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Dans la série « surtout pas d'amalgames », voilà ce qui est arrivé à un Nîmois. Le Lundi 2 février vers 17h, monsieur X sortait de sa formation d'animateur sportif avec un ami. En voiture, ils passent devant une synagogue où se tenaient deux militaires. Monsieur X, assis du côté passager, parle avec son ami et fait des gestes tout en discutant. Trois jours plus tard, le Jeudi 5 février, c'est à 5h du matin que Monsieur X est réveillé en sursaut par la police. Sans ménagement, elle débarque chez lui et procède à une perquisition de son domicile avant de l'emmener pour une audition. Il a été accusé d'avoir porté atteinte à une personne dépositaire de l'autorité publique. La mise en cause ? Les gestes effectués en voiture trois jours plus tôt. Un militaire avait interprété ses gestes comme étant « menaçant » à son endroit.

Seulement, la police, en visionnant les caméras, n'a rien trouvé pour corroborer les affirmations du militaire. Monsieur X ne sera finalement pas poursuivi mais il vit mal cette situation qui a été provoquée par l'acharnement du parquet de Paris à vouloir le faire arrêter et juger. Aucunes excuses n'ont été faites à l'endroit de Monsieur X.

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