Enfant de la SociétéS


Cow Skull

Science pervertie : des singes génétiquement modifiés pour avoir l'autisme


Commentaire : Si le monde politique attire à lui les personnes aux modes de fonctionnements pathologiques, le monde de la science lui aussi n'est pas en reste. En voici donc un exemple : il s'agit ici de provoquer un état non naturel et maladif chez un être vivant, d'analyser le comportement issu de cette modification qui engendre, accessoirement, de grandes souffrances, pour savoir si les conclusions que l'on peut éventuellement retirer de cette expérience répondent aux questions que l'on se pose...

L'on se dit qu'il va falloir creuser profond pour trouver ce que l'on rencontre encore chez les personnes normales : de la conscience, de l'empathie.

Quand à l'autisme, plutôt que de chercher ce qu'il faut faire, pourquoi ne pas se concentrer sur ce que nous pouvons déjà... ne pas faire :

singe autisme
© Inconnu
Des scientifiques chinois ont créé des singes génétiquement modifiés pour qu'ils aient les symptômes de l'autisme. Mais on s'interroge sur l'utilité d'une telle pratique.

Des macaques à Shanghai ont été génétiquement modifiés pour qu'ils souffrent de l'autisme. Comparés avec d'autres macaques, ces singes passent moins de temps à interagir avec les autres singes et ils sont plus anxieux quand des personnes entrent dans leur cage. Ces singes possèdent des copies supplémentaires d'un gène appelé MECP2 qui est associé à l'autisme. Ce gène produit la protéine MECP2 qui est essentielle au système nerveux, mais les gens, qui possèdent des copies supplémentaires de ce gène, sont souvent diagnostiqués comme étant autistes et ils ont plusieurs handicaps intellectuels.

En répliquant la dose supplémentaire de MECP2 dans les macaques, les chercheurs de l'Institute of Neuroscience à Shanghai ont créé ses singes OGM pour mieux comprendre l'autisme. Mais d'autres chercheurs sont sceptiques en estimant qu'il est difficile de reproduire l'autisme humain chez d'autres espèces.

Hearts

SOTT Focus: Pour tous les enfants qui se sont noyés (et qui continuent à se noyer) dans la mer Égée

Aylan
Il n'aura pas fallu longtemps pour que notre prédiction se réalise. En septembre dernier, nous avions prévenu que la compassion envers les réfugiés syriens/arabes/musulmans ne tarderait pas à se transformer en haine, pour des raisons géopolitiques. Quatre mois seulement séparent « l'épidémie de viols commis par des réfugiés » qui, apparemment, s'est déclenchée spontanément à travers l'Europe le soir du Nouvel An, du jour où le petit Aylan Kurdi, 3 ans, s'est échoué sur une plage turque. Tout comme la « horde » de Syriens fuyant leur pays ravagé par l'OTAN, la famille d'Aylan avait tenté de traverser la mer Égée dans un canot pneumatique, dans des conditions météorologiques épouvantables. Aylan, son frère Galib (5 ans) et leur mère, Rehana, s'étaient noyés.

Juste pour vous rappeler la chronologie des événements : un photojournaliste se trouvait sur la plage où s'est échoué Aylan. Subitement, les journalistes occidentaux ont remarqué que des réfugiés mouraient par dizaines ; et le public a exprimé son indignation face aux « dommages collatéraux » qui s'accumulent en Syrie, Afghanistan, Iraq et Libye. Que le sort d'Aylan ait ou non été délibérément récupéré à des fins politiques, il a généré un élan de compassion pour ceux qui fuient la menace d'une mort imminente et violente. Tant d'autres événements se sont produits depuis ce sombre jour de septembre. Aujourd'hui, à peine avez-vous le temps d'exprimer votre tristesse face à la perte de vies innocentes que de nouvelles atrocités font déjà les gros titres.

Hécatombe

Mais les noyades d'enfants dans la mer Égée sont déjà du passé ; récemment, elle ont fait place à une colère et une haine grandissantes envers ces mêmes réfugiés. N'avez-vous pas l'impression d'être manipulés ?

Mais nous, sur la page grecque de SOTT.net, nous n'avons pas oublié. Nous ne pouvions pas oublier. De nouvelles noyades étaient rapportées chaque jour. Nous avons fait de notre mieux pour les archiver. Depuis la mort d'Aylan, 140 enfants réfugiés se sont noyés dans la mer Égée. Dans la plupart des cas de noyades multiples, la majorité des victimes sont des enfants qui ne savent pas nager, et qui portent des gilets de sauvetage trop grands pour eux. Certains de ces petits réfugiés - et même leurs parents - voyaient le grand large pour la première (et la dernière) fois. Cette liste (avec des liens vers des articles en grec) est malheureusement longue :

Health

La psychose du virus Zika au Brésil : le carnaval de Rio est menacé

Malgré les promesses des autorités municipales d'éviter la prolifération du moustique tigre, porteur du virus, Roberto Medronho épidémiologiste à l'Université de Rio (UFRJ) souligne une présence très importante au Brésil due à « l'urbanisation désordonnée et des programmes de contrôle de faible efficacité ».


Commentaire : Il y a de quoi se poser des questions concernant ce virus, surtout quand on sait que le Brésil crée des moustiques transgéniques... Le moustique porteur du virus Zika serait-il une mutation ? Derrière ces projets, nous trouvons toujours des Bill Gates et autres Monsanto , accompagnés de leurs projets eugéniques criminels.

Lire : Bill Gates finance l'autorisation de moustiques génétiquement modifiés afin de lutter contre la dengue

Et aussi : Des moustiques transgéniques sont produits en masse par le Brésil

Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète


zika
Victime du virus Zika
« Il est très difficile de contrôler le moustique Aedes aegypti à Rio, où un tiers de la population vit dans les favelas avec de nombreux foyers de prolifération » comme les eaux stagnantes, déclare-t-il à l'AFP.

Dimanche, la mairie de Rio a assuré que « les inspections seront intensifiées pour les jeux Olympiques d'août, bien que ce soit une période pendant laquelle il y a moins de moustiques », puisque la région sera plongée dans l'hiver austral.

Commentaire: Lire aussi :


Bomb

22 morts et une centaine de blessés dans un attentat en Syrie

Une vingtaine de personnes ont été tuées mardi à Homs, dans le centre de la Syrie, quand un poste de contrôle gouvernemental a été ciblé par au moins deux kamikazes, a fait savoir l'agence de presse syrienne officielle. L'attaque, qui a été revendiquée par le groupe armé État islamique, s'est produite au moment où les forces gouvernementales recapturaient une ville stratégique dans le sud du pays.
syrie
© AFPL'Etat Islamique continue ses frappes. Que fait la coalition pour arrêter les massacres ?
Le gouverneur de Homs, Talal Barazi, a dit à l'agence SANA que le poste de contrôle a tout d'abord été attaqué par une voiture piégée, puis par un kamikaze. L'attentat a été revendiqué par le groupe État islamique, selon ce que rapporte l'agence de presse Aamaq, qui est affiliée aux djihadistes.

Commentaire: Lire aussi :


Jet3

Pour le Général Desportes, « La France n'est plus défendue »


Un brûlot, doublé d'un cri d'alarme. Vincent Desportes, général de division de l'armée de terre et indéfectible libre-penseur de la chose militaire, publie ce jeudi 29 octobre un livre au titre éloquent : La dernière bataille de France (éd. Gallimard). Tout part d'un constat : jamais l'armée française n'a été mobilisée sur autant de fronts, y compris sur le territoire national avec l'opération Sentinelle ; pourtant, les moyens qui lui sont alloués sont en constante diminution depuis 25 ans : 3% du PIB en 1982, 1,7% en 2011, 1,44% en 2015. « Réveillons-nous, écrit Vincent Desportes. Ce n'est pas parce que l'Europe est en paix depuis 70 ans que cela durera ».

Face à la multiplication des menaces (en Afrique, au Moyen-Orient, mais aussi sur le territoire national), la France et l'Europe continuent de désarmer, déplore l'auteur. Qui qualifie même les lois de programmation militaire successives (LPM) de « lois de déprogrammation militaire » : « De 1982 à 2014, le PIB a crû annuellement de 1,8% en moyenne, contre 0,15% pour le budget de défense, écrit le général Desportes. Il s'agit donc bien d'un redéploiement de la dépense publique au détriment de l'effort de défense. »

Bad Guys

Hystérie ? Dressage par la menace ? Alerte à la bombe dans 6 lycées à Paris

Six lycées parisiens ont reçu, mardi 26 janvier au matin, des appels anonymes faisant état de la présence de colis piégés au sein des établissements, qui ont aussitôt confiné leurs élèves, a fait savoir le rectorat.
lycées
Est-ce qu'on voudrait instaurer la peur chez la jeunesse?
Les lycées Charlemagne, Fénelon, Montaigne, Cordorcet, Henri-IV et Louis-le-Grand ont reçu un coup de fil anonyme en milieu de matinée, entre 10 h 20 et 11 h 20 selon les cas, a précisé la police. Ces appels, quasiment identiques, indiquaient que des colis piégés se trouvaient au sein des écoles, selon le rectorat.

Les élèves ont été regroupés à l'abri selon les plans de sécurité adaptés à chaque établissement, a précisé le rectorat. Des journalistes de France Info ont annoncé sur Twitter qu'il n'y avait rien à signaler à Montaigne, Condorcet et Charlemagne. Un colis suspect, qui pourrait être simplement un sac abandonné, a été trouvé à Henri-IV, selon la police.

Commentaire: Pour plus d'information sur la stratégie du choc et son fonctionnement sur la population, vous pouvez voir : Lire aussi:


Handcuffs

Premiers pas vers les camps de concentration ? La « Jungle » et ses containers

Présenté comme « humanitaire », le nouveau camp de Calais est entouré d'un enclos, vidéo-surveillé, contrôlé par un système biométrique, sans eau, ni douche, ni possibilité de cuisiner. Les réfugiés disent qu'il ressemble à une prison et beaucoup refusent d'y aller. Ils ont raison : derrière ces rangées de containers chauffés se dessine un piège sécuritaire.


Commentaire : Nous voyons de plus en plus qu'il se forme, en Europe, une résistance envers les réfugiés avec du racisme et de la discrimination, comme si les gouvernements ne voulaient pas la présence de ces personnes qui fuient la guerre. De plus en plus l'Europe crée des murs et des murailles pour ne pas affronter ses responsabilités et culpabiliser la victime. Ce camp à Calais nous rappelle malheureusement d'autres camps survenus dans une époque très sombre de notre histoire. Est-ce que nous allons installer d'autres camps similaires partout en Europe pour éloigner les réfugiés de nos villes ? Pour les séparer, les contrôler, empêcher toute intégration ? Est-ce que Calais est un camp-essai ?

Pour comprendre, lire : Nouvel An à Cologne : crimes sexuels et radicalisation de la société européenne


calais
La Jungle a changé de visage
Au mois de janvier, sur cette zone dunaire de Calais, dire que le climat est rude est un euphémisme. Il y fait froid, humide, il y a beaucoup de vent, peu d'infrastructures et de réels problèmes de santé. Avec l'arrivée annoncée des premières neiges, chacun sera donc rassuré de savoir que les réfugiés de Calais, qui attendent sur notre sol inhospitalier une occasion de passer en Angleterre, dorment enfin au chaud.

Sauf qu'il n'en est rien.

Commentaire: Lire aussi:


Eye 1

« Vers un état d'urgence permanent » : analyse de Laurence Blisson, magistrate


Laurence Blisson, magistrate et secrétaire générale du Syndicat de la magistrature. milite pour une justice indépendante, protectrice des libertés et égale pour tous. Au micro de L'Humanité.fr, elle réagit aux grands sujets d'actualité tels que la déchéance de la nationalité et la prolongation de l'état d'urgence.

Whistle

Une ville dépotoir empoisonnée par nos déchets : Agbogbloshie au Ghana

Une banlieue de la capitale du Ghana est devenue une énorme déchetterie où sont importés des appareils électroniques des pays développés. Des enfants et des adultes y travaillent dans des conditions désastreuses pour gagner quelques dollars par jour.
ghana
La terrible condition des travailleurs au dépotoir de Agbogbloshile au Ghana
Le Ghana est un des pays d'Afrique où aboutissent les appareils électroniques après avoir été utilisés dans les pays développés. Agbogbloshie est une énorme déchetterie située près de la ville d'Accra, où ces articles sont recyclés. Le processus qu'accomplissent les travailleurs, consiste à faire brûler le plastique afin d'en libérer les composants métalliques.


Commentaire : « Chaque fois que la dignité et la liberté de l'homme sont en question, nous sommes concernés, Blancs, Noirs ou Jaunes, et chaque fois qu'elles seront menacées en quelque lieu que ce soit, je m'engagerai sans retour », ainsi parlait Franz Fanon. L'Afrique n'a pas changé, est toujours colonisée par les grandes corporations et par notre insouciance des effets négatifs de notre société de consommation.


Nuke

France : la sûreté nucléaire moyennement sûre...


Commentaire : La France pérore dans le monde entier avec son fameux « savoir-faire nucléaire » ; elle vend sa technologie mortifère à coup de « sureté nucléaire » inscrite dans ses gros contrats juteux . Un monopole et un pouvoir qui permettent tous les discours, celui notamment de la sécurité des procédés. A écouter le président de l'Autorité de sûreté nucléaire, on redescend vite sur terre. Une centrale défaillante suffirait à contaminer un pays, un continent. Nous en avons une cinquantaine. Quels esprits inconscients ou criminels peuvent encore promouvoir l'exploitation d'une énergie qui recèle en elle un tel potentiel de destruction et de pollution ?

Quelques articles concernant le nucléaire :

asn-asn
© FotoliaLa Normandie, outre la centrale de Flamanville en devenir, compte déjà trois centrales nucléaires : à Penly (photo) et Paluel, en Seine-Maritime
Mercredi 20 janvier 2016, Pierre-Franck Chevet, le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a présenté, au siège de Montrouge, ses vœux à la presse. L'occasion pour le président d'exprimer ses inquiétudes et d'expliquer que ses demandes d'attribution de moyens humains restent lettre morte, alors même que les enjeux en matière de sûreté nucléaire, à tenir dans un avenir proche, nécessiteraient cet apport supplémentaire. Pierre-Franck Chevet a fait état d'une « situation préoccupante ». Il s'est attardé, notamment, sur les anomalies de la cuve de l'EPR de Flamanville dans la Manche. La Normandie, outre cette installation (peut-être) en devenir, compte déjà trois centrales nucléaires : à Penly et Paluel, en Seine-Maritime, ainsi qu'à Flamanville dans la Manche.

La moitié des 58 réacteurs français bientôt contrôlés

« La sûreté nucléaire et la radioprotection sont confrontées à des enjeux sans précédent », a martelé le président. L'ASN va devoir traiter notamment de l'éventuelle extension de longévité des 58 réacteurs installés en France.