Traduction : zone-7.net
Traduction révisée par SOTT


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Cet article a été publié pour la première fois, sous le titre « Beyond Insanity », dans le Volume 2, numéro 5, de Psychnews international.

Nous les appelions habituellement « psychopathes » - ces créatures qui apparaissent sur notre planète sous forme humaine, mais qui ne sont pas des êtres humains.

Nous avions noté qu'elles sont amorales. Cela aurait dû nous donner un indice.

Nous avions noté qu'elles ne RESSENTENT PAS de sentiments. Cela aurait dû nous instruire.

Nous avions noté qu'elles sont sans cœur. Cela aurait dû sonner l'alarme.

Les éléments qui distinguent l'être humain en tant que tel font défaut à ces créatures. Elles ne montrent aucune connexion avec, aucune compréhension de ce que nous appelons « moralité », « honnêteté », « décence », « fair play », ... etc. Elles ne possèdent pas cette faculté que nous nommons « empathie ». Elles ne possèdent pas cette faculté que nous nommons « introspection ».

L'être humain a passé des siècles à tenter de comprendre ces créatures, à les voir comme une forme particulière d'être humain. En vain. Pas seulement en vain, mais à un coût faramineux pour notre civilisation. Ces créatures ne sont pas des êtres humains qui ont mal tourné. Elles sont d'une espèce différente... dédiée au meurtre des valeurs humaines... en prélude au meurtre des êtres humains... en témoignent les tactiques utilisées par les Nazis, passés ou présents.

Les psychopathes nous rient au nez. Ils disent : « Personne ne nous comprend. Les gens ne peuvent se mettre dans la peau, comprendre l'esprit d'hommes qui agissent sans conscience. Ils tentent de comprendre, mais ne le peuvent pas. »

Ces créatures ne PENSENT PAS humain. Elles ne PARLENT PAS humain. Elles ne savent pas ce qu'est ÊTRE humain.

Nous les classons comme « humanoïdes ».

Oui, elles ont forme humaine. Si nous parvenons à résister à leurs attaques suffisamment longtemps, nous pourrons éventuellement développer des techniques de scanning qui mesureront à quel point elles sont différentes des êtres humains, malgré leur similarité de forme.
Note du traducteur : le Dr Hare, au Canada, a effectué des scans Imagerie par Résonance Magnétique Nucléaire de cerveaux de psychopathes et de cerveaux d'êtres humains normaux ; la différence de réactivité fut tellement frappante que les neurologues consultés ne purent croire que les scans IRM des psychopathes étaient ceux d'êtres humains ; certaines réactions furent : « S'agit-il de cerveaux de martiens ?... »

Voir les liens présents sur http://www.hare.org/links/media.html, les articles Brains of psychopaths are different, Scans offer glimpse into normal, psychopathic brains, Les psychopathes ont un cerveau défectueux, et cette vidéo présentant les scans IRM d'individus psychopathiques :

[Zone-7 : Ceci est d'une importance capitale dans la compréhension du concept de « psychopathe » car, science à l'appui, nous ne parlons pas ici d'être humains « normaux » qui ont eu une enfance difficile ou qui ont été traumatisés par la guerre, mais bien d'êtres humanoïdes qui sont PHYSIQUEMENT différents et qui n'ont aucune « circuiterie » émotionnelle leur permettant d'avoir de l'empathie. En somme, comme en parle Mouravieff, carrément une race distincte.]
Entretemps, la qualité de nos vies... et nos vies mêmes ... dépendent de la capacité que nous avons de reconnaître ces créatures pour ce qu'elles sont, et de la capacité de prendre des précautions pour neutraliser leurs tentatives de nous détruire.

Signes de comportement humanoïde psychopathique

Ils font des déclarations sans preuve. Pour eux, ces déclarations représentent ce qu'est la réalité, déclaration après déclaration. La présente déclaration peut contredire ce qu'ils ont déclaré un moment plus tôt. Cela n'a aucune importance, pour eux. Ils ne font aucun effort pour gérer la contradiction.

Ils démontrent un total manque de compréhension de ce que nous appelons un fait. Dans leurs écrits et leurs discours, ils n'utilisent pas ce mot.

Nous, humains, trouvons cela difficile à croire. L'utilisation des faits est une chose tellement basique dans nos vies. Nous basons nos conclusions et nos actions sur les faits. Nous partons des faits pour tester et établir d'autres faits. Quand nous débattons, nous présentons des faits, et montrons comment nous déduisons et prenons position à partir des faits.

Sans faits, la seule chose que nous ayons est ce que nous appelons « fantasme ».

Comme ces créatures ont apparence humaine, nous supposons qu'elles doivent penser comme nous... être conscientes de ce dont nous sommes conscients !... Nous pensons qu'elles DOIVENT savoir ce que sont les faits. Quand elles nient les faits, nous disons qu'elles jouent un jeu. Nous pensons qu'elles savent ce qu'est un fait, mais qu'elles ne veulent pas l'admettre.

Ce n'est pas le cas !... Elles ne SAVENT PAS ce qu'est un fait. Quand nous parlons de faits et leur demandons de faire face à un fait, elles nous regardent, les yeux vides. Elles ne savent pas de quoi nous parlons.

Elles nous étudient, parce que leur stratégie est de se faire passer pour des êtres humains. Elles nous entendent utiliser les mots : « fait », « preuve », « fondement ». Elles n'ont pas la capacité humaine de comprendre ce que cela veut dire. Ce qu'elles font, c'est ignorer nos références aux faits, ignorer nos demandes de fournir des faits, en espérant que nous ne nous rendrons pas compte que c'est à cause de leur incapacité à comprendre.

Regardons quelques exemples de ce qu'ILS ( les psychopathes) entendent par « faits » (par opposition à ce que NOUS entendons par « faits »).

L'Association pour l'Avancement de la Gestalt Thérapie (AAGT) tint (il y a plusieurs années - Ndt) une conférence publique où trois thérapeutes « maîtres » travaillaient avec trois volontaires. Le Docteur Jeffrey A. Schaler en publia une critique, intitulée « MAUVAISE THÉRAPIE », dans laquelle il citait des exemples non seulement de mauvaise thérapie, mais aussi d'abus systématique d'un volontaire par un thérapeute « maître » (The Interpsych Newsletter, vol 2, Issue 9, Nov 95). Dans leur newslist Internet officielle (aagt(a)netride.com), des membres de l'association lancèrent une attaque contre le Dr Schaler, attaque culminant avec le slogan « Sauvons la Gestalt Thérapie de Jeff Schaler », slogan utilisé comme sujet dans un fil de discussion. Sous cet intitulé, ils « SAUVÈRENT » la Gestalt Thérapie en envoyant des emails qualifiant Jeff Schaler de personne « arrogante, narquoise, coupeuse-de-cheveux-en-quatre, pinailleuse, dérangée, mauvais esprit, fouteuse de merde, intéressée », etc...

Quand on leur demanda en quoi ces qualificatifs « SAUVAIENT » la Gestalt Thérapie, ils ignorèrent la question. Quand on leur demanda en quoi la Gestalt Thérapie était mise en danger par Jeff Schaler, ils ignorèrent la question.

Il devenait clair qu'ils croyaient profondément que leurs déclarations effaçaient non seulement les preuves présentées, mais aussi Jeff Schaler lui-même. Ils le « déclaraient » comme n'existant plus. Pour eux, quoi qu'ils déclarent, c'est la réalité. Ce que NOUS appelons réalité n'est pas réel pour eux. ILS « déclarent » ce qui doit être considéré comme réel.

Un autre exemple. Je demandai un jour à une patiente de regarder une chaise située à environ six pieds de distance, près du mur. Je lui demandai ensuite de décrire cette chaise. Elle le fit, de façon assez complète, sauf pour les pieds de chaise. DANS SA DECRIPTION, LA CHAISE N'AVAIT PAS DE PIEDS.

Je le lui fis remarquer, et lui demandai comment la chaise pouvait être suspendue en l'air, sans pieds de chaise pour la soutenir. Elle me répondit : « Je l'ai posée là ». Je lui demandai : « Si vous regardiez ailleurs, la chaise tomberait-elle par terre ? ». Elle répondit : « Non. Si je regarde ailleurs, la chaise n'est plus là. ». Je lui demandai : « Et si vous regardiez ailleurs... et qu'il se trouve que la chaise est toujours là ?... ». Elle ignora la question.

Encore un autre exemple. Au cours d'une discussion sur CD(a)maeltrom.stjohns.edu plus tôt cette année, cette déclaration fut faite : « Si suffisamment de personnes croient que quelque chose est vrai, alors ce qu'elles croient EST la réalité ».

Une question fut alors posée : « Il fut une époque où tout le monde, pour autant que nous le sachions, croyait que le Soleil tournait autour de la Terre. Diriez-vous qu'à cette époque, le Soleil tournait, dans les faits, autour de la Terre... Et que c'est seulement pour obéir au changement de croyance des gens que la Terre s'est mise à tourner autour du Soleil ? ».

La question fut ignorée.

Vous pourriez penser que ces refus de répondre constituent une admission... une admission que ce qu'ils disent est totalement incongru et indéfendable. L'expérience a montré que vous auriez tort. L'expérience a montré qu'ils reviennent directement aux mêmes déclarations, même après que la preuve du contraire a été apportée.

Voyez-vous à quel point ces créatures sont différentes ? Voyez-vous à quel point leur pensée et comportement sont éloignés de la pensée et du comportement humain ?

Rien de ce que NOUS appelons la réalité n'est réel pour EUX.

Je répète.

Rien de ce que NOUS appelons la réalité n'est réel pour EUX.

Quand un être humain mentionne une chaise, il se réfère à une chaise qui se tient là, sur ses propres pieds. Que quelqu'un la voie ou pas, que quelqu'un la mentionne ou pas, que quelqu'un « déclare » qu'elle soit là ou non. Elle est là, de sa propre existence.

Un élément basique du profil psychologique des humanoïdes est leur absence de compréhension que quoi que ce soit puisse exister de sa propre existence, séparément de leurs dires. Ils ne le VOIENT pas. Les seuls objets que les humanoïdes voient sont ceux qu'ils « déclarent »... Ceux qu'ils imaginent.

Nous utilisons l'expression « ma perception » pour signifier une estimation, une mesure de quelque chose séparé de nous-mêmes. Nous ne présentons pas cela comme « un fait ». Nous sommes prêts à considérer d'autres points de vue si des faits sont fournis.

Les humanoïdes utilisent l'expression « ma perception » comme un terme ronflant, un buzzword. Ils imaginent ce qu'ils choisissent d'imaginer, et nous disent que ceci est leur « perception ».... Ce qui, dans leur esprit, ÉTABLIT la réalité. Ce que nous appelons les « faits » n'existe pas pour eux. C'est pour cela qu'ils pleurnichent et se disent attaqués chaque fois qu'une justification leur est demandée.

Les humanoïdes, les psychopathes, affirment que leurs déclarations sont valides simplement et uniquement parce qu'ils les déclarent !!!! Ils élaborent comme ceci : « J'honore l'intégrité à cet égard. En tant qu'égoïste, je fais des déclarations qui sont valides pour moi. La validité pour moi-même vient en premier. J'accorde aux autres ce même respect en supposant qu'ils disent des choses valides pour eux-mêmes. »

Chez les êtres humains, pour que quelque chose soit considéré comme valide, il doit être justifié par des faits. Rien n'est valide uniquement et simplement parce que quelqu'un le dit.

Quand il est demandé aux humanoïdes comment ils déterminent que ce que quelqu'un dit est valide pour cette personne, et non quelque chose de fabriqué ou d'imaginé, ils ignorent la question. À noter, l'étrange emploi du mot « intégrité ». Les êtres humains définissent l'intégrité comme la droiture de caractère, la probité, l'honnêteté. Nous nous référons au fait de coller aux faits, de rechercher la vérité, pas à celui de vendre des idées. Les humanoïdes utilisent « intégrité » pour dire que ce qu'ils imaginent est ce qui est vrai. Pas de mesure. Pas d'évaluation.

Quand une demande d'évaluation de leurs déclarations est faite, ils affirment que le demandeur est celui qui n'a pas d'intégrité... dans le sens où le demandeur ne soutient pas LEUR position : ce qu'ILS imaginent est ce qui est vrai.

Sur quel base affirment-ils cela ?... Les humanoïdes traitent le monde comme s'il était leur holodeck privé. Ils « déclarent » les choses en êtreté. Tout est hologramme. Ils programment les hologrammes. Ils interagissent avec eux de toutes les façons qu'ils choisissent. Ils ont le contrôle total. Quand ils décident de supprimer un hologramme, celui ci s'évanouit.

Un hologramme est un hologramme est un hologramme. Un hologramme n'est pas censé avoir la capacité de penser par lui-même. Un hologramme n'est pas censé avoir la capacité de mesurer, évaluer, apprécier ...etc... Plus important, un hologramme n'est pas censé être capable de sortir de son état holographique et de critiquer son maître.

Quand cela arrive, ils le blâment et le châtient d'abord sévèrement pour le ramener dans la ligne. Si ça ne marche pas, ils « l'évanouissent ». Quand ça ne marche pas non plus, ils courent se cacher en abandonnant le programme et en appelant un autre programme.

L'expérience a montré que quoi que nous disions, quoi que nous montrions, quel que soit le nombre de preuves apportées, cela n'a pas de sens pour ces créatures. Elles ont un but : nous tromper en se faisant classer comme êtres humains afin de pouvoir se concentrer sur le meurtre de nos valeurs humaines. Une fois les valeurs humaines anéanties, l'étape suivante est le meurtre des être humains.

Dans le film The Invasion of the Body Snatchers [L'Invasion des profanateurs de sépultures - NdT], les aliens prennent le pouvoir en occupant les corps d'êtres humains. Les aliens prennent le contrôle non seulement de leur corps physique mais aussi de leur esprit, de leur mémoire, de leurs facultés ...etc. Ces personnes sont montrées comme inchangées en tout point, sauf pour une chose : elles mentionnent les évènements, mais sans aucun sentiment à leur sujet. ELLES NE RESSENTENT PAS DE SENTIMENTS.

Dans le film, nous voyons un enfant luttant pour échapper à ce qui paraît être sa mère. Le jour d'après, ils sont main dans la main. L'enfant est désormais sous contrôle.

Des amoureux dans le film essayent de rester réveillés pour ne pas être mis sous contrôle. Elle succombe... et « elle », désormais une créature, tente de le leurrer. Quand elle échoue, elle tente de le trahir.

Ces créatures ne se SENTENT pas vivantes. Elles ne RESSENTENT pas de sentiments. Pour pouvoir passer pour des êtres humains, elles savent qu'elles doivent donner l'impression de savoir qu'elles sont vivantes. Leur seule ressource est de DÉCLARER qu'elles sont vivantes.

La déclaration ne produit pas la qualité du RESSENTIR d'être vivant. Elles n'en continuent pas moins à ne PAS RESSENTIR de sentiments. La seule chose qu'elles ont pour continuer, la seule chose à laquelle elles peuvent se référer, c'est leur propre déclaration. Si « déclarer » est montré comme étant insuffisant... si elles sont appelées à discuter de sentiments, à donner des preuves de sentiments, à distinguer entre des sentiments ...etc... elles sont perdues. Leur vide intérieur est apparent. Leur statut de non-humain est révélé.

Voici un exemple final : au cours d'une discussion sur psych-ci(a)maelstrom.stjohns.edu il y a quelque temps, un humanoïde a dit : « Vous heurtez mes sentiments. » Il fut demandé à l'humanoïde d'identifier les déclarations exactes qui l'avaient heurté, et d'expliquer en quoi ces déclarations le heurtaient, et au niveau de quels sentiments en particulier. Réponse (pleurnichant) : « J'ai dit que vous heurtez mes sentiments. Je ne sais pas quoi dire d'autre. ...Vous m'attaquez. »

Question : « En quoi considérez-vous une demande de preuve et de clarification comme une attaque ?... »

Pas de réponse.

Aperçu général

Les humanoïdes

1. Font des déclarations sans preuve. Ces déclarations devraient être acceptées comme définissant ce qu'est la réalité... selon le moment.

2. Ignorent les demandes d'explication concernant le fondement de leurs déclarations.

3. Ricanent de l'importance que les êtres humains accordent aux faits, à l'honnêteté, à la décence, au fair-play.

4. Applaudissent à l'utilisation du mensonge, de la tromperie... etc.

5. Pleurnichent qu'ils sont « attaqués » dès qu'ils sont questionnés. Ne donnent pas d'explication sur la nature de « l'attaque », ou de qui a été au juste attaqué.

6. Ne RESSENTENT PAS de sentiments.

7. Considèrent le monde comme leur holodeck privé.

8. S'appliquent à maintenir l'être humain « à sa place », c'est à dire dans l'insignifiance.

Plus amples considérations

Les humanoïdes ne comprennent pas la distinction que nous, êtres humains, faisons entre le bien et le mal. Quand ils nous nuisent, ils ne comprennent pas pourquoi nous les qualifions de « diaboliques ». Ils ne comprennent pas pourquoi nous avons des lois contre le meurtre. Leur approche est de se vanter, et même de moraliser sur le dos de leurs victimes.

Comme ils ne comprennent pas les raisons de telles lois, ils argumentent qu'ils ne peuvent être tenus pour responsables de leurs actions.

Ce n'est pas le cas. Quand ils adoptent la position selon laquelle la loi ne s'applique pas à eux, ils savent que la loi est faite pour s'appliquer à tous. De plus, s'ils tentent d'affirmer qu'ils ne savaient pas qu'une telle loi existait, nous répondons en citant un principe fermement établi : « L'ignorance de la loi n'est pas une excuse ».

Lorsqu'ils ont recours à ce genre d'arguments, ils montrent clairement qu'ils vont continuer à agir en accord avec leur structure psychique. Nous pourrions espérer du remords (qui est une capacité humaine). Nous n'en trouverons aucun. Ils ne se considèrent pas comme promouvant le mal. Ils font simplement ce que leur condition, leur structure, les amènent à faire. Le serpent à sonnettes ne se considère pas comme mauvais quand il injecte son poison. Il fait simplement ce que sa condition l'amène à faire.

L'expérience a montré que les humanoïdes continuent de se comporter tel que leur espèce les conditionne à se comporter... détruisant les valeurs humaines, comme prélude au meurtre des êtres humains. Les nazis l'ont prouvé de façon suffisamment explicite.

La question de savoir s'il faut les tenir pour « responsables », au sens humain du terme, doit être divisée en deux parties. Nous ne pouvons les tenir pour responsables d'ÊTRE ce qu'ils sont. Nous les tenons pour responsables des dégâts qu'ils FONT.

Quand un chien attrape la rage, nous ne le tenons pas pour responsable du fait d'être enragé. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le chien AVANT qu'il ne nous morde, AVANT qu'il ne nous infecte.

Nous ne tenons pas le serpent à sonnettes pour responsable du fait d'avoir des crochets venimeux. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le serpent à sonnettes AVANT qu'il ne nous tue.

Idem avec les humanoïdes. Nous devons nous tenir sur nos gardes au premier signe de meurtre des valeurs humaines.