Image
Ça ne s'arrange pas en Amérique

Une histoire navrante et révoltante qui pose la question d'un pays qui devient l'antichambre du fascisme.

Un laitier californien de 65 ans a été soumis à une extrême torture, à l'hypothermie, et aux eaux d'égouts dans une prison du Comté de Los Angeles

Son « crime » consiste uniquement dans la distribution de lait crû aux clients qui font la queue pour avoir accès à cet aliment nourrissant (les gens l'adorent !)

Un reportage exclusif de Natural News.

Par Mike Adams, NaturalNews

Natural News peut maintenant rapporter qu'un citoyen de 65 ans, James Stewart, producteur de lait, sans antécédent judiciaire, a été presque torturé à mort la semaine passée dans une prison du comté de Los Angeles.

Il a survécu à une semaine de torture infernale entre les mains des gardiens de prison du comté de Los Angeles qui l'ont soumis à la privation de nourriture, de sommeil, à l'hypothermie, à l'arrêt de la circulation sanguine aux extrémités, à l'intimidation verbale, à des essais médicaux forcés et l'exposant même à plus de 30 heures dans la crasse de produits d'égouts contenant de dangereux microbes.

Ceci dans un comté qui a ciblé et terrorisé James Stewart pour le crime supposé de vendre du lait frais contenant "de dangereux microbes". C'est exact, le seul ''crime'' que James ait jamais commis est d'être laitier et de distribuer du lait qui est ouvertement et honnêtement frais et crû au lieu d'être pasteurisé.

Alors pour le punir d'être l'avocat du lait crû de vache, il a été torturé dans des immondices humains à la prison du comté de LA.

Cette histoire véridique de déshumanisation et de torture spectaculaires effectuées en violation totale des lois de l'état aussi bien que de la convention de Genève pour les prisonniers de guerre---est racontée dans un entretien audio exclusif enregistré aujourd'hui entre Mike Adams et James Stewart.

''J'ai cru que j'allais mourir là dedans...''

Dans cette interview exclusive, vous pouvez entendre James Stewart décrire, avec ses propres mots, les détails choquants d'un abus d'emprisonnement ici en Amérique. Parmi les points importants de son entretien avec Mike ADAMS :
-Comment James a été soumis à une privation alimentaire sévère.

-Comment il a été interrogé par des adjoints et accusé d'être un "souverain" puis affublé d'un brassard rouge (dans le style Nazi) pour indiquer à tort qu'il était un danger pour la population.

-Comment James a été attaché avec de longues chaînes entourant plusieurs fois sa taille, les mains menottées derrière son dos reliées à la chaîne autour de sa taille afin de restreindre ses mouvements. Ses menottes étaient si serrées qu'il a cru que ses poignets allaient se briser.
James est resté ensuite menotté sur un banc froid pendant 4 à 5 heures. James a été forcé de subir des tests médicaux variés, dont des radios des poumons même pendant qu'il était menotté. Il a ensuite été placé dans une cellule non chauffée avec seulement un t-shirt et un caleçon, où il a rapidement commence à souffrir d'hypothermie et s'est retrouvé à frissonner violemment pour rester en vie.

-Comment on l'a fait souffrir en le privant totalement de sommeil pendant toute la nuit alors que les autres prisonniers hurlaient et tapaient sur les murs.
Sa cellule a ensuite été inondée d'un flot d'eaux d'égout, qui ont coulé dans sa cellule jusqu'à une hauteur de 5-7 cm en recouvrant ses chaussures et sa chemise. Les gardes de la prison du comté de Californie ont ensuite ordonné à James de nettoyer lui-même tous les immondices de sa cellule à l'aide d'une petite éponge (ce qu'il a fait à contrecœur).
Il a ensuite été forcé de rester dans la cellule putride pendant plus de 30 heures, luttant contre la nausée.

Pendant tout ce temps, les gardes la prison de LA se félicitaient de leur façon de traiter les prisonniers en rigolant et en blaguant sur le pouvoir leur permettant de soumettre les prisonniers à de tels abus. Ce comportement copie ouvertement celui des gardiens de Guantanamo qui ont pris des photos en se vantant des tortures et meurtres de prisonniers.

Pendant tout ce processus, James n'a pas été autorisé à un seul appel téléphonique ni à aucune visite d'avocat. Son droit de parler à un avocat lui a été refusé de manière répétitive.

James n'a été informé à aucun moment des chefs d'inculpation. On ne lui a jamais présenté de mandat d'arrêt ni expliqué les charges retenues contre lui.

On a ''perdu'' mystérieusement James dans le système et les officiels du comté de LA ont prétendu ne pas savoir où il était. Ceci était apparemment une tentative délibérée pour l'assujettir à une longue torture sans représentation légale et en s'assurant que personne ne pourrait le localiser pour s'assurer de sa santé et de sa condition d'arrestation.

''Pire que la torture...C'est une vraie torture mentale et physique pour vous briser...''

Ce sont les propres mots de James Stewart que vous allez entendre dans l'interview.

J'ai cru que j'allais mourir là-dedans.
''J'ai écrit 'torture' sur un morceau de papier toilette pour essayer de dire à tout le monde ce que j'ai traversé, parce que j'avais peur qu'ils veulent me faire craquer pour me mettre dans un service de psychiatrie.''

''Ce que j'ai expérimenté à LA a été la brutalité.''

''C'est un sacré traumatisme. Et ils font en sorte que vous ne sachiez pas d'où viendra le prochain coup. Jusqu'où va-t-on aller dans ce pays ? Je ne dors pas bien la nuit en ce moment, et je pense que ce serait le cas de quiconque aurait enduré ce que j'ai enduré.''

''Je suis choqué, est-on en Amérique ? Parce qu'on a l'impression de se trouver dans un pays du Tiers Monde, dans un goulag, comme dans le film Midnight Express, où on n'arrête pas d'être torturé. Voilà ce que j'ai vécu. L'esprit s'évade, comment l'imaginer? Est-on bien en Amérique?''

Natural News en appelle à Amnesty International et à l'union américaine pour les libertés civiles

Ce dont nous sommes témoins ici est une grossière violation des droits civils et humains, sans parler du procédé de base. Le traitement qui a été infligé à James n'était pas seulement contre la loi de Californie, c'est aussi une violation de la loi fédérale et une violation de la Convention de Genève qui interdit la torture des prisonniers de guerre.

"Ce qui est arrivé à Stewart est horrible," a dit l'avocat pour la liberté de santé Jonathan Emord à Natural News. Il est l'auteur du nouveau livre « Restaurez la République » qui présente un plan pour renverser la tyrannie et restaurer un gouvernement qui travaille pour le compte des personnes au lieu de déclarer que le peuple est un ennemi.

La caution fixée pour James (1 million de dollars) et la torture à laquelle il a été soumis indique clairement que James est un prisonnier politique de l'état de Californie, lequel état aurait décidé de dépenser les millions de dollars du contribuable pour cibler et incarcérer un agriculteur de 65 ans (En comparaison, la caution pour un violeur d'enfant n'a été que de 100.000 dollars !)

Natural News en appelle à Amnesty International et à l'Union des Libertés Civiles Américaines pour intervenir dans cette extraordinaire violation des droits humains de base. Pour les archives, James Stewart n'a aucun antécédent criminel et c'est un agriculteur en permaculture et un défenseur des produits frais. Son « crime » consiste uniquement dans la distribution de lait crû aux clients qui font la queue pour avoir accès à cet aliment nourrissant (les gens l'adorent !)

Natural News n'a aucun lien financier avec James Stewart ni avec "Aliments crus" et a été la source principale d'information de presse libre à couvrir cette histoire. Les médias du courant dominant refusent pour l'instant d'en parler, probablement par loyauté financière envers l'industrie laitière conventionnelle (pasteurisée ou traitée) qui pourrait perdre des dizaines de millions de dollars si le lait crû était autorisé à la vente légalement et ouvertement.