Partie 13a

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Kevin Barrett : un moment de dissociation

Le Dr Kevin Barrett, expert de l'Islam et de littérature, et co-fondateur de l'Alliance islamo-judéo-chrétienne pour la Vérité sur le 9/11, postule que ce processus s'applique directement aux attentats du 11 Septembre 2001 - un événement dont il croit qu'il était conçu pour infantiliser le public à travers un choc psychologique ou la paralysie. « Nous avons connu un moment de dissociation », dit-il, « c'est pourquoi nous pouvons encore nous rappeler où nous étions et ce que nous faisions quand nous avons appris les attaques... Nous avons désespérément eu besoin d'une figure parentale pour nous dire comment donner un sens à la folie. » [16]

Le cycle de la violence
Lorsque nous ne parvenons pas à lutter contre l'oppression et la maltraitance, que ça soit de façon individuelle ou en société, de manière claire ou subtile, nous supprimons le fait dérangeant que notre confiance a été abusée et trahie. Nous nous sentons malheureux parce que, en substance, nous compromettons notre vrai moi en niant ce que nous savons être vrai et ce que nous savons être juste. Lorsque nous ne récupérons pas le pouvoir qui est le nôtre de résister à l'oppression et à la maltraitance, nous devenons déprimés et honteux, des émotions auxquelles nous cherchons à échapper en regardant trop la télévision abrutissante, en nous suralimentant, ou en abusant de substances - ces excès nous conduisant à la dépression profonde et à la honte.
Après avoir étudié les éléments de preuve qui réfutent la version officielle du 9/11, un de mes amis m'a déclaré : « Ma solution à cette question du 11 Septembre est de fabriquer davantage de médicaments. » Malheureusement, il ne plaisantait pas.

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Ceux qui sont enclins à abuser des autres choisissent généralement des personnes qui leur apparaissent faibles. Comme la victime succombe à la maltraitance, la dynamique s'intensifie, avec davantage de maltraitance envers la victime, qui s'enfonce alors plus profondément dans la passivité et la honte. La maltraitance violente arrive généralement à ce stade.

Après cet accès de violence, l'agresseur repenti peut, dans une phase qui est appelée « lune de miel », présenter ses excuses et faire des cadeaux à la victime. La victime sent alors un espoir, croyant à tort que l'agresseur a véritablement changé. Mais la tension monte à nouveau, conduisant à une autre série de maltraitances.

Les traumatismes de la petite enfance à l'origine des réactions

Pourquoi certaines personnes sont victimes de ce cycle vicieux de la violence, tandis que d'autres, à la simple insinuation ou au moindre soupçon de maltraitance, font face d'eux-mêmes de façon décisive afin de défier les potentiels agresseurs ?

La façon de réagir à la maltraitance par la passivité et la honte commence très probablement avec les premiers traitements que nous avons reçus de nos parents ou d'autres figures d'autorité - ou cette façon de faire pourrait même avoir commencé depuis notre conception jusqu'à notre expérience de la naissance. Par exemple, en commençant par la conception, est ce que nos parents nous désiraient ? [17] Notre naissance était-elle violente ou non ? [18] Lorsque nous étions nourrissons et jeunes enfants, est-ce que nos parents nous regardaient avec dégoût ou adoration ? Ou étaient-ils si distraits qu'ils nous regardaient à peine ? Est-ce qu'ils s'occupaient de nous et nous touchaient avec amour ? Leur contact était-il envahissant ou punitif ? [19] Ou est-ce qu'ils avaient des contacts physiques avec nous uniquement quand cela était nécessaire ? Ont-ils répondu à nos besoins naturels en temps réel ? Est-ce que l'expression de nos émotions a été reçue avec colère, avec des messages réducteurs et honteux, ou avec amour, reconnaissance, consentement et soutien, au sein d'une structure appropriée ? Étions-nous attachés à nos parents par amour et en toute sécurité ? [20] Est-ce que les enseignants, les prêtres, les pasteurs, les oncles, les tantes, les frères, les sœurs et les cousins ​​plus âgés, ou les autres figures d'autorité, ont commis sur nous des maltraitances physiques ou psychologiques ?

Les réponses à ces questions déterminent généralement notre niveau d'estime et de confiance envers nous-mêmes, ainsi que le caractère introverti ou extraverti que nous avons à l'âge adulte. Ces réponses peuvent également fortement laisser entrevoir si nous deviendrons violents ou pacifiques en tant qu'adultes, et sur un plan collectif, si nous vivrons dans - et contribuerons à - une société violente ou pacifique. [21]

La passivité face à la maltraitance (vécue par la victime) et la violence face à la passivité (commise par l'agresseur - et cela inclut les auteurs du 9/11 ) sont tous les deux des comportements qui découlent de maltraitance subie dans l'enfance. Si nous voulons vraiment une société non-violente, une condition préalable sera par conséquent une grande amélioration dans la façon dont nous traitons nos enfants, de la conception à la naissance, et de l'éducation des enfants à un enseignement compatissant et éclairé. [22]

La psychologie de l'émancipation

Selon Bruce Levine, plutôt que de reconnaître le syndrome de maltraitance et d'aider les patients à guérir et à se sortir de ces relations néfastes, les professionnels de la psychologie s'orientent de plus en plus dans le sens de la pathologisation et de la médication de ceux qui contestent les autorités, de la même façon que ceux qui se sentent opprimés et, par conséquent, déprimés. En d'autres termes, certains praticiens de cette profession ajoutent l'insulte à la blessure.

Aujourd'hui, aux États-Unis, un nombre croissant de personnes qui n'obtempèrent pas à l'autorité sont diagnostiquées comme malades mentaux et sont traitées à l'aide de médicaments psychiatriques, ce qui rend leur ennui, leur ressentiment et leurs émotions négatives moins douloureux, les rendant ainsi davantage conformes et gérables. [23]

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En outre, écrit Levine :
Vers le milieu des années 1980, la psychiatrie a commencé à devenir annexée par des entreprises pharmaceutiques, pour former ce que nous appelons désormais un « complexe industriel psychiatrico- pharmaceutique. » De plus en plus marginalisée était l'idée que le traitement consistant à manipuler et à gaver de médicaments des personnes aliénées, dans le but de s'adapter à cette fuite en avant et ainsi maintenir le statu quo, était un acte politique, alors qu'il s'agissait d'une problématique intéressant les gens qui s'inquiétaient pour la démocratie. [24]
Par exemple, concernant ma propre expérience, un jeune étudiant en psychologie m'a appelé du Danemark juste pour « parler ». Sa psychologue de l'université avait décidé qu'il était paranoïaque puisque, après beaucoup de recherches, il avait jugé que le 9/11 était une opération sous faux pavillon. Il avait trouvé mon nom grâce au film « 9/11 : les preuves explosives - les experts se prononcent », et était tellement encouragé et soulagé par le chapitre « A la recherche de l'entendement » qu'il a décidé de prendre ce DVD pour sa psychologue afin de lui démontrer qu'il n'était pas dérangé mentalement. Quel défi pour ce jeune homme sur lequel cette psychologue avait si promptement collé une étiquette et un diagnostic, plutôt que de faire elle-même des recherches objectives sur cette question !

Levine suggère que la profession de psychologue doit aller dans le sens de la « psychologie de l'émancipation », un concept popularisé par Ignacio Martin-Baró, un psychologue social et prêtre du Salvador qui a mis en évidence une « psychologie de l'oppression », dans laquelle les opprimés d'une société donnée croient avec fatalisme qu'ils sont impuissants à modifier leurs conditions de vie. Par conséquent, ils deviennent résignés et apathiques face à leur situation. Malheureusement, Martin-Baró a été assassiné en 1989 - par un escadron de la mort Salvadorien formé par les américains - juste pour avoir parlé au nom des opprimés. [25]

Plutôt que de rechercher des pathologies et de soigner les « anti-autoritaires [qui] s'interrogent sur ​​la légitimité d'une autorité avant de la prendre au sérieux », les professionnels de la psychologie devraient soutenir les patients avec un « plan moral » qui les encourage à faire leur propre critique, et à devenir actifs et créatifs dans leurs propres voies personnelles. [26] Les psychothérapeutes doivent également être capables d'offrir des possibilités de guérison des traumatismes antérieurs d'omission et de commission afin de mettre un terme aux vieux schémas comportementaux. [27]

L'éléphant du 11 Septembre dans notre salon

En tant que militants, ou simplement citoyens intéressés, nous ne devons pas succomber à la croyance pessimiste que « nous ne saurons jamais la vérité sur le 9/11, donc allons de l'avant du mieux que nous pouvons et oublions ce terrible sujet. » Avec une question aussi taboue et dérangeante que le 9/11, il est tentant de vouloir éviter tout le problème - éviter de reconnaître l'éléphant du 9/11 dans notre salon national - et de s'atteler à d'autres préoccupations pour lesquelles nous pensons qu'il y a une meilleure chance de succès.

Même si on pouvait faire valoir qu'une enquête complète, juste et objective avec un pouvoir d'assignation aux États-Unis est peu probable dans un proche avenir, je propose que nous nous projetions plus loin avec cette question difficile qui nous implique, nous, militants du 11 Septembre.

Tout d'abord, un peu d'histoire est nécessaire, afin que nous puissions comprendre où se trouve notre mouvement. À ce jour, les médias corporatistes ont ostensiblement ignoré les éléments de preuve qui réfutent la version officielle du 9/11. Il y a, cependant, quelques exceptions notables : David Ray Griffin, un écrivain politique et professeur émérite de philosophie, de religion et de théologie, est apparu sur C-SPAN en 2005 et 2006 [28] Et le 1er Août 2014, C-SPAN a finalement interviewé Richard Gage du mouvement Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 9/11, dans le Washington Journal. [29] Pour la plupart, cependant, les regards que les médias traditionnels compromis ont lancé aux sceptiques du 11 Septembre sont méprisants et diffamatoires [ voir ici , ici et ici [30] ]

De même, à ce jour, à de rares exceptions, les membres du Congrès traitent la controverse sur le 9/11 comme une patate chaude, craignant apparemment davantage de perdre leur boulot que de s'intéresser à l'intégrité de notre pays. Les émissions du Washington Journal cité ci-dessus sont remplies de législateurs fédéraux [ ici , ici et ici ] qui esquivent les questions des citoyens concernant le bâtiment 7 comme si ces interrogateurs étaient porteurs d'une maladie infectieuse dangereuse. [31]

Malgré ces handicaps graves, le Mouvement pour la Vérité sur le 9/11 a pourtant étonnamment réussi en :

(1) accumulant des montagnes de preuves qui pourraient apporter un éclairage pour une possible enquête nationale ou internationale future, et (2), en faisant prendre conscience au monde des réalités du 9/11, aussi bien que des réalités d'autres opérations sous faux pavillon et tromperies orchestrées par des gouvernements. [32]

Même s'il n'y aura pas de véritable enquête de sitôt, pourquoi est-il encore important que le plus grand nombre possible de personnes connaissent la vérité sur le 9/11 ? Eh bien, pour une chose : comment dans le monde pouvons-nous prendre des décisions saines et rationnelles quand nous ne disposons pas d'informations précises sur lesquelles fonder ces décisions ? Lorsque nous saisissons la réalité des attentats du 9/11, ainsi que la réalité d'autres crimes d'État contre la démocratie (voir Partie 13), il est très improbable, par exemple, que nous soyons par la suite aussi facilement manipulés dans le but de soutenir des guerres inutiles - ou susceptibles d'encourager nos fils et nos filles afin de combattre dans ces conflits. Avoir accès à des informations précises dans de tels cas peut être une question de vie ou de mort.

En outre, le fait d'être de plus en plus conscients de ces réalités cachées peut être valorisant individuellement et collectivement, car il contribue à modifier l'équilibre du pouvoir entre des autorités fourbes et des citoyens sages qui sont capables de discerner les machinations de l'état profond.

L'auteure et activiste politique Arundhati Roy a exprimé avec éloquence cette valorisation :
« Le problème, c'est qu'une fois que vous le voyez, vous ne pouvez plus ne pas le voir. Et une fois que vous l'avez vu, se taire, sans rien dire, devient autant un acte politique que de s'exprimer. Il n'y a pas d'innocence. De toute façon, vous êtes responsable. » [33]
Par conséquent, une fois que nous voyons le 9/11 comme une opération sous faux pavillon, une fois que nous prenons conscience de l'existence de l'état profond et que nous apprenons d'autres crimes d'État contre la démocratie, notre vision change. Nous ne pouvons pas faire comme si nous ne les voyons pas. C'est comme si nos œillères avaient été enlevées, nous offrant une perspective beaucoup, beaucoup plus large sur les réalités politiques.

Ce processus d'ouverture est effrayant au premier abord pour beaucoup d'entre nous. Comme un ami me disait : « J'ai peur de ne plus être capable de faire confiance à personne ! » Cette crainte n'est pas facile à surmonter par ceux qui ont été à l'abri des événements mondiaux, aveuglés par la propagande mensongère, ou alors tellement abusés qu'ils ne peuvent pas supporter une trahison de plus. Mais à un certain point, beaucoup d'entre nous, nous allons au-delà de notre peur, et nous découvrons que nous nous sommes effectivement émancipés. Nous sommes alors guidés vers d'autres qui sont tout aussi éveillés.

Comme nous devenons progressivement plus conscients des renseignements précis concernant de nombreux domaines de préoccupation - tels que la nécessité d'une véritable réforme financière - et que nous apprenons progressivement comment utiliser le discernement rationnel dans chacun de ces domaines, nous devenons capables de prendre des décisions plus avisées, et de vivre plus consciemment. Nous estimons de plus en plus que nous pouvons nous faire confiance, nous nous sentons plus libres, et nous perdons notre peur « de ne plus être capable de faire confiance à personne. »
Si, d'autre part, nous continuons d' « aller de avant » [34] tout en restant silencieux sur l'éléphant du 9/11 dans notre salon [américain], nous allons l'emmener avec nous dans le futur, encourageant de futures opérations sous faux pavillon et d'autres formes de mauvais traitements infligés par les autorités gouvernementales et les puissants, dans les coulisses de l'état ​​profond. Il semblerait que beaucoup de ces personnages soient de véritables sociopathes, manquant de conscience ou de toute connexion avec le reste du vivant - un sujet que nous allons aborder dans la [dernière et] 20ème partie : ceux qui manquent de conscience et l'empathie.
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Donc, même si le slogan « aller de avant » a empêché la poursuite des crimes de l'Etat, nous devons aller de l'avant dans la découverte de la vérité sur la question du 11 Septembre, peu importe ce que les autres peuvent en dire. Si nous pouvons persévérer avec confiance et compassion, pour la plupart, plutôt que par la peur et l'urgence excessive, nous pouvons inspirer les autres à emboîter le pas. En effet, lorsque nous suivons notre intuition - ce qui pourrait être appelé de diverses façons « notre sens profond et intérieur de justesse », « notre vérité intérieure » ou « la petite voix intérieure » - la paix que nous ressentons et les actions intelligentes que nous effectuons et qui en résultent pourraient motiver d'autres personnes à se libérer du syndrome de la maltraitance, de la passivité et de la honte.

Une sur-analyse ?

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Certains pourraient dire que je "sur-analyse". Après tout, quand on connaît la puissance des élites et des entreprises auxquelles nous devons faire face, n'est-il pas normal de se sentir impuissants et apathiques ? N'est-il pas réaliste de ne pas ne rien faire pour révéler ces forces ou pour essayer de les traduire en justice ? Ces actions ne sauraient-elles être qu'une perte de temps, nous conduisant à négliger ces questions « légitimes » qui ont tant besoin d'attention ? Et, d'ailleurs, les personnes qui se concentrent pour débusquer la vérité sur le 9/11 ne seraient-elles vraiment que des « Debbie Downers ? » [35] Ne sont-elles pas tout simplement cyniques et obsédées par des informations pessimistes et incapables de voir le bien dans notre monde ?

J'ai entendu toutes ces remarques défensives et « pathologisantes » de la part de ceux qui ne veulent pas reconnaître et s'adapter à cet « éléphant » ; et même s'ils ont vu cet éléphant, ils négligent de reconnaître le travail courageux et inlassable des militants qui rend l'indicible dicible. Mais c'est la nature de cette difficile voie militante, la nature d'un chemin qui exige la rupture avec les deux barrières taboues, internes et externes, entourant le 9/11 - ou toute autre problématique de changement de paradigme.

Je suggère que nous examinions ces rationalisations défensives sous un autre angle : si le 11 Septembre est une opération sous faux pavillon, comme cela est proposé par les sceptiques de la version officielle - ce qui est le cas si certaines personnes influentes ont comploté pour orchestrer les attaques du 9/11, comme des preuves l'indiquent fortement - serait-il rationnel de ne pas faire quelque chose ? Pensons-nous que ceux qui ont perpétré ces attaques se remettraient en question de façon altruiste si nous restons tous silencieux ? N'espérerions nous pas désespérément que de telles fourberies ne se produisent plus jamais - ou, si elles se produisent, que notre famille et nos amis proches soient au moins épargnés ?

Nous devons, chacun de nous, décider par nous-mêmes.

De mon point de vue, vivre ma vie selon cette rationalisation et ces faux espoirs serait vivre dans la peur et la résignation, et au plus profond de moi, je porterais l'angoisse et le manque de respect de moi-même de savoir que je vivais dans un mensonge.

Notes :

[16].Kevin Barrett, « L'apocalypse de la coercition : pourquoi nous écoutons ce qu' « Ils » disent au sujet du 9/11. » Voir http://mujca.com/apocalypse.htm

[17].Henry David Philip (Contributor), Born Unwanted : Developmental Effects of Denied Abortion (Avicenum : Prague, 1988 ; later published by Springer : New York and EDAMEX in Mexico City). Voir un avis : https://birthpsychology.com/content/born-unwanted-developmental-effects-denied-abortion#.VLMXGyc3PEM

Thomas R. Verny, M.D., with John Kelly, The Secret Life of the Unborn Child (Dell Publishing, 1981). Ce remarquable classique informe sur des recherches montrant que ce qui nous arrive, de la conception à la naissance, façonne notre personnalité, nos ambitions, et notre santé émotionnelle et physique. Thomas R. Verny, M.D. with Pamela Weinraub, Pre-Parenting : Nurturing Your Child from Conception (New York : Simon & Schuster).

[18].R. Thomas Verny, MD, "Naissance et violence." Voir https://birthpsychology.com/free-article/birth-and-violence#.VLMhzCc3NXA. Verny, Pré-parentalité , chapitre 5. noter particulièrement le plus grand risque de commettre des crimes violents commis à partir de 18 ans quand il y a une combinaison de complications à la naissance et un rejet maternel, pp 81-82.

[19].Ashley Montagu, Toucher : La signification humaine de la peau (New York : Harper and Row, troisième édition ., 1986). C'est un classique pour comprendre l'importance du toucher affectueux pour la santé mentale et physique.

[20].H. Marshall Klaus, MD, John H. Kennell, MD, et Phyllis H. Klaus, CSW, MFCC, Bonding : Building the Foundations of Secure Attachment and Independence(Addison-Wesley Publishing Company, Inc., 1995).

[21].James W. Prescott, Ph.D., " Body Pleasure and the Origins of Violence," Bulletin of the Atomic Scientists, November 1975, 10 - 20. Voir http://www.violence.de/prescott/bulletin/article.html. James W. Prescott, "Prevention or Therapy and the Politics of Trust : Inspiring a New Human Agenda," Psychotherapy and Politics International 3, no. 3 (2005) 194 - 211. Voir http://violence.de/prescott/politics-trust.pdf Voir d'autres recherches de James W. Prescott, sur http://violence.de, et acheter le DVD Rock-A-Bye Baby (une production Time Life Vidéo ), qui documente la recherche de Prescott et autres, au https://ttfuture.org/academy/james-w-prescott/overview. Il y a aussi une série YouTube en trois parties :

- Partie 1 de 3 : https: // www.youtube.com/watch ?v=uRI8VKApgsU

- Partie 2 ou 3 : https://www.youtube.com/watch?v=H6sKo-OKAuE

- Partie 3 de 3 : https://www.youtube.com/watch?v=jurRryx2a8I Note de l'auteur : Regarder ces bébés singes atteints de lésions cérébrales est difficile pour n'importe qui avec un minimum de sensibilité envers la souffrance des autres êtres. Il est lamentable que notre culture croit qu'il est nécessaire de sacrifier le bien-être d'innocents non humains pour le progrès scientifique. J'espère et je crois que lorsque nous trouverons la volonté de découvrir des vérités sans pareil sacrifice, nous le ferons. Je connais aussi James Prescott personnellement, et je suis consciente qu'il veut passionnément faire arrêter la souffrance humaine à ses origines. Ses recherches innovatrices démontrent que la privation des besoins chez le nourrisson et l'adolescent génèrent des sociétés violentes, alors que la satisfaction de ces besoins entraine des sociétés non-violentes. Une découverte étonnante qui devrait être rendue publique.

Robin Grille, Parenting for a Peaceful World (Longueville Media, New South Wales, Australia, 2015) info@longuevillemedia.com.au. North American distributor : Le projet enfant naturel, www.naturalchild.org ou 877-593-1547. Ce travail important documente comment les pratiques d'éducation des enfants ont forgé le destin des nations et des cultures.

Marcy Axness, Parenting for Peace : Raising the Next Generation of Peacemakers (First Sentient Publications ed. 2012).

[22].Grille, Parenting for a Peaceful World.

[23].Levine, "Are Americans a Broken People ?"

[24]. Bruce E. Levine, « Comment les psychologues subvertissent les mouvements démocratiques, » Z Magazine , Octobre de 2012. Up, Stand Up , 146. See : https://zcomm.org/zmagazine/how-psychologists-subvert-democratic-movements-by-bruce-e-levine/

[25]. Levine, Get Up, Stand Up, 146.

[26]. Ibid.

[27]. Les traumatismes d'omission proviennent de nos besoins non satisfaits de l'anaclitique (http://sante-medecine.commentcamarche.net/faq/37245-anaclitique-definition), comme le contact amoureux et l'amour inconditionnel - qui sont des besoins qui doivent être nécessairement satisfaits par une autre personne que nous-mêmes. Les traumatismes de la commission sont des événements qui nous ont été faits et qui étaient nuisibles, tels que les traumatismes de la naissance, les abus sexuels ou les châtiments corporels.

[28]. "Book Discussion on 9/11 and American Empire : Intellectuals Speak Out" (2005) and "Book Discussion on The 9/11 Commission Report : Omissions and Distortions" (2006) Voir http://www.c-span.org/search/?searchtype=Videos&sort=Newest&personid%5B%5D=1014188

[29]. "C-SPAN Interviews Determined AE911Truth Founder : Richard Gage, AIA, Drives Home Explosive Evidence." See http://www1.ae911truth.org/en/news-section/41-articles/907-c-span-interviews-determined-ae911truth-founder.html

[30].Craig McKee, "CNN's 'Yellow Journalism' Rating Hits All-Time High : As Jake Tapper's 'The Lead' Dips to a New Low with 'Coverage' of AE911Truth's 9/11 Museum Brochure." See http://www1.ae911truth.org/en/news-section/41-articles/884-cnns-yellow-journalism-rating-hits-all-time-high-.html

"3 Towers, 2 Brochures, 1 Truth : Controversy Brims at Grand Opening of 9/11 Museum — AE911Truth On-Site to Set the Record Straight." Craig McKee, "Draw Your Line in the Sand with a Letter to CNN : AE911Truth Slandered over 9/11 Museum Outreach — Legal Action Considered." Voir : www1.ae911truth.org/en/news-section/41-articles/894-draw-your-line-in-the-sand-with-a-letter-to-cnn.htm

[31]. Voir les trois plus récentes video des "législateurs" de Andy Steele de http://www.911freefall.com/ :

Partie 5 : Legislators, Pundits & 9/11 Controlled Demolition Questions : https://www.youtube.com/watch?v=mCLpELlZr9g.

Partie 6 : Legislators, Pundits & 9/11 Controlled Demolition Questions : https://www.youtube.com/watch?v=43ELbMo4D1o

Partie 7 : Legislators, Pundits & 9/11 Controlled Demolition Questions : https:// www.youtube.com/watch ?v=MJ6P6IcNKds

[32]. International Poll : No Consensus on Who Was Behind 9/11. See http://www.worldpublicopinion.org/pipa/articles/international_security_bt/535.php?nid=&id=&pnt=535

[33]. Arundhati Roy, Power Politics (South End Press, 2001). See http://fleurmach.com/2014/11/03/arundhati-roy-on-accountability

[34]. Cet extrait de la première conférence de presse du président Obama se réfère à son refus de poursuivre l'administration Bush pour les crimes de torture. La citation complète d'Obama est la suivante : " Mon point de vue est aussi que personne n'est au-dessus de la loi, et s'il y a des cas clairs d'actes répréhensibles, que les gens devraient être poursuivis comme tout citoyen ordinaire, mais que, de façon générale, je suis davantage intéressé par aller de l'avant [Ndt = looking forward, qui se traduit littéralement par la "hâte"] que par regarder en arrière [Ndt = looking backward, d'où le "jeu de mot" employé alors par Obama] ". Pour comprendre pourquoi "aller de l'avant" sans poursuites conduit à davantage des mêmes genres de crimes : Voir cette interview avec le professeur d'Histoire Alfred McCoy de l'Université de Wisconsin-Madison. www.democracynow.org/2012/9/21/as_italy_sentences_23_cia_agents - Lire "Rejecting the Obama-Cheney Alliance Against Torture Prosecutions" : http://www.commondreams.org/views/2015/01/26/rejecting-obama-cheney-alliance-against-torture-prosecutions.

[35]. See http://en.wikipedia.org/wiki/Debbie_Downer Le nom du personnage, Debbie Downer, est une expression en argot qui se réfère à quelqu'un qui raconte souvent des mauvaises nouvelles et communique des impressions négatives lors d'un rassemblement, fichant le cafard à tout son entourage.