois bien plus dangereux que les infections naturelles de « type sauvage ». Il suffit de jeter un coup d'œil sur le vaccin polio oral pour comprendre les dangers de ce type de vaccins. En 2011, The Indian Journal of Medical Ethics a publié une étude qui a révélé que la souche vaccinale polio était deux fois plus meurtrière que le type sauvage vu qu'il a provoqué plus de 47.000 cas de paralysies associées à la polio, et ce rien que pour la seule année 2011. Ce vaccin fut lancé par le Dalai Lama lui-même, qui n'avait apparemment pas la moindre idée des préjudices que ces vaccinations pouvaient causer.

La théorie veut qu'en infectant un corps sain avec ces virus atténués, on génère une réponse immunitaire - validée par des taux élevés d'anticorps, quelle que soit leur affinité avec l'agent pathogène - avec comme résultats (en théorie) une protection accrue. Quelle que soit la justification de l'utilisation de cellules de singe pour la production du vaccin, il n'en reste pas moins que les rétrovirus de singe contaminent néanmoins les vaccins. Le fait d'infecter involontairement des nourrissons en bonne santé avec ces virus les rend malades. Les rétrovirus utilisent la transcriptase inverse - une enzyme virale - pour insérer l'information génétique pathogène dans les cellules saines, tout en les transformant en usines qui fabriquent des virus. Et peu importe votre philosophie médicale, les virus de singe n'ont pas leur place dans un corps humain en bonne santé.

Dans ce contexte, on peut se pencher sur le rôle délétère qu'a pu avoir un autre virus de singe, le SV40.

Dans les campagnes de vaccination contre la polio. Ce virus cancérigène « caché » a, au cours des premières campagnes d'éradication, infecté des millions de personnes qui, sans méfiance, s'étaient fait vacciner contre la polio. Ce virus est non seulement cancérigène, mais il se transmet de génération en génération. Un des plus grands spécialistes des vaccins de Merck a avoué dans une interview que ces vaccins contaminés par le SV40 avaient causé des dommages à des millions de victimes sans méfiance, y compris en provoquant des cancers.

Ces vaccins ont causé des dommages incalculables aux générations qui ont été infectées, léguant ainsi un héritage de souffrances et de douleurs indicibles à des millions de descendants dont les parents, sans le vouloir, avaient succombé à l'une des expériences biologiques parmi les plus dangereuses de l'histoire humaine.

Regardez cette vidéo pour apprendre la terrible vérité sur les effets indésirables inattendus de la vaccination contre la polio.

Les rétrovirus sont tout aussi graves ; Le VIH par exemple est un rétrovirus dont la lignée phylogénétique provient également d'un virus de singe : le virus de l'immunodéficience simienne (SIV). Le vaccin Rotateq d'Offit devrait être retiré du marché, compte tenu qu'il contient des virus vivants qui sont capables d'infecter les corps de ceux à qui ils sont injectés. Pour plus d'information sur l'explosion de l'épidémie provoquée par des virus « cachés » dans les vaccins, je vous encourage à lire l'extraordinaire nouveau livre de Judy Mikovits : « La peste: une scientifique courageuse recherche la vérité sur les rétrovirus humains, le syndrome de fatigue chronique, l'autisme et autres maladies. » A lire absolument !

La signification de ces résultats ne peut en aucun cas être sous-estimée. Les infections naturelles à rotavirus constituent une espèce de rite de passage naturel pour le développement du système immunitaire. Dans les pays développés, où l'alimentation, l'hygiène sont à la hauteur, l'infection par des agents pathogènes de l'enfance peut normalement se produire sans morbidité ou mortalité - à moins que l'enfant ne soit immunodéprimé. En fait, le défi que représente le rotavirus permet de créer une immunité durable. Il fournit la justification du modèle vaccinal qui tente de copier vainement la situation naturelle et normale (développée sans doute au cours de millions d'années) pour vaincre l'infection.

Paul Offit, titulaire du brevet du vaccin Rotateq est moralement obligé de demander l'arrêt immédiat de l'utilisation de son vaccin chez les nourrissons et les enfants. Sauf s'il accepte d'être responsable des méfaits associés à l'injection de virus vivants de singe. Il doit absolument intervenir pour demander une révision de la sécurité de ces vaccins.

Ne pas le faire, le rendrait coupable de possibles dommages de santé chez des millions d'enfants alors qu'il profite personnellement de l'injection de ces rétrovirus.

Assez, c'est assez. Tous ces faits reposent sur des données probantes pour tous ceux qui recherchent la vérité. C'est ainsi que la crédibilité de l'ensemble du calendrier vaccinal est remise en cause.

Le Dr Offit n'est peut-être pas bien au courant des risques iatrogènes liés à ce produit pharmaceutique, mais les dernières études montrent clairement que les effets indésirables non intentionnels peuvent dépasser de loin les avantages supposés. Il est grand temps de se pencher sur les éventuels bénéfices des vaccins, étant donné que leurs risques sont clairement documentés.

Cet article original en anglais a été publié au lien suivant : http://www.thelibertybeacon.com/2014/10/02/millions-of-children-infected-with-vaccine-safety-experts-rotateq-vaccine-dr-paul-offit/

« On sait que 10 à 15 millions d'Américains pourraient être infectés par des « bombes à retardement » qui pourraient provoquer des maladies dévastatrices comme le cancer, le Syndrome de fatigue chronique, l'autisme, la sclérose en plaques. Cela concerne pratiquement chaque famille dans ce pays... » http://www.plaguethebook.com/

Dr.Judy Mikovits, biologiste moléculaire, auteur de « Plague ».

Voir l'interview du Dr J. Mikovits.

« La logique et la raison auraient-elles abandonné les épidémiologistes ? L'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d'infection. » [p.38] « Le mal qui a été fait est incalculable. » [p.93]

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