Les mitochondries sont les centrales énergétiques des cellules. Elles peuvent aussi être lésées par les effets des médicaments chimiques et des vaccins.
Mitochondrie
© Dr H. Jakubowski
« On comprend aujourd'hui que les troubles mitochondriaux jouent un rôle dans un large éventail de troubles divers tels que la schizophrénie, le diabète, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la stéatohépatite non alcoolique. On sait depuis peu de temps que les dommages mitochondriaux iatrogènes (causés par le médecin ou les traitements) peuvent expliquer de nombreux effets indésirables des médicaments. »

~ Dr John Neustadt, M.D. et Dr Steven Pieczenic, M.
La mitochondrie est considérée comme la « centrale énergétique » de la cellule, car c'est là que se déroulent les dernières étapes du cycle respiratoire qui convertit l'énergie des molécules organiques issues de la digestion (glucose) en énergie directement utilisable par la cellule (l'ATP) - Wikipedia.

Il y a plusieurs années, j'ai assisté à une conférence parrainée par la « United Mitochondrial Disease Foundation » (UMDF), une organisation qui semble être un groupe de défense des patients en même temps qu'un organisme de financement pour la recherche sur les mitochondries.

La conférence était entièrement centrée sur les rares formes congénitales/ héréditaires de maladies mitochondriales diagnostiquées dans l'enfance et qui représentent environ 10 à 15 pour cent des cas de maladies mitochondriales connues.

Les conférenciers n'ont rien dit des 85-90 pour cent des formes acquises de maladies mitochondriales qui pourraient sûrement être évitées si les connaissances ayant trait aux causes profondes nous étaient transmises à nous médecins, ainsi qu'aux patients.

Au cours des « Questions-réponses », un chercheur dans le domaine des mitochondries se leva pour parler d'un de ses collègues qui avait écrit un article universitaire dans lequel il identifiait 72 médicaments couramment prescrits et qui étaient des poisons mitochondriaux. Il a mentionné les exemples du Lipitor et du Zoloft de Pfizer. L'auteur n'a pas pu publier son document, et je n'ai trouvé aucune preuve qu'il ait pu être publié. L'expert de l'UMDF qui donnait la conférence n'a fait aucun commentaire, et la discussion a porté sur les formes héréditaires rares de la maladie.

Comme il m'arrive de suspecter que des « experts » puissent avoir des conflits professionnels ou financiers, ma curiosité a de suite été éveillée. Je me suis donc adressé au chercheur qui avait apparemment soulevé une question indésirable. Il m'a donné son adresse e-mail, mais mes différentes tentatives pour le contacter n'ont jamais pu aboutir. Ce n'est que plus tard que j'ai découvert que ce chercheur avait, à un moment donné, reçu des subventions de Pfizer pour ses recherches.

Depuis cette bizarre affaire, j'ai gardé un grand intérêt pour les troubles mitochondriaux. J'ai ensuite découvert de nombreux articles dans la littérature scientifique de base. Ces articles traitaient des troubles mitochondriaux induits par des médicaments et des vaccins. Il est à noter qu'aucun de ces articles n'a jamais pu paraître dans les revues médicales traditionnelles, du moins dans celles qui font de la publicité pour des compagnies pharmaceutiques.

Il est intéressant de noter que l'UMDF a une politique de confidentialité très pratique qui l'empêche de révéler qui sont ses donateurs, bien que cinq sociétés pharmaceutiques ou sociétés qui s'occupent de tests génétiques affichent leurs logos.(Reata,Transgenomic, Courtagen, Raptor et Stealth Bio Therapeutics). Il est aussi à signaler qu'aucune discussion sur les troubles mitochondriaux acquis ou iatrogènes ne figurent sur le site internet. Je n'ai trouvé qu'une seule information sur les troubles mitochondriaux non hérités. (http://www.Mitoaction.org) Il y est précisé que
« des médicaments et autres substances toxiques peuvent déclencher des troubles mitochondriaux. »
Aucune autre explication ou information complémentaires ne sont fournies. J'ai eu la puce à l'oreille, comme cela devrait aussi nous arriver à tous ! Le devoir de mettre en garde concerne une multitude de maladies iatrogènes communes qui peuvent être provoquées par des médicaments couramment prescrits et/ ou par des ingrédients de vaccins couramment injectés qui font que nombre d'entre nous sont drogués, dénutris, victimes d'un environnement toxique et aussi complètement vaccinés. Nous, les Américains (nourrissons, enfants, adolescents et adultes) sommes parmi les plus malades, les personnes les plus atteintes de maladies chroniques dans le monde développé.

Je vais inclure des extraits de trois exemples d'une multitude d'articles de revues médicales évaluées par les pairs qui ont essayé de nous dire à nous cliniciens, (ainsi qu'à nos patients les plus conscients) qu'il existe beaucoup de troubles évitables pour lesquels les pouvoirs en place veulent nous faire croire que ces problèmes sont soit de la faute du patient victime (« honte à lui »), ou qu'ils ont simplement été hérités de nos parents et que ce sont eux qui en sont responsables. (Ces maux ne seraient donc ni évitables ni curables).
Or, beaucoup de ces troubles (voir liste ci-dessous) sont effectivement causés par les médicaments couramment prescrits, par les vaccins et / ou autres produits chimiques toxiques qui empoisonnent les mitochondries de notre cerveau, de nos nerfs, de nos muscles et de nos organes. Nous sommes donc affectés par des maladies évitables d'origine iatrogène, ou causées par l'industrie. Ces deux réalités constituent en fait des sujets tabous de l'ère actuelle du contrôle des esprits par de puissantes multinationales motivées par le profit comme Big Pharma, Big Chemical, Big Medicine, Big Media, Big Food et Big Agribusiness. Ces groupes omniprésents préfèrent que nous restions ignorants, et chacun d'eux dépensent des sommes colossales pour s'en assurer.
La cupidité de ces industries qui veulent sans cesse agrandir leurs parts de marché, augmenter leurs profits, en maintenant de bas salaires, ne connait pas de limites. Et comme leurs produits handicapent le cerveau, leurs objectifs deviennent toujours de plus en plus faciles à atteindre.

Le premier extrait ci-dessous concerne les adjuvants aluminiques toxiques injectables qui sont ajoutés à pratiquement tous les vaccins infantiles ou pour adultes de plus de 70 ans. Il n'existe aucune dose sûre d'aluminium ou de mercure, ces produits n'ont d'ailleurs aucune valeur nutritive (en cas d'ingestion, l'aluminium est mal absorbé [0,5 pour cent d'absorption], mais lors d'une injection, il est absorbé à 100 pour cent dans la circulation sanguine. Le calendrier vaccinal obligatoire du CDC/AAP (American Academy of Pediatrics) permet qu'un total de près de 5 000 microgrammes d'aluminium toxique pour les mitochondries soit injecté dans le corps de chaque bébé américain au moment où il atteint ses 18 mois (exactement avant que de nombreuses maladies mitochondriales soi-disant « héritées » ne se manifestent) !

Le second extrait évoque à quel point le mercure est toxique pour les mitochondries qui se trouvent dans le cerveau, dans les nerfs et les cellules du corps. Au cours des 20 dernières années, il y a eu au moins une centaine d'articles de revues médicales révisées par les pairs qui ont constitué des avertissements pour les médecins quant à la neurotoxicité du mercure, le deuxième produit le plus toxique connu après le plutonium.
Le mercure, sous la forme de thimérosal de Eli Lilly & Company s'est retrouvé dans la plupart des vaccins destinés aux enfants et aux adultes depuis plusieurs générations, et a seulement été enlevé d'un certain nombre de vaccins (pas tous) quand l'AAP a demandé que les fabricants de vaccins retirent le mercure de tous les vaccins parce que de nombreux pédiatres inquiets avaient, à juste titre, été convaincus que l'épidémie galopante d'autisme était, au moins en partie, causée par les doses croissantes de vaccins : et ils avaient raison. Mais, l'aluminium neurotoxique souvent administré dans des vaccins multiples, s'est maintenu dans le calendrier vaccinal. C'est ainsi que l'épidémie des maladies chroniques auto-immunes a pu continuer chez les enfants pleinement vaccinés.
Néanmoins, les sociétés pharmaceutiques, le CDC et le PAA continuent de recommander les vaccins annuels (qui contiennent de l'aluminium et du mercure) contre la grippe pour des bébés immatures, dont le système immunitaire et le cerveau ne sont pas suffisamment développés et qui ont à peine 6 mois, ainsi que pour les femmes enceintes ! Est-ce que tout cela ne pourrait pas tourner mal ? On est en droit de se demander : quels sont les bienfaiteurs et quelles sont les victimes ?

Le troisième article se compose d'extraits de la littérature sur les dommages mitochondriaux, ainsi que sur le rôle des médicaments, des produits chimiques, des pesticides, des métaux, des ingrédients vaccinaux et autres poisons mitochondriaux qui font courir des risques à chaque cellule de notre corps et contribuent à augmenter le risque de dommages permanents. L'article est intitulé « Maladies et dommages mitochondriaux induits par les médicaments ». Il est alarmant de constater que je n'ai pu trouver aucun site de défense des patients par rapport au problème des mitochondries, ni non plus des articles qui traiteraient des maladies mitochondriales acquises ou iatrogènes. Allez comprendre ! [...]

A l'exception des érythrocytes matures (globules rouges) on trouve des mitochondries dans chaque cellule humaine.

Conditions acquises dans lesquelles de dysfonctionnement mitochondrial a été impliqué (à partir de 2007)
  • Diabète ;
  • Maladie de Huntington ;
  • Cancer, y compris l'hépatite C- hépatocancérogenèse associée au virus ;
  • Maladie d'Alzheimer ;
  • Maladie de Parkinson ;
  • Troubles bipolaires ;
  • Schizophrénie ;
  • Vieillissement et sénescence ;
  • Troubles de l'anxiété ;
  • Stéatohépatite non alcoolique ;
  • Maladies cardiovasculaires, y compris l'athérosclérose ;
  • La sarcopénie (atrophie musculaire principalement chez les personnes âgées) ;
  • Intolérance à l'exercice ;
  • Fatigue, y compris le syndrome de fatigue chronique, la fibromyalgie et les douleurs myofasciales.
Médicaments connus (documentés) pour induire des dommages mitochondriaux (en 2007)
  • Médicaments de l'alcoolisme, ex : antabuse ;
  • Médicaments contre la démence, l'Alzheimer, ex : Tacrine (Cognex), galantamine ;
  • Antalgiques (contre la douleur) et les médicaments anti-inflammatoires, ex : aspirine, acétaminophène (Tylenol), indométacine, naproxène ;
  • Anesthésiques, ex : lidocaïne, propofol (aussi les anesthésiques généraux comme l'alothane, isoflurane, le sévoflurane) ;
  • Médicaments contre l'angine de poitrine (angor), ex : amiodarone ;
  • Anti-arythmiques, ex : amiodarone (également les bêta-bloquants) ;
  • Les antibiotiques, ex : tetracycline ;
  • Antipsychotiques, ex : chlorpromazine, fluphénazine, halopéridol, rispéridone, quétiapine, clozapine, olanzapine ;
  • Médicaments contre l'anxiété, ex : chaque benzodiazépine), y compris l'alprazolam (Xanax), diazepam (Valium), citalopram (Celexa) ;
  • Antidépresseurs comme par ex.la fluoxétine (Prozac, Symbyax,Sarafem) ;
  • Barbituriques, ex : amobarbital, phénobarbital,pentobarbital, propofol, secobarbital ;
  • Médicaments hypocholestérolémiants, ex : toutes les statines ;
  • Atorvastatine, fluvastatine, lovastatine, pravastatine, rosuvastatine, (Crestor), simvastatine, cholestyramine, clofibrate (Atromid) ;
  • Médicaments contre le cancer (chimiothérapies), ex : mitomycine C, profiromycin, adriamycine ;
  • Médicaments contre le diabète, ex : metformine, glucophage, troglitazone, rosiglitazone,buformine ;
  • Médicaments contre le SIDA/VIH, ex : AZT, zidovudine ;
  • Médicaments contre l'épilepsie, ex : acide valproïque (Depakene, Depakote, divalproex sodium) ;
  • Médicaments stabilisateurs de l'humeur, ex : Lithium ;
  • Médicaments pour la maladie de parkinson ;
  • Ingrédients des vaccins, ex : mercure, aluminium, éthylène glycol [...].
Source : Psyrights.org

Les vitamines, les minéraux et autres métabolites agissent comme cofacteurs nécessaires à la synthèse et à la fonction des enzymes mitochondriaux... Une alimentation déficiente en micronutriments peut accélérer la décomposition mitochondriale et contribuer à la neurodégénérescence. Par exemple, les enzymes nécessaires à la synthèse de l'hémoglobine nécessitent des quantités suffisantes de pyridoxine, de fer, de cuivre, de zinc et de riboflavine... Par exemple, une faible teneur en fer diminue l'activité mitochondriale en provoquant une perte du complexe IV et l'augmentation du stress oxydatif.

Dommages mitochondriaux d'origine médicamenteuse

Le dysfonctionnement mitochondrial est de plus en plus impliqué dans l'étiologie de la toxicité induite par le médicament, mais les tests de toxicité mitochondriale ne sont toujours pas requis par la FDA pour l'approbation des médicaments. Les mitochondries peuvent être endommagées à la fois directement et indirectement par les médicaments.

Conclusions
Depuis que le premier dysfonctionnement mitochondrial a été décrit dans les années 1960, le rôle central que les mitochondries jouent dans la santé et la maladie a été largement documenté. On comprend maintenant que les dommages mitochondriaux jouent un rôle dans un large éventail de troubles n'ayant apparemment pas de rapport les uns avec les autres, comme la schizophrénie, le diabète, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la stéato — hépatite non alcoolique.
On sait depuis peu que les dommages mitochondriaux iatrogènes peuvent expliquer de nombreux effets indésirables des médicaments. Les tests de toxicité mitochondriale dans le cadre du processus d'approbation des médicaments pourraient aider à protéger le public en identifiant les médicaments les plus toxiques avant l'autorisation de mise sur le marché. En comprenant les mécanismes sous-jacents des dommages mitochondriaux induits par les médicaments, il pourrait être possible d'élaborer des stratégies nutritionnelles pour diminuer les effets potentiellement toxiques des médicaments.

Alors que des traitements alimentaires ciblés utilisent des antioxydants pour améliorer la fonction mitochondriale, (comme par exemple, la N-acétylcystéine [CNA] qui est prometteuse pour améliorer la fonction mitochondriale), on est bien obligé de constater qu'il existe encore de vastes lacunes dans nos connaissances. L'approche la plus rationnelle serait de comprendre les mécanismes sous-jacents des dommages mitochondriaux pour des médicaments spécifiques, et de tenter de contrecarrer leurs effets délétères au moyen de thérapies nutritionnelles. Alors que, dans ce domaine, les essais contrôlés randomisés font gravement défaut, il faut espérer que ces essais soient finalement réalisés dans les prochaines années pour permettre aux cliniciens d'avoir une meilleure compréhension de la meilleure manière possible de protéger et traiter leurs patients.

Source de l'article publié initialement en anglais le 5 mai 2015 : The PPJ Gazette
Traduction en français : Initiative Citoyenne