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J'ai laissé sur mon blog plusieurs billets à propos de la théorie de l'effet de serre dont le gaz carbonique (CO2) serait responsable avec dans une moindre mesure le méthane (voir les liens en fin de billet) et l'un des derniers en date citait un document émanant d'un groupe d'ingénieurs et de physiciens allemands qui, preuves spectroscopiques à l'appui, démontraient que le gaz carbonique ne pouvait en aucun cas constituer un facteur de réchauffement de la planète mais au contraire participer à son refroidissement, c'est-à-dire contribuer à l'équilibre thermique qui a toujours existé entre le Soleil, la Terre et l'Espace.

Rappelons en quelques mots des faits qui sont incontestables. La Terre se comporte comme un corps noir (voir note en fin de billet) à la température de moins 18 degrés C (255 °K). La Terre est entourée d'un atmosphère ténu qui joue un rôle appréciable et bien documenté dans les échanges thermiques au mieux jusqu'à une altitude de 20 kilomètres entre la zone intertropicale et les pôles. Comme tout objet l'atmosphère est soumis au champ de gravitation de la Terre et de ce fait la densité de l'atmosphère diminue avec l'altitude. La compression adiabatique résultant de la gravité induit un gradient de températures qui va diminuant d'environ 1 degré pour chaque 100 mètres à partir du sol. Dans n'importe quel endroit de la planète il est facile d'appréhender ce phénomène de refroidissement en fonction de l'altitude où que l'on se trouve y compris au niveau de l'Equateur. Il s'agit d'un fait indiscutable.

Mais revenons sur la théorie de l'effet de serre telle qu'elle a été formulée par l'IPCC. En bref, selon cet organisme qui ne compte pas que des scientifiques, loin de là, les couches supérieures de l'atmosphère sont censées renvoyer des rayonnements infra-rouges vers la surface de la Terre car, qui dit « effet de serre » sous-entend en effet que le rayonnement provenant du Soleil soit d'une certaine manière piégé par l'atmosphère et que les hautes couches de cette dernière renvoient l'énergie électromagnétique d'origine solaire sous forme de rayonnement infra-rouge vers les plus basses couches de la même atmosphère. On peut adhérer les yeux fermés à cette théorie si on imagine que la Terre se trouve dans une bulle accumulant l'énergie provenant du Soleil et qu'il existe un écran empêchant à cette énergie de se dissiper vers l'Espace. Selon les experts de l'IPCC cette « bulle » constituant une sorte de serre serait principalement constituée de gaz carbonique et accessoirement de méthane.

Or cette affirmation est contraire aux principes fondamentaux de la thermodynamique : un corps froid ne peut pas réchauffer un corps plus chaud. Et c'est en confondant radiations et flux de chaleur que les pseudo-scientifiques de l'IPCC ont mystifié l'ensemble de la planète avec leurs déclarations tonitruantes et infondées sur le réchauffement climatique. Une simple illustration de cette supercherie, ou ce canular grossier comme vous voudrez, va le montrer.

Mettez vous en grande partie dévêtu devant un miroir, j'insiste, faites l'expérience il n'y a rien de choquant. Votre corps émet des rayonnements infra-rouges à une certaine longueur d'onde, donc avec une certaine énergie qu'on peut aisément mesurer avec un détecteur d'infra-rouges disponible dans le commerce moyennant une cinquantaine d'euros. Le miroir est supposé refléter ce rayonnement, ce qui est effectivement la réalité. Cependant le miroir se trouve à la température de la pièce, disons 20 degrés, alors que la température externe de votre corps est, disons, de 34 degrés. Vous me suivez ? Le miroir absorbe une partie de l'énergie des rayonnements infra-rouges émis par votre corps et va renvoyer vers ce dernier un rayonnement infra-rouge dont la longueur d'onde a été déplacée par cette simple réflexion vers des longueurs d'onde plus longues, donc moins énergétiques. Vous ne sentirez jamais votre nombril se réchauffer par les radiations infra-rouges émises par votre propre corps et réfléchies par le miroir ! En effet, les équations de Planck relatives aux propriétés du corps noir et des flux d'énergie interdisent l'occurrence d'un tel phénomène. En d'autres termes, le miroir, plus froid que votre corps, ne peut pas réfléchir des rayonnements infra-rouges susceptibles de vous réchauffer puisqu'il est plus froid que votre corps et que ces rayonnements infra-rouges réémis sont moins énergétiques que ceux émis par votre propre corps.

Il en est de même sur toute la hauteur de la colonne atmosphérique. Les hautes couches de l'atmosphère ne peuvent en aucun cas « réchauffer » les couches inférieures de ce même atmosphère car l'énergie du rayonnement infra-rouge réémis en direction du sol est toujours inférieure à celle émise par les plus basses couches de l'atmosphère et seul le rayonnement émis en direction de l'Espace peut éventuellement réchauffer les plus hautes couches de l'atmosphère plus froides jusqu'à se perdre finalement dans l'Espace. Ce phénomène, décrit précisément par les lois de Planck et de Stefan-Boltzmann, explique à lui seul que la Terre se trouve en équilibre thermique avec le Soleil et l'Espace depuis des milliards d'années et se comporte thermodynamiquement comme un corps noir à la température de - 18 °C.

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Considérons les courbes de Planck pour deux corps l'un à 22°C (T2), disons la température moyenne au niveau du sol en été à Aix-en-Provence, ce n'est qu'un exemple, et le corps noir que constitue la Terre à -18°C, T1. Si on soustrait la courbe T1 de la courbe T2, la différence de flux se trouve déplacée vers des longueurs d'onde plus courtes. C'est le résultat graphique de l'affirmation directement déduite des équations de Planck et de Stefan-Boltzmann qu'un corps froid ne peut transmettre de chaleur vers un corps plus chaud car dans le cas inverse, la courbe Q = T2 - T1 devrait avoir un maximum déplacé vers les longueurs d'onde plus grandes, or les climatologues « experts » de l'IPCC affirment sans aucun scrupule le contraire !

La théorie de l'effet de serre a biaisé les équations de Planck et c'est là que réside le canular du réchauffement climatique, le forcing rétro-radiatif provenant de l'atmosphère, qui est fondé sur une manipulation grossière des équations de Planck confondant flux d'énergie radiative et flux de chaleur. C'est à croire que ces climatologues n'ont jamais ouvert un livre de physique...

Ce qui est très grave dans cette histoire est que tout le monde y croit fermement et que des décisions politiques inconsidérées et coûteuses sont prises pour « combattre le réchauffement climatique » alors que ce dernier n'aura jamais lieu, en tous les cas certainement pas en raison de cette théorie insensée d'effet de serre ni avec l'intensité prévue par l'IPCC avec à l'appui de ses affirmations des modélisations qui ne reposent sur aucune base scientifique valable mais sont au contraire en violation évidente des lois les plus fondamentales de la physique ... S'il devait y avoir un réchauffement sur Terre ce serait avant toute autre cause dû à une modification de l'activité solaire et inversement un ralentissement de cette activité solaire conduirait à une refroidissement.
C'est d'ailleurs ce dernier scénario qui est prédit très sérieusement par les spécialistes du Soleil ! Plutôt que de se préoccuper d'un réchauffement climatique hypothétique lié aux activités humaines émettant du CO2, il serait bien plus opportun de se soucier immédiatement du refroidissement global à venir, selon les études incontestables des spécialistes du Soleil, refroidissement qui sera infiniment plus préjudiciable à l'ensemble de l'humanité !

On peut imaginer sans peine le scénario catastrophique d'un refroidissement climatique. D'abord il y aura progressivement une raréfaction des denrées alimentaires sur lesquelles repose notre alimentation, en premier lieu les céréales, remettant profondément en cause l'ensemble de la production de nourriture à l'échelle mondiale. Inévitablement des conflits surgiront pour de la nourriture, pour la simple survie et non plus pour de vulgaires histoires de religion ou de pétrole, ces dernières causes de conflits seront devenues tout simplement triviales, et cette seule évocation d'une disette planétaire est terrifiante. Ce sera la première et la plus significative conséquence du refroidissement climatique prévu par l'affaiblissement spectaculaire de l'activité solaire au cours des prochaines dizaines d'années dont la prédiction ne peut pas être contestée ...