Image
Jeane Manning et le Dr Nick Begich, auteurs d'un livre très intéressant et instructif (Les anges ne jouent pas de cette Haarp), affirment qu'une simple stimulation externe, déclenchée à l'aide de signaux électromagnétiques émis par un générateur, suffit à entrainer le cerveau ou à le bloquer.

Une stimulation extérieure peut déplacer la bande de fréquences sur laquelle fonctionnent normalement les ondes cérébrales. En d'autres termes, un programmateur de signaux externes ou générateur d'impulsions peut imposer son propre rythme au cerveau d'une personne : les fréquences habituelles sont alors modifiées artificiellement et les ondes cérébrales s'adaptent a la nouvelle bande de fréquences. La chimie cérébrale subit a son tour des changements, ce qui modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la condition physique du sujet s'en trouvent altérées.

Le comportement humain est fonction de sa programmation. La manipulation mentale peut être soit bénéfique, soit maléfique pour l'individu qui en est l'objet.

Les différentes fréquences, en combinaison avec des formes d'ondes déterminées, déclenchent des réactions chimiques très particulières dans le cerveau. La libération de ces substances neurochimiques entraîne des réactions spécifiques, qui se traduisent par des sentiments de peur, de désir, de dépression, d'amour, etc. L'éventail complet des réactions émotionnelles et intellectuelles est le résultat de combinaisons très spécifiques de substances neurochimiques lors d'impulsions électriques sur des fréquences appropriées.

Grâce à ses travaux de stimulation électrique du cerveau, le Dr Robert G. Heath porta cette conclusion que l'ESB (Electric Stimulation of the Brain) peut provoquer des hallucinations, tout comme des sentiments de peur ou de plaisir.

Nous pouvons dire que chaque émotion (colère, peur, joie, plaisir) correspond à une fréquence bien déterminée.

Le capitaine Paul Tyler a été directeur du ≪ Projet pour la Recherche en Rayonnement Electromagnétique ≫ de la marine américaine, entre 1970 et 1977. D'après lui, ≪ en utilisant des champs électriques adaptés, vous pouvez, par exemple, produire les mêmes effets que des drogues psychopharmacologiques ≫, et tout cela à distance sans contact physique.

Des mélanges précis de ces sécrétions cérébrales peuvent induire des états mentaux très particuliers, comme la peur du noir, ou une concentration intense.

Les travaux dans ce domaine avancent à une vitesse fulgurante, et les découvertes se succèdent. Plus nous en saurons sur ces fréquences cérébrales spécifiques, plus nous avancerons dans notre compréhension de l'organisme humain et de son bon fonctionnement.

Des radiations peuvent être générées sur des fréquences hertziennes extrêmement basses (ELF), et se comporter comme des conducteurs sans fils pour télécommander les ondes cérébrales. C'est ce à quoi le Projet HAARP pourrait aboutir dans certaines de ses applications ; utiliser l'ionosphère comme une antenne pour pouvoir réaliser des manipulations mentales à des fins égoïstes.

Les auteurs de ce livre précisent que les effets secondaires de ce procédé sur l'homme ne sont pas mentionnés dans les documents HAARP, mais ils sont répertoriés dans ceux du gouvernement, qu'ils ont examinés avant d'écrire leur livre.

Jeane Manning et le Dr Nick Begich affirment sur la base de données sérieuses que le projet HAARP, cache des applications occultes. La conclusion de leur enquête a été corroborée par d'autres scientifiques comme le Professeur Zielinski, physicien allemand spécialise en électrodynamique quantique et le Dr Richard Williams, chimiste américain.

Le but du projet HAARP est officiellement d'étudier, de stimuler et de diriger des processus ionosphériques susceptibles d'altérer l'efficacité des systèmes de communications et de surveillance. De générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles nucléaires ou conventionnelles et de les traiter de façon adéquate.

HAARP déploiera l'installation la plus polyvalente et la plus performante du monde concernant les recherches sur l'ionosphère. Cependant, elle doit absolument être érigée sur le territoire américain, en terrain militaire, entre 61 et 65° de latitude nord ou sud. Avec l'aboutissement de ce projet, les américains espèrent rendre leur système de communications quasi inviolable. Aucune répercussion sur le climat ou la couche d'ozone ?

C'est juré, parole de militaires ! Voila pour la version officielle !

Un document de l'armée américaine, cité par les mêmes auteurs insiste sur la nécessite de porter une attention soutenue à l'affaiblissement des performances humaines, lors de développement de moyens thermiques et électromagnétiques capables d'explorer les possibilités, de diriger et d'interroger le fonctionnement mental, par l'utilisation de champs externes. Ceci pourrait ouvrir une voie révolutionnaire pour se défendre contre les attaques ennemies et obtenir des renseignements avant le déclenchement des hostilités...

Il semble donc que l'objectif secret du projet HAARP soit la manipulation mentale à distance, et la possibilité pour l'armée de savoir ce que pensent les gens et d'altérer leurs processus de pensée !

Ce nouveau système aurait donc la capacité de forcer les cerveaux humains à ≪ disjoncter ≫, de couper le réseau de communications de n'importe quelle grande ville du monde, de manipuler et de modifier le climat à l'échelle planétaire, et de porter en plus atteinte à la santé (essentiellement au système nerveux) et aux écosystèmes.