Quelqu'un n'a-t-il pas dit dans la section commentaires que c'était un devoir des adultes de protéger les enfants ? Ce n'est pas le cas à Koriyama, située dans le ''Nakadori'' (tiers du milieu) fortement irradié de la préfecture de Fukushima et où 500.000 becquerels/kg de césium radioactif a été trouvé dans le foin de riz.

La ville va commencer à utiliser le riz de cette année dans les cantines scolaires lundi prochain. Comme le nouveau riz récolté à Fukushima sert totalement au commerce car le test d'échantillon a prouvé qu'il était ''sain'', ce n'est qu'une question de temps avant de nourrir les plus vulnérables et sans voix au chapitre - les enfants.

La pression est bien sûr mise pour utiliser le riz récolté à Fukushima, que même certains cultivateurs ne voudraient pas pour nourrir leur famille.
Pour les consommateurs en dehors de la préfecture de Fukushima, ils n'ont aucun moyen de dire si un sac du nouveau riz contient du riz de Fukushima, si c'est un sac de riz en mélange. Il n'y a aucune réglementation pour indiquer les lieux de provenance si les riz provenant de différents endroits sont mélangés. Toutes les marques diront que c'est ''made in Japan''.

Les magasins de proximité à ''bento'' et ''onigri'' vont probablement présenter du riz de Fukushima. Certains magasins mettent en évidence qu'ils utilisent du riz de Fukushima.

Alors que les consommateurs peuvent toujours éviter, s'ils le veulent, le riz de Fukushima en évitant les riz mélangés et éviter d'acheter du bento dans les magasins de proximité, les enfants des écoles ne le peuvent pas.

Une nation est parfaitement décadente quand ses dirigeants ne pensent qu'à utiliser les enfants comme objets de propagande, et condamnent ces citoyens qui osent élever la voix. Ce n'est pas qu'à la préfecture de Fukushima non plus.

Pas de fin en vue pour l'horreur nucléaire japonaise.

Source : EX-SKF